Walk like an egyptian ! w/ Kaspar

Il était 4 heures du matin, j'étais encore chez moi dans l'espoir de trouver le sommeil, cela dit pas moyen. Le stress et la pression du voyage m'avait provoquer la pire des insomnies, comme si cela était le moment que j'ai ce genre de chose. J'avais passer la soirée a discuter avec Julian par texto via whatsapp. Il avait réussit a me detendre, mais je n'aimais pas ne pas le voir avant le depart. Cela dit j'avais convaincu Gisel de venir passer la nuit à l'appartement. Je dois dire qu'elle a reussit a occuper une bonne partie de la soirée, mais elle devait rentrer son travail l'attendais tôt demain matin et elle voulait en profiter pour dormir. Je me redressa de mon lit en entendant le son strident de mon radio réveil, je vis mon sac de voyage au pied de mon lit. C'était le grand jour, je me leva prenant mon sac pour descendre les escaliers en spirale. J'avais du mal a marcher droit, j'ai surement encore trop bu en compagnie de Gisel, je voyais les cadavres de vin sur la table, effectivement… ma tête me faisait mal, je posa mon sac sur le canapé. Voyant une note sur la table,

Prendre Kaspar a 5h30. Avion à 7h15 porte B Londres – Caire

Je saute immédiatement sous la douche ayant préparer la théière pour prendre une dose de théine avant de partir, je profita de la chaleur de l'eau et du plaisir de mon appartement, passant par la cuisine j'observais mon frigo vide. Il ne restait que des denrées non périssable, je pouvais pas me permettre  de faire la moindre perte, je n'étais pas du genre a gaspiller. Je profitais de mon dernier croissant alors que je m'habilla d'un jeans, d'une chemise et d'un pull en laine d'une couleur plutôt terne et estivale… J'en ai pris qu'un… Le Caire est une région assez arride, mais pas au point de me balader à poil. J'avais prevenu Kaspar de prendre des vetements à manche longue, Le soleil est très cruel dans cette région. Il faudrait pas qu'on se retrouve avec une insolation dés le premier jour. Prenant mon sac en bandouillière je verifiais s'il y avais tous… Mon passeport, mes papiers les reservations et l'itiniraire. J'avais de quoi voyager tant mieu ! J'apella un Taxi pour qu'il vienne me chercher et qu'on aille directement chez kaspar. Quelques minutes plus tard, le Taxi fut en bas de chez moi je ferma ma porte à contre coeur saluant la maison. Une fois dans le taxi je fus eblouie par les phares des voitures obliger de sortir mes lunettes de soleil des aviateurs… J'aimais c'est lunettes… Je pouvais aimé certain objet c'était dingue vous ne trouvez pas ? Nous circulions jusqu'au quartier residentielle de Kaspar, Je connaissais l'endroit limite comme ma poche le nombre de fois que j'ai du aller le trainer par la peau du cul jusqu'au bureau alors qu'on venait de passer certaine nuit blanche a travailler sur cette expedition. Arriver devant sa porte je lui envoya un sms.

Hansen je suis devant ta porte ! Magne ton cul sinon je reveille toute la petite bande ! Èoé

Ma menace était sérieuse, j'étais un Tyran tout le monde le savais à l'université, j'étais une salope et ça je dois dire que c'est grace à Julian. C'est lui qui m'a donné le conseil de ne pas me laisser marcher sur les pieds par des nuisibles tel que les collegues de travail ! Cela dit, ca faisait 10 minutes que j'attendais toujours pas de réponse, je frappa a la porte… Pas de reponse… mon impatience pris le dessus :

KASPAR FELIIIIIX HANSEN ! MAGNE TON CUL ! OU JE TE MOMIFIE DES LA PREMIERE HEURE !

