"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici we are all doomed. (rd) 2979874845 we are all doomed. (rd) 1973890357
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() message posté Jeu 16 Oct 2014 - 21:30 par Invité

rosaléa sauvanne watson-dawson

London calling to the faraway towns
NOM(S) : dawson nom rendu célèbre par un film sur la descente en enfer d'un paquebot de luxe. cela lui a valu de nombreuses remarques toutes plus pertinentes les unes que les autres. pour mettre les choses au clair: non, elle n'est pas parent éloigné du beau jack, même si elle a hérité de sa beauté, dans un sens. PRÉNOM(S) : rosaléa comme premier prénom. hors du commun, exotique, rêveur. ses parents voulaient se démarquer; dirons-nous qu'ils ont réussi leur coup. sauvanne et marie-madeleine sont ces deux autres prénoms, issus de lointaines aïlleules que pas même ses grands parents n'ont connu. une nouvelle lubie parentale. on ne peut pas leur en vouloir.ÂGE : vingt-huit printemps, elle n'a pas peur de son âge ni de ses rides. elle a simplement peur de l'aléa, peur du hasard. peur de celui qui lui a dérobé l'être qu'elle chérissait tant. peur de lui, peur d'elle-même.. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : vingt-quatre mars mille neuf cent quatre vingt huit, une beau matin, à lausanne, suisse NATIONALITÉ : elle est donc suisse, de naissance et de parents. STATUT CIVIL :  en instance de divorce, comme les deux tiers de la population de son pays. MÉTIER  : avocate internationale, spécialisé dans la gestion de patrimoine. son père l'a beaucoup aidé à trouvé cette place hautement distinguée. TRAITS DE CARACTÈRE : intrépide, impitoyable, perfectionniste, insatiable, douce, réfléchie, tendre, loyale, vicieuse, pugnace, hargneuse, intelligente, colérique, rancunière, amusante, souriante, discrète, calculatrice, manipulatrice, caractérielle, maladroite, frigide, hautaine, compréhensive, confiante, solitaire, endurcie. GROUPE : walk on the line.



My style, my life, my name

1. LA FAMILLE. les liens familiaux sont sacrés. rosaléa l'avait vite compris, lorsqu'elle comprit que seuls ses parents et la soutiendraient dans chaque épreuve qu'elle affronterait. elle était la seule et l'unique, l'irremplaçable, l'inégalée. elle l'avait longuement soutenu, du mieux qu'elle le put, de là où elle était, dans les plus grosses épreuves de sa vie. et surtout dans celle-ci. celle qui a ravagé sa vie, son existence, ses croyances, son avenir. malgré un faux départ à son plus jeune âge, des doutes sur leur confiance en elle, rosaléa avait toujours sur. toujours connu la valeur de ses parents. toujours approuvé leurs punitions. toujours compris leurs décisions. peut être pas dans l'immédiat de l'application, mais avec le temps, tout devenait limpide. elle avait comprit pourquoi elle avait du quitter son merveilleux pays pour se retrouver ici. et l'avait approuvé. comme chaque fois. comme toujours. à tout jamais.
1. LES AMIS. elle n'en avait pas eu beaucoup. trois. trois véritables. trois purs. trois irremplaçables. ils n'étaient peut être plus que deux et pourtant, la troisième restait dans les coeurs. cysalie n'était pas morte en vain. tous s'en rappelaient comme la douceur personnalisée, la gentillesse incarnée. elle était et restera. dans les âmes, dans les mémoires. cysalie. l'amie. la confidente. la femme du meilleur ami.
et puis, voilà les deux autres, toujours à ses cotés. francis, son mari; adrian, son ami. elle ne pouvait dissocier l'amour qu'elle avait pour ces deux-là. une part d'elle avait toujours su, toujours voulu. ils étaient fait pour elle, tous autant qu'ils étaient. une envie viscérale d'investir dans la polygamie matrimoniale, en prenant l'âme perdu de sa brunette sous l'aile. il n'était pas bien, elle non plus d'ailleurs. elle se devait de l'aider comme il l'avait toujours fait. après tout, les amis, c'est fait pour ça: pour aider dans les moments difficiles et pour savourer les moments de plaisir.
1. LES AMOURS. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Sed non risus. Suspendisse lectus tortor, dignissim sit amet, adipiscing nec, ultricies sed, dolor. Cras elementum ultrices diam. Maecenas ligula massa, varius a, semper congue, euismod non, mi. Proin porttitor, orci nec nonummy molestie, enim est eleifend mi, non fermentum diam nisl sit amet erat. Duis semper. Duis arcu massa, scelerisque vitae, consequat in, pretium a, enim. Pellentesque congue. Ut in risus volutpat libero pharetra tempor. Cras vestibulum bibendum augue. Praesent egestas leo in pede. Praesent blandit odio eu enim. Pellentesque sed dui ut augue blandit sodales. Vestibulum ante ipsum primis in faucibus orci luctus et ultrices posuere cubilia Curae; Aliquam nibh. Mauris ac mauris sed pede pellentesque fermentum. Maecenas adipiscing ante non diam sodales hendrerit.
 
