» Schizophrénie : solal (m. mcmillan) & bodevan (g. hedlund)
(✰) message posté Mer 13 Jan 2016 - 20:16 par Maxime S. Monroe
Basile Monroe
FT. AU CHOIX
Elle a entre 23 et 25 ans (tout dépendra du choix d'avatar) + Elle est passionnée depuis toute petite par la musique. Elle joue plusieurs instruments, dont le piano + Elle est issue d'une famille très riche. + Elle a une petite sœur prénomée Shiraz. Mais elle l'appelle "Max" ou "Maximicrobe". + Elle a perdu sa mère il y a deux ans, à cause d'un accident de voiture + Elle se sent coupable depuis que sa sœur s'est accidentellement violé par son petit-ami Tancredi, car c'est à cause d'elle qu'il a cru qu'elle était prête : en effet, elle lui a dit que Max prenait la pilule. + Elle a un cousin appelé Zola Monroe. Caractère : mature, douce, généreuse, compréhensive, sage, drôle, maternelle, naïve, forte, courageuse, talentueuse.
Petit bonus:
2008, WESTMINSTER * La porte et claque et je lève brusquement la tête du scénario que je suis en train de lire. Je saute de mon lit et court jusqu'à l'entrée. Basile se trouve là, encore habillée de son long manteau. Je lui saute au cou, l'embrasse sur chaque joue et la regarde, impatiente. Elle se déshabille puis tourne la tête vers moi. « Qu'est-ce que t'attends Maximicrobe? » Me demande-t-elle avec un léger sourire aux lèvres. Je prends son sac à dos, le dépose au sol et l'aide à retirer son écharpe. Je lui adresse un grand sourire, et je réponds : « Que tu me joues un nouveau morceau. » Je sautille sur place et attrape sa main avant de la tirer jusqu'au salon où se trouve le piano à queue. Nos parents ne sont pas encore rentrés du travail, et comme tous les Mardi soir, Basile rentre de son cours de musique. Et comme tous les Mardi soir, j'attends d'elle qu'elle me joue quelque chose, et qu'elle m'emporte, quelque part, là où elle désire. Elle soupire, et je souris. Elle fait mine d'être lassée par mon attitude, mais je sais qu'elle adore ça. Je sais qu'elle aime que je sois sa première fan, celle qui veut toujours tout savoir, toujours tout entendre en premier. Elle s'assoit sur le tabouret, et je m'assois à côté d'elle. Je commence à pianoter quelque chose d'horrible, d'inaudible. Je suis impatiente, elle le sait, elle s'en délecte. Calmement, elle pose une main sur la mienne, la retire des touches blanches et noires et pose ses doigts fins sur le clavier. Je la regarde, les yeux brillants de malice. Elle commence à jouer une douce mélodie que je n'ai pas encore entendue. Je ferme les yeux, et laisse mon corps se balancer de gauche à droite, sur le rythme de sa mélodie. Nous avons toujours été proches. Je l'admire, elle m'admire. Car nous sommes différentes, car nous avons chacune notre talent, notre passion, nos envies différentes. Je suis sa fierté, elle est la mienne. Elle joue des minutes entières, le temps me semble si court lorsqu'elle joue. Je la regarde. Elle a les yeux fermés. Elle connaît les touches de son piano par cœur, elle connaît les accords à la perfection. Elle joue à la perfection. Son toucher est délicat, léger. Sa musique m'emporte. J'aimerai qu'un jour, nos passions puissent se mêler l'une à l'autre. Qu'elles s'imbriquent et s'encastrent pour ne former qu'un bloc d'humanité debout sur un socle. Qu'à nous deux, soit créé quelque chose de juste, de simple, et de vrai. Quelque chose de sincère qui pourrait parler au monde entier. L'amour de deux sœurs mêlés dans le même amour pour l'art. Mais je sais que je rêve. Je sais que sa musique ne peut se concilier avec ma passion du jeu. Je sais qu'il sera difficile pour elle de composer