Pourquoi crier ? Le simple faite de lui coller la honte me prodiguait la plus grande joie, n'être pas à l'heure alors que c'était lui qui lui avait donner cet heure, Ewan lui donne le choix il respecte pas il en paye le prix. Alors qu'il vit enfin Kaspar sortir de l'appartement, j'eu un grand sourire satisfait sur mon visage : « Tu vois quand tu veux ! » Je me suis mis a rire : «  Rooooh fait pas cette tête… Depeche toi on vas être en retard à l'aéroport. » Je l'aida a prendre son sac et nous descendions les escaliers jusqu'au Taxi, une fois à l'interieur je remarquait que Kaspar semblait encore endormit, j'ouvris mon sac sortant quelques chose, un bandeau special pour dormir. Je le tendis à Kaspar :  Tiens ! Pour fêter ton premier voyage en avion ! Enfin voyage dont tu te souviendras

Lui disais-je en riant alors que le Taxi s'en allait jusqu'à l'aéroport. Nous passions l'attente dans un petit café, après avoir referencer nos bagages et nous voila poser sur les tabouret d'un café ou le café devait être infecte, je demanda un Thé…

Bon alors dit moi exciter par le voyage ? Tu ne m'as pas dit ! Comment le prend ta copine… Ivana c'est ça ?

- M... MERCIIIIIIIIIIIIII ! J'aimais voir l'enthousiasme de Kaspar, il était du genre pile electrique. Le genre de pile qui rend mes journées moins longues a l'université. J'étais plutôt fier de ses progrès. Il m'avait prouvé sa loyauté et son courage. Il a de bon resultat et on voit bien qu'il trime comme il peu. C'est pour ça que j'ai eu l'idée de l'emmener avec moi. Je connaissais peu à peu Kaspar et quand il m'a avoué qu'il n'avais jamais pris l'avion pour moi c'était comme ne jamais avoir manger une glace ou bien de prendre le bateau. Cela dit quel beau cadeau et je voyais déjà le voyage excitant juste dans l'avion. La peur prend vite le dessus quand on est a une très haute altitude. Alors que nous venions d'arriver à l'aéroport, je l'ai accompagné au café, histoire de patienter en paix. Alors que je lui demandais son état du jour et s'il était éxcité. Je me doutais bien que cette question était con. Nan mais c'est vrai qui aurait pu croire l'inverse depuis l'attaque enjoué dans le taxi :


« Si je suis excité ? J'ai SUPER HAAAAATE ! » J'ai eu un large sourire, « Aaaaah tant mieu ! » sa réponse me satisfaisait je lui demanda alors au sujet d'Ivana, il me parla de cette fille limite tout les jours, je reconnaissais bien l'amour quand je pouvais le voir, mais généralement ceux des autres et pas le mien même si j'avais retrouvé Gisel et que j'en ai appris plus sur cette libraire qui semblait si fabuleuse derrière ce comptoir. J'avais passer l'une de mes dernières soirée a Londres en sa compagnie et ce fut la plus belle soirée que j'ai passé depuis quelques mois déjà… « Quant à Ivana... » Il m'avais interrompu dans mes pensées, mais je devais plus me préoccuper de mon coeur… Je sentais qu'il allais me reveler un truc croustillant même si j'en doutais quand même.
« Elle est contente pour moi, vraiment. Elle va me manquer, beaucoup, mais nous allons nous revoir, c'était certain. Je compte lui donner de mes nouvelles tous les jours, quand on pourra. » Je me suis a mis a rire effectivement il aurait surement l'occasion mais surement sur le retour je sentais déjà les journées de fou qu'on allait passer : « Et toi alors ? Comment va Gisel ? » Aie voila qu'il fait sa première boulette je vis nos commande, j'avais pris un Thé personnelement je ne devais pas boire de café a cause de mon coeur le thé était la seul chose que je pouvais me permettre. Et c'était un plus qui m'aura aidé avec Delilah. Je ne lui avais pas parlé du depart de Gisel, elle était si différente… Elle avait cette petite chose qui ne me faisait pas réagir comme avant, la jeune fille que j'avais connu avais bien changé Julian avais raison cela aller disparaître avec le temps au debut je pensais qu'il disait cela par jalousie ne voulant pas que j'ai ma vie au vu de nos sentiements… Mais il semblerait que je me sois de nouveau trompé sur son compte : « Eh bien… Imagine tu es devant le grand Sphinx et la tu l'imagines avec son nez et tout… tu en fait des rêves tu l'idéalises comme vraiment une merveille du monde… Sauf que quand t'es devant… Tout s'effrondre quand tu vois son nez qui a disparu… Bref… C'est pareil avec Gisel. Tout la magie s'est envolé comme on dit… » J'utilisais mal les métaphores mais bizarrement je songeais qu'il comprendrais mais je voulais au moins lui annoncer une bonne nouvelle au temps lui parler de Delilah. Je ne lui avais pas tellement parler comme si on parlait au autres de la petite Libraire alors qu'on ne s'y interesse pas plus que ça, mais Kaspar était déjà venu avec moi pour aller chercher ses livres de cours donc il l'avais déjà vu et avais même fais un commentaire sur elle… C'est trop beau l'interet qu'il peut porter a ma vie amoureuse même si c'est tout de même bizarre pour moi.

