"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Flashback " You feel so good you make me stutter" ft SOULMATE - Page 2 2979874845 Flashback " You feel so good you make me stutter" ft SOULMATE - Page 2 1973890357
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Flashback " You feel so good you make me stutter" ft SOULMATE

 :: It's over :: Corbeille :: Anciens RP
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() message posté Jeu 20 Nov 2014 - 13:32 par Invité
Camden Town ; with a man I love too much “The love of man to woman is a thing common and of course, and at first partakes more of instinct and passion than of choice; but true friendship between man and man is infinite and immortal.–Plato-” Il était mal à l'aise. Je pouvais saisir, sentir, et apprécier toute l'ampleur de mon effet sur lui. Aussi tordu et malsain cela puisse-t-il paraître, c'était agréable de le voir ployer face à mon charme dévastateur. Je lui lançai un regard fuyant avant de me redresser dans mon siège avec toute l'arrogance et l'assurance qui me caractérisaient. Il était si facile pour moi d'arborer le masque de froideur. C'était plus commode ainsi. Je ne voulais pas sombrer pour les écarts de conduites d'un corps faible et éclopé. Ewan m'attirait, mais je n'étais pas fait pour ce genre de relation. Je crispais mes doigts autour de mon verre de whisky. Ewan m'attirait, mais je ne pouvais rien lui apporter de bon. Je louchai en direction de la bouteille. Je n'avais plus le cœur à boire, mais je noyais mes lèvres dans la boisson brûlante pour me donner une certaine contenance. Tout à coup, toute cette situation me semblait puérile et ridicule. Je me détachais peu à peu de lui.

« Je n'en doute pas, Ewan. » Lançai-je dans un souffle presque inaudible. « Je ne doute pas de la sincérité de ton amitié. Je suis juste déçu.» Je marquai un silence, lors duquel mon regard azur croisa le sien. Son visage était livide, et malgré son expression affligée j'arrivais encore à trouver quelque chose de beau et de rassurant dans chacun de ses traits. Mon coeur se serra. « Je suis en colère. Et j'avais envie de te frapper.» Avouai-je plus pour moi-même. Je voulais pointer la vraie raison de ma visite afin de garder mon sang froid. Je ne voulais pas faiblir face à la tentation. Ewan était un être d'exception. Au fond, je ne pouvais blâmer mon coeur de battre, ni mon âme de chanceler. Je me raclai doucement la gorge tandis qu'il se lançait dans une débâcle fraternelle. Mes yeux étaient clos. Je refusais de m'émouvoir face à sa plaidoirie. Ses sentiments ne justifiaient pas son abandon. Ce n'était qu'une étreinte chaleureuse et trompeuse; il me réconfortait avant de me lâcher à nouveau. Je me sentais gagné par une sensation désagréable de déjà-vu. Je revoyais le visage de toutes ces personnes qui avaient un jour failli à mes promesses : Ma mère, mon père, mon oncles, Eugenia ...

« C'est une bonne chose ce voyage.  » Rétorquai-je d'un air sérieux. « Je ne pars pas seul. » Je baissai les yeux d'un air presque coupable. Je ne voulais pas m'attarder dans un récit personnel. Après tout ma relation avec Athénaïs était encore très compliquée. Elle m'emmenait quelque part pour soigner mes plaies, mais concrètement, elle ne m'appartenait pas.

Le prénom de Gisel sonnait comme une menace dans ma tête. Je n'aimais pas cette danseuse briseuse de rêves, et pourtant j'avais trop souvent entendu parler d'elle. Je posai mon verre sur la table avant de tapoter sur les poches de ma veste à la recherche de cigarettes. Ma bouche se ferma sur la tige mal roulée de mon joint.

« On appelle ça la frénésie de la chasse. Une fois que tu as capturé ta proie, tu perds toute l'excitation du moment. Je ne sais pas ce que tu ressens pour Gisel, mais tu semblais obsédé par elle. Peut-être que tu fais une fixette. » Je fis la moue en réalisant, qu'à mon tour, je n'étais qu'une autre de ses fixettes. J'inhalais les poisons de cannabis et de nicotine mélangés avant de lui sourire. « ça te passera ... » Tout à coup, je ne parlais plus de Gisel ou de ses autres conquêtes. Il ne s'agissait plus que de nous deux.

