"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici <hot> Yeah your sex is on fire ft Julia  2979874845 <hot> Yeah your sex is on fire ft Julia  1973890357


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Theodore A. Rottenford
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() message posté Sam 11 Oct 2014 - 5:09 par Theodore A. Rottenford
“ Everything in the world is about sex except sex. Sex is about power.” Je démarrai en trombe dans les sombres rues d’Hammersmith. Le vrombissement du moteur accompagnait les cris de mon âme damnée. J’étais avide de passions et de frénésies. J’étais en manque de baisers et  de touchers indiscrets. Je plissai les yeux dans l’obscurité ; seuls les lumières de mes fars me guidaient vers l’absolution. Je plongeais presque machinalement dans mes souvenirs les plus pervers ; la chevelure brune de Julia caressait suavement mon visage tandis que nos deux corps s’abandonnaient aux instincts les plus primitifs de l’Homme.  Je pouvais sentir le parfum particulier du savon maquiller les senteurs médicamenteuses qui lui collaient à la peau ou l’odeur appétissante de la cuisine fait maison qui imprégnait parfois des mains. Je déglutis en me concentrant sur la route. Je fis un mauvais virage au coin de la rue. Ce n’était pas très prudent de faire des excès de vitesses de ce genre en plein traffic urbain, mais mon impatience me consumait de l’intérieur. Je pris une grande inspiration en me garant en troisième position.

Je dévalais l’allée de la maison en claudiquant. Ma démarche particulière me donnait l’impression de rebondir au contact du sol, mais je tentais de m’appliquer afin de me donner une certaine contenance. Je n’avais jamais su me dresser correctement ou marcher de manière assurée _ Chose qui m’avait valu le surnom de tiptoes tout le long de ma scolarité. Un soupir d’exaspération m’échappa. Soit.

Je frappai trois coups dans la porte. Ma visite était fortuite, uniquement guidée par une folle envie de chair et de perversions. Je me mordis la lèvre inférieure en serrant les poings. Pourquoi tardait-elle à m’ouvrir la boite de Pandore ? Il est vrai que nous étions un jour de semaine mais … Je passai une main fébrile dans ma chevelure bouclée. Mon cœur martelait ma poitrine avec acharnement – La précipitation grouillaient en moi comme une fièvre virulente. Je devenais fou sans la chaleur de son corps ou la tonalité fluette de sa voix lorsqu’elle gémissait. Je pris une grande inspiration avant de cogner la porte à nouveau.

La lumière s’alluma dans le couloir et je pus distinguer quelques pas discrets s’approcher. La porte s'ouvrit et l'expression ensommeillée de Julia me percuta comme un rayon de soleil. Je souris d’un air carnassier, avant de fendre l’air en direction de sa bouche pulpeuse. Mes mains se postèrent de part et d’autre son visage tandis que j’approfondissais notre étreinte enjouée. Mon baiser était tantôt goulu tantôt affectueux, changeant au gré de mes mœurs et envies. Cette femme me subjuguait et je ne savais plus comme gérer mes pulsions. Elle avait ce genre d’emprise sur moi : C’était une explosion de sensations.

Je me détachai afin de la regarder d'un air aguicheur : « Salut toi. Tu m'as presque manqué. »
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Siobhan M. Williams
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() message posté Sam 11 Oct 2014 - 23:44 par Siobhan M. Williams
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La journée a été plus que pourrie. Les cas se sont succédés, tous plus compliqués les uns que les autres. J’ai perdu un patient. Je n’ai rien pu faire, il se vidait de son sang devant moi et je ne pouvais rien faire. J’étais totalement inutile, impuissante devant tout ce sang qui coulait sur mes mains. J’ai tout fait pour arrêter l’hémorragie mais rien n’a fait. Rien. J’ai annoncé l’heure de la mort et après ça, j’ai laissé les internes s’occuper du corps. J’ai passé presque vingt minutes à essayer d’essuyer le sang qui s’était retrouvé sur mes poignets, au-delà des gants, sur mon cou et sur mon visage. Il y en avait partout, absolument partout. Le sang giclait de ses artères sur nous. Rien à faire. L’homme était condamné avant de se retrouver devant moi. J’ai dût annoncer à sa femme et leur fille d’à peine dix ans qu’il était mort. Je ne pouvais que compatir à leur peine. J’ai quitté l’hôpital sans un mot, même pas un au revoir à Owen ou Jeremiah.