PSEUDO : spf. PRÉNOM : clémence.  ÂGE : vingt ans. PERSONNAGE : inventé.  AVATAR : adam levine ♥. CRÉDITS : tumblr. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : top site obsession.


 

 
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() message posté Jeu 16 Oct 2014 - 21:30 par Invité
At the beginning

1. suisse. il faisait peut être froid les trois quart de l'année. il y avait peut être des gens hautains au compte en banque plus rempli que le sien. il y avait peut être des endroits de cette ville qui ne regorgeaient pas forcément d'entrain. renens n'était peut être pas la banlieue à fréquenter, mais elle n'y avait mis les pieds qu'une seule fois, avec son amie. était-ce si grave? grave au point de partir du quartier? de la ville? du pays même? elle ne pouvait comprendre. elle n'avait que quatorze ans. rosaléa ne pensait pas avoir enfreint les règles à ce point. il lui était impensable que pour une simple heure dans un quartier un peu moins bien fréquentée que le sien, elle aurait causé la perte de sa nationalité. son pays qu'elle chérissait tant. son âme qu'on lui arrachait. sa croix blanche sur son fond rouge. son pansement sur sa plaie béante. et c'est ainsi que de sa place dans l'avion de la swiss airline, première classe, elle voyait du ciel son lac s'éloigner d'elle. son lac léman, dans lequel elle avait passé ses étés d'enfant. adieu simple pays au été chaud et à l'hiver blanc. adieu chocolat au lait entier et fromage alpin. adieu station de ski à une heure et demi de route et baignade à quelques pas. bonjour la ville lumière. la ville française.
la parisienne. "sommes nous vraiment obligé de partir, maman? je suis désolée pour ce que j'ai fait.." la petite enfant vint se blottir dans les bras de sa tendre maman. la femme, assise paisiblement, regardant elle aussi au loin son doux pays, lui caressa les cheveux. "oui, nous le devons. mais tu n'as rien à voir là dedans." soulagement ou questionnement supplémentaire? rosaléa ne savait. rosaléa était perdue. rosaléa était exclue.

