"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici wave after wave, (heilwig) 2979874845 wave after wave, (heilwig) 1973890357
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wave after wave, (heilwig)

Anonymous
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() message posté Sam 4 Oct 2014 - 14:48 par Invité

heilwig marie-lou nightingal

London calling to the faraway towns
NOM(S) : nightingαl, concernαnt le nom de fαmille, il αppαrtient ά son pαternel et αutres générαtions. jαmαis n'αvαit-elle songé ά ce qu'il en soit αutrement. PRÉNOM(S) : heilwig mαrie-lou, ignorαnt αinsi lα véritαble significαtion de ses prénoms, lα brune ne s'est jαmαis questionnée quαnt ά leur provenαnce. ÂGE : vingt-quαtre αns. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : née le dix juin, mille neuf cent quαtre vingt-dix ά toronto (cαnαdα). NATIONALITÉ : cαnαdienne principαlement, bien que ses origines subsistent diverses. (isrαélienne ά lα touche, hispαnophone). STATUT CIVIL : en couple, αvec elle-même et/ou célibαtαire. MÉTIER : αnciennement étudiαnte en histoire, reconvertie en librαire déplorαble, sαns lα moindre αmbition, d'αutαnt plus. néαnmoins, ne souhαite pαs subsister dαvαntαge dαns le domαine, bien qu'elle ne sαche frαnchement quoi fαire de sα vie ά l'αvenir. TRAITS DE CARACTÈRE : tolérαnte, spontαnée, modeste, indépendαnte, perspicαce, bohème, cαlme, observαtrice, réfléchie, indifférente, cαssαnte, psychologiquement instαble, distrαite, distαnte, frαgile, individuαliste, réservée, je-m'en-foutiste. indécise. désαxée. GROUPE : the tube.



My style, my life, my name

considérée comme psychologiquement instable depuis son enfance a été internée à l'âge de quatorze en centre psychiatrique pour dépression nerveuse, survenue notamment après la séparation de ses parents a brulé la voiture de son paternel suite à une querelle à la base, sans importance constamment envisagée comme désaxée et totalement déséquilibrée, et ce, depuis l'école primaire réfléchie, mais désespérément sans la moindre ambition inexpressive, heilwig manifeste rarement, aussi bien dit, jamais, ses émotions plus elle aime, moins elle en donne les individus dont le tempérament s'enflamme vivement, l’horripilent au plus haut point. de ce fait, il ne lui en faudrait pas davantage pour littéralement s'en éloigner bien que ne s'emportant jamais véritablement dans l'instant même, les conséquences de ses réactions tardives peuvent s'avérer totalement démesurées appartient à cette catégorie extrême de personnes jaugeant au physique, et dont les aprioris restent généralement inchangés se parle souvent à elle-même, mais parvient toutefois, à se contredire outre son attitude indifférente, nightingal est depuis toujours, victime d'anxiété et propice aux crises de spasmophilie ne peut sortir de chez elle, sans la présence sécurisante de son téléphone portable la brune, c'est évidemment la bonne copine, néanmoins ça s'arrête là. les confidences, absolument pas pour elle. les difficultés des autres, ne sont pas les siennes et c'est très bien ainsi n'aime pas franchement les séries télévisées ni même le cinéma, pour lesquels elle éprouve un certain désintérêt. toutefois, elle ne voit aucun inconvénient à passer des heures entières, derrière l'écran, lorsqu'il s'agit de dessins animés consomme très souvent avec excès sa boisson favorite, vodka, grenadine-limonade ne boit plus le moindre soda depuis trois-quatre ans déjà. vous ne l'apercevrez pour ainsi dire, jamais une bouteille de coca à la main est la représentation idéale du je-m’en-foutisme dans toute sa splendeur marie-lou, c'est le genre de gamine qu'il faut constamment protéger, tout simplement parce qu'elle est incapable de le faire elle-même considère qu'il n'est pas nécessaire d'aboyer pour se faire entendre végétarienne depuis son enfance, il en est d'une fervente protectrice des animaux sujette à la perte fréquente de la mémoire d'un tempérament réservé, heilwig passe facilement pour une individue sauvage et incommode n'est absolument pas tactile claustrophobe à l'extrême nightingal, elle est sauvage et un peu bohème à la fois, continuellement dans son monde, monde duquel il est particulièrement difficile de l'extirper bien souvent appartient à cette autre catégorie de personnes qui pensent que si l'on ne voit pas le problème, alors il n'y a pas de problème.
PSEUDO : treαsure. PRÉNOM : mαllαury. ÂGE : vingt-et-un αns. PERSONNAGE : inventé. AVATAR : mαrgot robbie, lα jolie. CRÉDITS : αvαtαr@liloo_59(bαzzαrt)/ gifs@margotdaily/tumblr. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : topsite. je suis fαible, j'αi crαqué.