Une fois à la maison, j’ai fait à manger, diner avec les enfants, je les ai mis au lit et je me suis écrasée dans le canapé, un verre de vin à la main. Je l’ai bu plutôt rapidement, puis m’en suis servi un autre, et un autre. Je commençais à m’endormir quand j’ai entendu quelqu’un frapper à la porte, je me lève un peu vite, j’ai la tête qui tourne. Un autre coup sur la porte, je rejoints le hall et allume la lumière. J’ouvre la porte et vois Theodore devant moi. Il me sourit puis se jette presque sur mes lèvres, ses mains m’empêchant de bouger. Il approfondit le baiser et sa tendresse devient désir. Je sais ce qu’il veut. Je me rends compte que sa venue est plus que bienvenue après la journée que j’ai eue. Cet homme a le don de me faire tout oublier à chacune de ses visites dans mes draps. Je ne sais comment il fait mais il parvient à m’envoyer au septième ciel à chaque fois. Je gémis doucement lorsque je sens sa langue danser avec la mienne, ma peau est en feu, impatiente d’arriver à la suite des évènements. Il détache ses lèvres des miennes et me regarde les yeux noirs de désirs. « Salut toi. Tu m'as presque manqué. » Mes pupilles reflètent le désir dans les siennes, ma respiration est saccadée. « Journée de merde ? » Je lève un sourcil et fixe ses lèvres. « Ma chambre. Maintenant. » Je reprends l’assaut sur sa bouche en fermant la porte d’entrée d’un coup de pied. Je ne quitte pas ses lèvres qui sont intoxicantes, ses lèvres travaillent contre les miennes pour soulever tous mes soucis. Theodore parvient à me faire oublier jusqu’à mon propre nom.
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Theodore A. Rottenford
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() message posté Dim 12 Oct 2014 - 4:42 par Theodore A. Rottenford
“ Everything in the world is about sex except sex. Sex is about power.” J’avais l’impression qu’elle pouvait me sauver par simple effleurement de lèvres. De la même façon douce et courageuse, qu’elle pansait les blessures de ses patients par millions. Je l’enveloppais de mon regard passionné avant de briser tous les murs qui nous séparaient. J’abdiquais devant son visage pâle et le contour de sa bouche pulpeuse. J’aimais toutes les femmes du monde de façon différente, chaque cœur était une nouvelle énigme et Julia était la pièce maitresse de ma collection. Elle sentait l’odeur du linge propre et les senteurs affectueuses d’un foyer que je n’avais jamais eu. Je m’accrochais à elle par dépit. Je lapai les coins de ses commissures labiales avant de soupirer, mon front contre le sien. Si l’envie était fièvre, alors ce cœur qui battait dans ma poitrine, serait réduit en cendres d’une minute à l’autre. Je fis quelques pas, sans quitter son étreinte chaleureuse. Elle gémit.

_ Journée de merde ? S’enquit-elle sans quitter mes lèvres du regard.

Une ombre de sourire se traça sur mon visage charmeur.

« Toutes les journées sans toi, sont des journées de merde. »

Mon cœur martelait ma poitrine avec acharnement, avide de sensations fortes et de frissons à l’extrême. Je plaquai mes mains contre le dos de la jeune femme afin de la coller contre moi. Mon souffle chaud chatouillait la naissance de sa bouche et la petite cicatrice qui ornait le coin de sa lèvre supérieure. Je la trouvais magnifique sous le faible éclairage du couloir. Le ton de sa voix était enjouée, sûrement imprégné de quelques notes d’ébriété. Je fis la moue.

_ Ma chambre. Maintenant.