Ewan posa brusquement la main sur moi. Je sentis mon torse se bloquer. L'air me manquait, et j'étais suspendu à ses lèvres. Ses yeux pétillants me dévisageaient avec une sincérité déroutante. Je déglutis.

« Tu ne me perdras pas, Ducon ... » Marmonnai-je en levant les yeux au ciel. Les excès d'affections me gênaient. Je sentis mes joues s’empourprer tandis que j'effectuais un mouvement de recul. « Pousses-toi je vais te brûler! » Braillai-je en grimaçant. « Tu reviens quand exactement ? »

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() message posté Dim 30 Nov 2014 - 2:27 par Invité

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Je comprendrais de plus en plus les choses, je voyais Julian m'idéalisait comme un enfant idéalise son héros. Et ce fut comme à chaque fois : l'hécatombe, je venais de prouver à Julian que je n'étais pas si parfait que ça, malgré les sentiments que j'avais pour lui. Je me doutais bien que ce ne serait pas bon de me mettre avec lui, ce n'était qu'une passade j'en était persuadé et puis avec l'arriver Gisel dans ma vie, bien qu'elle sera courte. J'arriverai a passer le pas, malgré tout ça je me doute bien que l'egypte sera une bonne retraite spirituel pour tout ça. Alors que je lui avouais qu'il comptais enormement pour moi, je sentais qu'il s'éloigner et je le laissa. Je commençais a avoir peur de le perdre. Je ne voulais pas, il était devenu trop important pour moi pour disparaître comme la fumée de sa cigarette :

« Je n'en doute pas, Ewan. » Dans un sens cela me rassura, mais j'ai eu un doute l'espace d'un instant s'il me croyais ou non et savoir s'il doutais ou non de ma sincérité finalement il me rassura sur ce point :  « Je ne doute pas de la sincérité de ton amitié. Je suis juste déçu.» J'eu un leger sourire sur les lèvres, malgré la fatigue j'aurais pu tout de même m'endormir sur place. Mais son regard se croisa au mien, laissant alors placé un silence. Je m'en voulais tellement, je voyais sa vision de moi s'effondrer dans son regard. : « Je… comprend... » Je voulais au moins lui faire comprendre que je savais que tout ceci le decever, l'image du héros qui part en fumé :« Je suis en colère. Et j'avais envie de te frapper.» Je me reculais legerement, je n'étais pas en état de ce recevoir un coup de poing, je baissa les yeux legerement. Je ne pouvais pas lui reprocher d'être en colère et je meriterai ce coup de poing… «  Je l'aurais mérité sans doute » disais-je d'un rire jaune. Avant qu'il change de conversation me parlant de son voyage à Paris. « C'est une bonne chose ce voyage.  » Je n'en doutais pas une seconde je voulais lui dire mais cela dit une révélation me surprena : « Je ne pars pas seul. » J'arqua un sourcil, je vis son regard baisser tel un enfant coupable. Je ne comprenais pas sa réaction soudaine : « Et… Qui est cette inconnue ? » lui demandais-je alors que je me doutais que c'était une femme. Seule une femme pourrait l'emmener a l'autre bout de la manche pour l'aider. C'était un homme romantique et surtout dévoué aux femmes… Sacré Julian. Malgré qu'il souffre il trouve toujours le temps de faire plaisir a une femme.

