"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici you're the only turtle i want. you're the turtle, man /naël. 2979874845 you're the only turtle i want. you're the turtle, man /naël. 1973890357
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you're the only turtle i want. you're the turtle, man /naël.

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() message posté Lun 29 Déc 2014 - 1:36 par Invité
"when your best friends are strung out, you'll do everything you can cause you're never gonna let it get 'em down." ~ foster the people.
☐ ☐ ☐

Il ne restait plus que quelques jours avant la fin de l’année. La fin d’une année, la fin de 365 jours qui se concrétisait. D’un point de vue général, Rhys n’avait jamais considéré le Nouvel An comme un jour spécial, mis à part la grande soirée à laquelle il avait pris l’habitude de participer, au risque de se prendre une énorme gueule de bois comme chaque année. C’était toujours pareil. Chaque 31 décembre, depuis qu’il avait l’âge de boire (officiellement, ça avait même commencé un peu plus tôt que l’âge légal mais ça, on s’en doutait déjà), il interprétait le réveillon comme l’occasion de faire la fête une dernière fois dans l’année, de faire des conneries une dernière fois avant de se faire rattraper par les conséquences dans les jours qui suivaient. Bien évidemment, lorsqu’il se rendait compte de l’affreux mal de tête qu’il subissait le lendemain, Rhys se promettait toujours de ne plus jamais refaire deux fois la même erreur… avant de faire exactement la même chose 365 jours plus tard. Eternel oiseau de nuit, le journaliste avait toujours revendiqué sa liberté. Il était intouchable, et plus il s’approchait de la trentaine, plus il avait envie de profiter de sa désinvolture avant que les responsabilités ne le rattrapent. Car il était loin d’être stupide, il avait beau être persuadé d’avoir une nature de playboy mixé à Peter Pan, le jour où il devrait réellement sortir de son utopie ne tarderait pas à venir. Et mine de rien, ça lui faisait fichtrement peur. Le jour de Noël, lorsqu’il avait rendu visite à son père pour le traditionnel dîner familial du 25 (oui, le 25 car le 24, il l’avait passé avec Prunille jusqu’à ce qu’elle parte en voyage avec un ami dont il ne se souvenait pas du prénom. Bref, il n’avait pas tout compris mais beau-papa avait dit oui, donc c’était oui), ce dernier lui avait foutu les chocottes en lui faisant un monologue sur la vie de famille qu’il mènerait dans pas si longtemps que cela. Résultat des courses : Rhys était rentré chez lui déprimé, avant que Remy ne vienne s’incruster dans son appartement pour lui proposer de regarder la saison 4 de Game of Thrones pour la cent unième fois. Alors, quand il retrouva Naël sur Oxford Street, ce fut comme une libération dans la bulle familiale qui l’enfermait depuis deux jours. « Eh, attends… Je t’ai pas encore fait la blague du ‘Joyeux Naël’ cette année ? » lança-t-il en appuyant sur les deux mots avec un accent français très approximatif, coupant soudainement court à la conversation qu’ils entretenaient depuis quelques minutes (basée sur le changement de gardienne de leur immeuble, en somme, rien de bien palpitant). En réalité, il lui avait déjà faite cette plaisanterie tellement de fois qu’il n’arrivait même plus à se souvenir de ce qu’il en était cette année. C’était comme un rituel, un très mauvais jeu de mot que Rhys pensait avoir fièrement trouvé lui-même, et en dépit de l’ancienneté de la blague, ça le faisait toujours autant marrer. « D’ailleurs, j’espère que tu as aimé mon cadeau. Personnellement, j’en suis assez content. C’est du homemade. » Il faisait allusion à une photographie plutôt vintage sur laquelle figurait Naël lors de ses années lycées, que le journaliste avait soigneusement encadrée afin de lui offrir. C’était ça l’amitié, avoir de bons souvenirs, non ? Bien sûr, ça relevait plus de la taquinerie que de la moquerie, Rhys savait que son meilleur ami ne le prenait pas mal, puisqu’il était convaincu que celui-ci aurait fait exactement la même chose. Et puis, c’était aussi une petite vengeance par rapport au pari qu’il avait eu pour le bal du 31, au cas où il tomberait sur quelqu’un qui lui ferait regretter ce défi. « Il faut que l’on achète quoi déjà ? On a intérêt à se faire des stocks parce que bon, le bal c’est bien sympa mais il y aura bien évidemment un after à la maison, hein. » déclara-t-il, sourire en coin en lançant un regard appuyé à Naël du genre ‘tu vois ce que je veux dire.’ Il fallait l’admettre : ce n’était pas au bal que Rhys comptait réellement s’amuser étant donné qu’à sa connaissance, toute la ville y avait été conviée, dont son père. Beuh, faire la fête avec son père ? Sans façon.