« Oh par contre ! Tu te souviens de cette petite libraire a coté de bloomsbury ? Lundi j'ai voulu aller voir Robin, quand c'est elle qui a ouvert la porte ! Delilah est celle qui possede l'appartement de Robin ! En tout cas… Elle est… Fantastique cette fille… Je pense l'inviter a diner a notre retour... » J'avais mis de la passion dans ce que je disais j'avais encore ce goût de Thé vert dans la bouche, Un thé vert au jasmin qui avais embaumé la pièce se soir là. Un souvenir chaud et agréable… Cette petit litteraire avais quelques chose de particulier qui me plaisais.

Au bout de quelques minutes on annonca le nom de notre vol et qu'on devait se preparer au décallage. Je me leva posant quelques livres sur la table en disant a Kaspar : « Bon allons y » Nous allions vers la porte d'embarcation je tenda les billets à l'hotesse qui nous laissa passer dans le couloir étroit. Une fois dans l'avion, Je laissa Kaspar prêt de la fenetre ou le rideau fut lever on pouvait voir le paysage, enfin surtout l'aéroport de Londres. Je me posa a coter de lui, nous étions en second classe. Et bizarrement je vis un homme avec un truc bizarre sur la tête on aurait dit un gros marshmallow : « Hey regarde Kaspar… Kirby participe au voyage ! » Disais-je d'un rire avant de sortir de mon sac un dossier que j'avais confectionner pour etudier le cas a nouveau avant notre arriver au Caire et le journal de bord en faisait partis. Je sortis un stylo bic commencant a griffonner et l'interphone se mis a crisser. On pouvait entendre une voix parmis tout ses larsen. Le commandant de bord qui nous souhaita bon voyage et nous annonca une esquale à Barcelone avant d'atterir au Caire. Leurs du décolage. J'attacha ma ceinture pour plus de sécurité et c'était partir pour un bon nombre d'heure de vol.

Le Caire, Mon dieu cette ville était tellement differente… Les immeubles étaient délabrer par le temps, je n'étais pas ce genre de ville… Surement l'habitude me diras t'on : « Bon… Allons à l'hotel et ensuite on a rendez vous avec Amon… Bon TAXI ! » disais-je en levant la main, Kaspar semblait emerveillé par la capitale on pouvait voir au loin le site de Gizeh Une fois dans le taxi nous arrivions à l'hotel posant nos bagages… Apres quelques minutes, nous repartions pour un quartier malfamé du Caire. Nous allions dans la cage d'escalier d'un immeuble avec un escalier en bois qui grincait a chaque pas… Arriver devant la porte je fus surpris : « Tiens la porte est ouverte... » Cela ne sentais rien de bon… Je me plaqua contre le mur froncant les sourcils face à Kaspar : « Viens là ! », je le tira vers moi le plaquant au mur je me penchant poussant la porte.. l'odeur qui en sortis fut nauséabondes ! Ca sentais le cadavre la dedans, je rentra dans la piece c'était le bordel quelqu'un était passé par là : « Oh bordel ! » Je voyais de le corps, cela devait être Amon, je regardais autour de moi… Kaspar semblait choqué je m'approche de lui en lui disant : « Hey hey ! Kaspar regarde moi… » Dans quels merde on venait de se fourrer serieux !

