"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Imagine que Martin Luther King ait dit : « J’ai fait un rêve... mais j’ai pas envie d’en p 2979874845 Imagine que Martin Luther King ait dit : « J’ai fait un rêve... mais j’ai pas envie d’en p 1973890357
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Imagine que Martin Luther King ait dit : « J’ai fait un rêve... mais j’ai pas envie d’en p

Anonymous
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() message posté Dim 28 Sep 2014 - 19:10 par Invité

   
Harry Cormac McGuiness

   
London calling to the faraway towns
NOM(S) : Salut à toi l'ami, tu veux pas qu'on aille boire un verre plutôt que de discuter de moi ? Non c'est pas que j'aime pas parler de moi, mais je l'ai fais trop souvent, ça me soule à présent, mais bon si tu insistes. Je tiens mon nom de mon père, qui le tient de son père, jusqu'ici rien de plus normal me direz-vous. McGuiness, ça te parle un peu ? Hélas non, je n'ai pas la recette de la Guiness dans mes tiroirs ceci dit c'est une très bonne bière !  PRÉNOM(S) : Oui j'ai un prénom, comme tout le monde sur cette planète, même mon chat a un prénom ! Il s'appelle Roi Louis, la classe n'est-ce pas ! Moi c'est Harry, non pas comme le magicien, j'ai rien contre lui, mais je préfère de loiiiiiin HARRY OSBORN  !!! Il a beaucoup plus de classe. Et puis j'ai mon Peter, fin j'avais, j'ai, j'avais j'en sais trop rien. Anyway ensuite j'ai Cormac, prénom de mon papy, prénom Irlandais si tu veux tout savoir et j'ai cru comprendre que tu voulais tout savoir. Et l'dernier, bah ouais t'es Européen ou tu l'es pas, c'est Francis, parce que j'ai un côté frenchy qui coule dans mes veines ! Et oui monsieur !  ÂGE : T'en fais pas mon bichon je suis majeur, ça fait bien longtemps que je suis en âge de boire légalement et un peu partout dans le monde. Beh ouais c'est Ricain ont le droit à partir de 21 alors qu'ils ont le droit de conduire à 16, va comprendre ! Fin bref moi j'ai 25 ans et presque toutes mes dents ! J'en ai perdu une dans un combat ! Bah ouais je suis un méchant, tu crois quoi, y en a qui le sauve et y en a qui le détruise. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : J'ai poussé mon premier cri le 11 septembre de l'an 89. C'était un jour pluvieux apparemment et une chanson des Beatles passait en fond. La classe ultime ! Et puis à présent ma date de naissance est devenue célèbre, pas à cause de moi et je n'y suis pour rien ! J'suis pas barbu, fin ça dépend des jours. NATIONALITÉ : T'es ready ? Non parce que mon arbre généalogique n'est pas "simple" Mon père est à moitié Irlandais et Écossais, ma mère a des origines française, anglaise et j'crois que c'est tout ... c'est déjà pas mal, donc moi je suis un résumé de tout ça ! LA CLASSE !  STATUT CIVIL : T'es pire que le groupe de soutient et autant te dire qu'eux ils rigolent pas, quand ils veulent te faire parler et bien tu causes. Fin bref, je suis célibataire, il fut un moment ou j'étais un séducteur de bas étage. Ce qui veut dire que j'arrivais pas spécialement à chopper des nanas, mais j'y arrivais par l'humour et puis ma bouille. Et puis après ça a changé, j'ai encore moins voulu m'attacher aux gens, fin bref j'ai été amoureux pendant un temps. Je crois même que je lui suis toujours, mais voilà la vie est compliquée, surtout si tu te tires pendant environ 6 ans ...  MÉTIER  : Gamin je voulais être comédien, ma mère a toujours dit que j'avais un don pour faire rire les gens. Je transmettais la joie. J'ai aussi voulu être poubelier rigole pas, tu bosses le matin, mais après tes pénards, fin ça n'a pas duré longtemps. A présent je finis mon master en audiovisuel. Je reste dans le monde du cinéma, j'adore ça.  TRAITS DE CARACTÈRE : Il paraît que je suis un bout en train, chieur, emmerdeur... un mec qui ne se prend pas forcément au sérieux. J'avoue j'ai été pendant longtemps ce type, je le suis toujours un peu. Je suis juste différent, je vie plus à présent, encore plus qu'avant. La vie m'a offert une seconde chance, c'est pour ça que je reviens ici. Pour eux, pour me rattraper, ouais parce que je suis fidèle, loyal, franc, objectif, fort, têtu. D'après ma mère je suis un battant, sauf que c'est elle qui m'a donné cette force. J'ai longtemps songé à baisser les bras, mais ils ont toujours été là pour moi, même quand j'en pouvais plus. Elle a toujours gardé la tête haute, malgré que j'ai été horrible avec elle ... Pour ma défense la maladie a révélé une autre partie de moi. Je ne souhaite plus m'attacher aux gens, j'ai dû mal, je sais que je suis soigné, mais je sais aussi qu'il peut toujours revenir. Il est là ! Je suis une bombe, fin j'étais, j'arrive toujours pas à employer le passé. C'est pour cette raison que je ne veux pas que l'on s'attache à moi. Je veux faire le moins de dommage possible. Ouais j'suis un brin sensible et maniaque dans mon travail. Le cinéma m'a sauvé ... GROUPE : Walk on a Line (parce qu'aujourd'hui je prends le temps et que je vis l'instant présent).

