"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Isaac _ _ You're my boss, i don't think why i think about sex with you._ 2979874845 Isaac _ _ You're my boss, i don't think why i think about sex with you._ 1973890357
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Isaac _ _ You're my boss, i don't think why i think about sex with you._

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() message posté Dim 19 Oct 2014 - 11:47 par Invité
You're my boss, i don't think why i think about sex with you
  feat. Isaac & Alfie
Le véritable amour n'a pas de limite, d'âge, de mort. John Galsworthy
Je ne m'attendais à tout mais pas à ça. Alors que je ne vivais encore qu'en Nouvelle Zélande. J'avais trainé dans un bar, un peu comme chaque soir après que je me sois occupé d'Abygaëlle. Un ami à moi connaissait Isaac, je l'ai recontré se soir là. Assis à une table, je discutais avec mon ami alors que je buvais ma bière brune, je l'ai vu rentrer. Ce grand type, avec un charisme plutôt inhabituel. me fit déjà un effet de dingue quand il est entré dans ce bar. Quand je compris que c'était le fameux ami, j'étais encore plus surpris. Il nous a rejoint... Ce fut une des meilleurs soirée que j'ai du passer depuis au moins 5 ans. J'ai gardé contact avec Isaac. nous nous voyons souvent, il me parla de son métier. Producteur, J'en revenais pas voilà que j'avais un producteur dans mes contact... Je me suis demandé si un jour j'en rencontrerai un, Après tout je n'était qu'un petit scénariste amateur. je lui parla de ce que je faisais, Il fut curieux et je lui ai montré quelques projets... J'étais stressé c'est comme envoyé un manuscrit à un editeur. Le stress qu'on soit publié... Cette boule dans le ventre qui peut te faire perdre la boule. Ce fut quelques jours plus tard, qu'on se revoit et qu'il m'annonce qu'il pense qu'un de mes scenarios pourrait plaire pour la BBC et qu'il en parlerait à son retour à Londres.

Il n'était resté que quelques jours avant de repartir, notre relation avait bien avancé. Enfin  on avait des points commun. Il m'apprit qu'il était divorcé que sa femme l'avait trompé avec un autre homme. Je lui ai raconté mon histoire à mon tour que mon ex femme était parti avec le neuro-chirurgien beau comme un dieu et riche comme crésus. Quoi que j'étais bien niveau financier moi aussi même si je ne m'en vantais pas. Isaac me plaisait j'avais du mal a le remarquer. notre petit jeu tendancieu me plaisait. Il était beau c'est clair y avais rien a dire la dessus...
Un mois plus tard, j'ai reçu un appel tard dans la nuit. L'indicatif était de l'Angleterre. Je me demandais qui cela pouvait être, Isaac Hawkins. J'en sentis mon coeur faire un raté l'espace d'un instant. le rêve le plus brutal depuis quelques temps. Il m'annonca que la BBC serait pret a s'occuper d'un de mes scénarios. J'en croyais pas mes oreilles, le soucis je devais venir à Londres pour travailler dessus. Tout quitter pour tout reconstruire, j'aimais cette idée là. Je lui donna une reponse positive. Et me voila partit pour Londres, un 5 Septembre vers 21 heures.
Cela fait maintenant trois semaines que je travaille pour Isaac hawkins. Je dois dire que passer mes après midi et mes soirées dans les bureaux de la BBC pour ameliorer mon scenario ou aider le metteur en scene a mettre en place le pilote était plutôt gratifiant, mais passer une nuit jusqu'à tard, me faisait incroyablement chié. J'étais sur mon ordinateur, dans un bureau au milieu d'une grande salle entourée de box. Je voyais au fond de la salle le bureau d'Isaac, une verrière me permettait de voir le producteur en action. j'étais cela dit perturbait par la vision d'Isaac. Nous étions les seuls j'avais l'impression. Je n'avais pas vu l'heure passé voilà qu'il était déjà 23 heures. Je me suis levé m'approchant alors de son bureau, esquivant la porte pour aller à l'imprimante chercher le fichier que je venais d'imprimer, les modifications d'une partie du scenario du pilote. le metteur en scene était un veritable connard qui essayait de tous modifier. Je n'étais pas du genre à faire ma Drama queen, mais je sentais que ca allais surement arriver si il continuait comme ça. Je me suis approché du bureau. Habillé d'un jeans et d'une chemise blanche accompagné d'une veste gris foncé. Je toque à sa porte, avant de l'ouvrir: " Isaac? Je vois qu'ils ne restent plus que nous deux dans les bureaux..." lui disai-je en souriant bien que l'idée me plaisait bien je trouvais la situation assez... Bizarre tout de même.

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() message posté Mar 21 Oct 2014 - 20:13 par Invité
Travailler dans le cinéma ou dans la télé cela à plutôt du bon. Bien évidemment cela comporte du bon comme du mauvais mais quand on sait que la rencontre entre son actuel scénariste et sa petite personne s’est faite alors qu’il était en voyage d’affaire en Nouvelle-Zélande on peut dire que son job à du bon. Après tout il y a pire que de devoir voyager à l’autre bout du monde pour travailler. Quand bien même cela aurait été pour faire justement la rencontre de quelqu’un, un tel voyage n’est pas de refus.  Finalement ce voyage en Nouvelle-Zélande aura amené un peu de bénéfice à Isaac puisqu’il a put voyager un petit peu et bouger de Londres, rencontrer quelqu’un avec qui il peut finalement faire une série pour la BBC, il s’est trouvé un peu de travail en somme, une expérience à mettre en place puisqu’à vrai dire il n’a lu que les idées de ce cher monsieur Archibald et ce qu’il en a imaginer, ce qu’il en espère et bien tout est à faire. Les scénaristes il y en a des tas sur Terre. Après tout même lui pourrait prendre du temps, utiliser ses heures dans la nuit où il ne dors pas à écrire sur du papier ou même sur son ordinateur, les quelques idées ou morceaux d’histoires qui lui passent par la tête. Ils pourraient en avoir tout un tas qu’il pourrait faire améliorer avec l’aide d’autres personnes. Si un scénario de se fait pas avec l’aide d’une seule personne, il n’est pas impossible de demander de l’être et d’utiliser une équipe pour en venir à bout. Oui bien évidemment on a beaucoup plus l’habitude de voir un nom pour le scénariste. Mais est-ce qu’il y a une loi dans le monde, une loi qui pourrait amener à être puni parce qu’on s’est mit à plusieurs pour écrire un scénario ? Non ! Les scénaristes cours donc les rues, il doit y en avoir tout un tas qui cherche un foutu producteur pour mettre en œuvre, pour réaliser ce qu’ils ont eut en tête, pour pouvoir avoir la chance de mettre leur travail à exécution. Et voilà que par chance, Alfie a eut la rencontre de l’un d’eux qui lui était tombé comme du tout cuit. Heureusement pour lui, l’envie de produire une nouvelle chose, de s’aventurer dans l’inconnu est tout à fait le genre d’Isaac.

En s’aventurant à réaliser enfin du moins à produire le scénario qu’Alfie à écrit, il ne sait pas du tout si cela va plaire du moins il ne sait pas si la part du marché qu’ils comptent conquérir va bel et bien être présente. Ceci n’est qu’une question d’espoir, une question de talent, de travail, de patience. Une question de foi en quelques sortes. Mais pour pouvoir en arriver aux grandes productions qui existent à ce jour, il en faut du travail et de l’acharnement, de la patience et de la volonté. Mais bon autant prévenir tout le monde, ces choses il les a. Pour en témoigner autant vous dire qu’il n’est pas impossible et même pas trop surprenant maintenant pour certaines personnes de la BBC de savoir qu’Isaac est un des derniers à quitter les bureaux. L’envie de produire le scénario d’Alfie était là maintenant il ne restait plus qu’à travailler avec le metteur en scène, régler quelques détails et accords sur les idées et la façon de faire les choses car tout ne se fait pas que de l’envie d’une seule et même personne. C’est un accord de plusieurs personnes et une entente cordiale en théorie. Malheureusement tout n’est pas rose dans le monde et il faut souvent tenter de trouver des compromis ou néanmoins de tenter de se mettre d’accord en cherchant d’autres idées, d’autres façons de faire. Et heureusement pour Isaac, avec le temps et la patience ils y arrivent généralement. Notre cher producteur était installé à son bureau en train de regarder quelques trucs sur son ordinateur, le scénario ouvert sous les yeux, son téléphone à ses côtés et un crayon histoire de noter ce qui lui traversait l’esprit. Alors qu’il était concentré, il entendit la voix de son scénariste qui l’amena à relever la tête, il recula sa chaise et croisa les bras en le toisant du regard.

