"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici What if you did call me back... ? ♦ Ewanael 2979874845 What if you did call me back... ? ♦ Ewanael 1973890357
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What if you did call me back... ? ♦ Ewanael

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Nathanael E. Keynes
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() message posté Mar 25 Nov 2014 - 8:13 par Nathanael E. Keynes
What if you did call me back... ?

ft. Ewan R. I. McKinnon && Nathanael E. Keynes
Jeudi 10.07.2014 • North London • Barfly

« Tu devrais y aller… T'en fais pas ca ira… »



Une petite carte aux couleurs des Lucky Strikes sur laquelle figure mon numéro de portable et...

« Si jamais… Prends soin de toi Scotboy... »

***


Ca fait près de... quoi, trois semaines ? Un mois ? Que j'ai laissé une conquête censément comme les autres dans une chambre d'hôpital, censément tirée d'affaires, mais... Faut dire ce qui est, j'y pense un peu tout le temps. Si on avait pas couché ensemble ce soir-là, il se serait sans doute pas retrouvé dans cet état, et oui, je me sens coupable. D'autant plus que, malgré la carte avec mes coordonnées laissée sur sa table de chevet, j'ai pas eu de nouvelle. Pas encore, tout du moins.

Ma vie a suivi son cours, cela dit, et aujourd'hui reste une journée comme les autres. Je me suis levé relativement tôt pour un type qui bosse de nuit - et qui en a passé le reste en charmante compagnie - et je me suis éclipsé de la chambre d'une charmante jeune fille qui a quitté mon bar en ma compagnie à 2h sans bruit. Le soleil estival et le café dégoté sur la route achèvent de me réveiller comme je marche tranquillement jusque chez moi, près à reprendre mes petites habitudes. Je vais bosser sur un article futur, amener un dossier au journal, jouer un peu en prévision de la répét de lundi soir prochain, et à 19h, je serai de retour au bar, pour une nuit de boulot comme les autres. C'est ce que je me dis, en traversant Londres.

Des fois, on a des surprises, cela dit.

Je suis arrivé chez moi pour prendre une douche à peine tiède, comme il fait déjà suffisamment chaud à mon goût dehors, et je me suis installé devant mon pc, recherchant certaines infos sur l'économiste qui a pondu l'essai qui sort la semaine prochaine et sur lequel je dois bosser. Autant dire ce qui est, c'est pas le sujet qui me branche le plus, et je crois que Fitzgerald l'a très bien compris. Tout comme j'ai parfaitement bien compris qu'il m'attendait au tournant, et il est juste hors de question que je lui fasse le plaisir de me vautrer. Des sources d'information sur ce gus, j'en ai relevé des dizaines déjà, mais toutes les données ne concordent pas forcément parfaitement, et ça ne me plaît pas. Je m'en tiens pour l'heure à ce qui se recoupe, mais ça me dérange toujours et j'ai assez fouiné pour trouver le nom de la boîte qui édite son essai, et de la nana qui s'occupe de sa comm'. Prochain objectif : rencontrer ces personnes et parfaire la présentation du gars, hors de question d'écrire quelque chose qui ne soit pas parfaitement juste. Et même si son papier économique me passe douze kilomètres au-dessus de la tête, m'en farcir la lecture aussi. Je comprendrai pas forcément les détails de tout ça, mais je me fais assez confiance pour en retirer les grandes lignes - d'autant que j'ai déjà consulté un certain nombre de résumés de promotion publiés en ligne notamment par sa boîte de comm'. Lecture qui sera impérativement achevée avant la rencontre avec ces gens-là, je vais pas passer pour un charlot non plus en me pointant sans savoir de quoi je parle.

Bref. Gros morceau pour moi. Et je suis en plein dedans quand un numéro inconnu m'adresse un sms. Je suis toujours un peu sceptique quand je vois des numéros que je connais pas s'afficher sur mon téléphone, mais je pense qu'un certain nombre de conquêtes l'a quelque part dans ses affaires, et même si moi, je rappelle rarement, ça arrive que certain(e)s le fassent... Je suis cela dit agréablement surpris quand je vois la teneur - et l'origine - du message en question.