   


My style, my life, my name

   
• Je suis un graaaaaaand fan du Comic Spiderman, il a bercé toute mon enfance et encore maintenant. De plus, mon meilleur ami s'appelle Peter, un signe ! • Je déteste les seringues. Rien que d'en voir une, je grogne, je peux plus les voir en peinture. • J'adore traîner dans mon lit le matin, devant un vieux dessin animée ou alors avec de la musique dans mes oreilles et une bd en main. Parfois je prends mon pc et je bosse sur des montages ou me visionne une série • Je suis tout aussi fan des autres Marvel, les supers héros c'est mon kiff ! Mon univers, petit avec Peter on n'arrêtait pas de se déguiser en super héros. On prenait toujours des binomes, du genre batman et joker, bah oui le super héros et son alter-égo et puis Jane jouait la nana. Elle n'avait pas le choix. • Le cinéma m'a littéralement sauvé, lorsque j'étais en chimio, je regardais toujours un film, parfois je m'endormais dessus, mais ça m'a permis de m'évader. L'univers de Tolken, la science fiction, tout cet univers m'a offert un moyen de m'évader. J'avais besoin d'un endroit à moi. • Lorsque l'on m'a détecté ma Leucémie ... mes parents ont décidé de déménager. J'ai quitté Londres pour L'Irlande, un médecin ami de ma famille opérait là-bas et donc mes parents ont décidé qu'on devait bouger. Ils ne voulaient pas que je passe mes journées dans un hôpital, ce que j'ai pourtant eu, mais au moins la maison n'était pas loin. Un changement radical en soit ... et surtout une fuite. • J'ai pas dit à Peter et Jane en face pour ma maladie, ils l'ont su une fois que j'avais quitté Londres. J'ai été faible, je n'ai même pas pu leur annoncé, les parents de Peter lui ont annoncé une fois que nous étions partis. C'était mon choix ... Je ne voulais pas leur faire subir ça...
     
PSEUDO : TAZ  Imagine que Martin Luther King ait dit : « J’ai fait un rêve... mais j’ai pas envie d’en p 2741342887  oui c'est moi le diable de Tazmanie, je n'ai pas peur de le dire, j'aime faire peur  Imagine que Martin Luther King ait dit : « J’ai fait un rêve... mais j’ai pas envie d’en p 2170618523 Sinon il arrive qu'on me surnomme Mamy Cha, mais ça c'est pour les plus intimes  Imagine que Martin Luther King ait dit : « J’ai fait un rêve... mais j’ai pas envie d’en p 258944223 PRÉNOM : Oui j'ai un prénom, même plusieurs, fin celui que j'utilise tous les jours et bien c'est une variété de pomme de terre et aussi un gâteau trèèèès bon, t'sais à la fraise (mieux au chocolat). ÂGE : Oulah ne parlons pas de malheur mon enfant, je suis majeur dans tous les pays, vaccinée aussi ainsi que tatouée, non j'ai pas encore de puce pour me retrouver, mais ça ne saurait tarder  :gogo:   PERSONNAGE : inventé mon cher  Imagine que Martin Luther King ait dit : « J’ai fait un rêve... mais j’ai pas envie d’en p 258944223 .  AVATAR : après avoir bataillé avec mon cerveau j'ai opté pour Robbie  Imagine que Martin Luther King ait dit : « J’ai fait un rêve... mais j’ai pas envie d’en p 705448254  mais l'autre ava va servir aussi  Imagine que Martin Luther King ait dit : « J’ai fait un rêve... mais j’ai pas envie d’en p 258944223 CRÉDITS : Shiya et tumblr COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : par ma choupette et ma curiosité aussi  Imagine que Martin Luther King ait dit : « J’ai fait un rêve... mais j’ai pas envie d’en p 3903491763 Elle joue deux nanas ici, une certaine rousse qui jouait dans GOT (ouais j'emploie le passé, je suis à jour et oup's me tuez pas pour le spoiled).


