Sometimes the best we can do is to reming each other that we’re related for better or for worse ✻✻✻ La ville filait à travers la vitre du taxi, et c’était avec un léger sourire que je revoyais la ville qui m’avait vu naître. Cela faisait un an que je n’avais mis les pieds dans cette ville, et elle m’avait manqué. Ce n’était pas à cause de la nourriture, ni même de l’ambiance… Mais le cœur était attaché aux endroits peuplés par les personnes qui y ont fais leur place. Et Londres, malgré ses journées pluvieuses et ses ciels gris était un endroit qui m’était cher. Mes doigts glissèrent sur l’écran de mon téléphone qui s’alluma afin d’afficher l’heure et je soupirai encore une nouvelle fois, ma main libre se perdant dans mes mèches brunes. Je n’avais qu’une hâte : arriver à l’appartement de Scarlet. Pour une fois que c’était moi qui venait à elles, et non l’inverse, je m’estimais heureux de pouvoir profiter de l’appartement de l’une d’elles sans passer par la case hôtel. Je devrais être habituer après des années de mannequinat qui m’avaient menés dans tous les recoins du monde pour défiler. Et pourtant je rêvais de ce cocon familial et cette cuisine dans laquelle je pourrais cuisiner à mon bon plaisir. « Nous sommes arrivés, Monsieur. » Je sortis de ma torpeur pour accorder au chauffeur un léger sourire, tendant vers lui quelques billets qui payèrent ma course à travers les rues de Londres. J’ouvris la porte et jura silencieusement en sentant le vent frais me gifler le visage. Quelle idée de venir pour les fêtes de fin d’années à Londres alors que je venais de passer trois semaines en Floride. Pourtant, la vue de l’immeuble abritant l’appartement de ma demi-sœur réchauffa mon corps encore sous le choc du changement de température. Mon visage s’adapta pour laisser place à un sourire impressionné par la bâtisse. Malgré nos différentes mères, nous venions tous les trois d’une belle classe moyenne, certes, mais pas au point de pouvoir nous offrir des appartements ainsi. J’attrapai la valise que me tendait le chauffeur, et prit la direction de la porte d’entrée. Arrivé dans le hall, heureusement chauffé, je poussai le bouton approprié. J’attendis que ma sœur réponde à l’interphone, et parla alors rapidement, mon ton aussi froid que l’air dehors. « Je suis en train de me les peler dehors, alors tu ferrais mieux d’ouvrir petite sœur. » Un rire étouffé se fit entendre, alors que j’étais déjà au niveau de la porte pour l’ouvrir. Une fois dans l’ascenseur, je composai l’étage voulu. Malgré mon ton glacial, j’avais vraiment hâte de la voir, tout comme Ginny. Se retrouver tous les trois à Londres pour les fêtes était une magnifique idée. Tout comme le fait de me laisser derrière les fourneaux, car je doutais que les talents des jumelles en cuisine avaient dépassé le stade ‘ouvrir les placards, prendre le téléphone et commander des sushis’. Bien sûr, il fallait laisser le mannequin tout faire. Les portes de l’ascenseur s’ouvrirent et je m’engouffrai rapidement dans le couloir pour voire une porte à ma gauche ouverte. Un sourire immense étira mes lèvres, et mes pas se firent plus rapides, malgré le poids de ma valise que je trainais derrière moi. Dans un mouvement ample, je pris le corps fin de ma sœur, qui était dans l’embouchure de la porte, dans mes bras. « Scarlet ! Comme je suis content de te voir ! Tu vas bien ? » Je reposai ma sœur sur le sol et la regardai avec tendresse. J’avais encore du mal à associer la petite fille que j’avais rencontré il y a des années avec la jeune femme devant moi. Et ce fut la maladie de ma grand mère maternelle qui avait obligé ma mère à revenir rapidement à Londres, alors que nous vivions à