C'est alors que je décide de lui parler de Gisel, il devait le savoir. Il connaissais déjà son existance. La miss acacia qui me surprenait de ses petits talons aiguilles. Mais je sentais bien que tout ceci n'était qu'un tour de magie pour me jeter de la poudre aux yeux. Notre rencontre s'est finit mal. J'ai sentis que tout ceci n'était pas ce que je voulais, je venais de perdre bon nombre de nuit a fantasmer sur cette nuit, malgré que le baiser soit magique sur le pont, Cela dit même ce que me disait Julian me faisait comprendre certaine chose : « On appelle ça la frénésie de la chasse. Une fois que tu as capturé ta proie, tu perds toute l'excitation du moment. Je ne sais pas ce que tu ressens pour Gisel, mais tu semblais obsédé par elle. Peut-être que tu fais une fixette. » J'acquiesais de la tête comme pour lui dire que je comprenais chacun de ses mots, mais cela je comprenais ce mot Fixette, cela ressemblait ce que je faisais aussi avec lui. Alors que je sentais l'odeur du cannabis et de la nicotine se frotter a mes sinus je sentais un effet rapidement éphémère de plenitude. Mais je retourna alors sur terre en entendant cest mots : « ça te passera » il disais cela d'un ton comme si on avait changer subitement de conversation alors que non. « Je dois bien avouer, que ça m'est déjà passé… Bien que  certaine chose resté ancré. » Alors qu'il me demandais pourquoi je lui disais tout ça, j'ai posé ma main sur son épaule sentant que je lui avais fait un effet, je lui avoua de nouveau mes sentiments et a quel point il était important pour moi. « Tu ne me perdras pas, Ducon ... » Je me suis mis a sourire alors qu'il se detacha, je retira ma main me remettant dans mon coin. « Pousses-toi je vais te brûler! » C'est bien le genre de phrase d'un drogué tien ! Je fronça les sourcils alors que je repris place de mon coté : « Tu reviens quand exactement ? » Je leva les yeux aux ciel reflechissant a un moyen de trouver les dates : « Hum, il me semble que je reviens debut décembre. Si tout ce passe bien... » Lui avouais je d'un sourire : «  Et toi quand pars tu exactement pour Paris ? » L'idée de le savoir loin, moi qui voulait le revoir avant de partir maintenant il sera sans doute parti avant moi.

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() message posté Mer 3 Déc 2014 - 0:53 par Invité
Camden Town ; with a man I love too much “The love of man to woman is a thing common and of course, and at first partakes more of instinct and passion than of choice; but true friendship between man and man is infinite and immortal.–Plato-” Aussi loin que mes souvenirs puissent remonter, Ewan s’était toujours tenu à la limite du vrai et du faux. Il était à la fois réel et féerique. Comme si mon personnage de dessin animé préféré avait fendit l’air et les temps afin de venir à ma rencontre. Je le regardais avec un mélange de stupéfaction et de tristesse. Je voulais fuir la présence maléfique qui grouillait à l’intérieur de ma poitrine, mais l’appel de l'obscur était trop fort. Je n’étais qu’un point noir qui se détachait d’un ciel sombre et sans étoiles. Il ressentait probablement ma froideur à son égard, mais je savais – que je n’étais qu’un oiseau de mauvais augure. J’étais dos au mur, les ténèbres menaçaient de m’engloutir d’une traite. Je désespérais à trouver le juste milieu, ou à accomplir les grandes choses de la vie sans me salir. Je serrais la bouteille de whisky si fort qu’il me semblait que la force de mon poing finirait par en briser le verre. Mon regard fuyant se baladait d’un bout à l’autre de la pièce, et je fini par accrocher l’étincelle charmeuse de mon meilleur ami. C’était une torture de le regarder dépérir, vivre et sourire, en songeant que l’espace d’un instant, je n’avais plus fait partie de son quotidien. Je me sentais exclu – comme si le monde tout entier n’était qu’un champ de ruines et de cendres. Je me tenais au milieu des décombres de mon passé, fragile et impuissant. Je courbai la bouche d’un air bien entendu.

« Tu le mérites mais je sais que tu ne riposteras pas. Je n’ai pas envie de culpabiliser parce que tu es mou du bulbe… » Soufflai-je dans ma barbe. La vérité c’est que j’avais peur de l’amocher outre mesure. Son état de santé avait toujours été ma plus grande fascination, mais aussi ma seule préoccupation. Il m’arrivait de me réveiller parfois la nuit, et de cheminer à travers le couloir afin de l’entendre discrètement respirer ou ronfler avant de me recoucher. Je vivais dans la hantise constante de perdre les êtres chers à mon cœur, et malgré toutes mes réticences à l’accepter comme l’une de mes faiblesses, Ewan faisait d’ors et déjà partie intégrante de mon univers. A l’image de Robin, et d’Eugenia … Il était ma famille. Je papillonnai des yeux en m’égarant dans le récit de mon voyage en France. Je n’aimais pas lui mentir, alors je lui glissais quelques confidences, en espérant que ses questions ne seraient pas trop pertinentes. C’était peine perdue ! Je lui souris d’un air las en sirotant mon verre. Je restais figé dans ma position, le dos voussé et la tête basse. « Une fille.» Soufflai-je avant de marquer un silence. « C’est une ex que j’ai connu en France lors de mon stage de fin d'études.» Je souris. « Je viens de rompre avec Samantha, et pourtant j’ai déjà l’impression que je peux passer à autre chose. Je dois être un salop fini. C’est tellement facile pour moi d’arrêter d’aimer les gens, m’a-t-elle accusé … » Je m’interrompis en réalisant que je pensais à haute voix. Mes joues s’empourprèrent et j’avalais mon fond d’alcool d’un coup. Un rire gêné m’échappa.

