"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici alors d'accord on tire un trait, on commence à s'apprivoiser. 2979874845 alors d'accord on tire un trait, on commence à s'apprivoiser. 1973890357
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alors d'accord on tire un trait, on commence à s'apprivoiser.

Anonymous
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() message posté Jeu 2 Oct 2014 - 7:28 par Invité

Clyde Abel Wilde

London calling to the faraway towns
NOM(S) : wilde, comme oscar wilde, malheureusement, sa mère a toujours été plus wilde qu'oscar.  PRÉNOM(S) : clyde Abel ÂGE : vingt quatre ans tout juste, pourtant clyde semble en fait six de plus (au moins). DATE ET LIEU DE NAISSANCE : un vingt deux septembre à londres. NATIONALITÉ : anglais. STATUT CIVIL : il est attaché clyde, de partout et pour tout. à sa peau, à ses cheveux, à ses lèvres, à son cœur, à ses mots et puis à ses doigts bon sang...surtout ses doigts. MÉTIER  : clyde, c'est l'incroyable livreur qui sonne à ta porte et qui te donne l'impression que le vendeur de pizza c'est transformé en mannequin pour burberry. il adore ce nouveau job clyde, conduire à travers les rues de londres lui avait terriblement manqué. TRAITS DE CARACTÈRE : impétueux, protecteur, impulsif, doux, quelque peu arrogant, attachant, drôle, blessant, courageux. GROUPE : On my bicycle.



My style, my life, my name

1. Avant, les gens s'attendaient toujours à ce que clyde soit le plus fort d'entre tous. C'était là, tout contre ses épaules et parfois, le Wilde avait l'impression de devoir supporter le poids du monde entier. Alors il faisait de son mieux. Il souriait lorsque son coeur grimaçait et cognait lorsqu'il avait envie de pleurer. Aujourd'hui, il n'y a que lorsque Bonnie l'autorise à s'allonger entre ses cuisses que clyde retrouve sa fragilité d'autant, celle qu'il possédait enfant. Et c'est fou, c'est vraiment fou, Clyde de s'y fera jamais à cette facilité qu'il a de le rendre chaque jour un peu plus fort. ✻ 2. Clyde, ce qu'il aime c'est pédaler à travers la ville, sentir le vent contre ses joues et la liberté dans ses cheveux. Ce qu'il affectionne, lui, c'est l'indélébile, ce qui reste graver et ne passe jamais. Alors il aime les chansons un peu nulle, un peu trop simples qui restent en tête. Il aime les déco intemporelle, de celle qui seront encore à la mode dans cent ans et surtout, surtout il aime longtemps. Parce que c'est plus rassurant. ✻ 3. Aujourd'hui encore, Clyde s'interroge souvent sur le pourquoi. Le pourquoi de son départ, de son silence et de cette crise, aussi passagère que violente qu'il avait alors traverser. Et des réponses, le blond n'en trouve pas. Peut être bien qu'il n'était pas aussi solide qu'on le pensait, peut être qu'il avait besoin lui aussi de craquer, et de s'enfuir loin, très loin, à la recherche d'un truc qui dans le fond n'existe même pas. ✻   4. Clyde n'est à londres que depuis quelques semaines seulement, depuis que bonnie lui a demande (ordonné) de revenir en vérité. Avant ça, il vivait à Chorleywood le blond et encore avant à brixton et puis...un peu partout finalement. ✻ 5. Clyde est toujours un peu ronchon le matin. Il grogne, râle et traîne des pieds. Il fait la gueule lorsque Bonnie refuse de l'embrasser et met au moins trois heures avant de s'éveiller pour de vrai. ✻ 6. C'est vrai qu'il c'est barré Clyde, c'est vrai qu'il les a abandonnés, mais il est persuadé que personne ne peut aimer ses frères comme lui le fait. Ce qu'il avait dans le crâne et au fond du coeur était juste trop grand pour eux. Ce n'étaient que des gosses, c'est ce qu'il se dit le blond pour se consoler et rassurer mais il le sait bien: Il n'a aucune excuse. Il n'en a jamais eu. Il avait décidé d'agir à l'époque comme l'mec égoïste qu'il aurait parfois voulu être et...voilà ce qu'il en est aujourd'hui: out est noir chez victor et c'est un peu le cas chez lui aussi. ✻ 7. Clyde collectionne les briquets. Lui demander du feu, c'est comme quémander une partie de lui. Il a les yeux qui pétillent lorsqu'il tend les doigts et le regard sévère lorqu'on tarde à lui rendre son bien. Bonnie déteste ça chez lui. Parce qu'il y en a partout et qu'il ne sait jamais lequel il a le droit de jeter. ✻ 8. Clyde ne supporte pas qu'on parle plus fort que lui. C'est peut être parce qu'il a été un jour l’aîné d'une famille et qu'il tient au respect mais...il s'énerve facilement lorsqu'un gosse lui tient tête. Il n'y a que Bonnie qui peut le maltraiter (mais c'est un peu de la triche, bonnie a tout les droits) ✻ 9. Clyde ne c'est toujours pas décidé à aller à la rencontre de ses frères ( de victor surtout, parce qu'il parait qu'arthur, faut savoir le trouver) et...il a peur, vraiment vraiment peur. Il ne sait même pas s'ils savent qu'il est de nouveau-là, il ne sait pas comment victor va réagir ni ce qu'il va bien pouvoir faire lui, lorsqu'il va réaliser que son frère, son petit frère ne voit vraiment plus rien (et que la dernière image qu'il aura de lui a jamais, c'est sa silhouette qui s'éloigne, sans un mot) ✻ 10. Clyde a toujours un bouquin dans la poche ou entre les doigts. Peu importe l'endroit, peu importe le moment, l'odeur de vieux papiers et les pages écorchés ont le don de l'apaiser. Il ne saurait dire combien de livres il a bien pu lire jusqu'à maintenant mais en tout cas, il en a plein les cartons.
 