« Scotboy... »

Je pensais franchement plus qu'il me recontacterait - pourtant ce dernier baiser qui nous a valu le courroux de l'infirmière me laissait vaguement imaginer que si - et je crois que d'avoir de ses news, même aussi minimes qu'un texto, c'est un profond soulagement. Au moins, il est toujours en vie, et c'était pas si certain pour moi après tout ça.

« Scotboy ! J'y croyais plus... Alors qu'est-ce que tu deviens ? »

Je suis un peu anxieux de la réponse à mon sms en retour, mais surtout terriblement curieux. Et ravi d'avoir de ses nouvelles, faut dire ce qui est. Un coup d'oeil à mes recherches, mon papier à peine entamé sur informatique et... Mouais, je crois qu'aujourd'hui, j'arriverai plus à me concentrer là-dessus et j'ai enregistré ce que j'avais entamé avant de me caler dans mon canapé, ma guitare à la main, le téléphone juste devant moi, dans l'attente de sa réponse. Et quelques échanges plus tard, je tente de lancer un rendez-vous quelque part, histoire de confirmer visuellement qu'il va mieux...
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() message posté Dim 30 Nov 2014 - 0:27 par Invité

What if
i was accepted a tranplastation...

«  Vous avez le choix Monsieur Mackinnon. Nous avons tous le choix, nous vous proposons deux options :
- Nous pouvons vous faire une greffe de valve cardiaque qui pourront améliorer votre vie de manière plus récurrente qu'actuellement.
- La deuxieme option, se résume a améliorer votre appareil cardiaque, en y posant un nouveau modele plus resistant que l'ancien. »

Et si j'avais le choix… Le choix était une chose qui pourrait faire tuer le plus sage des hommes. J'avais passé la nuit dans un hopital après avoir fait peur à un homme que je venais a peine de rencontrer et pourtant il m'avait sauver la vie et je le trouvais bien plus interessant depuis ce soir là, j'ai passé plusieur jours à l'hopital après qu'il en soit partie. Je voyais encore ce papier aux couleurs de lucky strikes avec son numéro, je fixer ce petit bout de papier pendant des heures completement shooté aux calmant. Ce n'était pas la meilleure periode pour moi. Les options qu'on m'offrait en valait la peine, mais ce qui veut dire une opération lourde à coeur ouvert qui pourrait me laisser sur la table et l'autre benine que j'ai déjà supporter plusieurs fois par le passé. « Laissez… moi réflechir… Je… C'est risquer… Je ne sais pas si je suis prêt a prendre ce risque… Je vis avec ce coeur defectueux depuis… Longtemps déjà… L'habitude… » Je n'arrivais pas a reflechir correctement la morphine qu'on m'avais administrer pour calmer les douleurs de l'intervention d'urgence que j'ai subit me perturba intensement. «  Ewan, je te suis depuis ton retour à Londres. Je pense qu'il est bon que tu choisissent la première option… Tu es jeune ! Et tu vis comme un vieillard ou quelqu'un en phase terminal… Tu te prives des bonnes choses de la vie. Regarde tu m'as bien dit avoir eu cette crise cardiaque après avoir eu une relation sexuelle avec un homme non ? »Je me suis mis a rougir d'un coup, pourquoi j'ai balancé cela moi aussi nan mais franchemend… Bon Mon Cardiologue, le Dr Matthews était l'un des meilleurs dans son domaine c'est devenu meme un bon ami. Je me souviens que je l'avais rencontré en compagnie de Robin c'est au début de l'internat de  Robin qu'il avait travaillé dans le service du Dr Matthews et forcement Robin lui parla de mon cas. Je cherchais un Cardiologue a l'époque pour suivre mon cas. Et il me donna toujours de bonne occasion pour pouvoir me taquiner ou bien me donner les conseils qui me guida sur ce que je pensa être la bonne voix… J'aurais pu refuser l'opération n°1 cela m'empecherait d'aller en Mongolie… Mais j'eu un déclic… je pourrais mettre en option ma carrière le temps d'une opération et de la convalecence : « J'accepte la greffe… Je vous promet Dr Matthew, si je meurs sur votre table ! JE REVIENDRAIS VOUS HANTER PENDANT LA NUIT, JE TIRERAIS VOTRE COUVERTURE DEVANT VOTRE FEMME, JE VOUS PLANTERAI UN BOUQUET D'ORTIES DANS LE CUL ET VOUS VOUS GRATTEREZ POUR L'ETERNITE ! » Le medecin se mit a rire acceptant alors la promesse que j'avais faite. La morphine avait un effet plutôt dégueulasse sur moi, je voyais déjà l'image que mon coté sadique remontait tel un oiseau ivre qui remonte la falaise.