J’inhalais les poisons de cannabis par millions, comme si chaque bouffée pouvait me transporter ailleurs. Je voulais prendre mon envol et guérirr toutes mes blessures. Une partie de moi pensait que chaque cicatrice était un souvenir, une façon de grandir sans oublier. Foutaises! Mon passé, à commencer par mon enfance n’était qu’un tas de merde. Je soupirai. Le contact de sa main sur mon épaule m’extirpa de ma crypte avec violence. Je m’effondrais , asservi par mes pulsions destructrices. Je tentai un mouvement de recul, mais je restais piégé par son charme fou.

« Tout dépend de la personne. Tu te rend bien compte que même si je ne suis qu’une fixette, je resterais ancré. N’est-ce pas ? » Lançai-je d’un air sérieux. Je lui souris en levant les yeux au ciel. « Ce n’est pas une romance fraternelle, je pense que nous sommes liés outre mesure ... Tu resteras aussi ancré. »

Je tirai une dernière latte avant de lui souffler en plein visage.

« Je t’ai dis de t’éloigner ... » Menaçai-je en écrasant les restes de mon joint dans un cendrier. « Décembre … » Répétai-je songeur. « ça en fait du temps. Je pars et je reviens avant toi. » Je me postai en face de lui, à bonne distance. « Je suis venu te dire au revoir, ou à dieu. Je n’ai pas encore réussi à me décider. Tu as encore le temps de me convaincre. » Blaguai-je en regardant ma montre. « Je dois être rentré pour dîner. Elle m’attend déjà.»


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() message posté Dim 14 Déc 2014 - 19:29 par Invité