« Effectivement…ceci ne te pose pas de problème j’espère parce que j’ai pour habitude de travailler sans problème jusqu’à des heures tardives quand j’ai un projet. Tu n’es pas effrayé de n’être qu’avec…moi j’espère. »

Il afficha un sourire en coin en lui balançant cette dernière phrase.
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() message posté Mar 21 Oct 2014 - 22:37 par Invité
You're my boss, i don't think why i think about sex with you
feat. Isaac & Alfie
Le véritable amour n'a pas de limite, d'âge, de mort. John Galsworthy
Ce metteur en scène m’excédait. J'avais droit à des réflexions a longueur de journée, le simple faite que je sois nouveau et que Isaac soit si a fond dans son projet de produire la série. Cela malgré mon envie irrecevable de lui péter la gueule au coin d'une rue sombre de Londres ou de refaire un remake très mal fagotée de Jack the Ripper. Je venais de passer le pas de la porte du bureau d'Isaac lui faisant la remarque que nous étions seuls. Bien que l'idée ne me faisait pas peur, je dois dire que depuis que je suis à la BBC. J’entends quelques rumeurs sur lui et des petits surnoms qu'on lui donne… 'Shark' était mon préféré. Je trouvais que ça lui allait bien au du de son sourire à pleine dent qui ressemble beaucoup a celui du Carnassier… Je me laisserai bien déchiqueter par cette mâchoire. Bien que mes idées divaguent au plus haut point j'en fus d'autant plus surpris par sa réaction et de sa réponse. « Effectivement…ceci ne te pose pas de problème j’espère parce que j’ai pour habitude de travailler sans problème jusqu’à des heures tardives quand j’ai un projet. Tu n’es pas effrayé de n’être qu’avec…moi j’espère. » Monsieur travaillait a pas d'heure, des fois je me demandais si il avait bien une vie en dehors des bureaux de la BBC. Bien que j'aime sa présence ici que sans lui je serais sûrement encore perdu entre la photocopieuse et le distributeur d'eau. Mais cela dit, j'admirais sa ténacité à travaillé autant. La dernière fois que j'ai fais ça c'était il y a deux ans quand j'ai finis en express mon internat pour mon finir mes études de médecine. On m'avais trouvé suicidaire pour la production ou je travaillais avant… Vouloir faire deux métier comprenant celui de scénariste c'était comme perdre son temps… Je trouvais pas et puis ça a bien aidé à 'Anatomy' une série que j'avais écrite sur l'histoire de mon premier mariage… Ça a finit en TV Novela qui était a deux doigts de me faire vomir n’empêche… Et puis on m'a fait passer pour un nerd prenant un petit boutonneux pour jouer mon rôle… nan sérieusement quoi… Comment se faire enculer avec du gravier et surtout sans préliminaire. J'étais bien content d'avoir accepté l'offre d'Isaac… j'avais confiance en ses talents, bien sur que je me suis renseigné sur Isaac je part pas d'une île paradisiaque pour… Londres sans m'être renseigner… J'ai vu a peu prés tous ce qu'a fait Isaac surtout concernant Doctor Who étant un grand fan de cette série… Je dois dire que ses épisodes m'ont donné envie de le suivre trouvant dans cette emprunte scénaristique un truc qui me plu énormément.

Il me demanda si j'étais effrayé, je le vis reculer de sa chaise. Croisant ses bras sur sa poitrine. J’eus un sourire comme pas du tout effrayé, même si en vrai je l'étais un peu quand même. Je me demandais bien par moment pourquoi j'étais là, bien que je me doutais au fond cela me rapprochait d'Isaac. Je n'osais me le faire croire se serait… Déplacé ? Enfin c'est mon patron, j'avais cette boule au ventre… Comme avec mes patients qui me drague… Cette déontologie de la hiérarchie qui me bouscule… J'essayais d'y faire face pour l'instant je poserais les question plus tard : « Après tout c'est toi le patron… » Avouais-je d'un sourire m'approchant du bureau d'Isaac posant mes mains sur le dossier d'une chaise en face du bureau. Et je continua : « Effrayé ? » je me suis mis a rire regardant au ciel, levant les yeux au ciel rougissant a peine trouvant tout de même sa remarque plutôt tendancieuse. Je n'osais pas le regarder, sûrement la fatigue qui me rend faible a ce point… : « Je ne suis pas effrayé… Cela dit… Si Il continue a dire que ça va finir en Comédie a la Benny Hill, je vais lui faire bouffer sa moumoute... » disai-je en fronçant les sourcils. Repensant au propos qu'avais tenue le metteur en scène. Un vrai connard comme on en fait pas… Cette série semblait ciblé un public familiale… Dans le genre Doctor Who, mais en beaucoup moins science fiction : « Enfin bref je vais pas me plaindre de lui… » enchaînai-je avec un sourire, osant enfin à le regarder dans les yeux en serrant le dossier… il m'intimidait c'est vrai, mais quand je vois son charisme. J'ai l'impression d'avoir en face de moi un Requin et je ne serais qu'une Loutre qui n'oserait pas bouger dans cette immense océan.
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() message posté Mer 22 Oct 2014 - 0:48 par Invité
Les histoires compliquées avec les metteurs en scène c’est un peu une habitude. Après tout vous imaginez vous avoir une relation toute rose et parfaite avec un metteur en scène. Bien évidemment ce n’est pas chose impossible et ce n’est pas de refus dans avoir une parfaite mais s’il y a désaccord il y a possibilité de discuter pour se mettre d’accord. En se mettant d’accord, il est question de donner chacun son point de vue, d’exposer sa vision des choses et de tenter de faire ouvrir les yeux ou d’ouvrir d’avantage l’esprit de l’autre personne. Sans un peu de discussion entre les diverses personnes d’un projet télé ou même cinématographique, il est impossible d’avoir des améliorations ou des résultats géniaux que l’on aurait peut être pas eut s’il n’y avait pas eut de discussion. C’est assez bizarre finalement de se dire qu’on sait que l’on va travailler mais que la journée ne sera pas remplie de choses faciles et de bonnes nouvelles parce que dans les journées d’Isaac il est assez courant qu’il arrive et qu’on lui cite tout un tas de chose qui ne vont pas pour le metteur en scène, de problèmes qui existent comme là entre le metteur en scène et le scénariste. Il n’est même pas du tout étonner que ce ne soit pas l’entente totale entre les deux, c’est une habitude dans le métier. Tout ne peut pas être rose et il le sait très bien, il a commencé lui aussi et il a dut en baver. Maintenant il a tout simplement prit l’habitude et c’est une chose qu’il ne calcule même plus.

Le surnom d’Isaac on peut dire qu’il l’a peut être mérité. Après tout étant un des rares à avoir été aussi rapidement un producteur de la BBC ou disons un producteur indépendant quoique cela ne rime à rien mais son âge et son expérience tout cela acquit si rapidement c’est assez surprenant. Il n’est pas un cas unique mais il est des rares et on peut dire qu’il l’a eut cette envie, cette volonté de fer. Finalement son surnom de « Requin » est peut être bien justifié. Bon après il ne faut pas non plus s’imaginer que les producteurs en général sont de vieux papy mais on veut dire par là que généralement il faut quand même un peu plus d’années de galère dans le domaine avant d’arriver à avoir un statut comme le sien. Alors en train de travailler, de régler quelques détails, de noter tout un tas de choses importantes à faire demain, de noter des numéros de personnes à contacter, il était loin d’avoir le temps de laisser son regard se perdre dans le vide bien qu’il pourrait s’aventurer à le faire. Quoique son regard se perdrait difficilement dans le vide mais plutôt sur son scénariste récemment rencontré et vraiment très intéressant. Rester tard au travail ce n’est pas dans les habitudes de tout le monde. Après tout il suffit de voir qu’il est le seul à rester à des heures aussi tardives dans les locaux de la BBC pour savoir que certains préfèrent rentrer et reprendre le tas de travail qui leur reste à faire le lendemain ou les autres jours. Après lui restait ici pour travailler mais même s’il s’agit du scénario d’Alfie rien n’obligeait ce dernier à restait, il lui avait demandé de le faire histoire de pouvoir discuter de ce qu’ils s’avancent à faire ensemble, cela est plus facile et simple que d’avoir à se téléphoner toutes les cinq minutes ou que d’avoir à attendre le lendemain pour une confirmation ou un refus.