Il aura fallut 5 heures pour le Dr Matthew de changer mon coeur en mini Frankenstein, Un coté porc un Coté humain… Je trouvais cela repugnant quand même, Mon reveil fut le plus chaotique de ma vie. Julian était là a mon chevet en compagnie de Sam et Robin qui sont venu voir le Reveil du Beau au bois dormant. Je dois dire que mon coté Héros de couloir d'hôpital faisait fantasmer tout le monde, ce fut la premiere opération de ce genre faire par Matthew et c'était maintenant qu'on me le disait j'ai cru que j'allais vomir, mes cicatrices me tirait encore plus, je pouvais voir l'immense pansement sur ma poitrine me voila transformer a semi momie des carpates ! J'avais soif et pourtant  je ne voulais pas boire ni d'eau ni autre liquide… Je vis Julian bugait sur la table de chevet voyant le numéro de téléphone sur la table : « On te drague même à l'hopital Soul' ? » Je le regardais un peu ebeté alors que je me resouvenait encore de la dernière scène en compagnie  de Nate : « Non… Qui voudrait d'un mec au coeur semi cochon… C'est le numéro du gars avec qui j'étais le soir où j'ai fais ma crise... » Avouais-je d'un ton timide alors que Robin regardais mes dernières analyses, Julian me regarda d'un regard noir. Je me demandais pourquoi me regardait il ainsi. Il a toujours eu ce regard, le Jaloux perfide. Ma relation avec Jules était des plus bizarres, nous nous sommes rencontré quand nous étions enfant, j'étais sa petite bête aux rêves d'enfant. Mes histoire d'horloge et des trois règles le fit fantasmer durant toute son enfance au point que j'en sois devenu sa muse. « C'est pas ce Barman ? » Demanda Robin, j'eu un sourire en rougissant oui c'était bien ce barman, mais bizarrement je savais que si je parlais un peu trop je risquerai d'avoir les foudres de Fitzgerald. Je le trouvais adorable, même avec ses crises aussi flagrantes que les miennes. J'acquiesa seulement avant de demander à Robin : « As tu vu le Dr Matthews ? Qu'as t'il dit ? Je ne l'ai pas vu depuis mon réveil. Il semblerait qu'il soit au bloc d'après l'infirmière. » Robin se mit à sourire en ajoutant : « Ton opération fut un succés… D'ici quelques jours tu pourras sortir. Par contre tu dois rester à Londres quelques semaines pour ta convalessence. » J'acquiesa a chaque fois. Prenant note de ce que me disait Robin. Il était doué, je n'en doutai jamais, même si je ne veux pas qui joue avec mon coeur ! Je lui fairait pire que ce que j'ai promit a Dr Matthews !

Les jours ont passés… Une semaine, deux semaines… Je pouvais enfin sortir de ses murs blanc, la nuit je me suis faufiler dans les couloirs n'aimant pas rester accrocher a ce lit comme un vulgaire oreiller sale. J'avais rencontre Vincent, un enfant d'à peine 10 ans, aussi chauve qu'un œuf et pale comme un cachet d'aspirine, il se trainait dans les couloirs pour jouer avec ses fantomes. L'enfant avait une imagination débordantes, il me rapellait moi à son âge. Le premier soir, nous discutions, je lui racontais differentes histoire de mon passé, mes voyages et autres aventures que j'ai vécu. Quand le lendemain je mettais empresser de construire des ailes… Eventrant les oreillers pour recolter les plumes et les scotchers avec des pansement sur des tiges de fer recuperer dans des armoires. Et me voila serti de mes plus belles ailes et avec Vincent nous partions dans les contrès obscur de l'hopital… Jusqu'au jour, où je suis partie de l'hopital