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Je ne cherchais pas son pardon, je savais que ce serait dur de repartir de zero. Même si finalement on ne pouvais pas revenir en arrière, mais la simple idée. La lueur d'espoir que Julian puisse me pardonner me serait favorable, il était parti integrante dans ma vie comme l'es Robin. Depuis mon retour à Londres il y a 6 ans. Je n'avais personne a part ma mère qui était assez loin et Eira qui semblait perdu avec son Lewis de l'époque. J'avais Robin, notre amitié m'a poussé a m'accrocher au desir du jeune homme qu'il voyait en moi. Je suis resté avec lui, il m'a accepté comme j'étais. Je n'étais pas ce jeune homme de maintenant. j'étais perdu completement paumé vivant dans un monde dépourvu d'humanité ou de sentiments. Il m'était interdit d'aimer, mon coeur était en miette. Je me refugier chaque jours dans les inventions de mon père. Je chevauchais les rues de la ville sur un vieu scooter essayant de capturer les rires des femmes qui avaient dons d'apaiser mon coeur qui me tirailler chaque jours. Je perdait completement les pédales. Et puis Julian est arrivé sur son cheval blanc si on peut dire. Je venais a peine de finir ma dernière année d'Archeologie... Et depuis ce jours Julian partagea ma vie avec Robin. Et finalement Il y a plus tellement de Trio... il n'y avais que nous deux. Julian a vécu ma relation avec Sheena et puis les autres. J'ai appris a réaimer grâce a lui car il n'y a que les plus torturés en amour qui arrive a conseiller. C'était véridique. « Tu le mérites mais je sais que tu ne riposteras pas. Je n’ai pas envie de culpabiliser parce que tu es mou du bulbe… »  Sur le coup j'eu un sourire mais je fut surpris par ce surnom débil qu'il venait de me donner : « Je ne riposterais pas... Me connais tu seulement Julian? J'ai peu être un coeur bricolé cela ne m'empeche pas de te redonner un coup si tu m'en donnes hein ! et puis garde ton surnom pour toi... j'ai l'impression que ca te correspond plus. » Je n'étais pas tellement le plus bagarreur des mecs, mais je savais tout de même me défendre... Même si j'ai surement tué quelqu'un lors d'une fouille cela est une expérience assez traumatisante pour en parler et surtout que une fois la peur passer je pouvais passer partout. Cela dit pas tellement l'idée qu'il parte avec: « Une fille.» Me repugna. Cela faisait a peines quelques semaines qu'il venaient déjà de rompre avec Sam qu'il était déjà dans les jupes d'une autre après chacun fait son deuil comme il le faut ca se trouve ce n'est juste qu'une fille mouchoir après tout:  « C’est une ex que j’ai connu en France lors de mon stage de fin d'études.» Soudain je me souviens d'une conversation qu'on ai eu, il me parla d'une fille connu pendant ses études, cela devait être elle et je me souviens encore de son prénom. Je la connaissais enfin pas elle personnelement mais son nom Hermès-Deschanel, Son père m'avait engager pour une fouille en Afrique du sud qui a faillit me couter la vie. The Blood Diamond... C'était bien la pire des choses que j'ai pu voir... Cela dit je l'ecouta a nouveau tentant de me detendre a ce qu'on venait de se dire un peu avant:  « Je viens de rompre avec Samantha, et pourtant j’ai déjà l’impression que je peux passer à autre chose. Je dois être un salop fini. C’est tellement facile pour moi d’arrêter d’aimer les gens, m’a-t-elle accusé … » je vis ses joues rougirent d'un coup et je me suis mis a soupirer en lui disant: « Si tu te mets a te remettre en question a cause d'une ex qui pestifère a ton sujet tu es mal barré Julian . J'apprecie certes enormement Sam, mais si tu as trouvé quelqu'un et bien tant mieu. Il n'existe pas de règles pré ecrite sur le post-rupture... Tu t'es trouvé un crush eh bien tant mieu! Justement ce qu'elle veut c'est que tu souffres. Et tu souffres beaucoup trop a mon gout alors profite en ! et ce qui viendras viendras! Ecoute ton coeur et te laisse pas parasiter par les paroles des autres.» Lui avouais-je dans une débacle des sentiments, après tout j'étais son amis. Et puis trop tard s'il ne faisait que le pensé dit c'est dit et puis cela m'etonna de la part de Sam.

C'est alors qu'on est partit sur une tout autre discussion, cela deriva sur Gisel, la petite danseuse qui avait reussit a faire peter toute la magie qui l'entourait depuis que je suis enfant. J'avais passé tant de temps à la rechercher que de la voir maintenant, que de voir qu'elle était si… Réel c'était comme si on m'avait envoyé une bombe d'amour en pleine gueule et que mon coeur en resterai défiguré toute l'eternité. Mais cela dériva sur un sujet qui me dérangea un peu plus malgré que je lui ai fait une semi déclaration : « Tout dépend de la personne. Tu te rend bien compte que même si je ne suis qu’une fixette, je resterais ancré. N’est-ce pas ? » Cette fameuse fixette, cela faisait certes quelques semaines déjà que j'ai ouvert les yeux sur cette histoire depuis que Jules m'est avoué son attirance à mon égard et puis le baiser m'avais fait comprendre certaine chose avec le temps :« Ce n’est pas une romance fraternelle, je pense que nous sommes liés outre mesure ... Tu resteras aussi ancré. » Je me suis mis legerement à soupirer alors que je me mis en tailleur sur le canapé observant Julian tirant alors sur son joint et puis je lui avoua : « Je pense que tu as tout dit… Mais cette fameuse romance qu'on vit, depuis que je fait une fixette même si j'en ai pas l'impression, Ca m'a ouvert les yeux… Même si je sais que c'est sans espoir dans un sens... » Lui avouais-je