quelque chose que je me sentirais capable de jouer. Car il y a tant de choses qu'elle ne comprend pas chez moi, et tant de choses que je ne parviens pas à voir chez elle. Je soupire. C'est beau. Et ce n'est pas pour moi. Je le sais, ça me tue. Ca me tue de ne pas pouvoir partager cela avec elle, de n'être que sa plus grande fan, et non pas sa muse. Ca me tue qu'elle ne me fasse que voyager, et qu'elle ne puisse pas m'inspirer. J'aimerai qu'à nous deux, nous soyons complètes. Je baisse les yeux vers le sol. « A quoi tu penses Max? » Elle s'était arrêtée de jouer, et je ne m'en étais pas rendue compte. Je relève brusquement les yeux vers elle, passe une main derrière mon oreille et soupire. « Je... Je me disais qu'on était pas assez proches. J'aime ta musique, et elle me transporte. Mais je ne comprends pas ce tu ressens en la jouant. Et toi, tu ne parviendras peut-être jamais à comprendre ce que c'est de jouer... » Je relève les yeux vers elle et elle sourit tristement. Elle se lève, me prend dans ses bras et m'emmène jusqu'à ma chambre. Je suis petite, et frêle pour mon âge, elle peut toujours me porter. Je ne veux pas grandir, je ne veux pas que ça s'arrête. Elle me dépose sur mon lit et s'assoit à côté de moi. Je la regarde et elle répond : « On finira par se comprendre Max. Tu es encore petite malgré tout. Je deviens vraiment grande. Quand tu rentreras au lycée, tu prendras de la maturité, tu verras plus loin que ce que tu vois déjà. Tu sauras ressentir, et tu pourras m'expliquer ce que toi tu ressens. Mais je pense que... Je pense que nous parvenons à ressentir la même chose, ça nous transperce. Tu vois? » Et je souris. Parce que c'est ça. C'est ce que je ressens. Lorsque je joue, les émotions me transpercent. Elle a peut-être raison. Peut-être ai-je besoin de grandir encore, de voir le monde qui m'entoure, d'apprendre à me gérer seule, à découvrir la vie pour pouvoir penser comme elle. Mon modèle, ma grande sœur. Je la serre dans mes bras et nous allonge sur le lit. Elle joue avec mes cheveux, et je ferme les yeux. « Tu me guideras? J'ai peur de grandir... » Elle m'embrasse sur le front. Petite, j'aimais par dessus tout Peter Pan. J'aimais sa manière de jouer, son innocence, sa volonté à rester enfant pour toujours. J'aurai voulu être Peter Pan. Basile se relève et me regarde. Elle prend mon visage entre ses deux mains et fronce les sourcils. « Là je ne te comprends plus Max. Tu te poses trop de questions. Tu ne devrais pas. Laisse ton esprit se reposer un peu, pense à une seule chose, n'essayes pas de tout comprendre tout de suite. Sinon, il viendra un moment où tu n'auras plus rien à découvrir. » Je baisse les yeux. Elle avait raison. Car aujourd'hui, j'ai tout vu, j'ai tout vécu. Il me semble que la vie n'a plus aucun secret pour moi. Et même si j'ai appris à être patiente, à ne penser qu'à une chose à la fois, j'ai grandi trop vite. Je ne voulais pas, mais mon destin m'a rattrapé. L'ironie tragique m'a rattrapé.
2011, NOTTING HILL * J'avais compris ce que faisait la musique. J'étais là, dans cet appartement de Notting Hill qui appartenait au grand frère de Mat. Un CD de David Bowie jouait sur le tourne disque de Tancredi. Tancredi, c'était son frère, le frère de Mat. Et je voyageais. J'avais l'impression d'être née à une autre époque, celle de mes parents. J'avais l'impression d'être dans un film, d'être quelqu'un d'autre. J'aimais cette sensation. J'aimais m'évader de cette vie pour quelques heures. Je fermais les yeux et apportais le joint à mes lèvres. Je dansais, je bougeais le buste, mollement sur le rythme de la