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() message posté Lun 2 Fév 2015 - 13:28 par Invité

No one could ever know me, no one could ever see me seems you're the only one who knows what it's like to be me. Someone to face the day with, make it through all the rest with. Someone I'll always laugh with. Even at my worst, I'm best with you, Yeah! It's like you're always stuck in second gear when it hasn't been your day, your week, your month, or even your year. I'll be there for you ('Cause you're there for me too) “You know what’s not cool? Pretending you don’t know you’re the cute one.” . Rhysaël.

La fin de l'année est de loin la partie que Naël préfère dans les douze mois qui composent une année. La famille, les amis, la magie de noël, les conneries en préparation du nouvel an, l’appréhension et l'excitation qui prennent possession de son corps à l'idée de repartir pour trois cent soixante-cinq jours. Pour le réveillon de Noël, il est partit rejoindre sa famille en France avec sa grand-mère. En règle générale, il squatte souvent Remy, ils se préparent un repas digne des films de noël, un repas tellement copieux qu'ils ont des restes pendant quinze jours. Ensuite ils regardent en replay tous les concours de miss auxquelles elle a participé, sans s'échanger de cadeau parce qu'en général ils le font à l'avance. Remy c'est sa meilleure excuse pour ne pas prendre l'avion et voir ses parents. Il l'a préfère de loin aux diners mondains et aux faux semblants auxquels il doit s'adonner et qui ne le ressemble pas, ne le ressemble plus. Cette année l'état de santé de sa grand-mère s'est dégradée et il du se secouer pour faire un effort. Pour elle. C'est ainsi qu'il a retrouvé la France, sa jolie France et ses lieux favoris. Näël en garde de bons souvenirs même s'il n'a pas échappé aux propositions de son père quand aux belles françaises qu'il envisageait pour son fils. « Franchement, je suis déçu que Juanita soit partie, elle apportait vraiment quelque chose à notre immeuble... Alors que lui je le sens pas avec son regard psychopathe, on dirait un évadé de prison avec la tête de Rusard. C'est trop glauque. » L'année 2015 allait commencer avec un changement que le médecin n'approuvait pour les habitants d'Hammersmith. Contrairement à tous les locataires, Naël s'est attaché à la dernière gardienne à qui il avait dû faire du charme à de nombreuses reprises pour qu'elle lui donne les doubles des clés de certains appartements, voir même de son propre appartement lors de retour de soirées un peu plus difficiles. Il hésitait entre plus surnoms pour qualifier le remplaçant de Juanita avec qui le courant ne passe pas du tout. Lorsque Naël a mis ses poubelles à l'endroit prévu à cet effet, Rusard les a déplacées pour le remettre devant sa porte d'entrée sous prétexte qu'il avait mis les cartons avec les déchets alimentaires. Évidemment le jour où il a fait ça, le médecin était pressé et s'était pris les pieds en plein de dedans. « Ah-ah-ah. » dit-il mécaniquement. Les jeux de mots, les blagues vaseuses, ils sont toujours à la recherche de la connerie qui sera plus percutante que la précédente. Naël a trouvé en Rhys un rival de taille, le gryffondor contre le serpentard, une partie de quidditch parfois où ils sont deux batteurs qui se renvoient constamment le cognard, souvent pour le suspense, ils sont deux poursuiveurs qui se passent gentiment le souafle. « A ce propos Rhyyyysotto, j'ai lu un article comme quoi, cette année l'Arhysona interdit le " Joyeux Naël " parce qu'ils estiment que c'est aussi dépassé que le look de Miley Cyrus. »  dit-il en essayant de garder un