Avant qu'il me crache sa fumée a la gueule je me suis mis a tousser reprenant ma place« Je t’ai dis de t’éloigner ... » Alors qu'il ecrasa sa cigarette le voir de si mauvaise humeur : « Décembre … ça en fait du temps. Je pars et je reviens avant toi. » Je l'ecoutai malgré qu'il fut songeur et perplexe je preferer ne pas l'imterompre« Je suis venu te dire au revoir, ou à dieu. Je n’ai pas encore réussi à me décider. Tu as encore le temps de me convaincre. » J'arqua un sourcil, me demandant sincerement s'il était serieux mais vu son attitude cela semblait être une affirmation et je lui avoua : « Du temps pour te convaincre ? Eh beh on se fait pas chier mon cher » lui disais-je en riant legerement et puis je le vis regarder sa montre :« Je dois être rentré pour dîner. Elle m’attend déjà.» Je me suis mis a rire et je lui avoua : « Te voir au crochet d'une fille me fait autant rire on te croirait prisonnier d'une cage » disais-je en me moquant de lui. Les couples était un mystere pour moi.

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() message posté Ven 26 Déc 2014 - 2:27 par Invité
Camden Town ; with a man I love too much “The love of man to woman is a thing common and of course, and at first partakes more of instinct and passion than of choice; but true friendship between man and man is infinite and immortal.–Plato-” Ma colère se dissipait peu à peu, laissant place à la raillerie et l'amusement. Je suppose que notre complicité avait toujours le dessus. Après tout ma relation avec Ewan n'était pas ordinaire, je pensais réellement qu'il y avait bien plus que de l'amitié. Je lui vouais à la fois une fascination, et une dévotion, sans pareilles. Il avait le don de m'arracher de mon tombeau, et de me rappeler que malgré toutes les crasses, la vie méritait encore d'être vécu. Ma bouche s'étira vicieusement à l'évocation d'un éventuel accrochage. J'étais une furie. Mon impulsivité prenait bien trop le souvent sur ma raison, et mes problèmes comportementaux n’arrangeaient pas vraiment la situation. Je serrais la mâchoire afin de me contenir.

« Tu pourrais me frapper ... » Répétai-je en murmurant. Je peinais à visualiser la scène, certainement parce qu'elle m'aurait attristé bien plus qu'autre chose. Je n'arrivais pas à envisager un tel affront. J'étais le salop de service! J'avais la bagarre facile, mais Ewan était un jeune homme serein. Il n'avait pas le droit de briser cet idéal . Je secouai frénétiquement la tête afin de chasser cette idée. « Tu es débile ... » Grinçai-je.

Je me raccrochais à mes pulsions envers Athena pour garder le cap. Sa beauté majestueuse, et son air bienveillant, m'avaient sauvé mille fois de mes démons. Je lui devais bien plus que ce que je ne m’accordais à ressentir. La suivre en France n'était pas une fugue dérisoire, j'avais besoin de retrouver la passion qui m'avait animé pendant mes études. Je lui souris lorsqu'il se lança dans un discours réconfortant. Je fus tenter de le prendre dans mes bras, mais mon corps restait figé, incapable de se laisser aller dans le vice. J'haussai simplement les épaules.

« Je ne me remet pas en question. Elle avait certainement raison. J'ai arrêté de l'aimer à la minute ou elle a voulu partir. Je ... Je suis brisé de façon insurmontable. Je l'ai poussé à bout. Tu sais que je peux être très hautain quand je le veux.   » Avouai-je d'un air coupable. Je ne lui avais offert aucun répit. Je m'étais contenté du silence de mort, et de grandes prouesses littéraires. C'était la pire de toutes mes ruptures ! Un soupir m'échappa.

Je n'avais jamais apprécié Gisel, ou plutôt l'image que je m'étais faite d'elle. Elle avait tourmenté mon meilleur ami pendant des années, sans qu'il ne puisse se résigner à l'oublier. Elle était aussi vicieuse qu'Eugenia, et sa malédiction. Je fis la grimace. Je parlais de notre petit écart de conduite avec désinvolture, mais à l'intérieur je bouillonnais. Je ne voulais pas l'admettre. Je n'étais pas bisexuelle. Ce n'était pas les hommes. C'était lui. La personne, le gentil garçon, le coeur mécanique, et la bienveillance fraternelle. C'était un tout. Au delà du sexe, de l'appartenance, ou du vécu. Je déglutis lentement.