PSEUDO : javanaise. PRÉNOM : sarah. ÂGE : à quelque jours près, on va dire 21 ans hein  alors d'accord on tire un trait, on commence à s'apprivoiser. 3903491763 . PERSONNAGE : scénar I love you.  AVATAR : benjamin eidem. CRÉDITS : aeroplane pis tumblr. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : je tourne autours depuis looooongtemps en fait.


 

 
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Anonymous
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() message posté Jeu 2 Oct 2014 - 7:28 par Invité
At the beginning


Il faisait chaud hier encore. Ne reste aujourd'hui que du froid. Et je me demande, je me demande si je ne regrette pas déjà.
Je roule depuis des heures sans trop savoir où je vais. La radio émet un vieux tube des années soixante dix tendit que je m'entête à fumer ma cigarette jusqu'au filtre. Même elle semble incroyablement fade, elle n'a le goût de rien et l'espace d'un instant, je m'interroge sur ce que je devrais vraiment faire. Demi-tour à la prochaine intersection ? Revenir sur les kilomètres avalés, rentrer à la maison ? faire comme si de rien n'était...
je reviendrais sur mes pas et je téléphonerais à Bonnie. je lui dirais que je l'aime, plus que la liberté, plus que le vent dans mes cheveux et que la voix d'un père me murmurant qu'il est désolé. Moi aussi, je lui dirais que j'ai fais le con, qu'il va falloir me pardonner, fermer les yeux et faire comme si de rien n'était.
Je soupire et tend la main pour un ouvrir la vitre. J'observe le mégot qui s'envole loin derrière et tapote du bout des doigts le volant, un bazar amer  coincé sous les ongles.
Ça ne veut rien dire je suis désolé. Ça ne change rien, ça n'efface rien. Ce qui est fait, je sais que Bonnie ne l'oubliera jamais.

JE VOUDRAIS QUE QUELQU'UN M'ATTENDE QUELQUE PART. ET QU'IL Y RESTE.

Fais comme ton père clyde, va t'en
Alors ça ressemble à ça, un monde qui s'écroule. Le regard de Bonnie n'a jamais été aussi sombre. Un peu comme si mon poing contre sa mâchoire avait fini d'achever tout ce qu'il y avait entre nous dans un même craquement. Il me le dit encore, du bout des lèvres, sans son ni regret. Va t'en. Ça se répète en boucle à l'intérieur de mon crâne. Moi je souffle, du moins, je tente de le récupérer désespérément. Mes poumons menacent de s'effriter. Je suis en colère je crois, ou paumé. Je me trimbale un air de bâtard blessé depuis des semaines maintenant. Depuis que la mère c'est au moins décidé à me dire un mot ou deux sur le type avec qui elle m'a conçu. Pas de nom, pas de visage (jamais, faut qu'elle s'en souvienne d'abord), un surnom et des yeux bleu d'acier en guise d'héritage. Elle m'avait juste confié, un air désolé bien coincé sous son sourire qu'on a exactement le même regard lui et moi, que de ça, elle en est persuadée.
Et je ne sais pas...je crois que ça ressemblait à une espèce de confession ouragan. De celles qui brisent et blessent le monde entier.
Il y a quelqu'un pour partager mon regard. Quelqu'un qui couve les autres de la même façon, avec intensité, avec douceur, avec envie.
Et moi, moi je ne l'ai jamais vu. Alors de là, j'ai tout merdé.
Je me suis laissé tombé. Parce que je n'avais plus vraiment la force de tenir sur mes pieds.
Ça fait des mois que je joue à un jeu dangereux, que je sors, que je rampe dans l'espoir de tout faire passer (je ressemble à la mère, à embrasser des nanas, à m'dire que Bonnie n'en saura rien et à ignorer mes frères).
Mais il voit tout Bonnie, il sait tout. Il reconnait ce goût de chewing-gum à la menthe qu'il ne mâchera jamais. Que je ne supporte pas mais que l'autre meuf adorait.
J'ai un désolé coincé au fond de la gorge et des larmes qui ne se retiennent même plus.
On a le même regard qu'elle m'a dit.
Alors...est-ce qu'il avait le même lorsqu'il a décidé de m'abandonner ?