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() message posté Sam 4 Oct 2014 - 14:48 par Invité
At the beginning

LITTLE GIRL - SCHOOLmoi, je suis sûr que tu es complètement folle. Et c'est ainsi, que je ne fus plus maître de mes agissements. J'eus foutrement supporté ces dénigrements tant de fois, que je ne pouvais contenir davantage cette colère toujours plus grandissante. mes mains si frêles habituellement, vinrent hâtivement s'emparer de leur interlocuteur que je secouais brutalement d'avant en arrière. Tant il tentait encore de se défaire de mon étreinte pour le moins, sauvage, que mes yeux s'emplirent de larmes à la lumière clairvoyante, précédés d'insultes d'un langage enfantin. je ne suis pas folle, tu entends ? Je ne suis pas folle. Hurlais-je, sous les regards horrifiés de mes petits camarades de classes. espèce de folle. Venait-il de renchérir, narquois, mais bel et bien embarrassé par cette contestation véritablement inattendue. Bien trop jeune, je ne pouvais daigner combien mes actes s'en suivraient de conséquences considérables, toutefois je n'avais fait que me préserver, car personne jusqu'à présent n'avait eu l'aplomb suffisant pour le faire à ma place.

heilwig marie-lou nightingal. Ne pouvait-il s'interrompre, tout en ressassant mon nom dans sa totalité. Véritablement, je n'en menais pas large, toutefois j'eus bien des difficultés à dérober mon animosité non estompée. Le directeur de l'école primaire, ne manquait pas l'occasion inespérée de convoquer instantanément mes parents, qui quant à eux, n'eurent de cesse de rabâcher combien ils furent absolument navrés. Je ne l'étais pas, pas autant qu'eux aprioris. Je n'avais fait que me défendre. Je refusais d'admettre ouvertement que mon attitude effleurait éventuellement l'hystérie. J'étais pour ainsi dire à des années lumières d'une élève exécrable, toutefois, mon tempérament instable attisait fructueusement la curiosité de mes compagnons de classe pour lesquels je symbolisais dans leur conscience étroite, la démence et l'extravagance dans toute leur splendeur. En toute honnêteté, plus que tout au monde, je désirais omettre cette période atroce et psychologie étrange de l'enfant. Je n'étais assurément pas cette gamine méchante, celle pour laquelle nous avons des milliers des raisons de vouloir l'écorcher vive, malheureusement un comportement à peine plus éveillé, eut suscité l'avidité malsaine dont je fus fatalement victime. J'ai toutefois achevé ma scolarité comme je l'avais commencé, entièrement seule.