     

     
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() message posté Dim 28 Sep 2014 - 19:10 par Invité
At the beginning

   

 
With great power comes great responsibility.
 
We are young. We are strong. We’re not looking for where we belong. We’re not cool. We are free. And we’re running with blood on our knees. We could rule the world.  On a silver platter. We are the dream. No other way. To be © by anaëlle.

Je déteste la rentrée, c'est nul, en plus maman me fait porter le pull en laine que mamita m'a offert. Il me gratte, l'est pas beau, il pue, il craint du boudin. « Harry dépêche toi. » J'ai dit non ! Je veux rester sous la couette, au chaud, dans mon lit, là on y est bien. Pourquoi qu'on devrait faire ce qu'on veut pas faire. « Harry ? » Je sortirai pas de sous la couette, pas la peine d'insister ! « Ce ne serait pas des pieds que je vois ici. » Oh non ! « TROUVEEE ! » AAAAAAH JE SUIS ATTAQUEEEE !! «  Arrête tu me fais mal. » « Debout Polichon, on va être en retard. » « Non ze veux pas ! » Maman me fait les gros yeux, oui je sais la madame aux lunettes me reprend quand je parle, mais c'est trop dur de parler correctement. C'est chiant en plus, faut ouvrir en grand la bouche et puis faire des trucs bizarres avec la langue. Trop d'efforts, j'aime pas ! « Tu as pensé à Peter ? Tu vas le laisser tout seul ? » Je relève la tête pour voir maman ! J'avais oublié Peter ! « Mais ... » « Y a pas de mais jeune Polichon, dépêche toi d'aller dans la voiture. On doit être chez Peter dans dix minutes. » Pff ! J'aime pas quand maman finit par avoir le dernier mot ! « Je fais ça pour Peter d'abord ! »Je saute du lit et me dirige vers la sortie. Je vais devoir aller à l'école, mais je veux pas moi. Pourquoi qu'on doit toujours faire des choses qu'on a pas envie de faire. Papa il dit que c'est ça d'être grand, c'est trop nul d'être grand ! Je veux pas être grand moi. Peter il dit qu'on devrait rester dans notre forteresse, rien que lui et moi. Ouais parce que la Lizzie qui le suit partout, je la veux pas moi. Elle pue, elle pète, c'est nul les filles, ça sert à rien. J'aime pas les filles, juste ma maman, mais maman c'est la plus gentille et la plus jolies et puis elle sait faire des cookies trop trop trop bon ! Les coolies c'est trop bon ! Ah tiens on est déjà arrivé, chouette je vais pouvoir parle à Peter de mon idée. « Harry combien de fois je t'ai dit de ne pas te détacher tout seul ! » « Aujourd'hui c'est la première fois, ça compte pas. » Je fais mon plus beau sourire à maman. Bah quoi c'est vrai, ça compte pas, elle l'a dit qu'une fois. « T'as pris ton pistolet à eau ? » Il me prend pour qui ? Je lui montre mon super pistolet que papa m'a gagné à la foire. « On va pouvoir conquérir la cour de l'école ! »« Le gros Toby nous aura pas ! » « Les garçons en voiture. » Peter planque son pistolet dans son cartable, maman elle dit que les armes c'est pas bien. C'est pas pareil, là c'est pour faire le bien, on est des supers héros, elle comprend pas maman. Les supers héros se doivent d'avoir des armes, ils ont des pouvoirs et des armes ! S'ils ont pas les deux, sont foutus, comme des cocos à la casseroles, c'est pépé qui dit ça ! Il est trop marrant pépé quand il parle de la guerre ! Moi à chaque fois je lui dis pourquoi ils avaient pas de super pouvoir et il dit que ça existe pas. Il a rien compris pépé, la guerre lui a cramé des neurones, c'est papa qui le dit, pas moi. Papa l'est trop fort pour dire des bêtises, mais c'est un super papa. « Et voilà les héros, vous êtes arrivés à bon port. Harry » « Oui j'attends que tu viennes me détacher, j'ai compris ! » Après j'ai pas envie de me faire disputer ! Surtout pas devant la cour de l'école, on doit la conquérir, ça serait pas top si je me fais disputer par ma maman devant eux. Papa il dit que derrière chaque grands hommes se cachent une femme, bah derrière moi on trouve ma maman ! Et puis c'est tout, j'aime pas les filles !!