air sérieux tout en jouant le gossip boy, le monsieur je sais tout. Le joyeux Naël, il n'y échappe jamais, c'est un rituel qui se perpétuera surement de génération en génération chez les Carstairs, si un jour, il venait à se reproduire de façon très concrète. Le médecin dit souvent que son meilleur ami pourrait faire mieux, mais c'est surement de loin le meilleur jeu de mot qu'il puisse trouver avec son prénom. A cause de lui, il lui arrive parfois d'écrire Noël au lieu de Naël lorsqu'il établit des diagnostiques à ses patients à l'hôpital. En étant le docteur Noël Valentine, il perdait toute crédibilité et passait pour un bon français que ses parents détestaient déjà à la naissance. « Mais je comprends que ce soit difficile de trouver des bonnes blagues, c'est la crhyse.  » Coup triple. Le blond avait préparé son coup depuis quelques jours. Cette phrase il rêvait de la sortir et bon sang il en était fière de sa connerie et du résultat. Naël avait envie de se rouler par terre tellement il se sentait génial. Il entendait les rires et les applaudissements retentir dans le magasin ou plutôt dans son esprit, il contrôla son fou-rire et ne laissa transparaître qu'un sourire vicieux et de la malice dans son regard. « D’ailleurs, j’espère que tu as aimé mon cadeau. Personnellement, j’en suis assez content. C’est du homemade. » Naël n'avait honte de rien, mais parfois il y avait certaines photos qui trainaient dans ses albums photos qu'il n'aurait jamais dû montrer à son meilleur ami. Il lui avait offert un cadre avec une photo de lui qui était loin de le mettre en valeur et qui avait un effet vintage. Le résultat n'était pas dégueulasse, mais bien à l'image de l'affection que Rhys avait pour Naël. « Je l'ai accroché dans l'appartement, pour le souvenir évidemment. J'ai préféré ce cadeau à l'article que tu avais balancé sur moi l'année dernière. Trop de sentiments quand tu écris sur moi. » L'avantage d'avoir un meilleur popin journaliste ou plutôt le désavantage quand on porte un nom connu à travers plusieurs pays, c'est qu'on peut se réveiller un beau matin avec un article originalement écrit dans la section people à son effigie histoire de ne jamais tomber aux oubliettes. « Mon cadeau était un peu plus plus pratique, l'avantage c'est que tu pourras te battre et te recoudre sur place sans même passer par la case hôpital. Tu me trouves pas génial ? » Naël avait fait un cadeau soft à Rhys, il avait rangé un kit complet de survie dans une boite personnalisée avec une photo d'eux en mode beaux gosses au Carnaval de Nothing Hill. Ainsi, cela permettait à Rhys se sortir ses poings sans se prendre la tête. Pour les jours de flemme intense. « Il faut que l’on achète quoi déjà ? On a intérêt à se faire des stocks parce que bon, le bal c’est bien sympa mais il y aura bien évidemment un after à la maison, hein. » Le journaliste lui lance un clin d'oeil, évidemment ils allaient fêter la nouvelle année dignement et comme toujours ils n'était pas question qu'ils se séparent. Enfin juste pour le bal. Il sent que Rhys n'est pas emballé à l'idée d'y aller surtout que sa présence est basée sur un pari que Naël lui avait lancé. Ce qui est d'autant plus drôle puisqu'il sera le cavalier d'une personne dont il ne s'attend pas du tout à retrouver.  « Il nous faut un sombrero, de la tequilla, des maracas, et si on faisait un after avec le thème du Mexique ? » dit-il en remuant son corps et en agitant ses bras. « Je veux aussi des trucs qui font du bruit, des trucs qu'on peut balancer, si t'invite de jolies filles je t'aiderai à nettoyer. » il comptait bien faire de cet after un moment mémorable.