« Effectivement c’est moi le patron mais tu en vois beaucoup des scénaristes qui restent pour travailler…certes j’ai mon mot à dire sur tout ce que tu envisages de faire vis-à-vis de ce projet mais…conseil numéro un pour comprendre mon ascension si rapide…se démarquer des autres et ne pas se laisser marcher sur les pieds. Je suis le patron mais tu as ton mot à dire. »

Alors qu’il avait les bras croisés sur le torse, il vit le scénariste qu’il avait en charge s’avancer et prendre appui sur le dossier d’une chaise qui se trouvait à proximité de son bureau. Dans ce rire, Isaac avait plutôt l’impression de lire de la gêne et cela avait tendance à amuser notre cher producteur surtout quand on note qu’Alfie avait tendance à ne pas regarder Isaac mais plutôt à lever les yeux au ciel et éviter son regard. Quand Alfie se mit à parler du metteur en scène et à faire comprendre ce désaccord complet qui a l’air de planer entre ces deux derniers, Isaac ne put s’empêcher de laisser échapper un éclat de rire.

« Tu sais ça il va falloir t’y faire…les désaccords dans le métier c’est courant et c’est même là la base de notre travail et de notre évolution. Sans désaccords et discussions pour les régler il n’y a pas moyen d’arriver à ce que l’on produit. »

Il prit alors l’exemplaire du scénario avec les modifications et notes personnelles qu’il avait rangé un peu plus tôt dans le tiroir de son bureau, il ouvrit le lutin et pointa son doigt sur la première feuille. Il désignait le début du scénario à Alfie et à vrai dire il s’apprêtait à discuter de tout cela avec ce dernier.

« Du coup pour le début vous vous étiez mit d’accord sur quoi que je vérifie tout ce qui l’en est et qu’on se mette d’accord. »
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() message posté Mer 22 Oct 2014 - 2:19 par Invité
You're my boss, i don't think why i think about sex with you
 feat. Isaac & Alfie
Le véritable amour n'a pas de limite, d'âge, de mort. John Galsworthy
Je dois dire que j'ai jamais connu de patron tel qu'Isaac. Bien que pour moi ce soit une première de travailler dans une grande chaine nationale, mais aussi avec un Irlandais. Pret litteralement je me faisais depuceler dans le métier. Cela dit même dans mes autres travails, mes patrons ou directeurs de service était pire que des charognards a rabaisser pour mieu reigner. Je prend exemple du Docteur Hopper, c'était un brillant Medecin diagnosticien. J'étais son interne durant mes années a Melbourne. Je le venerais c'était un véritable mentor pour moi. J'ai appris plus en la medecin avec lui que durant mes cinq années à la faculté de medecine. Malgré son coté irritable à la Dr House. Je dois dire que j'étais surpris et finalement j'ai finit par être detruit quand il m'a balancé en plein visage la liaison qu'avait mon ex femme pour le neuro chirurgien. C'est quand je suis parti que j'ai décidé de travailler a mon compte. Je proposais mes services, sans avoir a faire à un patron. L'avis des medecins me suffisait a ne pas vouloir les emplafonner. J'ai réapprendre a faire face à une hierarchie. Avec lui ce fut simple, il n'était pas du genre le Patron teigneux qui te pourrit la vie. C'est un patron passioné comme on dit. Je le respectais pour ça, Je comprenais la jalousie de certain. Il était jeune et déjà si bien monté dans sa carrière. Producteur pour une grande chaine c'était une bonne place… Comparé aux autres producteurs que j'ai pu rencontré, il faisait vraiment jeunot a coté. Je dois dire que c'est plutôt profitable. « Effectivement c’est moi le patron mais tu en vois beaucoup des scénaristes qui restent pour travailler…certes j’ai mon mot à dire sur tout ce que tu envisages de faire vis-à-vis de ce projet mais…conseil numéro un pour comprendre mon ascension si rapide…se démarquer des autres et ne pas se laisser marcher sur les pieds. Je suis le patron mais tu as ton mot à dire. » Je dois dire que je me sentais pas comme les autres scénariste, j'aimais passer mes soirées a peaufiner mon scénario… Quitte a rester la tard le soir, et puis la compagnie d'Isaac n'était pas si désagréable, je préféré cela que de rester dans mon nouvel appartement auquel je n'ai pas prêté assez attention… Je n'ai même pas eu le temps de m'acheter un canapé et de penser à décoration, il y avais qu'un matelas, une télé et mon ordinateur. Et bien sur une tonne de carton entassé dans coin. Cela dit je repensais a ce qu'il me disait, son conseil était profitable, il m'autorisait a rétorqué sur quoi que se soit. C'était quelque chose de gratifiant, je le regardais dans les yeux. Pour une fois que je le faisais, c'était troublant… Les yeux azur d'Isaac me perturba, je n'ai même pas résisté que mon regard se détourna. Troublé par l'homme en face de moi : «  Je vois ça… je reste simplement parce que j'aime ce que je fais… Je préfére le faire ici, parce que d'un coté. Que tu sois là, me permet de me dire que je peut te consulter et deuxiement… Le fauteuil où je travaille est très confortable et change de mon matelat piteux de mon appartement vide… » Lui avouai-je sans trop savoir pourquoi… J'étais pire qu'un rat de travail. Je passais mes matinées avec mes patients et l'après midi jusqu'à tard le soir je me retrouve ici dans les bureaux a travaillé sur le scénario. Mon père me verrait il hallucinerai… Moi qui au lycée avait les cheveux long et ecouter en boucle motorhead ou Black sabbath et a seché les cours… Cela dit j'ai jamais autant aimé travailler… J'ai continué ainsi : « Quel sage conseil Maitre Splinter » Lui disais-je en riant aimant bien ma comparaison au Rat humanoïde des Tortues Ninja. C'est alors que je lui parla de ce petit connard qui aimait me pourrir la vie a vouloir tout changer dans mon scénario trouvant que cela ne collerait pas avec sa face du monde. Cela dit le voir rire me fit prendre conscience… Le Requin je le voyais a son sourire. J'eu un sourire n'ayant pas envie de rire, mais le voir rire provoquait en moi une sensation plaisante… Oh moins je le faisais rire : « Tu sais ça il va falloir t’y faire…les désaccords dans le métier c’est courant et c’est même là la base de notre travail et de notre évolution. Sans désaccords et discussions pour les régler il n’y a pas moyen d’arriver à ce que l’on produit. » Je me suis mis a froncer les sourcils, j'étais d'accord avec lui c'était pareil dans l'hopital ou je travaillais… être en desaccord et finalement réussir a s'expliquer pour trouver le bon diagnostic… Comme quoi dans tous les metiers faut savoir bouffer l'autre avant de se faire bouffer, je me suis rendu compte que cela revenait au conseil qu'il venait de me donner. Je commencais a mieu comprendre où il voulait en venir en me disant cela. « Je sais bien c'est partout pareil de toute façon… Je dois bien avouer que cela me dépayse pas avec la medecine… C'est un bon point, mais je retiens ma menace de lui faire bouffer sa moumoute ! » disais-je en souriant je le vis prendre des feuillet avec lui, c'était l'ébauche du pilote. Je me suis assis sur le fauteuil que je tenais fermement en posant les differentes modification que je ferais savoir au metteur en scene demain, cela dit j'en parlerais sans doute avec Isaac plus tard :
« Du coup pour le début vous vous étiez mit d’accord sur quoi que je vérifie tout ce qui l’en est et qu’on se mette d’accord. » Je souriais en acquiesant. Prenant alors mes feuilles retrouvant un bref resumé que j'avais tapé : « Donc, On est resté sur les trois héros qui vivent ensemble dans une maison : l'un est vampire, mais il ne veut plus assumer le faite qu'il se nourrit de sang et veut retrouver une part d'humanité. L'autre c'est un loup garou, un jeune loup qui s'est retrouvé metamorphosé il y a deux ans alors qu'il faisait du camping avec sa fiancée qui a été retrouvé morte après la nuit de l'attaque de l'Alpha. Ils travaillent tous les deux dans un hôpital, le Vampire est infirmier et l'autre est aide soignant. Ils cherchent tout deux a retrouvé leurs part d'humanité, ils vont décider de prendre ensemble un appartement pour pouvoir s'entraider. Après plusieurs recherches ils trouvent une maison sur Brixton. Une maison a étage, un peu comme tu sais dans harry potter la maison des Black ? Mais avec moi de piece mais dans le genre étroit. Enfin j'ai Mike qui a fait des croquis de la maison qui semble pas mal. Il me semble en avoir vu une qui serait parfaite pour le visuel. Bref je m'egare. Ils la prennent donc en location… Danny leurs proprietaire, leurs avoue qu'il l'a mit en location, car sa petite amie est morte d'une chute dans l'escalier… Et la PAF ! Les deux gars se trouve face à face avec la Fantome… » Je prenais enfin ma respiration, j'aimais mon histoire, un peu huluberlu mais j'aimais bien… Je lui avoua : « J'ai déjà une vision sur les trois héros… Du point de vu de leurs caractères, je prend exemple de la fantome… on la verra normalement, je l'imagine bien dans une tenue introvertie, genre une veste en grosse maille de laine un bas de pyjame, tout ca dans une nuance de gris, mais elle a un caractère assez extravertie, bon démontré son coté vivante… Quand au Vampire, ce serait un homme torturé et sombre, un brun squeletique presque, un coté à la Adrian Paul dans highlander… Pour le loup garou, un mec plutot chetifs et introvertie, qui a peur de son coté sauvage et qui ne l'assume pas entierement… Cela dit c'est mon point de vue… L'autre chauve me dit que ca fairait trop… Twilight… Je lui ai balancé mon café a la gueule pour une connerie pareil ! » disais je honteu de mon acte, mais ce type l'avais bien chercher !