« Je ne suis pas sexuellement attiré par tous les hommes, Ewan. Je ne suis ni gay ni bisexuel. » Lançai-je d'un ton neutre. Je tirais sur le joint comme si ma vie en dépendait. Les saveurs exotiques du hash diffusaient dans mon système engourdi. Je lançai un regard à Ewan avant d'écraser mon mégot. « Je ne suis prisonnier de rien du tout et ce n'est pas n'importe quelle fille ... »  Je ris. « J'ai promis de diner avec elle. Et je tiens toujours mes promesses. » Lançai-je plein de sous-entendus. « Alors c'est un à Dieu ? »
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() message posté Sam 27 Déc 2014 - 21:30 par Invité

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« Tu pourrais me frapper ... » L’idée était fort plaisante je dois bien l’avouer bien qu’il essaye de m’énerver depuis son arrivée, j’étais beaucoup trop épuisé pour lever mon poing contre sa jolie petite gueule. Je voulais tourner ça à l’humour scabreux. Je dois bien avouer que l’envie de le taquiner était plus forte encore : «  Je pourrais effectivement… Mais pas ce soir ! J’ai mal à la tête. » Disais-je d’un sourire taquin sur le coup comme quoi je cherchais vraiment la petite bête mais bon la réaction de Julian : « Tu es débile ... » Je me suis mis à rire surement du a la fatigue. Je ne pouvais rétorquer à la suite : « C’est ce qui fait mon charme Fitzgerald » disais-je d’un grand sourire alors que je me suis mis à toussoter à cause du joint de Julian.
C’est alors qu’il me parla de Sam son ex, je la connaissais bien c’était une bonne amie qui m’avait fait rencontrer Sheena avec qui j’ai passé de très bon moment. Même si finalement on avait rompu d’un comme un accord. Mais cela dit la réaction qu’il essayait de m’expliquer je la trouver démesuré, je connaissais bien Julian et je savais ce qu’il était du genre têtu et tenace et lui donner raison. « Je ne me remet pas en question. Elle avait certainement raison. J'ai arrêté de l'aimer à la minute où elle a voulu partir. Je ... Je suis brisé de façon insurmontable. Je l'ai poussé à bout. Tu sais que je peux être très hautain quand je le veux.   » Je croisa les bras réfléchissant à ce que je pourrais dire mais surtout à la situation : « Oui tu es hautain, mais je ne pense pas qu’on doit te jeter la pierre parce que tu t’as tourné la page plus vite qu’elle… Elle ne te connaissait pas assez pour t’avoir dit ça… » Disais-je en soupirant. Et puis d’un côté j’étais content que Julian ait pu passer à autre choses. Il a eu tellement de mal déjà il y a an avec l’histoire d’Eugénia. Je suis assez fier de lui finalement Julian progresse et j’espère bien qu’il arrivera à ce qu’il veut… même si c’est la dernière fois qu’on se voit.
Et puis on parle de fixette, d’amour et d’attirance. Au point que cela tourne à ce que nous vivions tous les deux. Je savais bien que d’un côté ça pouvait être une fixette, mais il y avait autre chose. Julian avait compris cela aussi, j’aimais beaucoup Julian. Mais je savais plus que quiconque que je ne suis pas ce qu’il lui faut. Je ne suis qu’un fantasme pour l’esprit du jeune homme. Je suis un être qui lui offre ce qu’il avait perdu, le rêve et la découverte. « Je ne suis pas sexuellement attiré par tous les hommes, Ewan. Je ne suis ni gay ni bisexuel. » Je me suis mis à rire, je le savais bien. Mais tu n’es peut pas dans une de ses cases, mais ce qu’il ressent pour moi était quand même bien réel. « Je le sais bien… Et je ne t’ai pas dit : que ce n’est pas parce que tu as eu ce genre d’attirance pour moi que forcement ça te colle dans une case comme ça ? » Soupirais-je, avant de reprendre. « Et je ne doute pas que tu es hétéro… Tu faisais un piètre amant pour un homme… » Disais-je pour le taquiner un peu.
Alors il me parla d’Athé, enfin je me suis douté que c’était elle. Il ne m’a pas dit son prénom, mais je le connaissais limite comme ma poche et quand il m’a dit que c’était une de ses ex quand il faisait ses études en France bref mon intuition est la bonne : « Je ne suis prisonnier de rien du tout et ce n'est pas n'importe quelle fille ...  J'ai promis de diner avec elle. Et je tiens toujours mes promesses. » Tien j’avais l’impression de recevoir un couteau dans le cœur : « Tu sous-entends quoi là ? » Lui demandais avant qu’il me demande : « Alors c'est un Adieu ? » J’arquais un sourcil, je pensais que c’était lui qui devait décider. Que je devais lui faire changer d’avis enfin bref je lui avouai « Ce n’est pas toi qui voulais décider ? » je m’approchai de lui avant de me relever en m’étirant faisant craquer mes articulation et en soupirant je me tournai vers… me grattant l’arrière de la nuque : « Je ne veux pas te perdre… » Susurrais-je.