J’eus un éclat de rire, en l’embrassant à un nouveau. Je sentais mon corps ployer sous le charme d’un enchantement magique. Elle était la grande sorcière, et moi le vulgaire pantin. Julia était la seule femme que je savais aimer, sans la dominer _ A croire que mon engouement pour son corps dépassait mon obsession pour le contrôle. Elle était mystérieuse et mature. Responsable et brisée. Je la suivais comme un automate vers l’intérieur en laissant mon corps se mouvoir sous ses caresses expertes. Je me mordis la lèvre inférieure en emprisonnant ses doigts. Doucement je fis glisser ses mains vers les boutons de mon jeans. Mon érection était impressionnante, animé par mon désir jamais inassouvie pour cette femme merveilleuse. Je soupirai en reniflant ses cheveux bruns.

« Pourquoi ta chambre ? » M’enquis-je tout contre elle. « Je te veux maintenant. » Avouai-je en léchant le lobe de son oreille.

Je l'entrainai sur le canapé avant de surplomber son corps. Je me redressai afin de retirer mon haut d’un geste habile. Mon abdomen musclé fut traversé d’un spasme au contact de l’air frais du climatiseur. Un sourire aguicheur déforma mon expression d’habitude si désinvolte.

« J’ai froid. » Je marquai un silence. « Julia réchauffe moi. »
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Siobhan M. Williams
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() message posté Lun 13 Oct 2014 - 0:28 par Siobhan M. Williams
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L’odeur intoxicante que Theodore dégage me donne des frissons et je sens la chaleur monter. Ses lèvres sur les miennes sont brulantes, j’ai besoin de plus, toujours plus. Jamais rassasiée par ses baisers, jamais rassasiée par ses caresses. Les rapports que j’ai avec Theodore ne sont que passion et désir, souvent rapides et durs, presque violent, mais ils sont toujours ce qu’il me faut voire même plus. Il a ce je ne sais quoi qui me fait oublier mon rôle de mère, ma conscience de médecin. Par ses actions, mon cœur palpite et mes jambes deviennent fragiles, je ne réponds plus de moi, seule l’attraction animale m’importe. Mes mains vagabondent sur son corps, puis il enlace ses doigts avec les miens et les conduits aux boutons de son jean. Je sens l’effet que je lui fais et caresse son pantalon en souriant. « Pourquoi ta chambre ? » murmure-t-il. « Je te veux maintenant. » Il lèche le lobe de mon oreille et je gémis de nouveau, me laissant amenée jusqu’au canapé. Je me retrouve allongée sous lui et lorsqu’il se redresse au-dessus de moi pour enlèver son haut, je mords ma lèvre et ondule mon bassin contre le sien. « J’ai froid. » Il fait une pause et je me lève pour me poser mes lèvres contre son torse. « Julia réchauffe moi. » J’enlève mon tee-shirt à mon tour pour me retrouver dans mon soutien-gorge bleu roi. Je vois que ça lui plait. Contre ma cuisse, je sens que ça lui plait. « Comme tu le voudras… » Je me lève du canapé et le pousse pour pouvoir me mettre au-dessus de lui. J’aime prendre le dessus sur lui, il me laisse toujours le faire quand j’en ai envie, il aime ça semble-t-il. Avec Theodore, nous sommes à armes égales, nous suivons les mouvements de l’autre et chacun a le pouvoir quand vient son tour. Pour le moment, c’est moi. Je place mes jambes de chaque côté de ses hanches et le maintien en place alors que je plonge sur ses lèvres, mes mains sur sa ceinture. J’ouvre son jean et le descend sur ses jambes, révélant ses sous-vêtements. Je sens la chaleur monter entre mes cuisses. Impatiente de le sentir en moi, impatiente de le laisser jouer de ses charmes sur mon corps. « J’ai besoin de toi… Maintenant. » Je défais le zip de mon jean et l’enlève rapidement. Ma lingerie n’est pas accordée, je remarque, mais vu le temps qu’elle risque de passer sur moi, ça m’est égal. Je descends mes lèvres sous le nombril de mon amant et embrasse langoureusement chaque parcelle de son corps en remontant jusqu’à sa gorge, où je plante doucement mes dents sur sa peau. Je risque de laisser des traces ce soir…
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() message posté Dim 19 Oct 2014 - 21:25 par Theodore A. Rottenford
“ Everything in the world is about sex except sex. Sex is about power.” Je sentais mon cœur marteler ma poitrine avec acharnement. Je suppose que mon excitation me tuait comme une douleur lancinante. Je pris une grande inspiration en me délectant des plaisirs de la chair. Julia était une femme fabuleuse, et je ressentais toutes mes émotions au quintuple. Mes démons s’agitaient à l’intérieur de mon cerveau.  Chaque cellule de mon corps se rebellait contre ma pensée. Je déglutis lentement en plissant les yeux. Il y’ avait quelque chose dans l’ambiance sombre de ce salon qui exaltait mes sens. Peut-être le souvenir de nos ébats précédants dans la pièce adjacente. Mon cœur marqua un arrêt avant de reprendre ses battements effrénés. J’étais charmé par chaque souffle de vent, par chaque senteur de sa peau. Le désir sexuel était un sentiment extrêmement noble, ce qui le pervertissait c’était l’obsession. Je refusais de m’avouer que j’avais des pulsions trop régulières pour être normales, tout ce qui m’intéressait c’était de succomber aux appels de l’incube qui hantait mon esprit. Je pressai ma paume contre sa joue avant de laisser échapper un rire malsain : Il était temps pour moi d’abandonner mes fonctions d’officier afin de m’adonner à une toute forme de plaisir.