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() message posté Mer 22 Oct 2014 - 14:31 par Invité
On s’imagine difficilement être patron quand on est enfant et que l’on rêve de son futur métier. A vrai dire on s’imagine toute sorte de chose, les affaires que l’on aura à accomplir, les journées remplis ou encore les problèmes que l’on pourra rencontrer et encore que dans la généralité. On s’imagine bien évidemment que l’on accomplira la majorité de ces choses avec succès parce que lorsqu’on est jeune on est à vrai dire assez innocent encore et pour nous tout est quasi fait de réussite dans la vie. Les durs et violents échecs de la vie n’ont pas encore fait surface pour la majorité à moins que vous ne soyez né dès le début avec un problème de taille qui vous rende la vie assez difficile à vivre. Après tout il y a bien des métiers où l’on est juste employé avec un patron qui vous gère, un patron a qui on doit avoir souvent à faire et des fois un supérieur que l’on ne voit qu’à de rares occasions, que si la vision de ce dernier est absolument nécessaire ou que des évènements d’autres primordiales ont lieu. L’idée de devenir patron ou du moins d’avoir en quelques sortes ce type de rôle ne lui était jamais venu à l’idée et pourtant en tant que producteur c’est bel et bien le genre de rôle qu’il doit porter. Bien évidemment comme il vient de le dire à son scénariste, ce n’est pas parce qu’il est censé tout savoir de ce qu’il en est du projet de monsieur Archibald et décidé au final de tout en accord ou pas avec le scénariste et le metteur en scène que personne à part lui n’a son mot à dire. Bien au contraire d’après lui il est primordiale que les personnes qu’il a cité puissent dire ce qu’ils pensent des modifications et du rendu pour pouvoir changer ce qui pose problème et améliorer si nécessaire.

« Effectivement je t’avoue que cela m’aurais un peu agacé d’avoir à noté tout un tas de choses pour que je sois obligé de te les citer demain matin ou encore de devoir t’appeler à plusieurs reprises ce soir pour pouvoir parler de choses que l’on ne pourrait peut être pas régler car il faudrait avoir tout sous les yeux et être ensemble. »

Bien évidemment il y a des personnes qui fonctionnent ainsi et que cela ne dérange pas mais disons que l’avancement du projet à déjà bien moins de chance d’avancer rapidement avec un fonctionnement comme celui-ci et puis les choses ne sont pas si efficaces du moins cela est l’avis de notre cher Isaac qui au départ essayait de fonctionner ainsi car c’est comme cela qu’on vous montre le métier mais après rien ne vous oblige à copier coller la manière de travailler des autres. Dans le domaine on peut très bien se démarquer. Et ceci n’est pas du tout une option qui a échappé à Isaac puisqu’il a trouvé sa manière de faire et d’envisager le travail dès qu’il a put et qu’il en a eut l’idée.

« Crois-moi…si on arrive à faire de ton scénario ce que j’ai en tête alors tu risques d’apprécier le projet matelas que tu vas pouvoir t’offrir. En attendant…tu sais j’ai un très bon matelas chez moi qui pourrais remettre ton dos en place enfin même le canapé à l’air d’être plus confortable que ce que tu dis de ton matelas. »

Provocation ? Encore une fois peut être bien mais bon là c’était vraiment trop tentant. Après tout il est question de rester au travail jusqu’à assez tard et il dit qu’il préfère être travailler ici car le fauteuil et plus confortable que son lit ou du moins son matelas sur lequel il se trouve quand il est question de travailler. Forcément il voit une perche alors il la saisit après ce n’est pas une perche qu’il doit tendre volontairement mais volonté ou pas de la part d’Alfie ce n’est pas ce qui intéresse Isaac puisqu’il serait capable de saisir n’importe quel perche du moment qu’il peut s’amuser à voir la gêne ou des moments comme celui de tout à l’heure se produire en sa présence. Il faut s’amuser dans la vie et les mots forment une arme assez fascinante aux yeux de notre producteur.

« Je reconnais là un compliment vis-à-vis de ma sagesse mais rassure-moi il n’est pas question pour moi de voir là une quelconque possibilité d’avoir une ressemblance avec un rat. Je serais très déçu si c’était le cas…bien que ce soit pour ressembler à maître Splinter mais mon joli minois me convient parfaitement. »

La médecine. Il faut dire que cette personne est tout de même pas mal courageuse d’avoir à cumulé plusieurs occupations, quand on sait que Isaac travaille encore sur les scénarios et sur son travail à la BBC quand l’autre homme est occupé à faire autre chose qui est loin de concerné le monde de la télé ou encore du cinéma. Alors qu’il est question de parler des modifications et des accords entre les deux autres hommes, Alfie se décide à prendre place pour pouvoir parler en étant confortablement installé, Isaac l’écoute alors attentivement pour pouvoir tout garder en tête et ne pas avoir à lui demander de répéter.

« Okay…il faudra en parler avec le metteur en scène mais j’ai peut être une idée, le face à face entre les trois personnes j’ai une petite idée à vrai dire au niveau des cadrages, des zooms, limite de l’ambiance sonore qu’il faudra s’y mettre. Il faudrait pouvoir voir la réaction de chacun quand ils découvrent une autre présence dans la maison. Pour le visuel tu n’auras qu’à m’envoyer cela sur mon mail ou à la rigueur m’imprimer ça, même si ce sont des photos ou une adresse je m’occuperais de m’y rendre ou de prévoir un jour pour qu’on s’y rendent tous. On s’organisera histoire d’avoir une idée de l’endroit. »


Il écouta alors la description des personnes selon l’idée que le scénariste en avait surement l’idée qu’il avait eut en écrivant le scénario ce qui serait un petit peu logique bien évidemment. Il l’écouta du début jusqu’à la fin sans couper puis dès qu’il eut la possibilité d’en placer une il ne loupa pas l’occasion de le faire.