Paris, qui m’avait permis de rencontrer mes demis-sœurs. Raison morbide, certes. Et alors que ma mère avait planifié notre séjour de quelques années au Brésil, ce dernier fut annulé. Et nous étions restés à Londres, et j’avais pu alors rencontré Eugenia et Scarlet. Et je ne le regrettais pas. Absolument pas. Et puis, j’avais pu découvrir le Brésil avec Adriana et Alessandra, je n’allais pas me plaindre. « Ginny est là ? » Et même alors que ma mère avait continué, en m’emmenant, à parcourir le monde, nous avions gardé contact. Même si je n’avais jamais été responsable, j’avais essayé d’être un grand frère raisonnable, allant même jusqu’à les chercher après leurs soirées. Et mon dieu qu’elles étaient chiantes à se faire des blagues de gamines. C’était vraiment pas leurs années phares. Le soupire lâché par Scarlet me fit rire, et la phrase qui suivit en fit de même. Après un geste pour me faire rentrer, je lâchai ma valise au milieu du salon, tout en enlevant mon manteau pour le jeter je ne sais où et me laisser tomber lourdement dans un fauteuil. « L’année prochaine, on va à Hawai. Je paye. Joyeux Noel. » Je renversai ma tête en arrière, tentant de percer les mystères du ciel gris pour savoir si nous allions avoir de la neige pour Noel. « Tu sais quand Papa arrive à Londres ? »Il devait faire le voyage jusqu’à la capitale, et j’avais également hâte de le voir. Ma mère, quant à elle, était à Paris, avec mes autres demi frères et sœurs. « Bon, Scar. Que se passe t’il dans ta vie ?Une copine que je dois aussi aller terroriser ? Ou la rendre hétéro aussi, si tu veux t'en débarrasser et bien rigoler! Oh, tu veux que je cuisines quoi pour Noel.. faudrait que j’aille faire les courses. »
growing up as one instead of three ✻✻✻ Epuisée, Scarlet s’effondra sur le canapé, essayant de réfléchir à ce qu’elle avait potentiellement oublié. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas eu de la visite dans son appartement et accessoirement, longtemps qu’elle n’avait pas vraiment nettoyé comme il l’aurait fallu. Après tout, elle vivait seule et n’avait à ce soucier que de son propres conforts et de ceux des amis qui venaient occasionnellement. Cette fois-ci cependant, Eugenia, Bartholomew et elle s’était mis d’accord pour célébrer le réveillon de Noël chez elle, car elle était celle qui avait la plus grande table à manger – sans qu’elle ne comprenne nécessairement pourquoi. Son deux-pièces était loin d’être luxueux mais il lui suffisait amplement. Elle aurait pu déménager dans plus grand depuis qu’elle avait eu une rentrée d’argent mais elle était toujours seule et les loyers de Londres étaient exorbitants. Si cela n’avait tenu qu’à elle, elle aurait certainement essayé de se trouver un colocataire mais elle n’avait pas eu l’énergie d’en chercher et elle n’en avait pas eu particulièrement besoin. Se relevant, elle se dirigea vers le sapin qui était toujours qu’à moitié décoré et entreprit de terminer d’accrocher toutes les boules se trouvant dans le carton qu’elle ressortait chaque année. Lorsque ce fut fait, elle emballa rapidement les cadeaux qu’elle avait acheté pour sa sœur et son demi-frère et les entreposa sous le sapin, essayant d’ignorer le fait que les deux paquets faisaient triste mine, tous seuls. Finalement, elle jeta un coup d’œil à l’heure, estimant qu’il lui restait environs une heure avant l’arrivée de Bartholomew. Après une douche rapide, elle choisit des vêtements simples mais qui changeait de son jogging qu’elle se trainait habituellement lorsqu’elle ne sortait pas et se maquilla légèrement. Elle n’avait mis qu’un pied dans le salon lorsque l’interphone se mit à sonner. Un sourire aux lèvres, elle se précipita