Arriver chez moi, j'ai fait la connaissance d'Alfie Archibald, l'infirmier qui s'occuperait de moi durant quelque jours, son accent Australien me perturbait j'aimais en rajouter des couches avec mon accent ecossais… On s'employait a des joutes verbales plutôt intimidantes. En ouvrant mon sac j'aperçu le numéro de Nate, en prenant mon Téléphone je décide de l'enrengistrer et de lui envoyer un premier message… Au bout de quelques minutes, Alfie parti et je pouvais enfin me retrouver seul chez moi. Allonger sur mon canapé a scruter la verrière au plafond j'entendi mon portable sonner.

« Scotboy ! J'y croyais plus... Alors qu'est-ce que tu deviens ? »
Je me suis mis a sourire, ce surnom Scotboy. Je l'aimais bien, quoi que je n'étais plus tellement Ecossais maintenant mais l'idée était plaisante. Je lui repondait que j'ai passé ses dernieres semaines a l'hopital après avoir subit une greffe. Et que j'étais plus fort que jamais… Après quelques echanges nous avons prit l'audace de se revoir, je voulais le revoir et je voulais surtout le rassurer. Je lui avoua que je voulais fêter ça. Que je passerai surement avant la fin de son service. Histoire de partager un verre avec lui a nouveau. Je lui avoua qu'il me faudrait quelques jours de repos pour pouvoir sortir de chez moi. Je passerai surement dans quelques jours. Je voulais pas qu'il me voit avec cet enorme pansement.

Ce fut un jeudi soir, les bars était pas trop bonder c'était le milieux des grandes vacances et pourtant cette partie de la ville était deserte ce soir là. J'avais l'impression d'avoir rejoint une ville fantome a part quelques personnes qui se faufila des habitués sans doutes. Je suis passais devant le Barfly, j'étais habillé d'un polo blanc, mon teint était plus pâle que la dernière , je n'avais pas revu le soleil depuis presque un mois. Ca faisait toujours bizarre quand même. Un jeans et chaussure en cuir noir. J'avais pris ce qui me restait d'accessible , une veste sous le bras et je m'approcha de la porte. Il était 23 heures, j'avais prevenu nate que je passerai se soir là et qu'il travaillait bien. L'idée de le revoir me terrassait. Je ne savais pas si je serais a la hauteur, je n'avais certe plus de pansement, mais la cicatrice était visible, ce grand trait qui glissa le long de ma cage thoracique. Une que je rajoute a ma collection, mon torse était un veritable champs de bataille. Je poussa les portes du bar, voyant le jeune homme au bar, un sourire aux lèvres je me suis approcher : «  Hi cocktail boy ! Et si tu me servais une bière mon brave. » Lui demandais-je d'un grand sourire pour lui montrer que j'étais ce genre  de Heros qui ne meurt pas, le grand l'unique ! Ewan MacKinnon ! Celui qui a vecu avec une horloge enfant et s'en sort plutôt bien avec un coeur de porc !

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Nathanael E. Keynes
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() message posté Dim 30 Nov 2014 - 17:08 par Nathanael E. Keynes
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Jeudi 10.07.2014 • North London • Barfly
Une greffe. C'est pas rien, et je suis assez surpris qu'il soit déjà dehors, autorisé à rentrer chez lui, à vivre sa vie, loin de l'hôpital. J'imagine bien qu'il a encore tout un tas de soins, mais n'empêche que ça me semble tôt et que d'un côté, je reste inquiet. Est-ce qu'il aurait refusé de rester, signé une décharge à l'hosto comme quoi il s'engageait à ne pas les poursuivre, si jamais il lui arrivait quelque chose parce qu'il a refusé de rester malgré leur avis ? C'est pas mes oignons, pourtant, et je suis pas médecin non plus. J'ai cette impression que c'est vachement tôt, mais peut-être que je me plante. Du coup, ça me trotte dans la tête, vraiment. N'empêche, cela dit, que je suis content d'avoir de ses news, et la façon dont il souligne qu'il est plus fort que jamais me fait sourire.