Elle retira son T-shirt et je pus me laisser enchanter par la couleur bleue roi de son soutien-gorge, et les rebondissements de sa poitrine abondante. Je la touchais comme un trésor inestimable.

_ Comme tu le voudras…

« Je vois que tu es très conciliante ce soir. » Raillai-je de façon directe. Je plongeai mon regard ténébreux dans le sien, séducteur, amusé, et inquisiteur.

Julia avait tous les atouts qu’il me fallait pour succomber. Je me mordis la lèvre inférieure avant de fendre l’air en direction de son torse. Elle devenait de plus en plus entreprenante. Le tissu de mon jeans glissa le long de mes cuisses avant de finir quelque part sur le canapé, ou le sol. Peu importe. Je la regardais faire de même, le souffle court. Elle se plaça au dessus de moi. Je n’accordais que rarement les rennes aux femmes lors d’actes sexuels. J’avais un réel problème avec la domination, et le contrôle, mais les choses se faisaient presque naturellement lorsqu'il s'agissait de la jeune brune.

_ J’ai besoin de toi… Maintenant.

Je souris d’un air carnassier en glissant les mains dans son dos. Mes baisers étaient de plus en plus passionnés, parfois goulus. J’inhalai l’air par bouffées tout en caressant l’intérieur de ses cuisses. Je sentais mon entre-jambe gonfler, assaillit par les flux de désirs et de dépravations. Je voulais la subjuguer et accaparer toute son attention. Je voulais être l’amant éternel, le temps d’une soirée. Je mordillai le lobe de son oreille droite, en la sentant se cambrer. Mon corps se muait comme une machine folle. Je me redressai, en sueur.

«  Tu as toujours besoin de moi. C’est notre accord. » Murmurai-je en reniflant ses cheveux détachés.

Je sentis ses dents s’enfoncer dans ma peau. J’adorais quand elle était féline. Je gémis en griffonnant le haut de ses omoplates. Je glissai le long de ses bras, afin de capturer ses poignets.