2. oxford, cambridge. une rentrée. une nouvelle année. une nouvelle classe. une nouvelle bataille. rosaléa était lasse. lasse de cette ambiance qu'elle exécrait. lasse de ces gens aux culs serrés et aux talons trop affutés. lasse d'être la "petite suissesse" de ces gens. lasse d'être le sujet d'amusement lancinant et récurrent. n'avait-il donc rien d'autres à faire, ces anglais, sales et puants qu'ils étaient? le mythe était donc vrai. ou du moins, pas pour tous. il y avait de cela trois exceptions. trois personnes qu'elle était sur le point de rencontrer et qui changeraient pour tout jamais sa vie ici bas. elle ne le savait pas, la petite rosaléa, du haut de ses seize ans, quand elle bouscula cette demoiselle à la longue crinière blonde et aux yeux lumineux. elle ne savait pas qu'elle venait de rencontrer l'être qui lui vaudrait des joies et des peines, de l'amour et de la haine, des rencontres et des disputes, des histoires et du ridicule. elle ne savait pas qu'elle venait de rentrer dans ce qui serait sa meilleure amie pendant des années, et sa plus grande tristesse pendant le reste de sa vie. cysalie luciani. "oh, excuses-moi.. on m'a poussé derrière et.. je ne voulais pas..", se hasarda-t-elle avec son petit accent suisse. la blonde avait l'air si gentille. cysalie était si gentille. ce sourire, doux et compréhensif, qu'on ne croise que quatre ou cinq fois dans une vie. qui vous redonne gout à la vie sans rien savoir de vous, sans rien connaitre de votre vie. "ne t'excuses pas, ce n'est pas grave." et puis, ce geste, ce sourire, cette aisance pour la prendre par le bras, la tirer hors de la cohorte d'enfants, la tirer vers l'extérieur de la meute. le chemin parallèle. les outsiders que rosaléa admirait tant. "comment t'appelles-tu?" un geste de gentillesse, envers elle? c'en était trop. rosaléa en eut le souffle coupé, les larmes aux yeux. jamais n'eut-on été aussi tendre avec elle depuis son arrivée dans l'hexagone. elle, pauvre suissesse déracinée. "je m'appelle rosaléa. rosaléa dawson." une haussement de sourcils, surement du à l’incongruité de cette appellation. la jeune brune leva les yeux au ciel, signe d'approbation. oui, elle n'avait pas un prénom normal. "enchantée, rosaléa. je suis cysalie. cysalie luciani." et puis, tout s'accélère. un jeune homme, brun aux yeux marron et puis un autre, brun aux yeux bleu aussi qui s'approchent et la saluent. rosaléa était là, au milieu de ses retrouvailles, sans trop savoir quoi faire. le social n'avait jamais été son point fort, encore moins quand elle devait gérer la pression de la première bonne impression. "les gars, je vous présente rosaléa. rosaléa, voici adrian et francis." et tandis que le regard d'adrian et de rosaléa ne se décollait pas, cysalie s'approcha dudit brun et le prit par la taille. ce que le jeune homme lui rendit. la brune comprit. "adrian est mon petit-ami." et elle tourna le regard vers le fameux francis. il était beau à sa manière.
elle savait qu'elle l'aimerait. depuis le premier jour.
sa première année en temps que nouvelle arrivante à oxford, cambridge, s'annonçait plutot bien.