- Il y a beaucoup de bon dans ta phrase, me disait il d'un ton très taquin ce qui me faisait sourire. Allons-y l'accent français de mon étudiant me faisait rire, d'un coup voila qu'il se prenait pour un vrai aventurier et bizarrement cela me plaisait. Je lui tirais la langue dans un signe purement négatif en levant mon majeur lui faisant comprend que je l'emmerdais en bonne et du forme. Cela dit un rire s’échappa tout de même comme quoi il régnait dans notre duo une ambiance bonne enfant qui me plaisait bien. En direct du taxi qui nous emmena dans un des quartiers pauvre de la ville. On monta dans l'immeuble, bizarrement j'avais comme un mauvais pressentiment. Plus on montait les marches, plus une odeur nauséabonde envahissait le couloir étroit.  Une fois arrivé au palier la porte était ouverte, je la poussa légèrement et une fois rentré à l'intérieur on remarque alors un cadavre sur le sol. En plein décomposition avec la chaleur étouffante, bizarrement cela ne m'étonnais pas. J'étais pris de panique alors que je vis Kaspar réagit encore plus que moi. "Hein, quoi, qu'est ce qu'il y a? Qu'est ce qu'il se passe?" Je m'approcha d'un corps finalement pour essayer de voir si un indice pourrait m'aider, mais finalement rien de bien spécial j’ajoutai alors : « J'ai l'impression que ce voyage risque d'être moins ordinaire que je ne l'avais prévu. » Soupirais-je en regardant Kaspar du coin de l’œil alors qu'il me demanda.

"Pourquoi y'a un gens mort là? C'est qui? Celui qu'on devait voir? Qu'est ce qu'on fait?" Je m'accroupissais tâtant les poches de Amon… Je regardais Kaspar essayant alors de retrouver mon calme, mais cet assaut de question me perturba de nouveau : «  Hey hey doucement… je sais pas pourquoi, C'est bien Amon celui qu'on devait. Disais-je en reprenant alors ma respiration et puis. Ce qu'on fait ? On vas fouiller avant l'arrivé de la police. Je ne pense pas que deux Étranger soit très bien apprécié dans le coin. Fouille les placards. Tout ce qui t'indique que ça peut nous être utiles ou en rapport avec nos fouilles tu prends ! Je vais m'occuper du bureau et de la bibliothèque. » Je me suis redresser saisissant une carte avec mon numéro qui était barré et un autre numéro en dessous. Je devais savoir qui s'était. Je laissa Kaspar fouiller les placards, je me suis empressé vers le bureau, c'était un secrétaire en l'ouvrant je vis une bouteille de Tequila. Je bu une gorgée sauf que je cracha le tout au sol : «  Beurk ! Sérieux ! » Je me suis abaissé saisissant un petit ver qui était mort et imbibé de tequila. Au moins c'était pas banal je le mis dans ma poche alors que je trouva une clef dans le secrétaire, en allant vers la bibliothèque je regardais les ouvrages. J'en saisissais quelqu'un que je mis dans mon sac cela pouvait être toujours utiles c'est alors que je vis un coffre : « Bingo ! » Un sourire au lèvres je sortis la clef pour ouvrir le coffre, en l'ouvrant je vis des passeports, des liasses de billets et un ordinateur portable, je saisissais alors l'ordinateur je l'alluma il demanda un code. Il devait se trouver sûrement quelques part. Je me retournais alors vers Kaspar en lui demandant : « Alors gamin tu as trouver quelques chose ? »