« Il y a juste un truc qui me gêne et qui peut faire clicher c’est le vampire dans le domaine de la médecine, avec le sang à proximité et tout et cette possible incapacité à se retenir. Il faudrait y réfléchir et au pire on le gardera en personne qui exerce dans le domaine de la médecine mais on pourrait lui trouver un autre domaine. Les forces de l’ordre, l’enseignement enfin je ne sais pas. Mais c’est le cliché du vampire dans la médecine qui me titille un peu mais ce n’est qu’un détail que nous avons le temps de régler dans les prochains jours. »
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() message posté Jeu 23 Oct 2014 - 22:23 par Invité
You're my boss, i don't think why i think about sex with you
 feat. Isaac & Alfie
Le véritable amour n'a pas de limite, d'âge, de mort. John Galsworthy
Quand j'étais petit, je ne pensais pas a ce que je fairais plus tard, non ma passion était de vivre des aventures sur les terrains de mon père. Je me prenais pour un Oliver twist vivant dans le monde des malheurs de Sophie. Alors que mes envies de faire des betises a vouloir voler les soutiens gorges gargentuesque de ma voisine pour faire un parachute, je me suis fait attrapé de par mon imagination debordante, mais aussi parce que mes petites vandalisations qui commencait a se faire connaître dans le quartier le plus hupé de Melbourne. Cela dit, c'est puni dans ma chambre pendant presque un été que j'ai commencé à écrire, en manque de faire des bétises malgré mes amis qui était peureux et de vraies comères. J'ai décidé d'écrire les aventures que j'aurais pu vivre en cet été. Je me souviens à la rentrée, il y a eu cette exposé : 'Racontez vos vacances.' J'avais donné mes nouvelles. Mon institutrice était completement admirative, elle avait même comparait ça a Tom Sawyer, j'aimais la bien comparaison ayant aimé l'animé sur ce sujet et ayant dévoré le roman enfant. Tant qu'elle me considérait pas comme Oliver Twist tout ça me plaisait bien. En voyant la lumière dans les yeux ternes et gris de mon instit, j'ai compris que j'étais doué dans un domaine : L'écriture, j'ai continué à écrire depuis sans jamais m'arreter, malgré des pauses ou autre je dois dire que j'aimais ça. Ecrire me détendais et permettait de m'ouvrir sur le monde. Encore que j'en dévorais les bibliothèques de chaque ville où j'ai pu vivre. J'en suis devenu philanthrope.

« Effectivement je t’avoue que cela m’aurais un peu agacé d’avoir à noté tout un tas de choses pour que je sois obligé de te les citer demain matin ou encore de devoir t’appeler à plusieurs reprises ce soir pour pouvoir parler de choses que l’on ne pourrait peut être pas régler car il faudrait avoir tout sous les yeux et être ensemble. » Je me suis a sourire comment a prendre plus confiance a ce moment, me voila prit a contribution des satisfaction personnelles de Monsieur Hawkins. Je dois dire que j'étais cela dit d'accord avec ses propos n'ayant pas aimé me retrouvé dérangé dans une activités que j'aurait choisit pour démontrer que A+B = C. Surtout que a mon habitude j'aurais surement ecumer un bar jusqu'à sa fermeture au bras d'un ou d'une partenaire pour la nuit. Cela dit la fin de sa phrase me perturba un peu plus… être ensemble, sonner comme seul tout les deux. Je ne savais pas si cela était du qu'on soit seuls à l'étage, mais j'avais cette désagréable sensation d'être charmé par le sourire d'un requin alors que je suis sur le point de finir devorer. Je lui avoua alors sans trop m'attarder sur mes sentiments : « Agacé ? Eh moi donc ! Bien que recevoir un appel de toi me fait plaisir, mais savoir que tu me déranges quand je suis en charmante compagnie m'agacerai tout autant. Surtout pour quelques choses qu'on aurait pu regler le lendemain. ». Lui disais-je df'un sourire alors que finalement cette histoire de requin me passa aussi de l'oreille tel le vent passe dans les arbres. Alors que je lui expliquais que je préférais passer mes soirées ici que sur mon matelas pourrit. Oui Le matelat dont je parle était celui laissé par l'ancien locataire de mon appartement. Il était completement defoncé et j'en souffrais tout les matins…

« Crois-moi…si on arrive à faire de ton scénario ce que j’ai en tête alors tu risques d’apprécier le projet matelas que tu vas pouvoir t’offrir. En attendant…tu sais j’ai un très bon matelas chez moi qui pourrais remettre ton dos en place enfin même le canapé à l’air d’être plus confortable que ce que tu dis de ton matelas. » Voilà qu'il me parle de son matelas, je me suis mis a rougir sentant l'idée incongru de dormir dans son matelas. Quand il changea pour le canapé je sentais dans son propos comme une indécision, comme s'il avancé d'un pas pour reculer de cinq plus tard. Je le trouvais charmant et mes rougeurs pouvaient en témoigner. Cela dit ce n'était pas d'un bon matelas dont j'avais besoin maintenant, c'est surtout d'un bon massage, je m'étire un instant en lui disant : « Bien que ta proposition soit alléchante, ce n'est pas d'un bon matelas que j'aurais besoin maintenant... » disai-je en m'étirant entendant craquer quelques vertèbres ce qui me procura un bien fou… « c'est surtout d'un bon massage ! » lui disais-je en souriant alors que je l'apellait comme le maitre en Arts martiaux des Tortues Ninja. Je me suis mis a rire entendant alors sa remarque :

« Je reconnais là un compliment vis-à-vis de ma sagesse mais rassure-moi il n’est pas question pour moi de voir là une quelconque possibilité d’avoir une ressemblance avec un rat. Je serais très déçu si c’était le cas…bien que ce soit pour ressembler à maître Splinter mais mon joli minois me convient parfaitement. » Il n'avait certe pas du tout la gueule pour l'emploi d'un Splinter, mais cela dit voir sa vanité prendre un coup me faisait sourire, je pris place sur le fauteuil alors en terminant par : « C'est dommage pour toi pour être un Splinter faut être un Rat, c'est comme un Thor sans martaux. » Lui disais je en souriant Alors que je lui expliqué mon scénario pour cette série fantastique. Je le vis completement a l'écoute, j'aimais cet effet que je donnais au gens… Pour un ecrivain c'est toujours plaisant :

« Okay…il faudra en parler avec le metteur en scène mais j’ai peut être une idée, le face à face entre les trois personnes j’ai une petite idée à vrai dire au niveau des cadrages, des zooms, limite de l’ambiance sonore qu’il faudra s’y mettre. [...] On s’organisera histoire d’avoir une idée de l’endroit. » J'écoutais ses idées pleines de bon sens, par moment j'avais peur de certaines de ses idées. Surement a trop exagerer sur la choses j'avais peur que ca finissent en parodie d'un Scary Movie. Cela dit je continua en lui expliquant un peu ce que j'attendais des trois héros. Je le laissa analyser dans sa tête sans l'interromptre, cette homme pouvait être effrayant, mais il était de bon conseil. Athé m'a souvent dit depuis que je suis a Londres qu'Isaac était comme un mentor pour moi. Après tout sa situation et sa carrière sont plutôt idyllique. Il m'interromput dans mes pensées en terminant son analyse :