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() message posté Jeu 1 Jan 2015 - 20:16 par Invité
Camden Town ; with a man I love too much “The love of man to woman is a thing common and of course, and at first partakes more of instinct and passion than of choice; but true friendship between man and man is infinite and immortal.–Plato-” Je le fixais en silence. La terreur de le perdre lui aussi, s’immisçait peu à peu en moi. Je n’étais qu’une fixette parmi tant d’autres, un visage brumeux qui s’oublie au fil du temps et des épreuves. Je déglutis avec lenteur en cherchant le contact de mon verre d’alcool, mais j’avais beau m’accrocher aux parois en glace, ou aux rebords du fauteuil, ma solitude restait ancrée comme moi – toujours et à jamais. Je suppose que j’étais une âme difficile à accompagner ; j’étais ainsi fait. Je m’arrêtais sur son expression enjouée ; son charme ?! Il n’en avait aucun ! Tout du moins, je m’évertuais à le croire. Ewan était bien des choses, mais il n’était pas charmant. Il était fantaisiste, magique, et spécial. Je fronçai les sourcils en laissant ma tête se poser sur le canapé.« N’importe quoi ... » Me moquai-je en levant les yeux au ciel. J’avais passé des jours à me pavaner entre les couloirs de son appartement, et pourtant je me sentais tout à coup étranger dans cette pièce. L’air était lourd et monotone, lorsque je pensais à notre baiser échangé.

Le visage fermé de Sam me hantait toujours, même si je ne disais rien. Je vivais dans la culpabilité constante de l’avoir abandonné. Mon âme se déchirait au gré des souvenirs de notre rupture, mais je tentais de me recentrer sur ma vie actuelle. Je me mordis la lèvre inférieure, en esquissant un fin rictus.« Elle me connait. Et elle a raison … Je l’ai trompé … » Avouai-je pour la première fois. Je tombais amoureux, et à la minute où j’ai senti la distance se creuser entre nous, je lui ai tourné le dos. La tentation était trop forte. Les appels du vice aussi. Je me redressai avec désinvolture. Peu importe.

Mon attirance pour Ewan n’avait rien à voir avec le sexe, ou le physique. C’était un chimiotactisme affectif, une sorte de dévotion malsaine que je lui avais voué à un très jeune âge. Je crispai mes doigts autour de mes genoux ; mon pansement gauche grinça sous la pression. Je pinçai la bouche afin de réprimer un gémissement.« Que sais-tu de mes performances d’amant ? Pour un homme ou une femme ? » M’offusquai-je en jetant un œil au cendrier. « Tu ne le sauras jamais ... » Je ris, amusé par mon impudence. Je me raclai la gorge, en sentant tous mes sentiments se mélanger dans mon cœur. A chaque fois que j’étais à ses côtés, mes nerfs s’étiraient douloureusement. « Qu’est-ce que je devrais sous-entendre ?! Rien du tout. » Je me redressai en regardant l’horloge murale. Je continuais de jour avec lui avant d’entendre ses lamentations. Je soupirai. « Débile ! » Je me levais en rajustant mes vêtements. « Je dois partir. Je te revois quand je rentre, ou que tu rentres … Pour ton anniversaire … » Je souris en me dirigeant vers la porte. Ce n’était pas un A dieu. Ça ne le sera jamais.

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