«  Et si tu étais ma prisonnière ? » M’amusai-je d’une voix mielleuse.
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Siobhan M. Williams
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() message posté Mer 5 Nov 2014 - 16:42 par Siobhan M. Williams
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La chaleur monte alors que nos corps se collent l’un à l’autre. Ses mains se baladent sur mon corps, on dirait qu’il en a un millier. Il est partout à la fois. Sa mains entre mes cuisses me donne envie de plus, plus que ce simple contact. J’ondule mon bassin contre le sien, implorant presque. Il mordille le lobe de mon oreille et je gémis en me cambrant contre lui. Il se redresse devant moi. « Tu as toujours besoin de moi. C’est notre accord. » Me murmure-t-il en passant son visage dans mes cheveux. Mes dents s’enfoncent dans son cou et il me répond avec la même passion en plantant ses ongles dans mes omoplates. J’aurai des traces de son passage pour les prochains jours, mais je n’en ai rien à faire. Je n’ai pas honte de nos ébats sans sentiments, seulement habités par le désir et le besoin de chaire. Ses mains glissent le long de mes bras et il attrape mes poignets. «  Et si tu étais ma prisonnière ? » J’attrape sa lèvre inférieure entre mes dents et le regarde dans les yeux. Ses yeux sont enflammés par le désire et la passion, les miens doivent être tout aussi impatient. Sa proposition fait accélérer mon rythme cardiaque. Ce n’est pas la première fois qu’il me fait jouer ainsi et le pire, c’est que j’aime ça. Avec Theodore, les limites tombent et je me laisse aller à des jeux dangereux mais tellement excitant. « Et qu’ai-je fais de mal, monsieur l’agent ? »Répondais-je sensuellement. Mes lèvres retrouvent sa gorge un instant, puis je remonte sur sa mâchoire et retrouve ses lèvres. Nos langues dansent ensemble, nos respirations sont de plus en plus saccadées. Je sens contre mon bas ventre tout le désir qu’il a pour moi. J’accentue les mouvements de mon bassin contre le sien. J’ai besoin de plus de contact, jamais rassasiée lorsque je suis avec Theodore. L’ivresse qu’il me procure est une douce friandise dont je suis devenue folle au fil des années. Besoin de le sentir contre moi. Je détache mes lèvres des siennes et le défis du regard. « Tu vas quand même pas me passer les menottes… » Dis-je en faisant une moue timide avec un brin de malice dans les yeux. Je n’attends que ça qu’il m’attache les mains et qu’il fasse de moi ce qu’il désire. Je veux qu’il prenne mon corps et qu’il me fasse oublier jusqu’à mon propre nom. Je veux qu’il laisse ses pulsions prendre le dessus le temps d’une nuit. Entre deux respirations je parviens à lui murmurer : « Ne te retiens pas… Surtout ne te retiens pas. » Je l’embrasse à nouveau puis articule quelques mots contre ses lèvres. « Ne sois pas doux avec moi. Tu sais que je n’aime pas ça. »  
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() message posté Dim 9 Nov 2014 - 1:08 par Theodore A. Rottenford
“ Everything in the world is about sex except sex. Sex is about power.” Mon envie était pire que la fièvre. Elle grouillait dans mon système afin de m’insuffler une folie sombre et vicieuse. Ma langue lapait les contours de sa bouche afin de descendre le long de son cou parfumé. J’étais enivré par les senteurs de la chair et les vestiges de son eau de toilette fruitée. Ma bouche se courba avant de tracer des sillons sur sa poitrine généreuse. Je voyais double. La tête me tournait ; comme si j’étais pris par une transe mortelle. Les brutalités de mon esprit battaient à l’unisson avec mon cœur meurtri. Cette relation ne pouvait être contenue ou contrôlée. C’était une malédiction – une sorte d’enchantement maléfique qui me poussait à désirer éternellement. Julia était une femme exquise et pulpeuse. Je déglutis en me redressant brusquement. Mon érection devenait phénoménale au fur et çà mesure que je m’attardais sur ses courbes. Je risquais d’exploser à n’importe quel moment. Je passais mes mains derrière son dos afin de l’élever à mon niveau. Mes lèvres se fermèrent sur ses joues saillantes. Je la tenais de toutes mes forces afin de lui témoigner ma dévotion complète. Mon entre jambe se pressait contre son bas-ventre dans un rythme sinusal lent. Elle encra son regard pétillant dans le mien. J’ondulais comme un serpent vers son menton. Je glissai les doigts dans la fermeture de son soutien-gorge afin de libérer les délices qu’elle retenait captifs.

_ Et qu’ai-je fais de mal, monsieur l’agent ? S’amusa-t-elle avec passion.

Mon visage charmeur s’assombrit. Elle savait comment exciter mon esprit tordu. "monsieur", "l’agent", ainsi prononcés, ces mots étaient une délectation pour mon obsession du contrôle. Elle me vendait du rêve. Je serrais ma mâchoire lorsqu’elle balada sa bouche contre ma peau. Je peinais à maintenir un rythme régulier. Je sombrais peu à peu dans les méandres de mon âme.

_ Tu vas quand même pas me passer les menottes… Sa voix était d’un érotisme divin. Je crispai mes doigts autour de sa taille.