NOUS AVONS BEAUCOUP RI AUJOURD’HUI. JE ME DEMANDE S’IL Y A UN MOT POUR EXPRIMER LA SOUFFRANCE DE NE PAS SOUFFRIR. SINON LA CULPABILITÉ.

Voilà. Il fait toujours aussi froid, toujours aussi gris et parfois, tout le temps, il y a le sourire de Victor qui me manque et l'air fier d'Arthur que je rêve de revoir encore une fois. Mon téléphone est éteint depuis des jours maintenant. Parce que j'en pouvais plus des sanglots et des reviens. Je crois, je croyais que j'avais besoin d'être tout seul pour me retrouver, qu'il fallait que je les laissent derrière, pour moins les décevoir, pour moins les inquiéter. C'est quand je galère sur le bord de la route que je réalise à quel point j'ai été con. Je suis tout seul mais ils le sont aussi à présent.
Je peux toujours revenir, enfoncer les kilomètres dans mes poches pour ne plus jamais les dévorer. Mais...je suis devenu l'antithèse du réconfort. Je ne pense plus à protéger si ce n'est à rouler le plus loin possible afin de trouver un bout de parking où me garer.
Puis...ouai. je vais toujours aussi mal finalement. Je me suis enfui à la recherche d'un truc sans vraiment savoir ce que je comptais trouver. Celui que j'étais, le regard d'un père ou le coeur de Bonnie probablement enterrer. Plus je m'éloigne, plus j'oublie et...ça me fait du bien.
Même si Victor me manque, même si Arthur me manque et même si je commence à oublier le rire de Bonnie au profit de son va t'en.

Hier il faisait froid, ne reste aujourd’hui qu'un tas de regrets.

TU ES BEAU TU SAIS ?

Depuis quelques années Bonnie a chaque jour son désolé gribouillé sur un bout de papier avec le nom d'une route récemment traversé. Ça me rassure, ça me soulage que Bonnie sache exactement où je vais. Je n'ai pas oublié qu'il fut un temps où on s'aimait vraiment. Qu'il a été mon ami, mon amant puis l'avant. Je lui pose toujours un tas de questions tout en sachant qu'il n'y répondra jamais. Si victor va bien, si arthur va bien et si lui aussi va bien. S'il s'en est remis, s'il pense à moi lorsqu'il effleure sa mâchoire du bout des doigts et s'il serait prêt à ce qu'un jour on se revoit.
Parce que moi je le suis.
J'ai fini par noyer celui que j'étais avant dans l'océan. Il n'est jamais plus remonté et...je crois que j'en suis soulagé. Même si je ne sais plus trop ce que je suis aujourd'hui. Si je suis quelqu'un de bien, si je suis un bon garçon ou tout simplement un petit bout de liberté. Si je suis encore un frère, un fils et un amant.
Je sais juste qu'il fait moins froid. Que je me couvre un peu moins. Je ne réfléchis plus trop à demain.
Aujourd'hui je ne me demande même plus où se trouve ce quelqu'un qui regarde les gens à ma façon.

Alors tout va bien, tout va bien, tout va bien.

IL PARTIT LOIN. SI LOIN QUE SON ARRIVÉE FINIT PAR ÊTRE SON POINT DE DÉPART.

Avant, j'ai enfin osé envoyer mon nouveau numéro de téléphone à Bonnie. Avec une adresse, une vraie. Je crois que je me suis jamais autant appliqué à écrire mon excuse journalière. Mais en même temps, faut dire que je n'ai jamais frôlé la crise cardiaque en passant près d'une boite à lettres.

C'était tout simple pour une fois. Je me suis contenté de la vérité, simple, comme Bonnie l'aimait.