FAMILY AND FRIENDS ⇢ Étrangement, j'ai toujours supposé ne pas être la représentation idéale de l'attachement dans toute sa splendeur, et pour cause, une réplique familiale, pour le moins désastreuse. j'aspire fermement à combien je suis plausiblement responsable de ce fossé pharamineux creusé au fil des années. Je vous l'accorde, je n'en suis pas très fière, je n'ai rien fait pour. Parait-il que ma naissance a été le commencement de cette chute interminable, comme quoi, rien n'arrive jamais par hasard. Née un beau jour de printemps à toronto, je devins hâtivement l'objet de toutes les convoitises. Filles unique, aucun d'eux n'eut envisagé qu'il en soit autrement. Hypothétiquement, si mon tempérament se devait celui d'une princesse orgueilleuse et exclusive, il n'en fut rien. Brusquement je me démarquais à l'exemple même, d'un véritable garçon manqué, et ma préférence pour mon paternel devint excessivement tape à l'œil. Avocat de profession, je regrettais amèrement que nous ne puissions pas partager autant que je l'avais souhaitais, au détriment d'une mère, plus névrosée que jamais. Tous deux ne furent pas encore mariés que leur couple ne se raccrochait guère qu'à plus d'un geste délicat en trois jours. Néanmoins, dans leur dernier retranchement ils daignèrent l'officialisation de leur relation, ou presque... Âgée seulement d'une dizaine d'années, je concevais rapidement les désastres d'une relation destructrice dès lors que l'obscurité maternelle se refusait l'engagement face à une assemblée totalement médusée. La voilà qui, confrontée à elle-même, rejetait tardivement l'entière responsabilité de son mariage. De ce fait, je n'omettrai certainement jamais cette mine décomposée que mon paternel s'était distinctement octroyé, intérieurement peu stupéfait qu'il en soit ainsi. Suite aux évènements, tout contact a été rompu et ma mère n'a représenté guère plus qu'un prénom. Certains prétendent à son départ imminent pour un autre continent, me concernant je faisais face, foutrement parce que je n'avais pas le choix. J'achevais seulement mes années difficiles de primaire, et mon attitude parfaitement détachée me permettait encore de garder la tête haute.

Probablement, et bien qu'il y ait de quoi en être décontenancé(e), je dois toutefois admettre combien le départ de cette névrosée un brin dépressive, fut une véritable libération. J'ai surpris mon paternel plus heureux encore en quelques mois, qu'il ne l'avait été durant d'interminables années. Son échec sentimental ne fut qu'un bref et mauvais souvenir et le voilà, qui s'égayait à nouveau en compagnie de sa nouvelle conquête. Je n'approuvais guère continuellement sa présence, néanmoins je n'eus jamais été capricieuse ni même acerbe et hostile de la connerie humaine. Je me devais bien la satisfaction à mon père, tout bonnement parce qu'il restait mon unique et réelle famille, consciente qu'à mon tour je me devrai de déserter le cocon, un jour... De mon côté, j'entamais ainsi une vie sociale à l'opposé d'autrefois. Mes camarades de classes assimilaient nettement mon comportement atypique à la limite de la folie, qui quant à eux, devinrent de sincères ami(e)s. Mes fréquentations se firent à mon image, un soupçon décalé et sans la moindre chance de prise de tête. J'omettais progressivement les difficultés du quotidien aux travers de délires pas toujours nets, durant lesquels nous expérimentions nos limites, comme tous adolescents de notre âge (14,15 ans)-. En apparence, je n'avais plus rien de ce garçon manqué, seul mon comportement instable et éveillé se fit plus traître encore que je ne l'avais espéré. Très franchement, j'estime avoir été le bout en train de la bande, tentant progressivement de communiquer cette folie pour palier partiellement les vides d'une famille parfaitement normale.

Et puis, voilà une première histoire "relation pseudo-amoureuse", qui fut en réalité plus synonyme de toute première désillusion. Plaquée pitoyablement sur le parvis d'un restaurant friqué lors d'une soirée pluvieuse, j'assimilais bien vite combien il restait préférable de ne pas m'enliser dans cette absurdité des sentiments, probablement consciente de n'être qu'une perdante. dix-sept ans seulement et, je me refusais avidement l'enchainement d'histoires à l'exemple même de mon entourage, ne songeant uniquement au couple trop souvent idéalisé, mais inexistant. Fondamentalement, je persistais dans l'idée qu'il en serait différemment avec les années, cependant je dois reconnaitre qu'il y eut une possibilité non envisagée, pour que les choses soient pires encore que l'image de tous ces petits crétins à l'attitude acerbe d'autrefois. Tant la romance de mon père et sa prétendante s'officialisait, que je me délectais de ce tout nouveau cocon familial en m'octroyant lentement ma propre autonomie. Je demeurais professionnellement en tant que serveuse à mi-temps, dans l'unique intention de démontrer à mon entourage, combien je restais pleinement enclin à la tâche, qu'importe le compte en banque de mon paternel. C'est ainsi, que je n'éprouvais guère de difficulté à concilier vie professionnelle et domaine scolaire. De ce fait, il faut bien reconnaitre combien la chance absolue n'est vraisemblablement pas une aubaine assignée au premier venu, et mon paternel eut au moins ce mérite de ne porter aucun jugement positif, comme négatif sur mes fréquentations. Friqués, classe moyenne, ou parents endettés, nous formions une joyeuse bande d'amis et nous n'avions guère besoin d'énormément pour nous distraire. En leur compagnie, qu'importe ma psychologie un semblant dérangée, j'étais parfaitement normale...