La tension sexuelle était à son comble. Je me rappelle que j'avais senti l’appel du corps me percuter à la seconde ou elle avait posé ses mains expertes sur ma plaie suintante. Julia était un médecin compétant et très professionnel, mais l’aura qu’elle dégageait m'invitait doucement à braver les barrières de l’éthique. Je me mordis la lèvre inférieure en souriant.

« Je ne sais pas encore. Tu as été très vilaine … » Murmurai-je en me pelotonnant contre son sein.


_ Ne te retiens pas… Surtout ne te retiens pas. Elle m’embrassa goulument avant d’enchainer : Ne sois pas doux avec moi. Tu sais que je n’aime pas ça.

Mon cœur martelait ma poitrine avec acharnement, jamais satisfait. Mes soupirs gémissants se dissipaient sur des tétons. Je grognai en la renversant sur mes genoux. Sa peau douce se frottait à mes cuisses rugueuses. Je mordillais les coins de ses épaules avant de bloquer ses poignets dans son dos. Mes menottes étaient hors de portée, mais j’avais assez de muscles pour la tenir immobile. Un éclair insalubre traversa mon regard gris, noir, presque sombre.

« Je suis presque offusqué que tu me prennes pour un amant mielleux. » Claquai-je avec froideur. Tous mes instincts bestiaux me revenaient en pleine face. Je me redressai afin de la faire glisser contre moi. Je tirai sur l’élastique de sa petite culotte afin de découvrir les plaisirs cachés de sa féminité. « Maintenant pas un mot. » Soufflai-je dans son oreille.

Mon étreinte chaleureuse se transforma en une avalanche d’émotions complexes. I y’ avait des secousses, des supplices et des coups volontaires. Je la pénétrai avec l’ardeur d’un fauve afin de la transporter vers les landes lointaine de mes fantasmes insolites.

« Pas un mot. » Répétai-je dans un dernier souffle avant de me perdre dans les mouvements effrénés de mon bassin. Ma poitrine était lourde de mes passions. Toutes mes pensées étaient imagées. Mes doigts s’encrèrent dans ses mains fermées. Elle était ma prisonnière l’espace d’un soir. Et c’était suffisant pour l’instant.