musique. Mat parlait avec ma sœur Basile. Mais je n'écoutais. Quelque chose, ou plutôt quelqu'un avait retenu mon attention. Sur le canapé d'en face, la clope au bec me regardait Tancredi. Nous nous connaissions depuis un an maintenant, mais n'avions jamais eut l'occasion de passer du temps ensembles, d'apprendre à nous connaître. Néanmoins, je sentais constamment son regard bleu-vert sur moi. Je ne parvenais plus à faire comme si tout allait bien. Il me déstabilisait. Mat riait, ma sœur aussi, et moi j'étais là, mais comme dans un autre monde. Cet instant où tout semble se dérouler au ralenti tout autour de soi. Rien ne va plus. Mon cœur bat à cent à l'heure. J'étouffe tout d'un coup. Alors je me lève, donne le joint à mon meilleur ami et me dirige à la fenêtre. Je l'ouvre et sors sur le balcon. Je m'appuie sur la rambarde et respire l'air frais du mois de Mars. Je sens alors une présence dans mon dos. On pose une veste sur mes épaules et je me retourne brusquement. Tancredi est là, et me regarde toujours avec ce regard clair, et sombre à la fois. Je lui souris timidement. Il s'installe à côté de moi et me retire la clope des lèvres, celle que je viens tout juste d'allumer. Il l'apporte à ses lèvres et me regarde. Je plonge mon regard dans le sien et reste de glace. Mon cœur bat à la chamade. Il est si beau. Depuis le premier jour où je l'ai vu, depuis ce jour où il est venu chercher Mat devant le lycée, je ne cesse de penser à lui. Son regard sombre m'intrigue, ses lèvres parfaitement dessinées sont une torture pour mon coeur fragile. Je ne sais pas ce que c'est de tomber amoureuse, mais je crois savoir à quoi ça peut ressembler. Cette chaleur dans mon ventre. Je me sens vaciller. Il inspire une bouffée puis passe une main autour de ma taille avant de m'attirer à lui. Il avance son visage vers le mien et souffle sa fumée. J'entrouvre mes lèvres et sans que je puisse y faire quelque chose, il dépose les siennes sur les miennes. Ma tête me tourne. Tous mes sens sont décuplés. C'est la drogue qui fait ça. Il finit par s'éloigner, il finit de s'éloigner car Mat nous interrompt, il hurle : « Ah bah enfin! T'as mit un an à la pécho quand même! » Gros lourdaud. Je ris jaune, et je me sens rougir. Lui aussi rit, du moins lâche un gloussement grave. Il passe alors son pouce sur ma joue et me chuchote : « Ca valait le coup. Attendre que tu sois prête, ça valait le coup. » Si j'avais su. Je fronce les sourcils. Comment pouvait-il savoir que j'étais prête, comment pouvait-il lire en moi de cette manière? Tout d'un coup, j'étais effrayée, effrayée par lui, par son côté si arrogant. Il semblait me connaître sans même que je lui ai parlé. J'étais mise à nue. Il prend ma main, et m'attire à l'intérieur. Il s'assoit sur un canapé et m'attire à lui, je souris. Il me prend dans ses bras et plonge son visage dans mes cheveux. Je rougis, je suis si mal à l'aise. Et lui, si à l'aise. Je sens alors le regard de Basile et de Mat sur moi. Je les regarde et baragouine quelque chose qui ressemble : « Concluez, et foutez moi la paix m'voui? » Ils se regardent et explosent de rire. Basile et Mat ensembles. Ce serait improbable. Pourtant, je sens dans le regard de ma sœur une certaine tristesse. Je suis défoncée, bourrée. Je ne sais plus. Je me pince les lèvres et secoue légèrement la tête. Mat attire le joint à ses lèvres et répond alors : « Tu dis jamais rien Max. Mais on voit tout. On voit toujours tout. » Je soupire. Moi qui pensais avoir été discrète. Tancredi me serre contre lui. Je me détends. Je suis bien dans ses bras. Je me sens bien. Tout va bien.