Fais comme moi Bonnie, pardonne.
Et...
Il l'a fait.
Il a toujours la même voix, toujours autant de je t'aime planqués sous les reproches. Toujours le même art de me faire défaillir en un instant.
Et moi, je crois que je l'aime autant, si ce n'est plus qu'avant.


Bonnie sonne. Une fois, deux fois. J'ai pris l'habitude de le faire languir pour l'énerver. Puis parce que j'ai peur de ce qu'il va m'annoncer. Lorsqu'il me parle de Londres et de ce qu'il a promis de surveiller pour moi, Bonnie n'a jamais rien de beau à m'annoncer. Alors on n'en parle qu'une fois de temps en temps. Lorsque je suis assez fort pour l'écouter.
je décroche sur un silence et je sens mon coeur qui bat. Bonnie n'est peut être pas le plus grand des bavards mais il est toujours présent pour m'engueuler. Alors que là...j'entend bien son souffle mais il n'y a rien de plus qui vient. j'émet nerveusement son prénom et sert le téléphone entre mes doigts. Mon regard se perd sur les passants qui déambulent dans le quartier. Même le sourire de la petite vieille au chien qui me salut n'arrive pas à me rassurer.
Ça sent la confession, celle au goût d'ouragan.
écoute-moi clyde...Victor, tu vas peut être le perdre.
Le perdre ? Comment ? Ma tête fait semblant de ne pas comprendre mais je crois bien que mon coeur, lui le sait. Parce qu'il a reconnu la voix de Bonnie lorsqu'il se retient de pleurer.
Alors il m'explique sans me laisser le temps de m'interposer. Qu'on l'a retrouvait mais qu'on ne sait pas trop ce qui c'est passé, que personne n'est capable de dire s'il va pouvoir être sauvé.
Il me supplie, de revenir maintenant avec sa drôle de voix un peu bouleversé.

Mais...je suis déjà parti de toute façon.


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Anonymous
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() message posté Jeu 2 Oct 2014 - 7:35 par Invité
tu sais qu't'es beau toi ... ? (ouais bon, t'es mon frère je sais roh !)
vraiment heureux que tu sois là ! et impatient de lire ce que tu vas écrire (a)

bienvenue alors d'accord on tire un trait, on commence à s'apprivoiser. 3231833901
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Nathanael E. Keynes
Nathanael E. Keynes
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alors d'accord on tire un trait, on commence à s'apprivoiser. Giphy
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() message posté Jeu 2 Oct 2014 - 7:37 par Nathanael E. Keynes
Bienvenue parmi nous !
Bon courage pour ta fiche et bonne chance pour ta validation. Amuse-toi bien parmi nous à suivre !
alors d'accord on tire un trait, on commence à s'apprivoiser. 3209449636
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() message posté Jeu 2 Oct 2014 - 8:54 par Invité
Bienvenue I love you trop beau ce mec alors d'accord on tire un trait, on commence à s'apprivoiser. 3995727071
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() message posté Jeu 2 Oct 2014 - 9:22 par Invité
bienvenue à toi et bon courage pour ta fiche alors d'accord on tire un trait, on commence à s'apprivoiser. 3729335241
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() message posté Jeu 2 Oct 2014 - 9:53 par Invité
Je ne connais pas Benjamin mais alors d'accord on tire un trait, on commence à s'apprivoiser. 705448254
Bienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche alors d'accord on tire un trait, on commence à s'apprivoiser. 1259971015 N'hésites pas si tu as des questions alors d'accord on tire un trait, on commence à s'apprivoiser. 1922099377
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() message posté Jeu 2 Oct 2014 - 9:54 par Invité
Victor, c'est toi le beau :hinhin: n'empêche que je trouve ça assez nul d'avoir un frère aussi canon alors d'accord on tire un trait, on commence à s'apprivoiser. 3891992225 je vois devoir rester sage Arrow

merci nath I love you

merci damian, puis alexander quoi, je décède alors d'accord on tire un trait, on commence à s'apprivoiser. 878725457

merci kaspar I love you

elias, benjamin c'est l'un des plus beaux hommes de cette planète, tout simplement  :hinhin:  :hihi: merci en tout cas I love you
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() message posté Jeu 2 Oct 2014 - 9:56 par Invité
au pire, on fera des bétises dans l'noir et on fera genre on a rien vu (puis moi, j'peux pas mentir sur ce coup là *sbaff*)
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() message posté Jeu 2 Oct 2014 - 10:00 par Invité
Bienvenue sur LC ! Bon courage pour ta fiche, magnifique avatar I love you alors d'accord on tire un trait, on commence à s'apprivoiser. 1922099377 I love you
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