« Il y a juste un truc qui me gêne et qui peut faire clicher c’est le vampire dans le domaine de la médecine, avec le sang à proximité et tout et cette possible incapacité à se retenir. [...] Mais c’est le cliché du vampire dans la médecine qui me titille un peu mais ce n’est qu’un détail que nous avons le temps de régler dans les prochains jours. » Je me suis mis a rire, le vampire dans la medecine, je trouvais cela pas tellement Cliché, mais cela dit pourquoi pas envisager une autre option. Je me suis dit qu'il était temps que je reponde a tout cela : «  Alors concernant la mise en scene… Je n'ai pas envie d'un remake pourrit de Paranormal Activity. Si on veut viser un public large. Je propose qu'on ne remarque pas de son physique qu'elle soit un fantome, donc j'avais penser avec une approche plutôt brûtal. Je pensais a un Zoom sur la fille dans les escaliers et hop un plan sur les deux dans le même cadrages surpris. Bon après avoir avec l'autre glandu mais je pense qu'il sera agrémenter mon avis… Du moins je l'espère. » Disais-je avant de rouler des yeux et je continua : « Le Vampire dans le milieu médicale… Même si cela te titille je vois pas trop quoi en faire… Pour les forces de l'ordre j'avais pensé que se serait le rôle du créateur du Vampire qui serait celui qui dirige les autres vampires de la ville. Concernant donc son poste… Enseignant ? Nan mais arrete… Ca va finir en mission pédophile… Je vais reflechir à ça et je te tiendrais au nouvelle. » Souriai-je avant de mieu me réinstaller et je lui demanda : « Dit moi Isaac… Ca te dirait après avoir finit tout ça pour ce soir… On aille boire un verre ? »

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() message posté Ven 24 Oct 2014 - 0:01 par Invité
Yoy're my boss, I don't think why I think about sex with you.
Cause when we are good, we're grand, but when we're bad we are very bad. But I stick around 'cause the love that you're giving me is the best I've ever had. Oh, oh, oh, oh. And it's funny to me, the way that things have worked out. There's no doubt in my mind that you can't recall what this all was about. So let's give it up. Love me sweetly and completely Come and sit beside me 'cause you know I need you near. When you're wheelin' with that feelin' we'll paint the town pink 'cause baby, red is so last year.



   
« Je suis content qu’on soit un tant soit peu du même avis pour la manière de travailler mais bon si tu avais été du même avis que beaucoup de scénaristes ou autres personnes dans le domaine et que tu avais préféré rentré chez toi cela ne m’aurait pas dérangé. Enfin je veux dire je n’aurais pas eut une mauvaise image de toi parce que comme tu le comprends sans doute vu mes propos c’est la façon de faire de beaucoup de personnes. Nous ne sommes que très peu à prendre sur nos heures personnelles et à rester travailler alors que nous pourrions profiter de la vie et de nos heures de tranquillité. Effectivement là je pourrais être devant une bonne série télévisée…peut être même une que j’ai produite ou co-produite, au cinéma. Enfin bon je pourrais être où bon me semble et pourtant je préfère anticiper sur certaines choses et avancer dans le travail. Mais bon nous n’avons malheureusement pas tous la même manière de vivre et je peux totalement comprendre celle des autres. Ni moi ni eux n’avons tort. »

Quand il dit que certains rentrent chez eux alors que d’autres passent des heures de leur temps libre à travailler que ce soit chez eux ou même sur le lieu de travail cela n’est aucunement une critique. Jamais il ne dira ce genre de chose. Lui il fait ceci et c’est sa manière d’avancer mais il y a des gens qui préfèrent rentrer chez eux et profiter de leur famille ou même de leurs amis ce qui est aux yeux d’Isaac une chose tout à fait compréhensible et qu’il ne blâmera jamais.  Il faudrait être timbré pour se mettre à critiquer une personne qui met son travail de côté pour profiter de sa famille. Se tuer à la tâche alors qu’on a des gens qui nous aiment et qui voudrait nous voir un petit peu au lieu de nous savoir autre part à s’acharner sur des dossiers ou des choses qui peuvent effectivement attendre un peu, c’est tout à fait acceptable. C’est juste que pour le coup notre cher Isaac, n’a pas de femme avec qui partager sa vie du moins il n’en a plus puisque son ex-femme l’a trompé et que le divorce entre ses deux là a tout simplement été signé et prononcé. Du coup la vie de célibataire s’offre à lui et il n’y a personne pour l’attendre à la maison.

« Oh mais c’est que monsieur prévoyait de se faire une soirée en bonne compagnie…pourquoi tu ne me l’a pas dit je t’aurais laissé ta soirée après tout il faut bien décompresser un peu…tu aurais put lui proposer de venir ici. Ceci dit un appel du grand patron passe avant une belle demoiselle mon cher ! »

Quand il parlait de la faire venir dans les bureaux de la BBC c’était bien évidemment pour l’embêter, bien évidemment ce serait le genre de chose qu’il ne se priverait pas de faire surtout à cette heure-ci et en sachant qu’il est souvent seul à travailler le soir et s’il n’est pas seul alors disons qu’il n’y a pas masse de monde pour pouvoir lui dire quelque chose ou même remarquer quoique ce soit. L’embêter, le mettre mal à l’aise. C’est la spécialité de notre cher Isaac. Il adore faire et cela et pas qu’avec Alfie. Déjà à la base c’est une des armes de notre producteur qui aime à taquiner et s’approcher des personnes ainsi. Et pour le coup on peut dire que finalement il a réussi à ce que cela fonctionne également sur son nouveau scénariste et il n’est pas peu fier de lui car il ne pensait pas que cela serait si facile.  Un massage ? C’était donc d’un massage. Alors là on ne pourra pas dire que la tentation de dire quelque chose vient d’Isaac puisque c’est tout de même Alfie qui s’est mit à parler de cela. Et bien évidemment une perche tendue ne peut être ignorée par Isaac surtout une comme celle-ci. Il arque alors un sourcil et affiche un sourire en coin avant de se remettre en arrière sur son siège de bureau.

« Un massage ? Ecoute je ne sais pas si je suis aussi talentueux qu’une jeune femme avec des doigts de fée mais je peux te proposer de retirer quelques nœuds ou alors de te faire craquer quelques endroits si cela peut te soulager. »

Et oui, encore une fois il ne pouvait s’empêcher de passer à côté de quelque chose à rajouter surtout que là il s’agit de massage et donc d’approche tactile. Il est sûr et certain que ce dernier ne sera pas forcément à l’aise quant à l’idée que son patron s’occupe de lui mais bon la faute à qui d’avoir parler de cela ?

« Oui et bien quitte à être quelque chose ou quelqu’un je pense que je préfère être un Thor qui se balade tout le temps avec son marteau qu’un rat si tu me le permet… »

Il est tout de même plus plaisant d’avoir une tête à la Thor qu’une tête de rat à la Splinter et puis ce kimono violet c’est hors de question. Bon après le talent de maître Splinter n’en demeure pas moins remarquable tout de même. Mais hors de question pour Isaac de choisir Splinter s’il a le choix avec Thor à l’opposé.

L’idée d’un vampire dans le domaine de la médecine faisait cliché aux yeux d’Isaac dans le sens où il est bien trop facile de mettre le personne en difficulté rien qu’en le mettant en contact avec du sang, ne serait-ce qu’un patient qui débarque parce qu’il s’est malencontreusement coupé du moins assez sévèrement pour avoir à faire à un médecin des urgences ou même en opération il y a forcément du sang. C’est un domaine où il est bien trop aisé de mettre le personne en difficulté face à sa condition de vampire. Bien évidemment cela est bien plus pratique lorsqu’il s’agit d’amener du mouvement à la série ou encore de sortir d’une scène basique et posée. Mais quand on gère une série, au lieu de jouer dans la facilité des fois il faut s’amuser à aller dans la difficulté, à se mettre des barrières, se mettre des défis et tenter de les réussir, de les surmonter. Après tout peut être que l’originalité et le fait de trouver un autre métier et une autre manière d’amener des ennuis aux personnes sera reconnu et apprécié par les personnes qui regarderont la série.  C’est peut être assez stupide de ce dire que ce petit détail le chiffonne mais quitte à produire une nouvelle série, à faire dans l’inédit autant tenter de le faire au mieux et d’amener de l’inédit dès que possible et un vampire qui n’est pas dans la médecine ça peut être une bonne chose. Après à savoir si cela conviendra à tout le monde et s’ils vont parvenir à trouver un domaine pour ce personnage qui lui conviendrait bien mieux et avec lequel ils puissent faire quelque chose pour l’histoire. D’ailleurs alors que ce dernier lui fait part de ce petit détail qui le chiffonne ou du moins qu’il aimerait pouvoir tenter de modifier dans la mesure du possible, son scénariste se met alors à rire. Il fronce le regard intrigué par sa réaction et attend qu’il prenne parole impatient d’entendre ce qu’il va bien pouvoir lui répondre.

