I come back in your life sweetie ⚡ Deliwan

I come back in your life sweetie

and if was not a coincidence? it was ineluctable.

« Qu'as-tu en tête mon bel aventurier? » La question que beaucoup peuvent se poser sur mon esprit. Mais connaître tout d'une personne peut reduire a néant une certaine passion et de curiosité. Je dois dire que si on pouvait lire dans mon esprit, on pourrait me qualifier de fou. Des envies de voler, des songes passé et des rêves de fantômes et de rire de femme. Cela dit même si cette entrain remplit de curiosité me faisait sourire je lui avoua: « Si je te le dit, il n'y aurait plus de mystère ce serait dommage. » Lui avouais-je d'un franc sourire avant de l'emmener avec moi patiner. Elle se laissa guider comme une poupée de chiffon, je prenais un malin plaisir a la plaquer contre moi contrôlant alors notre direction, la neige tomba ce qui me chatouilla legerement le nez et je lui avouais ce que je ressentais pour elle ce que j'ai ressenti durant ce mois difficile. Sans pour autant perdre la face. C'est alors que dans un soupir je l'entendis : « Je me sens bien... » Je ne voulais pas briser ses songes, cela se voyait elle se sentait bien, je me sentais plus vivant a la savoir si bien avec moi. Je la serra un peu plus gardant un sourire sur mes lèvres profitant de ce spectacle, les flocons qui dansent et illuminant alors le visage de Delilah.

Jusqu'à ce que je la fasse pivoter de nouveau pour lui avouer la véritable idendité de mes pensées. « Cette pensée portait un très jolie pyjama et adore le thé vert au jasmin » Son sourire cet air d'arbre en fleur qui grandissait a nouveau devant moi me fit comme un choir, mon coeur batta plus vite au contact de son regard elle semblait plaisible. « Ta présence m'a manqué à la librairie pendant tout ce mois... Je n'avais qu'une envie, t'écrire... Mais je savais que ça allait être pire... J'ai pensé à toi tous les jours... Je dois t'avouer que tu m'as manqué.... » Elle était attachante, j'aurais aimé avoir une tel lecture que de relire les Lovecraft pour m'aider a dormir parmis les insomnies. Cela dit je comprenais pourquoi elle ne le pas fais je lui avoua: « Bien que l'idée est venue aussi de t'écrire, je n'aurais pas l'idée de ne pas te revoir plus vite et mes journées ont bien plus remplit que je ne le croyait au départ... » Soupirais je mais gardant mon sourire en coin continuant alors de patiner je ne fit pas attention que nous arrivions a une barriere je me posa doucement le dos se collant a la barriere.  « Et peut-être que bientôt, tu le reverras ce pyjama.... » L'idée était forte alléchante. La voir dans ce Pyjama me donna la nostalgie du mois dernier, une envie de découvrir ce qu'il y avais en dessous me sauta en pleine face avant de disparaitre dans un flash quand elle continua: « Tu sais planifier de très belles soirées, tu sais? Moi aussi... » PAF! voila qu'elle venait de piquer ma curiosité maladive, j'eu un sourire et mains lachèrent les siennes pour ses rechauffer contre son dos: « Toi aussi? Mais vous piquer ma curiosité ma chère Australienne... Et aurais-je l'honneur un jour de gouter a vos dons d'organistrice? » Lui demandais-je d'un sourire amusé avant de profiter de instant pour glisser ma main le long de son visage sans raison particuliere juste un geste comme un autre je voulais une réponse avant de l'embrasser à nouveau ma curiosité a pris le pas sur l'envie. Et je savais que la patinoire n'allait pas durer et que le musée n'allait pas tarder a être fermer une opportunité de me retrouver seul avec elle.