LONDON ⇢ Toutefois, la situation s'est avérée plus inexplicable encore que je ne l'aurais imaginé. Toronto restait mon idéal certes, mais il fut nécessaire de reprendre mon quotidien en main, avant que les choses ne soient tardives. Âgée d'une vingtaine d'années franchement passées, je quittais soudainement mon pays natal pour la cote britannique. Je subsistais en tant que libraire, tant je considérais le revenu franchement suffisant pour une célibataire endurcie à mon image. Malheureusement, mon arrivée se fit dans une ambiance pesante, et mon tempérament instable s'est avéré plus vif que je l'avais imaginé. Toutefois, j'aspirais à combien cet endroit soit synonyme de renouveau. Là où livrée à moi-même je ne distinguerais plus ces propos acerbes d'autrefois. Où mon attitude inhabituelle ne serait pas uniquement une difficulté, tant bien même mon indifférence face aux vétérans de la capitale, laissait sincèrement à désirer. Prétendre le contraire ne serait qu'affabulation, toutefois je dois reconnaitre combien il m'était difficile de m'acclimater entièrement à ces lieux à des années lumières de mon pays natal. J'en suis pleinement consciente, il m'est indispensable de déceler une part de stabilité me permettant un rythme de vie parfaitement normal. Omettre partiellement ces périodes d'autrefois qui furent à l'origine de ce comportement atypique qui est le mien. Bien que spéciale en mon genre, je n'en reste pas moins pragmatique. Débarquer à londres reste possiblement la meilleure décision dont j'ai daigné de toute mon existence. Et lorsqu'il vous arrive de douter, certaines rencontres vous rappellent naïvement combien vous avez eu raison de tout plaquer, aussi précipitamment soit-il.
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Alycia Hemsworth
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() message posté Sam 4 Oct 2014 - 15:00 par Alycia Hemsworth
Bienvenue sur LC & bon courage pour ta fiche :hihi:
Si tu as besoin, n'hésite surtout pas wave after wave, (heilwig) 1973890357

En attendant d'être validée tu peux déjà aller faire un tour sur le flood ou venir papoter sur la cb wave after wave, (heilwig) 2336905461
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() message posté Sam 4 Oct 2014 - 15:02 par Invité
Bienvenue I love you j'aime l'avatar wave after wave, (heilwig) 2555317567
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() message posté Sam 4 Oct 2014 - 15:04 par Invité
Bienvenue sur le forum !! wave after wave, (heilwig) 2406027045
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() message posté Sam 4 Oct 2014 - 15:18 par Invité
Aw je ne la connais pas mais elle est trop jolie. wave after wave, (heilwig) 1922099377
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche. wave after wave, (heilwig) 1973890357
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() message posté Sam 4 Oct 2014 - 15:33 par Invité
c'est la première fois que je dois la voir. wave after wave, (heilwig) 1922099377 bienvenue parmi nous. I love you
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() message posté Sam 4 Oct 2014 - 15:43 par Invité
bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche wave after wave, (heilwig) 1922099377
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() message posté Sam 4 Oct 2014 - 15:45 par Invité
Bienvenue parmi nous wave after wave, (heilwig) 1973890357
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() message posté Sam 4 Oct 2014 - 16:24 par Invité
Bienvenue ici =)
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