Au moins ils sont d’accord sur un point de mise en scène et de toutes manières cela sera le cas aussi du metteur en scène il n’aura pas le choix parce qu’ils sont deux à être d’accord dessus c’est qu’il n’y aura rien dans le style des paranormal activity. Il est hors de question de faire quelque chose dans ce style là, quand Isaac à vu le résultat de cette saga il en a juste été sidéré. Le pire étant quand même qu’ils continuent à produire presque tous les ans les mêmes choses avec quasiment les mêmes idées. Isaac n’a jusque là pas comprit ce qui attire le public à aller voir ce genre de film enfin ceux de cette lignée du moins. Autant aller voir un film qui fait peur car il effraye vraiment d’accord mais rien que le premier et le second n’amènent aucunes craintes. Bien évidemment ce n’est qu’avis personnels et il a entendu des échos de bien des personnes pour savoir que ces films ont eut des tas de billets d’achetés et donc un peu de succès quand même. Heureusement pour eux.

« Il est clair que je ne veux rien du tout qui puisse avoir une similarité avec les Paranormal Activity…c’est totalement prohibé ! Oui voilà je voyais vraiment un truc dans le genre. Alors là tu me proposes les deux dans le même plan après qu’on en ait eut un sur la jeune femme alors que moi j’en voyais un sur la femme et ensuite un sur chacun des hommes chacun leur tour mais les deux en même temps cela me convient tout autant. »

Finalement il tenta de répondre à la question du job du vampire mais apparemment il avait déjà songé à quelqu’un pour les forces de l’ordre alors effectivement cela allait poser problème s’il désirait le mettre lui aussi dans le domaine. L’enseignement c’était apparemment à oublié aussi. Isaac fit la moue quand il comprit que changer de domaine alors être compliqué, il continua de chercher brièvement puis il prit un stylo et nota quelque chose à côté du nom du personnage.

« Bon au pire on cherche de notre côté et on en parle dès que quelque chose de bien nous arrive en tête au pire des cas on le laissera dans le domaine médical et tant pis pour l’originalité que je voulais sur ce point. On pourra se rattraper sur autre chose je pense. »

Alors qu’il venait de donner son avis sur ce qu’ils allaient pouvoir faire alors qu’ils ignoraient ce qu’il allait advenir du métier du personnage vampire, il nota ce qu’il avait à noter pour ne pas oublié, il vérifia quelques trucs pour ne pas oublier de dire autre chose à Alfie mais ce dernier reprit parole et tout en continuant à faire ce qu’il faisait, Isaac écouta la proposition de son scénariste qui l’amuse légèrement.

« C’est une proposition fortement aimable mon cher Alfie…mais que dirais-tu de goûter une merveilleuse bouteille de whisky que j’ai là… »

Alors qu’il terminait sa phrase, ce dernier se pencha du côté gauche de sa chaise de bureau et attrapa une bouteille qui se trouvait à l’intérieur d’une tiroir de ce dernier, il en sortit deux verres qu’il tendit à Alfie et attendit de savoir ce que dernier en pensait. Il lui mit même la bouteille à sa disposition s’il souhaitait sentir cette dernière ou goûter dans son verre avant d’attaquer un peu plus sec la bouteille.


   

   
   

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() message posté Ven 24 Oct 2014 - 22:51 par Invité
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 feat. Isaac & Alfie
Le véritable amour n'a pas de limite, d'âge, de mort. John Galsworthy
Plus je l'écoutais, plus j'étais en accord avec lui. Je n'étais pas du genre a rechigner, ou a envier les autres qui profitaient de leurs familles ou de leurs amis. Je dois dire que cela me plairait dans un sens, avoir quelqu'un qui m'attende a la maison. Une fois rentrée ne plus rien pensé et juste profiter de la soirée. Cela dit en ce moment c'était plus qu'impossible. Le jeune Australien qui debarque à Londres. Je me sentais certes perdu avec le mal du pays avec pour seul compagnon l'écriture. J'avais retrouvé certe une amie proche… Mais étant donné qu'elle venait de partir pour Paris, je me retrouvez seul avec mes démons autant en profiter pour travailler non. Je ne savais pas si je finirais fou d'ici la fin du mois a force de travailler autant et de ne pas profiter tant que ça. Je devrais faire attention tout de même. « Oh mais c’est que monsieur prévoyait de se faire une soirée en bonne compagnie…pourquoi tu ne me l’a pas dit je t’aurais laissé ta soirée après tout il faut bien décompresser un peu…tu aurais put lui proposer de venir ici. Ceci dit un appel du grand patron passe avant une belle demoiselle mon cher ! » Ce n'est pas que je l'avais prévu non… Le bar en bas de ma rue me fait souvent de l'oeil quand je passe devant avant de vouloir rentrer chez moi, je rentre souvent m'y rechauffer et finallement pour boire un whisky qui se finira au bout du cinquieme verre, en compagnie d'une blonde ou d'une rousse… Je flirterai avec elle sans pour autant aller jusqu'au bout… La Chasse m'amuse, la capture beaucoup moins, j'aurais était ivre ayant du mal a rentrer chez moi et finir par m'ecrouler sur mon matelas sans enlever mes vêtements… La vie et l'alcool était digne de la pire cruauté qu'ils puissent exister. Je me suis mis tout de même a sourire par sa réaction : « Mais peut être que ta compagnie est meilleure que n'importe qu'elle courtisane que je pourrais rencontrer se soir… mais cela on ne le saura jamais... » Je me suis mis a rire bien que sa reflexion me fait lever un sourcil, j'étais gêné et a la fois outré : « Un appel du grand patron passe avant ? Même entre les jambes d'une fille ou dans les bras d'un homme je ne decrochait pas mon téléphone même pour ton sourire ! » Lui disais je attendant de voir sa réaction, ils jouaient a un jeu dangereux a se chercher ainsi. Je ne savais pas où cela me menerait mais j'y foncerait bien tête baissé juste par curiosité. « Un massage ? Ecoute je ne sais pas si je suis aussi talentueux qu’une jeune femme avec des doigts de fée mais je peux te proposer de retirer quelques nœuds ou alors de te faire craquer quelques endroits si cela peut te soulager. » Vu ses mains charnu et cailleuse, je suis sur qu'il pourrait bien me manipuler, j'en sentais les courbatures sur mes épaules et mon dos qui me faisait souffrir, même si je faisais craquer mon dos, le simple faite d'imaginer Isaac me masser me fit un bien fou.. Comme quoi le psychique en fait beaucoup. « Je serais prêt a tenter l'experience, si je peut me liberer de ça... » Lui disais-je en souriant, j'avais de drôle d'idée, de drôle d'envie avec Isaac. Il me charmé depuis sa venue en Nouvelle Zelande. Je ne savais pas où cela nous menera. Finalement je me suis dit qu'avec le temps je me demanderai bien. Cela dit mes fantasmes seront plus rapide à mon humble avis Cela dit ma comparaison de Thor sans son marteau me fit l'effet d'un boomrang : « Oui et bien quitte à être quelque chose ou quelqu’un je pense que je préfère être un Thor qui se balade tout le temps avec son marteau qu’un rat si tu me le permet… » Isaac torse nu dans une tenue de viking… Oui bon je commençais a delirer malgré la fatigue de la journée. Je me suis mis a rire en lui disant : « Je dois dire que de t'imaginer en viking est plaisante je te l'accorde. » Soupirai-je l'accompagnant d'un sourire. Ce fut alors le temps des explications. Cela dit on se tourna sur la rencontre des deux êtres surnaturel avec la fantome… Je ne voulais pas que ca ressemble a ce film de très mauvaises qualité d'épouvante… Quoi que cela aurait été drôle de faire cela à la Blair witch project. J'ai déjà écris des scénarios d'épouvante. C'est ce qui me plait beaucoup en plus.
« Il est clair que je ne veux rien du tout qui puisse avoir une similarité avec les Paranormal Activity…c’est totalement prohibé ! Oui voilà je voyais vraiment un truc dans le genre. Alors là tu me proposes les deux dans le même plan après qu’on en ait eut un sur la jeune femme alors que moi j’en voyais un sur la femme et ensuite un sur chacun des hommes chacun leur tour mais les deux en même temps cela me convient tout autant. » Je comprenais son point de vue, mais cela dit je pensais bien que cela nous perderait du temps si on faisait un plan a chaque fois… Alors qu'une cassure entre vivant et mort cela serait plus choquant et bien plus marquant !
« Bon au pire on cherche de notre côté et on en parle dès que quelque chose de bien nous arrive en tête au pire des cas on le laissera dans le domaine médical et tant pis pour l’originalité que je voulais sur ce point. On pourra se rattraper sur autre chose je pense. »
Je me suis mis a rire… Je ne pouvais pas m'empecher de sourire face a l'air décati du jeune homme en face de moi. J'avais l'impression d'avoir brisé son rêve d'enfant, il me fendait le coeur. Je lui dit alors pour le rassurer : « Je suis pour l'originalité… On trouvera bien un moyen fait pas cette tête de chien battu... » Lui disais-je en souriant. Alors que je lui proposais d'arreter tout ça et de boire un verre, je fus surpris de voir la main d'isaac tendre un tiroir pour l'ouvrir et en sortir une bouteille : « C’est une proposition fortement aimable mon cher Alfie…mais que dirais-tu de goûter une merveilleuse bouteille de whisky que j’ai là… » Mes yeux petillait de joie, bien que de voir cette bouteille m'allechait fortement, entendre le bruit de la boisson couler dans le verre me donna encore plus soif. Je m'approcha d'Isaac par dessus le bureau prenant la bouteille. Regardant alors le nom, et puis je sentis l'odeur. Je n'étais pas un grand expert d'alcool a part le vin. Mais le Whisky était une chose que je ne goutais pas tant que ça… Mais je dois bien avouer que l'odeur fut plaisante. Je posa la bouteille saisissant le verre d'Isaac un sourire au lèvre alors que je plongeais mon regard dans celui d'Isaac. Je bu une gorgée sentant mon palet bruler au contact de l'alcool. Je soupirai comme si je me détendais d'un coup, mes joues partirent pour rougir et je me sentais bien. Je reporta le verre en lui disant : « Je ne suis pas un grand connaisseur, mais je dois bien avouer qui passe bien… » J'attendis qu'Isaac me sert un verre avant de reprendre place sur mon siége.. Je lui demanda alors : « Dit moi Isaac… Je peut te poser une question ? Pourquoi un bel homme comme toi, se retrouve seul un soir de fin de semaine ? C'est bien dommage pour la plupart des prétendantes de la ville... » Disais je en souriant alors que je saisissai mon verre pour en boire une gorgée.