3. les quatres fantastiques. cysalie et rosaléa devinrent rapidement les inséparables. couple d'oisillons lumineux et antagoniste, de part leurs physiques et leurs caractères. l'une était blonde comme les blé, pâle comme la porcelaine et aux yeux bleu translucide; l'autre était brune sauvage, la peau hâlée en tout temps de l'année et le regard noir de jaie. un duo aussi opposé que complémentaire. elles expliquaient ceci par une aimantation des antipodes. l'une était calme et reposante, l'autre électrique et entrainante. si cysalie était plutot shopping day, rosaléa préférait les sport day. mais toute deux avaient quelque chose en commun: un amour inconditionnel pour la vie. vie qu'elles chérissaient, qu'elles appréciaient, qu'elles ne pouvaient égaler malgré tous les essais. c'est cette vie qui leur avait permis de passer sans embuche les déboires de l'existentialisme adolescent, de la crise de l'adulte naissant et les entraves du coeur s'éveillant. cysalie et adrian ne s'étaient jamais quitté. le couple parfait. la simplicité dans sa plus belle expression. une évidence. pour rosaléa et francis, cela avait été plus complexe, plus lent, plus hésitant. mais au final, ils avaient fini par y arriver. le quatuor des joyeux mariés. avec quelques mois d'écart -cysalie et adrian menant la danse, évidemment. premier arrivés premiers servis- voilà que les deux couples avaient décider d'unir leurs vies, pour le meilleur et pour le pire. un sillon s'était légèrement creusé, laissant à chacun les délices de découvrir les joies de la vie maritale. mais ils ne s'oubliaient pas. vivant à quelques arrondissements, les couples se retrouvaient souvent pour manger ensemble, les week end, pour partager leurs semaines. cysalie et adrian vivaient près de picadilly, rosaléa et simeon près de trafalgar. ils ne pouvaient se plaindre. leurs vies étaient parfaites. et puis, ce qui devait arriver arriva. l'annonce qu'on attend tous, passé les vingt six ans et l'épreuve du mariage passé avec succès: l'enfant. quelle joie immense que d'apprendre que la jolie blonde était enceinte du beau brun. rosaléa et francis n'en revenaient pas. c'était une instant magique.
instant magique brisé par le retour à la vie. mortels qu'ils étaient, cela devait arrivé.