pour ouvrir. « Je suis en train de me les peler dehors, alors tu ferrais mieux d’ouvrir petite sœur. » Elle étouffa un rire et appuya sur le bouton pour lui ouvrir, avant de se diriger vers la porte pour l’ouvrir. Elle patienta quelques secondes, jusqu’à reconnaître le visage de son frère et n’eut pas le temps d’ouvrir la bouche avant qu’il ne la prenne dans les bras. Cela faisait une éternité qu’elle ne l’avait pas vu et il lui avait terriblement manqué. Ils n’auraient pas dû être aussi proches, n’ayant pas grandi ensemble et n’ayant pas la même mère. Mais Bartholomew avait été là pour une grande partie de leur adolescence et le fait qu’ils trainent tous les trois ensemble avait fait qu’au final Scarlet avait été plus proche d’Eugenia, plus proche qu’elles ne l’étaient avant de le rencontrer. De plus, avoir un frère, plus âgé, voulait dire qu’ils ne s’étaient jamais véritablement chamaillés, puisqu’il avait toujours eu sept ans de plus qu’elles. « Scarlet ! Comme je suis content de te voir ! Tu vas bien ? » s’exclama Bartholomew en la relâchant. Elle lui fit un sourire, s’écartant pour le laisser entrer avec sa valise. Malheureusement, elle n’avait pas de chambre d’appoint mais ils avaient convenu qu’il dormirait sur le canapé tandis que les jumelles partageraient le lit de Scarlet. « Moi aussi, tu m’as manqué Barty, » répondit-elle finalement en refermant la porte derrière eux. « Ca va bien et toi ? » Elle l’aida à tirer sa valise dans l’entrée et se redressa finalement, tandis qu’il se dirigeait vers le fauteil, s’installant confortablement. Elle ne tarda pas à le rejoindre en s’asseyant sur le canapé, jetant un coup d’œil à sa montre. « Ginny est là ? » Scarlet sourit, tout en lâchant un petit soupir, arrachant un rire à son frère. « Tu la connais. Elle va surement arriver d’une minute à l’autre, je pense. » Elle ne savait pas exactement combien de temps sa sœur mettrait pour arriver mais elle essayait toujours d’être au plus ou moins à l’heure, malgré quelques minutes de retard. Bartholomew semblait véritablement heureux de la voir et ne pouvait visiblement pas s’empêcher de parler. « L’année prochaine, on va à Hawai. Je paye. Joyeux Noel. » déclara-t-il. « Tu sais quand Papa arrive à Londres ? » Scarlet secoua la tête, se relevant pour se diriger vers la cuisine. « T’aurais pu proposer ça pour cette année, ingrat, » le taquina-t-elle en ouvrant le frigo. « Papa, je sais pas encore, il t’a rien dit ? Tu veux que je te serve un verre d’ailleurs ? » ajouta-t-elle en passant en revue ce qu’elle avait. A part de la bière et la bouteille de champagne pour plus tard, elle n’avait malheureusement pas pensé à faire des provisions. Elle referma le frigo, sortant deux bières. « « Bon, Scar. Que se passe t’il dans ta vie ?Une copine que je dois aussi aller terroriser ? Ou la rendre hétéro aussi, si tu veux t'en débarrasser et bien rigoler! Oh, tu veux que je cuisines quoi pour Noel.. faudrait que j’aille faire les courses. » Elle esquissa un sourire, haussant un sourcil et lui tendit une bière avant de se rasseoir. « Pour les courses, ça tombe bien, j’ai absolument rien dans mon frigo. Et je te fais confiance pour la recette. » Elle déboucha sa bouteille et pris une gorgée, levant les yeux vers le plafond pour faire mine de réfléchir. « Sinon… non pas de copine, » admit-elle avec un sourire. « Mais c’est pas le plus important. » Elle se redressa, laissant un silence s’installer pour l’effet. « Je l’ai déjà dit à Ginny mais… J’ai un autre recueil qui va être publié. » Un autre recueil de ses nouvelles, un autre recueil qui rendait son rêve possible.