J’étais sous le charme de ses bras.
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Je sentais le désir prendre possession de mon corps. La fièvre montait dans mes veines, chaque fibre de mon corps vibrant en anticipation. Mon coeur battait si fort contre ma poitrine, j’avais l’impression que j’allais exploser. Ses lèvres se perdaient sur ma poitrine et je serrais les dents pour atténuer mes gémissements. Nos souffles s’accéléraient encore et encore. Il retira le dernier morceau de tissus qui me couvrait en me murmurant : « Maintenant pas un mot. » Je faisais de mon mieux pour faire ce qu’il me disait mais je ne pus empêcher mes gémissements de franchir mes lèvres lorsqu’enfin, il entra en moi. Je ne pouvais pas bouger, ou très peu. Mes mains étaient retenues par les siennes dans mon dos et je n’osais essayer de m’en défaire. « Pas un mot. » répéta-t-il avant de commencer à mouvoir son bassin. Je me laissais emporter par le contact, n’entendais que nos souffles saccadés. Je fermais les yeux et mordais ma lèvre pour rester silencieuse. Ses mouvements s’accéléraient et je lâchai un cri, je tentais de me reprendre mais je ne pouvais plus retenir mes gémissements. Je me perdais complètement dans ses bras. J’oubliais ma journée de merde, j’oubliais mes soucis du quotidien, j’oubliais même mes enfants. Dans les bras de Theodore, je redevais Julia, la femme. Je n’étais que chaire et plaisir, passion et désir. Je laissais ma tête tomber en arrière. J’avais l’impression de me laisser prendre dans des eaux impétueuses, de me laisser porter par le courant. Les mouvements de Theodore me procuraient une sensation de plaisir intense, j’avais envie que cela ne s’arrête jamais. En cet instant, il pouvait faire de moi ce qu’il voulait, je ne trouverais pas les forces de lutter. Mon corps tout entier prenait feu entre ses mains. Chaque fois qu’il me touchait, je m’embrasais un peu plus. J’aurai voulu crier tout le bien qu’il me faisait, mais je ne devais pas faire de bruit, les enfants pourraient m’entendre. J’étais passée maître dans l’art des nuits silencieuses avec Theodore, et ce soir, ce serait une nouvelle fois sans un mot qu’il me mènerait au septième ciel. Je posais ma tête dans le creux de sa nuque et fermais les yeux, je tentais de contenir mes gémissements et déposai donc mes lèvres sur la peau de mon amant. Ma vision se troublait, je n’entendais que le tambourinement de mon cœur contre ma poitrine et le souffle de Theodore. Je me sentais aussi légère qu’une plume, il était la seule chose qui me retenait sur le sol. Ses mouvements durs et réguliers étaient ce qu’il me fallait. Il parvenait à atteindre l’endroit qui me faisait chavirer sans que j’aie à le lui dire, il était le seul à comprendre mes besoins. J’étais perdue dans nos ébats, comme à chaque fois, et je sentais monter en moi la vague de plaisir qu’il m’avait promise lorsqu’il était arrivé chez moi.  
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() message posté Jeu 1 Jan 2015 - 15:28 par Theodore A. Rottenford
“ Everything in the world is about sex except sex. Sex is about power.” Mes baisers était passionnés et mes gestes violents. Je plongeais dans la débauche avec une facilité déconcertante. Quelque part, je cherchais à combler tous mes vides affectifs en m’adonnant au sexe bestial. Le feu embrasait mes reins tandis que je m’abandonnais à l’effort dérisoire de mes coups de pompes. Le visage de Julia hantait mes pensées, j’adorais ses expressions aguicheuses, et ses gémissements retenus au fond de sa gorge. Mes mains se baladèrent sur sa poitrine dévêtue, et je penchai la tête en avant afin d’humer son odeur délicieuse. Elle sentait incroyablement bon – comme mes souvenirs d’enfant et mes jours d’insouciance. _ Maintenant pas un mot. Pas un mot … Répétai-t-elle avec douceur. Je voyais bien qu’elle faisait un effort pour satisfaire mes demandes. Mon cœur se lança dans une longue course effrénée, bravant tous les dangers et les mesquineries qui animaient mon désir immoral. Je la pris par la taille afin de m’appliquer dans mes gestes. Plus je m’enfonçais dans son intimité, et plus je sentais sa chaleur bienveillante envahir mon corps tout entier. Je me mordis la lèvre inférieure avant de fendre l’air en sa direction. Je l’embrassais furtivement, afin de concentrer son regard sur le mien. Je frémissais au gré de sa respiration saccadée. La sueur perlait sur mon front, témoignant de toute la force que je mettais dans mes mouvements. Mes paumes se plaquèrent contre le dossier du fauteuil, et je souris d’un air narquois en sentant les vagues de plaisir s’immiscer en moi. Je me cambrai avant de reprendre mon allure désinvolte. Je me rétractais avec délicatesse avant de me positionner à sa droite. Mon visage blême se posa sur son épaule, et je fermais les yeux pendant quelques instants.

« Je suppose que je ne dors pas ici … » Me moquai-je gentiment. Depuis le temps, nous avions fini par fixer nos propres règles. Je partais aussitôt fini, afin d’éviter de croiser les enfants. Je n’étais pas doué pour gérer les esprits infantiles, ou les questions inappropriées, Julia le savait pour m’avoir vu à l’action avec Teddy une fois. Le petit garçon était adorable, mais je peinais à communiquer avec lui. Il adorait les voitures de courses, et le métier que j’exerçais … Il y’ avait matière à converser pourtant. Je soupirais en me levant d’un geste las. J’enfilais mon caleçon et mon pantalon rapidement. Je saisis ma chemise et son fond de bouteille. « J’ai une réunion avec les grandes têtes pensantes du pays … » Me plaignis-je en buvant une gorgée. Je fis une légère grimace – ce n’était décidément pas ma boisson préférée au monde. J’ajustai mes vêtements avant de me pencher pour l’embrasser. « Appelle moi quand tu te sentiras seule. » Lançai-je comme d’habitude, avant de disparaitre dans le long couloir.

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