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Elle piqua ma curiosité à vif avec ses phrases aussi piquantes que les épines d'un acacia. Cela dit sa réponse me laissa encore plus songeur sur le coup: « Sûrement.... Et je ne crois pas que vous serez déçu mon bel aventurier... » Alors qu'elle se detacha je la laissa faire d'un air amusé en lui répondant: « Je ne demande qu'à vous croire ma chère. » Lui disais-je amusé alors qu'elle patinait déjà un peu mieu comparé a tout a l'heure, je l'observais silencieusement, elle était juste magnifique l'idée de sa revoir dans se pyjama aller alimenter mes rêves pendants quelques jours c'était sur, imaginer son corps sans ses couches de vêtement superflus. Même si je redoutais l'acte en lui même, la dernière fois cela m'avait couter un allé simple a l'hopital, j'aimerais pas que cela recommence. J'ai fait peur à un homme se soir là je ne veut pas que ça arrive a Delilah je devrais surement faire attention. Elle me coupa alors dans mes pensées « On ne devrait pas aller au musée maintenant? » J'observa autour de moi voyant au loin un cadran celui de la station de metro qui signaler qu'il allait être bientôt 19 heures, le Musée venait de fermer ses portes. Effectivement il serait temps d'y aller je me poussa de la barrière essayant de rattraper Delilah en lui disant saisissant sa main: « Oui allons y tu as raison » Lui disais-je amusée, alors que nous sortions de la patinoire, nous allions nous asseoir je commencais a dénouer mes patins quand elle m'embrassa a nouveau je lacha mes patins qui tomba au sol. Je ressentais cette passion un peu plus sauvageresque que précedement, cela me plaisait j'en avais le souffle coupé litteralement. Je prolongeais avec plaisir le baiser prit de surprise. Melangé a l'envie d'en découvrir plus c'est alors qu'elle se detache, mes lèvres avait prit un teint rouge et mes joues s'en suivirent la chaleur brulante de se baiser m'avais totalement chamboulé.

« Nous devrions y aller avant que cela ferme, non? » Je me suis mis a sourire, je n'allais pas lui dire que c'était déjà fermé. Mais je trouva assez vite une replique à sortir: « Hum ne t'en fais, je connais un gars qui connait un gars qui pourra nous faire rentrer » Lui disais je d'un ton serieux comme si je faisait parti d'une mafia ecossaise à tête d'oiseau. Une fois les patins remis dans le sac et les chaussures remises. Nous repartions, nous traversions une route pour au bout de quelques minutes atterir devant le musée d'histoire naturelle de Londres qui avait une grand banderoles avec des hyeroglyphes et le profil d'une Reine egyptienne marquer " Soon" en dessous. Ils savaient faire de la pub j'en doutais pas, les lumieres étaient éteintes et je la guida vers une porte dérobé. C'était l'acces des scientifiques. Une fois rentrer j'aperçu le gardien qui nous aveugla avec sa lampe: " Oh Ewan ! Je pensais que jamais t'aller arriver... Bon je vais continuer ma garde! " Je me suis mis a sourire : " Merci Many." Et je regardais Delilah qui semblait surprise, je haussais les épaules en lui disant: " Je te l'ai dit, je connaissais un gars. Bref allons y " Nous marchions dans la pénombre accompagné d'une lampe torche, arriver dans un grand couloir qui faisait elloge de la Grece antique, on pouvait apercevoir au loin une lumière jaune qui provenait d'une pièce, une fois atteinte on pouvait voir un sarcophage fermer dans un cerceuil en verre. Et puis tout autour il y avait des piedestal contenant differentes reliques trouver, des photos de l'expedition était afficher au mur ainsi que des frises de l'histoire de la Reine : « Voila ma chère... Ce que j'ai fais pendant un mois réunis en une salle... »

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Nous voilà arriver au musée, l'odeur du cadavre embaumé et de la poussière reigné. je n'aimais pas tellement les musées, même si je travaillais principalement pour leur égo personnifié. Bref alors qu'on arriver a la salle, j'avais alimenter ça comme une aventure c'était legerement fait exprès, j'étais persuadé que cela lui plairait. Une fois arrivé dans la salle malgré les objets qu'on trouvait on pouvait voir un échafaudage ainsi que des matériels basique de maçonnerie pour les étagères ou je ne sais quoi.« C'est tout simplement grandiose! » Je me suis mis a sourire, je dois dire que j'étais plutôt fier aussi de ce travail. malgré qu'avec Kaspar on a bien faillit mourir une dizaine de fois, mais le principale c'est d'avoir réussit.