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() message posté Mar 2 Déc 2014 - 18:52 par Invité
Yoy're my boss, I don't think why I think about sex with you.
Cause when we are good, we're grand, but when we're bad we are very bad. But I stick around 'cause the love that you're giving me is the best I've ever had. Oh, oh, oh, oh. And it's funny to me, the way that things have worked out. There's no doubt in my mind that you can't recall what this all was about. So let's give it up. Love me sweetly and completely Come and sit beside me 'cause you know I need you near. When you're wheelin' with that feelin' we'll paint the town pink 'cause baby, red is so last year.




La motivation. C’est ce que l’on doit avoir quand on veut être dans le métier enfin quand on veut vraiment se retrouver dans le métier. Mais bon ce n’est pas non plus la seule chose dont on doit faire preuve. De la motivation, de l’imagination, il faut également être créatif et déterminé, ne surtout pas se laisser marcher sur les pieds. Isaac à certes cette chance vis-à-vis du fait qu’il est tombé jusqu’ici sans trop de difficultés sur des bons partenariats mais des fois on peut malheureusement avoir des envies de travailler avec quelqu’un en pensant que ce sera une très bonne idée, une superbe collaboration et se rendre finalement compte avec le temps que ce n’était qu’une idée que l’on s’était faite, que ce n’était que le fruit des apparences. Du côté d’Isaac cela semble aller comme sur des roulettes à vrai dire, il se fit à son intuition et tout se passe pour le mieux mais il connait des collègues pour qui ce n’est à vrai dire pas le cas. Des fois en lisant des scripts on se dit que c’est une personne fantastique, une personne bourré de talent et que l’on doit à tout prix faire sortir de l’ombre, bien évidemment dans le cas où cette personne n’a pas encore une grande notoriété. Certes l’idée sera bonne, l’idée sera même plus que judicieuse. Cependant on ne sait pas tout d’une personne juste en lisant son travail. Sinon les choses seraient bien trop aisées. Et puis au final pour connaitre quelqu’un il faut être patient. Il faut pouvoir passer des jours et des jours à discuter avec elle pour pouvoir parvenir à la cerner et à en apprendre plus pour pouvoir peut être en tirer un portrait bien plus tard. Un portrait qui ne sera pas rédigé juste sur la première impression que l’on aura eut de la personne.

En pensant à Alfie pour être le scénariste il tentait un peu le diable mais dans le domaine d’Isaac c’est ainsi qu’on procède. On ne peut pas savoir à l’avance si ce que l’on va produire va marcher du tonnerre ou pas. Parce que cela serait assez fou de pouvoir prédire à l’avance comment les gens vont recevoir votre production. Comment les gens qui vous entourent peuvent apprécier votre travail et surtout ce qu’ils vont en apprécier. Est-ce que cela va être l’histoire ou est-ce que cela va plutôt être le jeu des acteurs ? Est-ce que c’est votre façon de découper les épisodes ou tout simplement un mélange de tout cela qui va leur plaire. Des fois ce n’est qu’un petit détail de tout ce que l’on vient de citer qui fait que la personne accroche. C’est peut être quelque chose qui semble être insignifiant et qui pourtant à beaucoup d’importance.

[b] « Tu as raison…ma compagnie est mieux que n’importe quelle courtisane…cela ne se discute même pas d’ailleurs. »


C’était bien évidemment pour s’amuser qu’il disait cela parce qu’il serait bien évidemment légitime pour son scénariste de préféré passer une nuit dans les bras d’une ravissante jeune femme plutôt que d’être ici au travail avec son supérieur à plancher sur ce qu’ils vont bien pouvoir faire de la série qu’ils veulent faire mais bon à la rigueur Alfie peut tenter de se dire que ce n’est que partie remise.

« Quoi ? Oh là je suis vraiment très déçu de ta part Alfie ! Mon sourire devance tout ce que tu peux trouver d’attrayant chez une femme voyons ! Non franchement là tu me vexes… »

Il lui attribua un petit clin d’œil suite à cette petite remarque puis il fit mine d’être mécontent vis-à-vis de ce qu’ils venaient de dire juste avant. L’imaginer en Viking une idée plaisante ? Hum c’est qu’il a quand même été jusqu’à imaginer son supérieur en tenue viking c’est quand même pas mal. Bon en même temps pour avoir une idée de la chose il faut tenter d’avoir l’image en tête alors forcément étant donné qu’ils en parlent, Isaac ne peut pas blâmer Alfie d’y avoir pensé. Alors qu’ils étaient passé à une dégustation de Whisky après avoir régler quelques points de leur travail, Alfie se mit à poser une question à Isaac, une question qui demeurait loin du domaine du travail. Isaac fronça le regard mais ne se renferma pas vis-à-vis de la question qu’il venait de se poser.

« Excellente question mon cher…disons que je n’ai personne qui m’attend à la maison vois-tu..enfin personne de la gente féminine susceptibles de me donner envie de rentrer chez moi et puis pour les prétendantes de la ville disons qu’il y a des fois où je trouve plus judicieux de rester au travail à avancer sur ce que je peux faire plutôt que de perdre mon temps à faire les bars un à un. Mais bon ce n’est pas ainsi tous les soirs. Et toi alors…il n’y a pas de femme qui se cache derrière l’homme que tu es… »






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