Quelques messages, donc, sortis de nulle part, et voilà qu'on se donne rendez-vous, plus ou moins. Il passera au bar, quand il sera tout de même un peu plus sur pieds - ce qui me semble tout à fait normal, forcément - avant la fin de mon service. Je lui ai juste signifié qu'il valait mieux qu'il évite de venir un dimanche ou un lundi soir, auquel cas il risquerait d'être déçu, et quelques jours ont passé.

Et puis j'ai reçu ce message cherchant confirmation que je serai bien au Barfly ce soir, ce que j'ai aussitôt confirmé. Avec peut-être un peu trop d'enthousiasme, il faut bien l'admettre. Et un sourire trop grand, peut-être aussi, quand je l'ai vu passer les portes.

« Hi Cocktail Boy ! Et si tu me servais une bière mon brave.
- Mon brave ? C'est comme ça que tu m'appelles maintenant ? Je préfère que tu restes sur Cocktail Boy... Brune ? »


Un grand sourire toujours accroché au visage, je lui ai servi sa bière après confirmation de celle qu'il souhaitait. Et puis je suis resté de son côté un petit moment, les bras croisés sur le comptoir. Les clients se bousculent pas vraiment en ce moment, et le jeudi, c'est pas vraiment le meilleur soir de la semaine. Y a eu quelques soirs mémorables, mais les vacances n'aident pas beaucoup, et le groupe tout juste audible au fond non plus. Et je me surprends à me demander comment ça se finira, ce soir. Parce que malgré la fin de la nuit aux urgences, faut bien dire ce qui est, c'est franchement un bon coup - un des meilleurs que j'aie eus, je crois, et pourtant, j'en ai eu d'autres des nuits agitées, dirons-nous, et même des... très intéressantes, on va dire, ne serait-ce qu'il n'y a que quelques jours...

« Comment ça se passe maintenant ? T'es presque comme neuf ? »

Je garde pour moi la question qui me brûle les lèvres. C'est pas un peu tôt, dis, pour la bière et... le reste ? Que je sache au moins cette fois, si l'envie me prend de te sauter dessus quoi...
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() message posté Jeu 11 Déc 2014 - 22:49 par Invité

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J'avais cette sensation de revenir sur les lieux d'un crime. Mais cela m'amusait encore plus d'avantage, en rentrant j'observa Nate qui semblait sourire au lèvre m'ayant aperçu. Je me sentais beaucoup plus vivant et pourtant je n'aurais jamais pensé avoir accepté. Cela dit je m'accoude au bar demandant à Nate de me servir une bière en l'apellant Mon brave. moi qui voulait faire preuve de distinction c'était raté!
« Mon brave ? C'est comme ça que tu m'appelles maintenant ? Je préfère que tu restes sur Cocktail Boy... Brune ? » Je me suis mis à rire sur le coup : « Mais c'est Mignon mon brave, mais si tu veux que je te compare a Tom Cruise jusqu'à la fin des jours c'est ton probleme hein ! Oui une brune tu seras mignon ! » Disais-je avant de m'asseoir. C'est alors que j'aperçu la boisson atterir devant mes yeux, je commencais a l'entamer alors quee mes yeux se plongea dans les siens l'espace d'un long moment, un sourire au lèvre. Je redoutais les retrouvailles avec nate, après tout vu les dernières heures ensemble c'était pas les plus formidable, je dois dire que pour reussit a me fait une crise cardiaque c'est que Nate n'était pas un sale coup loin de là. Je dois dire que j'en ai pas enormement eu du sexe masculin. Et pourtant il se place haut dans le top trois... C'est alors qu'il me demanda: « Comment ça se passe maintenant ? T'es presque comme neuf ? » Je me suis mis a sourire hochant la tête en posant mon verre lui ajoutant: « Oui ! La cicatrice tire encore un peu, mais mon cardiologue ma laissé sortir de chez moi donc c'est que tout vas bien. Il vas me falloir une tonne de fond de teint de pro pour cacher cela... Elle est assez impressionante. » Lui disais-je passant des doigts sur mon torse grattant legerement, la cicatrisation était terminer depuis deux bonnes semaines mais les démangeaison etait touours là. Cela dit je remarqua dans le regard de Nate qu'il semblait heureux de me voir, et j'avais cette vision de lui et moi sur mon canapé a prendre un pied phénoménal. Je repensais ce que me disais mon medecin, de faire gaffe au sexe... Il y a encore trois semaines, mais il y a deux jours il m'avoua que j'avais le coeur solide a present que je pouvait me remettre au sport... Bizarrement cela voulait tout dire. C'est alors que je lui avoua : " En tout cas Mon cardiologue m'a bien avouer que je pouvait me remettre au sport a present... " Disais d'un sourire amusé en haussant un sourcil en reprenant a nouveau une gorgée. Je foncais certe dans le tas mais surement l'uephorie du moment.