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() message posté Mar 24 Fév 2015 - 17:54 par Invité
S’il y avait bien une personne avec qui Rhys entretenait ce genre de conversation, c’était Naël. Ensemble, ils pouvaient parler de tout et de rien, n’importe quel sujet aussi stupide soit-il paraissait alors être un enjeu planétaire dans leur monde à eux. Pire que des filles, Rhys se retrouvait alors dans l’âme d’une pipelette de haut niveau lorsqu’il se trouvait en présence de son meilleur ami. J’ai pensé la même chose ! » clama-t-il en écarquillant les yeux d’un air outré, comme s’ils débattaient sur une nouvelle loi importante qui allait être votée. Sauf qu’ils ne parlaient pas de James (pardon, David !) Cameron et de son gouvernement. Ils parlaient de la nouvelle gardienne de leur immeuble. Quoique d’un certain point de vue, on pouvait tout de même considérer que cette discussion avait une dimension politique… enfin bref. « Je serais même pas étonné de découvrir qu’il a une passion creepy, du genre il collectionne les dents de lait de ses enfants – s’il en a – ou un truc du style. Je suis sûr qu’il a vécu une expérience traumatisante dans son enfance et que du coup, ça s’est répercuté sur lui. C’est toujours comme ça quand on regarde les antécédents des psychopathes. » Très sérieux, c’est avec le ton le plus naturel au monde que Rhys partageait son avis d’expert (ou plutôt, d’amateur de séries policières qui passent en deuxième partie de soirée à la télévision) sur la psychologie des tueurs en série. Oui, il allait un peu trop loin et oui, c’était une vision assez paranoïaque de leur pauvre nouveau gardien qui finalement n’avait rien demandé, mais que voulez-vous, le journaliste était très bon lorsqu’il s’agissait d’émettre des hypothèses dépassant le vraisemblable. Tout fier de sa blague qui pourtant, revenait chaque année, le sourire du jeune homme s’évanouit vite quand il se rendit compte que son ami avait bien mieux en stock que lui. Après vingt-sept ans, c’était seulement maintenant que Naël lui balançait tous les jeux de mots qu’il avait réussi à trouver ? Avait-il tenu un espèce de carnet secret dans lequel à chaque fois qu’il en trouvait un, il le notait ? C’était tout à fait son genre, après réflexion. Grognon, le brunet entrouvrit la bouche, cherchant désespérément une nouvelle blague pour riposter, mais une vingtaine de secondes plus tard qui lui parurent être semblable à une éternité, Rhys finit par admettre qu’il n’avait rien. Nada, niet, rien ne lui venait en tête. Par tous les saints, pourquoi fallait-il que son meilleur ami s’appelle Naël ? « D’accord, j’encaisse. Je suis touché mais je reste debout. » avoua-t-il d’un ton théâtral, gardant avec humour le peu de fierté qu’il lui restait. L’air de rien, c’était difficile à accepter comme échec, celui de ne pas avoir su trouver de meilleur jeu de mot que son ami. Heureusement, il arrivait à se consoler en se cherchant divers prétextes, comme par exemple que ce n’était pas parce qu’il était simplement mauvais, mais parce que son interlocuteur ne lui facilitait pas la tâche en portant un prénom aussi peu commun. « T’aurais quand même pu m’épargner un peu, j’ai passé une sale matinée, pourquoi faut-il que tu en rajoutes encore une couche ? » grogna-t-il, un tantinet mauvais perdant. D’accord, ce n’était pas si terrible que ce qu’il prétendait. Il exagérait. Rhys avait littéralement glandé jusqu’à l’heure du déjeuner et la seule chose qui avait pu perturber son profond sommeil digne d’un ours en pleine hibernation