JANVIER 2013, SOHO * On toque à la porte. Non, on frappe à la porte. Non, on défonce la porte. Je me lève de mon fauteuil et traîne les pieds jusqu'à l'entrée. J'ouvre la porte et arque un sourcil lorsque je découvre ma sœur. Elle entre, telle une tornade et se dirige dans le salon. Elle jette son sac sur le fauteuil et se prend la tête entre les mains. Elle s'agrippe à ses cheveux. Non, ne fais pas de mal à tes si beaux cheveux. Elle se met alors à pleurer et je fronce les sourcils. Je me sens à nouveau impuissante. Mais pas comme avant. Je suis sobre. Je baisse les yeux vers le sol et pousse la porte pour qu'elle se ferme. Elle sanglote. Je reste là, devant elle, la gorge nouée. J'aimerai la prendre dans mes bras, mais je n'y arrive pas. Je n'ai pas de mots pour la rassurer, pour lui dire que tout ira bien. « Il se passe quoi là Shiraz?! Maman meurt, tu te barres je ne sais où. Tu reviens, tu ne préviens personne et je récupère Tancredi en pleurs chez moi. Qu'est-ce qui s'est passé! Vous avez rompu? PARLES MOI! PARLE POUR UNE FOIS! ». Je détourne le regard et attrape mon paquet de tabac. Je me roule une cigarette et avance vers la grande baie vitrée. En bas, le monde semble si vif, si pressé, si vivant. Et moi, je suis là, amorphe, presque morte. J'ai laissé une partie de moi là bas. Je ne voulais plus voir personne. Je voulais rester. J'aurai tout fait. J'aurai tout fait jusqu'à m'en étouffer. Pour rester seule. Pour rester dans ce monde qui semblait si irréel. Je savais qu'il n'était pas réel, mais je m'y plaisais. Sans regarder au dehors, j'aurai pu m'imaginer ailleurs, dans un autre pays, dans une autre vie. Je n'avais plus de frontières. J'étais partout, et nulle part à la fois. J'étais dans mon monde. Basile venait de briser ce monde. Elle venait de me ramener à la réalité. Elle venait de me rappeler que je ne pouvais pas échapper à cette ville. Drôle de vie. Putain de vie. Richesse, gloire, échec. Tout à la fois, mêlé. Comment être heureuse lorsque tout n'est qu'incertitude. J'en avais une, de certitude. Celle de rester vierge jusqu'au mariage, de décider quand me lancer. De ne pas dépendre du destin. On m'a ôté ce droit. Il m'a ôté ce droit. Et je me suis montrée impuissante, presque inexistante, le cerveau ravagé par la drogue. J'avais merdé moi aussi, j'avais paniqué. Je n'avais pas su dire les choses. Ce problème, ce problème qui m'a toujours fait barrière, celui de dire ce que je ressens, il m'a mené jusqu'à sa conclusion. J'aurai du parler, j'aurai du savoir dire les choses. C'était ma punition, c'était ma punition pour être restée muette. Pourtant, j'en avais dit des choses. Je n'avais pas tout gardé pour moi. Je m'étais tout simplement contentée de garder le plus important au fond de moi. Comme pour me protéger, comme pour me protéger de ce qui pouvait me faire grandir. Un peu plus. Me rendre plus mature. Je ferme les yeux. Je ne veux plus être Shiraz. Je veux jouer. Je veux être transpercée. Par l'art. Par quelque chose. Je me retourne, je regarde ma sœur et réponds alors : « On s'était promis. Pas avant le mariage. ». Je me mets alors à pleurer, elle me regarde. Elle semble pétrifiée. Quelque chose en elle, dans son regard. Elle cesse de pleurer, elle semble plutôt choquée par ce qui se passe. Elle se dirige vers la porte d'entrée. Tremblante. Je tends la main vers elle, pour la retenir. Restes Basile. Restes dans mon monde. Viens t'enfermer dans mon monde parfait, sans frontières. Un seul peuple. L'humain. Sois humaine avec moi, laisse la beauté de la vie de transporter. Laisse toi emporter. Avec moi. Chez moi. Elle tremble, quitte l'appartement et me lance, avant de m'abandonner. « Je suis désolée. ».
SHIRAZ M. MONROE
petite soeur, tensions Shiraz et Basile ont toujours été proches. Elles se sont toujours admirées. Shiraz sait jouer la comédie, Basile est une musicienne née. Mais elles ont mit du temps avant de se comprendre, car Basile a toujours été mature, et Shiraz, elle, a toujours refusé de grandir. Lorsque Shiraz a rencontré Matia, Basile a commencé à traîner avec eux, et avec Tancredi, le grand frère de Matia qu'elle connaissait du lycée. A partir de ce moment là, les deux soeurs se sont mises à se comprendre un peu plus. Mais depuis Cape Town, depuis que Shiraz est revenue brisée de sa petite escapade qui a duré quatre mois, Basile n'arrive plus à regarder sa soeur en face, et Shiraz n'arrive pas à lui pardonner. A lui pardonner d'avoir voulu se mêler de ce qui ne la regardait pas.
MATIA DI CONTI
ami, tension, amour à sens unique Basile est douce, mature, sage. Le contraire de Matia. Pourtant, ils se sont rapidement attachés l'un à l'autre, et sont devenus amis. Si Matia la considère comme une amie, elle, elle le voit differemment. Elle est tombée amoureuse de lui avec le temps, et ne parvient pas à lui dire, car elle sait que cet amour n'est pas réciproque, et pire encore, elle sait que Matia serait nocif pour elle, qu'il pourrait la détruire. Et lui, ne comprend pas. Et à vrai dire, il ne cherche pas à comprendre.