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() message posté Mer 17 Déc 2014 - 23:46 par Nathanael E. Keynes
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Jeudi 10.07.2014 • North London • Barfly
Distinction, c'est pas tout à fait le terme que j'aurais employé. Mon brave, ça me fait pas vraiment penser à une démarche sympathique. Bon, manifestement, lui l'entendait pas de façon négative, mais n'empêche que je suis pas super fan de l'expression, et je me gêne pas pour le lui dire, pas méchamment pour autant cela dit. Le ton de la conversation, simplement.

« Mais c'est mignon mon brave, mais si tu veux que je te compare a Tom Cruise jusqu'à la fin des jours c'est ton probleme hein ! Oui une brune tu seras mignon !
- Mais je suis toujours mignon. Et disons que je trouve ça plutôt condescendant, en fait. Je préfère encore Tom Cruise, même s'il est beaucoup trop petit, définitivement. »


Un sourire de ma part, comme quoi je prends pas du tout ça de travers. Je m'en fous un peu, c'est pas comme si j'avais quoi que ce soit à prouver à ce niveau-là, je crois bien... Et puis y a plus intéressant, plus important, genre son état de santé, maintenant. Comme neuf, donc ?

« Oui ! La cicatrice tire encore un peu, mais mon cardiologue ma laissé sortir de chez moi donc c'est que tout va bien. Il va me falloir une tonne de fond de teint de pro pour cacher cela... Elle est assez impressionante.
- J'en doute pas... »


Et elle doit faire complètement oublier les plus anciennes, mais ça, je vais me garder de le souligner. Je sais pas ce qu'il pense de ses blessures de guerre, au fond, c'est peut-être un sujet sensible, qui sait ?

« En tout cas, mon cardiologue m'a bien avouer que je pouvais me remettre au sport à présent... »

J'ai éclaté de rire, purement et simplement.

« Tu perds pas le nord, Scotboy ! »

Pas que ça soit déplaisant en soi, hein, mais bon, c'est pas que j'ai encore quelques heures de boulot devant moi, mais... si un peu quand même. Je devrais peut-être pas envisager de remettre ça, vu comme la première fois s'est terminée, et peut-être qu'il me raconte des cracks concernant le verdict de son cardiologue, mais... Bon, il m'a pas vraiment l'air d'un type porté sur l'autodestruction à outrance, les petits gestes vers son torse indiquent clairement les démangeaisons qu'une cicatrisation en cours engendrent, alors je me dis que je peux lui faire un minimum confiance. Et puis faut dire ce qui est, il reste un très bon coup, malgré le dernier acte plutôt tragique. C'est pas comme si ça m'était jamais arrivé de remettre ça quand un type ou une nana mettait la barre très haut quoi...

« Faut voir... Je dois prévoir de finir ma nuit aux urgences, ou je peux envisager de dormir un peu après t'avoir fait prendre ton pied ? »

Aucun complexe à ce sujet, par contre, non. Ici, tout le monde sait que je me tape à la fois des mecs et des nanas, et tout le monde sait tout aussi bien que je m'attache pas, que je passe du bon temps à droite à gauche, alors non, je me pose absolument aucune question quant à la façon dont on va me regarder après. Sans doute que certaines clientes détourneront le regard comme elles me voient brancher un mec... Et après ? J'ai pas l'intention de changer qui je suis, pour personne. Je le fais déjà pas pour mes vieux alors certainement pas pour des inconnus... La suite... On la connaît, finalement. On part tous les deux, on passe du bon temps. Et qui sait, peut-être qu'on se reverra un jour, peut-être pas. Seul l'avenir nous le dira...
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