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Sometimes the best we can do is to reming each other that we’re related for better or for worse ✻✻✻ La ville filait à travers la vitre du taxi, et c’était avec un léger sourire que je revoyais la ville qui m’avait vu naître. Cela faisait un an que je n’avais mis les pieds dans cette ville, et elle m’avait manqué. Ce n’était pas à cause de la nourriture, ni même de l’ambiance… Mais le cœur était attaché aux endroits peuplés par les personnes qui y ont fais leur place. Et Londres, malgré ses journées pluvieuses et ses ciels gris était un endroit qui m’était cher. Mes doigts glissèrent sur l’écran de mon téléphone qui s’alluma afin d’afficher l’heure et je soupirai encore une nouvelle fois, ma main libre se perdant dans mes mèches brunes. Je n’avais qu’une hâte : arriver à l’appartement de Scarlet. Pour une fois que c’était moi qui venait à elles, et non l’inverse, je m’estimais heureux de pouvoir profiter de l’appartement de l’une d’elles sans passer par la case hôtel. Je devrais être habituer après des années de mannequinat qui m’avaient menés dans tous les recoins du monde pour défiler. Et pourtant je rêvais de ce cocon familial et cette cuisine dans laquelle je pourrais cuisiner à mon bon plaisir. « Nous sommes arrivés, Monsieur. » Je sortis de ma torpeur pour accorder au chauffeur un léger sourire, tendant vers lui quelques billets qui payèrent ma course à travers les rues de Londres. J’ouvris la porte et jura silencieusement en sentant le vent frais me gifler le visage. Quelle idée de venir pour les fêtes de fin d’années à Londres alors que je venais de passer trois semaines en Floride. Pourtant, la vue de l’immeuble abritant l’appartement de ma demi-sœur réchauffa mon corps encore sous le choc du changement de température. Mon visage s’adapta pour laisser place à un sourire impressionné par la bâtisse. Malgré nos différentes mères, nous venions tous les trois d’une belle classe moyenne, certes, mais pas au point de pouvoir nous offrir des appartements ainsi. J’attrapai la valise que me tendait le chauffeur, et prit la direction de la porte d’entrée. Arrivé dans le hall, heureusement chauffé, je poussai le bouton approprié. J’attendis que ma sœur réponde à l’interphone, et parla alors rapidement, mon ton aussi froid que l’air dehors. « Je suis en train de me les peler dehors, alors tu ferrais mieux d’ouvrir petite sœur. » Un rire étouffé se fit entendre, alors que j’étais déjà au niveau de la porte pour l’ouvrir. Une fois dans l’ascenseur, je composai l’étage voulu. Malgré mon ton glacial, j’avais vraiment hâte de la voir, tout comme Ginny. Se retrouver tous les trois à Londres pour les fêtes était une magnifique idée. Tout comme le fait de me laisser derrière les fourneaux, car je doutais que les talents des jumelles en cuisine avaient dépassé le stade ‘ouvrir les placards, prendre le téléphone et commander des sushis’. Bien sûr, il fallait laisser le mannequin tout faire. Les portes de l’ascenseur s’ouvrirent et je m’engouffrai rapidement dans le couloir pour voire une porte à ma gauche ouverte. Un sourire immense étira mes lèvres, et mes pas se firent plus rapides, malgré le poids de ma valise que je trainais derrière moi. Dans un mouvement ample, je pris le corps fin de ma sœur, qui était dans l’embouchure de la porte, dans mes bras. « Scarlet ! Comme je suis content de te voir ! Tu vas bien ? » Je reposai ma sœur sur le sol et la regardai avec tendresse. J’avais encore du mal à associer la petite fille que j’avais rencontré il y a des années avec la jeune femme devant moi. Et ce fut la maladie de ma grand mère maternelle qui avait obligé ma mère à revenir rapidement à Londres, alors que nous vivions à Paris, qui m’avait