TANCREDI DI CONTI
ami Basile et Tancredi se sont très vites entendus. Au lycée, ils se sont mis à traîner ensembles et n'ont pas vraiment gardé contact lorsque Tancredi a décidé d'arrêter ses études. Mais grâce à Shiraz et Matia, ils ont repris contact et ont lié un lien très forts. Il la considère presque comme sa soeur, et aime passer du temps avec elle. Elle est celle avec qui il parle lorsque ça ne va pas, lorsqu'il ne va pas bien. Elle fait de même, elle a une confiance aveugle en lui. Pourtant, les choses se sont gâtés après Cape Town. Basile se sent fautive de ce qui est arrivé et ne sait plus comment parler à Tancredi. De son côté, il essaye de se battre pour qu'elle ne s'éloigne pas de lui. Mais Basile ne peut pas s'empêcher de rester loyale envers sa petite soeur.
Maxime S. Monroe
J'aurai tout fait jusqu'à m'en étouffer.
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» Pseudo : .KENZO (louise)
» Avatar : teresa oman
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» Schizophrénie : solal (m. mcmillan) & bodevan (g. hedlund)
(✰) message posté Mer 13 Jan 2016 - 20:47 par Maxime S. Monroe
J'ai pas finiiieuh
LONDON CALLING TO THE FARAWAY TOWNS
Bonjour, bonsoir Merci de t'intéresser à ma Basile, elle compte énormément pour mon personnage, donc aussi pour moi Puis, bon, elle est trop mignonne alors J'ai tout de même quelques détails à éclaircir
Le pseudo : Le nom n'est évidemment pas négociable, parce que c'est la grande soeur de Shiraz et la cousine de Zola. Le prénom est négociable, mais j'adore ce prénom, je trouve qu'il correspond bien au personnage et j'aimerai tout de même que vous choisissiez un prénom original
L'avatar : Là, c'est compliquée J'ai pensé à Lou de Laâge en créant le personnage, mais je peux comprendre qu'elle ne plaise pas à tout le monde. J'aimerai tout de même que vous trouviez quelqu'un qui puisse être crédible en grande soeur de Teresa Oman, et qui corresponde au personnage de Basile. J'avais pensé à Mimi Elashiry, Amelia Zadro et même à Nina Agdal (même si je trouve, qu'avec elle, on perd ce côté innocent et doux pour une femme très sensuelle quand même ). Donc tu peux proposer d'autres avatars, mais malheureusement, il se peut que je sois chiante si je trouve que l'avatar ne correspond pas au personnage! (mais je ne suis pas méchante non plus, no stress ). Aussi, je voulais au début que Basile ai 25 ans, mais à cause de la règle sur les trois ans d'âge de différence entre l'avatar et le personnage, j'ai été obligé de mettre entre 23 et 25 ans puisque Mimi et Amelia, par exemple, ont 20 ans. Donc, il faudra adapter l'âge en fonction de l'avatar, mais je préfère qu'elle ai 25 ans, plutôt que 23
L'histoire/Le caractère : Comme tu l'as très certainement remarqué, l'histoire est assez libre, tout simplement parce que c'est ton (possible) futur personnage et c'est à toi de te l'approprier comme tu le souhaites. Néanmoins, il faudra respecter les quelques points que j'ai précisé car c'est important pour moi, que ce soit pour l'histoire, ou le caractère.
La présence : J'aimerai quelqu'un de présent et qui rp régulièrement. Je n'attends pas non plus des fous du rp qui répondent toutes les deux heures, mais quelqu'un qui soit assez présent pour que les rps puissent avancer.
Alors, à bientôt j'espère J'attends vraiment ma Basile avec importante Des bisous!
Samia Bukhari
Administratrice
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» Pseudo : marine / tearsflight
» Avatar : shanina shaik
» Âge : twenty-six
» Schizophrénie : Jake & Alexander & Roman
(✰) message posté Mar 29 Mar 2016 - 9:18 par Samia Bukhari
scénario pris
Invité
Invité
(✰) message posté Sam 14 Mai 2016 - 18:37 par Invité