4. la fin tragique. un impact. il avait suffit d'un seul. un chauffard. un connard. une vie. deux vies. et demi. l'enfant était là, la mère était là, le connard était là; tous trois acteurs de cette macabre mise en scène qui semblait bien réelle. et eux trois, adrian, francis et rosaléa, spectateurs impuissants et désemparés de cette levée. ils virent cette demoiselle, une peu trop heureuse d'annoncer la nouvelle à ses amis, traversait la route sur un passage clouté, avec un bonhomme vert, en sautillant de ci, de là; ils étaient là, quelques pas derrière, à se serrer les uns aux autres, à se congratuler d'être encore là, unis envers et contre tout malgré les années; il entendirent le crissement des pneus sur le bitumes. trop tard. la confrontation. boum. la carcasse de ferraille. boum. cysalie. volante, telle un ange, avant d'atterrir au sol dans un son lourd et creux. des craquements, des cris; leurs cris. impuissants à part vocalement. un aglutinement. un cercle de personne. là. fixant la masse étalée à terre. et puis, rosaléa comprit. rosaléa comprenait toujours. elle courut vers son amie, hurlant à la mort. sa mort. elle ne voulait pas le voir, pas le croire. celle qui jadis l'avait intégré à la vie londonienne; celle qui jadis avait été l'être le plus cher qu'il puisse être pour elle; celle qui jadis fit tout pour elle. celle-ci même se retrouvait ici, aujourd'hui, sous le joug d'un être infâme aux degrès d'alcoolémie trop élevé. elle n'avait déjà plus de pouls. elle s'en était déjà allée. cysalie n'était plus. son enfant non plus. c'était il y a quatre mois. quatre mois que la vie de ces trois amis encore en vie avait basculé.
aujourd'hui, les choses ont bien changé. adrian n'est plus ce joyeux fanfaron qui s'amusait tant à vivre et à rire. aujourd'hui, il n'est plus que l'ombre de lui-même, saoul de onze heure du matin jusqu'à dix heures du soir pour se mettre sous herbe le reste de la nuit. et recommencer. cycle destructeur qu'il n'arrivait pas à enliser. rosaléa tentait de joindre les deux bouts. entre un époux jaloux, perdu et colérique et un ami perdu, désemparé et colérique aussi. elle passait le plus clair de son temps à s'inquiéter. où était francis? ou était adrian? que faisaient-ils? ils n'avaient osé se voir depuis. depuis l'accident. depuis cette perte. rosaléa était la seule à l'affronter. elle qui avait pourtant été la personne la plus proche de cysalie, celle qui l'aimait plus que tout, celle qui l'avait toujours supporté et admiré; la voilà réduite à celle qui semblait s'en fiche le plus des trois. et pourtant, dieu seul sait qu'elle y pensait. cysalie occupait ses pensées. constamment. perpétuellement. sans répit. c'est pourquoi elle rendait visite à adrian, souvent. trop souvent. elle allait dans leur chambre, dans leur dressing et caressait du bout des doigts le satiné des hauts de son ancienne aimée. regardait les derniers achats qu'elle avait fait: cette robe de femme non menstruée, aux tissus ceintrés à la poitrine et ample sur le reste. elle le portait à son coeur et s'empêchait de pleurer. "elle n'aurait pas voulu qu'on la pleure, mais plutot qu'on la vive." disait-il, cet ancien mari, lorsqu'il n'était pas ivre. et il avait raison. adrian la connaissait tout autant qu'elle. et quand rosaléa était là, il faisait l'effort de se tenir. il faisait l'effort d'apprécier ses visites. jusqu'à ce jour.
elle sonna à l'appartement du quinzième arrondissement. elle sonna fort. une fois. deux fois. trop de fois. jusqu'à ce qu'il ouvre. adrian la découvrit, elle, sa meilleure amie, valises en main. "que se passe-t-il rosaléa?" "francis a eu une crise existentielle. il m'a posé un ultimatum: soit j'arrêtais de venir, soit il arrêtait." "et?" "et bien je suis partie. s'il n'est pas capable de comprendre que mes amis sont plus importants que son petit plaisir, il ne mérite pas d'être dans ma vie, dans nos vies." et elle entra. elle emménageait. et ne songeait pas partir. car oui, elle savait qu'elle l'aimerait. depuis le premier jour. elle savait qu'elle aimerait adrian, et non pas francis. et, malgré ses sentiments profonds envers son époux, elle n'avait jamais pu éloigner son ami ben longtemps de son esprit. il était tout ce qu'elle désirait. malgré les circonstances qu'ils vivaient, rosaléa espérait. il était la seule chose qui lui donnait envie de rester.
arrivait-elle trop tot? arrivait-elle trop tard? c'est ce qu'elle allait essayer de savoir.
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() message posté Jeu 16 Oct 2014 - 21:32 par Invité
bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche we are all doomed. (rd) 1973890357
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() message posté Jeu 16 Oct 2014 - 21:33 par Invité
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche. we are all doomed. (rd) 1922099377
Excellent choix d'avatar. we are all doomed. (rd) 705448254
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() message posté Jeu 16 Oct 2014 - 21:34 par Invité
Oh qu'il est beau we are all doomed. (rd) 3995727071 Bienvenue !
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() message posté Jeu 16 Oct 2014 - 21:38 par Invité
Qu'il est beau... *charmée*
Bienvenue parmi nous we are all doomed. (rd) 3304863388
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() message posté Jeu 16 Oct 2014 - 21:40 par Invité
Bienvenue parmi nous. we are all doomed. (rd) 1973890357
Si tu as la moindre question, n'hésite pas à nous contacter. we are all doomed. (rd) 1922099377
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() message posté Jeu 16 Oct 2014 - 22:30 par Invité
bienvenue parmi nouuus we are all doomed. (rd) 1922099377 we are all doomed. (rd) 2723850382 we are all doomed. (rd) 2941632856
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() message posté Jeu 16 Oct 2014 - 22:57 par Invité
Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche I love you
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Alycia Hemsworth
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() message posté Jeu 16 Oct 2014 - 23:04 par Alycia Hemsworth
Bienvenue sur LC we are all doomed. (rd) 1922099377 & bon courage pour ta fiche we are all doomed. (rd) 2723850382
Si tu as besoin, n'hésite surtout pas we are all doomed. (rd) 1973890357

En attendant d'être validé tu peux déjà aller faire un tour sur le flood ou venir papoter sur la cb we are all doomed. (rd) 2336905461
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