permis de rencontrer mes demis-sœurs. Raison morbide, certes. Et alors que ma mère avait planifié notre séjour de quelques années au Brésil, ce dernier fut annulé. Et nous étions restés à Londres, et j’avais pu alors rencontré Eugenia et Scarlet. Et je ne le regrettais pas. Absolument pas. Et puis, j’avais pu découvrir le Brésil avec Adriana et Alessandra, je n’allais pas me plaindre. « Ginny est là ? » Et même alors que ma mère avait continué, en m’emmenant, à parcourir le monde, nous avions gardé contact. Même si je n’avais jamais été responsable, j’avais essayé d’être un grand frère raisonnable, allant même jusqu’à les chercher après leurs soirées. Et mon dieu qu’elles étaient chiantes à se faire des blagues de gamines. C’était vraiment pas leurs années phares. Le soupire lâché par Scarlet me fit rire, et la phrase qui suivit en fit de même. Après un geste pour me faire rentrer, je lâchai ma valise au milieu du salon, tout en enlevant mon manteau pour le jeter je ne sais où et me laisser tomber lourdement dans un fauteuil. « L’année prochaine, on va à Hawai. Je paye. Joyeux Noel. » Je renversai ma tête en arrière, tentant de percer les mystères du ciel gris pour savoir si nous allions avoir de la neige pour Noel. « Tu sais quand Papa arrive à Londres ? »Il devait faire le voyage jusqu’à la capitale, et j’avais également hâte de le voir. Ma mère, quant à elle, était à Paris, avec mes autres demi frères et sœurs. « Bon, Scar. Que se passe t’il dans ta vie ?Une copine que je dois aussi aller terroriser ? Ou la rendre hétéro aussi, si tu veux t'en débarrasser et bien rigoler! Oh, tu veux que je cuisines quoi pour Noel.. faudrait que j’aille faire les courses. » 
growing up as one instead of three ✻✻✻ Epuisée, Scarlet s’effondra sur le canapé, essayant de réfléchir à ce qu’elle avait potentiellement oublié. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas eu de la visite dans son appartement et accessoirement, longtemps qu’elle n’avait pas vraiment nettoyé comme il l’aurait fallu. Après tout, elle vivait seule et n’avait à ce soucier que de son propres conforts et de ceux des amis qui venaient occasionnellement. Cette fois-ci cependant, Eugenia, Bartholomew et elle s’était mis d’accord pour célébrer le réveillon de Noël chez elle, car elle était celle qui avait la plus grande table à manger – sans qu’elle ne comprenne nécessairement pourquoi. Son deux-pièces était loin d’être luxueux mais il lui suffisait amplement. Elle aurait pu déménager dans plus grand depuis qu’elle avait eu une rentrée d’argent mais elle était toujours seule et les loyers de Londres étaient exorbitants. Si cela n’avait tenu qu’à elle, elle aurait certainement essayé de se trouver un colocataire mais elle n’avait pas eu l’énergie d’en chercher et elle n’en avait pas eu particulièrement besoin. Se relevant, elle se dirigea vers le sapin qui était toujours qu’à moitié décoré et entreprit de terminer d’accrocher toutes les boules se trouvant dans le carton qu’elle ressortait chaque année. Lorsque ce fut fait, elle emballa rapidement les cadeaux qu’elle avait acheté pour sa sœur et son demi-frère et les entreposa sous le sapin, essayant d’ignorer le fait que les deux paquets faisaient triste mine, tous seuls. Finalement, elle jeta un coup d’œil à l’heure, estimant qu’il lui restait environs une heure avant l’arrivée de Bartholomew. Après une douche rapide, elle choisit des vêtements simples mais qui changeait de son jogging qu’elle se trainait habituellement lorsqu’elle ne sortait pas et se maquilla légèrement. Elle n’avait mis qu’un pied dans le salon lorsque l’interphone se mit à sonner. Un sourire aux lèvres, elle se précipita pour ouvrir.