était le son d’une notification de l’application BBC sur son portable – et encore, il l’avait à peine entendue. Il essayait simplement de faire comprendre à Naël qu’il aurait pu lui éviter cette véritable humiliation publique, ni plus ni moins. « Oh, vraiment ? » s’enquit-il avec un grand sourire, à deux doigts de frapper dans ses mains comme un gamin qui venait d’avoir la dernière figurine Action Man pour son anniversaire. « C’est une très bonne idée de l’avoir accroché, d’ailleurs. Je te dis pas toutes les filles que tu attireras dans tes filets, elles tomberont comme des mouches en voyant la photo ! » Levant les deux pouces en l’air en lui lançant un regard assuré, le journaliste ne put s’empêcher de pouffer de rire en imaginant la tête que feraient ses potentielles conquêtes – ou même ses colocataires, d’abord – face à la photographie peu glorieuse de Naël lors de ses années lycée. Si parfois en soirée, il leur arrivait de se lancer dans des opérations séduction au même moment pour voir lequel des deux parviendrait à choper le numéro d’une fille en premier, Rhys avait maintenant une petite idée de comment définitivement remporter la compétition. Toutefois, dénicher des photos dossiers de lui-même n’était pas plus compliqué et nul doute que son meilleur ami puisse parfaitement employer la même technique au moment opportun. C’était une épée à double tranchant. « Je sais, je trouve aussi que mon talent se reflète mieux quand c’est à ton sujet. Rappelle-moi de t’écrire un discours digne de ce nom à ton prochain mariage, j’ai même déjà prévu un power point personnalisé avec une compil’ de mes meilleurs articles. » Il plaisantait… ou presque. Lorsque l’on connaissait Rhys aussi bien que Naël, on savait tout à fait qu’il en était capable. Surtout à un mariage, il n’y avait pas de meilleure occasion pour montrer tout son potentiel d’écrivain et de showman en herbe. « Gé-nial. Surtout si tu prends en compte le fait que tu seras principalement le seul à te servir de ce kit puisque TU me soigneras toujours. Le sang me fait tourner de l’œil. » Faux, archi faux. En réalité, Rhys reconnaissait que ce cadeau pouvait être bien utile, mais ça ne le dispensait sûrement pas d’aller squatter chez Naël pour faire appel à ses talents puisque c’était un fait : à part se mettre une compresse sur l’épaule et un pansement, il ne s’était jamais intéressé aux petits gestes des premiers secours. Quand son meilleur ami annonça la liste des emplettes du jour, le brunet fronça les sourcils, dévisageant Naël d’un air perplexe. « Des mara– quoi ? » répéta-t-il, pas certain d’avoir tout saisi. Une soirée sur le thème du Mexique au moins de Décembre (enfin Janvier, techniquement) ? A Londres ? C’était pour le moins original. Il n’avait rien contre le Mexique et les soirées à thèmes, c’était juste que trouver un sombrero ici, à cette période et au milieu des décorations encore rouges et blanches relevait de la grande aventure. S’apprêtant à protester, les termes ‘jolies filles’ le ravisèrent aussitôt. Les filles, c’était son sujet de conversation préféré, en troisième position après le sport et le dernier épisode de Game of Thrones. « Bien évidemment que j’en invite ! T’as pas des mexicaines dans ton répertoire, d’ailleurs ? Si on fait une soirée mexicaine, autant se mettre dans l’ambiance. » C’était simplement une suggestion des lus innocentes. Quoique maintenant que Naël avait lancé l’idée, Rhys s’imaginait aisément entouré de belles latinos à son bras.
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