Alors qu'elle était parti explorer les differents objets et differentes photos exposés elle se retourna vers moi pour me dire: « Je veux que tu me racontes! » qu'elle impatience, elle me faisait sourire encore plus son attitude me plaisait de plus en plus: « Mais j'avoue que je suis très impressionnée. Je connais un véritable Indiana Jones des temps modernes! » Je me suis mis a rougir sur le coup, si je lui avoue que mon troisieme prenom c'est Indiana elle vas croire au signe du destin je devais me taire a mon avis: « Je dois bien t'avouer que ce fut l'expedition la plus mouvementé que j'ai eu. » Lui disais-je en riant jaune en repensant a tout ce qui sait passait... Alors qu'elle m'enlacait je glissa mes mains sur son dos : « Tu vas découvrir cela de moi plus tôt que tu ne le crois, mais je suis quelqu'un de très curieux.... » Je me suis mis a rire, je l'avais déjà remarqué. mais le faite qu'elle s'en rende compte la rendait plus mignonne : « Nan sans blague... Je ne l'aurais pas deviné... » Disais-je d'un air taquin, alors je lui pris sa main pour nous deplacer vers quelques photos: La premiere representé quelques collegues, kaspar et moi. sourire aux lèvres et heureux de vivre. on était devant la pyramide ou se situait le sarcophage : « Ce fut la premiere photo de groupe, Quand on est arrivé avec kaspar, on est allé voir un homme qui devait me remettre un parchemin c'était une carte de la pyramide faite il y a des milliers d'années. Sauf que arriver chez lui, il était déjà raide mort sur le sol... C'était flippant... Une fois arrivé on fut pris en photo on nous attendiez normal ! » Alors que nous decalions vers les autres photos je lui raconta la suite des aventures. Une prise d'otage, l'attentat de l'aeroport du Caire ou j'étais la principale cible. Et cette affaire de drogue ou je me suis retrouvé mélé sans le vouloir parce que l'une des reliques qu'on avait en notre possession et qui a poussé a l'expedition refermer en faite de l'héroïne... BREF on avait retrouver la vraie relique et on était bien heureux. Je lui raconta l'histoire de la Reine qui avait la même histoire que Marie Antoinette mais elle finissa reine.

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Nous voila parti pour une excursion dans mon passé, alors que jpassait les photos une a une je lui expliqué tout ce qui m'était arrivé le complot, l'atentat les meurtres bref. Bien que ce fut perilleux j'entama sur les reliques et la façon dont on les a récupéré c'était tout de même d'une façon très Indiana Jones. Cela dit elle me serra un peu plus fort son contact merechauffa et me calma parmis l'angoisse que j'avais de me remémorer de tout ceci « Je suis heureuse qu'il ne te soit rien arrivé! » Je deposa un baiser sur sa tête en lui disant: « Tu es adorable... » Soupirais -je alors qu'elle me demanda pour finir: « Tu tiens le coup face à tout ça? » C'était la question la plus difficile auquel je pouvais repondre, je l'emmena avec moi vers un distributeur de boisson cherchant quelques livres dans ma poches en lui disant: « J'ai eu du mal a dormir... Avec la mort de ma mère ca n'a pas aidé. Mais j'ai du faire face. Je pouvais pas risquer la vie de Kaspar, j'ai prit sur moi. Je dois dire que je me suis trouver courageux sur le coup. Mais depuisque je suis rentrer j'ai repris peu a peu de force et puis l'idée de revoir ceux que j'aime ma permis de pas perdre la boule. » Disais-je en ayant un demi sourire alors que je selectionna deux canette d'ice tea en mettant les pieces et puis recuperer son dù et il en tendit une a Delilah, avec un sourire : « Tien... » Et puis je m'approche d'elle en deposant un baiser sur ses l_vres en lui avouant: « Penser a toi c'était une des choses qui m'a permis de tenir... Ce repas inachevé, toi dans cette robe bleu et puis ce baiser echangé dans la cuisine. Je dois bien t'avouer que ce fut des images agréable a penser. » J'ouvris ma canette pour boire une gorgée qui me rafraichissait la gorge et me faisait du bien calmant un peu mes ardeurs.

Et puis les minutes passèrent regarda ma montre pensant alors a notre table au restaurant ils faudraient qu'on y aille le temps de trouver un taxi. Je jeta ma canette vide et je lui dit alors: « Aller ! Assez parler du passé, que direz tu si on aller manger maintenant? » Souriais alors que j'allumais a nouveau la lampe torche. Et nous nous dirigions vers la sorti en sortant les rues avaient déjà était recouverte d'un manteau de neige c'était plutôt magnifique a regarder, c'est d'ailleurs la qu'un Black cab s'approcha de nous, je leva la main hurlant: « Hep ! Taxi ! » C'est alors que le taxi vient a s'arreter nos emmenant alors au restaurant Italien.