La vie est troooooop injuste. J'aime pas ma maîtresse et en plus je suis pas avec Peter, c'est de l'injustice, je suis sûr c'est la faute de ce pull ! Mamita me porte la poisse, elle veut que je sois seul. Comment qu'elle dit maman pour parler de pépé ? Que c'est un lermitte ou un truc du genre. « Fais pas la tête, on va conquérir le monde quand même ! » M'ouais mais c'est pas pareil, je vais parler à qui moi pendant les cours de math ? J'aime pas les maths et puis je m'ennuie à l'école. « Tu viens on va tester nos pistolets. » Peter me fait son regard malin. Je préfère ça. « Lâche moi ! » Hein ? Je regarde Peter, qui me regarde, on se regarde. « T'as entendu ? » Je hoche la tête, tu parles, qui aurait pu louper se crie ! « Ça vient de derrière la soupière ! » Techniquement ce n'est pas une soupière, mais c'est notre façon d'appeler le truc bizarre qui se trouve derrière le gros bâtiment. Et voilà le gros Toby a encore frappé ! Il se prend pour la terreur des bacs à sable, mais à nous il nous fait pas peur. La pauvre, elle est en train de manger du sable et c'est pas bon le sable. J'en sais quelque chose, il a voulu m'en faire manger l'année dernière, mais moi j'ai un super partenaire ! Mon meilleur ami c'est l'homme araignée ! « Lâche la Toby ! » « Ouais pourquoi tu t'en prends pas à quelqu'un de ta taille. » Peter me regarde, non on n'a pas peur ! On ne flancheras pas, de toute façon on a une arme à présent. Peter me fait un clin d’œil. T'en fait pas, j'ai capté ! « Tiens voilà les tapettes ! » Hein ? Là j'ai pas compris. « Mon père, il dit que vous êtes des tapettes et il déteste ça. » Oui bah écoute on est pas entrain de parler à ton père. Il comprend rien le Toby, il faudrait qu'il arrête les gaufres ou le chocolat, ça lui monte au cerveau. « Va jouer ailleurs Toby ! » « Sinon quoi ? Vous allez me faire quoi les tapettes ! » On se regarde avec Peter, là on est prêt ! Il va subir notre vengeance. « Tu l'auras voulu ! » Et VLAAAAAAAAAAAAAN « BAZINGAAAA !!!! » Oula je crois qu'il n'est pas content, il bougonne, il va pas s'en prendre à nous. Oh non ! On a plus de munition. « Je vais le dire à mon père. » Hein ? Peter me regarde, là on a rien compris, d'habitude il nous saute dessus et là … Là il a pleuré comme un bébé. Pas tout compris. « On est trop fort ! » « Les meilleurs. » « Quand vous aurez fini de vous faire des compliments, je veux bien un coup de main ! » Hein ? Ah oui la fille. Je l'aide à se relever, elle se secoue dans tous les sens, c'est vraiment bizarre les filles. « Jane.»   De quoi qu'elle cause ? « Moi c'est Jane et vous ? » « Peter » « Harry. » « Merci les gars. » « De rien MJ » Je lui fais un grand sourire, elle a pas compris la fille. C'est normal, c'est une fille, Peter est mort de rire. « Tu veux jouer avec nous ? » Elle hausse les épaules. « Pourquoi pas mais à une seule condition, c'est moi qui décide. » Euh… J'aurai peut être pas dû. Peter hausse les épaules, signe qu'il s'en fout. Bon très bien elle décide, mais seulement le premier, hors de question qu'une fille décide tout et puis quoi encore. Y a que maman qui décide de tout !

Woohoooouuuuu !! Alleluia les coco j’ai mes règles !!
If you love somebody. Better tell them while they're here 'cause. They may just run away from you. You'll never know what went well. Then again it just depends on. How long of time is left for you. Now take it in but don't look down. 'Cause I'm on top of the world, 'ay. I'm on top of the world, 'ay. © by anaëlle.

Des maths, encore des maths et toujours des maths, franchement qui a eu l'idée d'en mettre autant dans notre programme ? J'ai horreur de ça, malgré tout mes résultats sont bons. Je ne sais pas ce qui se passe au moment des examens, mais je m'en sors assez bien. D'après les profs, je serai en avance pour mon âge, tu parles d'une avance, je m'ennuie en cours, donc on me donne plus de maths. Youpi ! Où est l'intérêt ? Tu t'ennuies, on te file des maths à résoudre, la galère en soit ! Et moi les galères je les expédie, mais là je peux pas, c'est que la madre vérifie, même à mon âge. Elle veut que je reste son polichon et que mes résultats ne baissent pas. Tss ! C'est juste un prétexte pour garder un œil sur moi et savoir ce que je fais en cours. Je la connais la mère, elle ne m'aura pas comme ça. « YOOOO ! » Je relève la tête pour voir la femelle.  « T'es pas avec l'araignée ? » Et vas-y qu'elle s'installe sur mon lit, elle fait vraiment comme chez elle, la dernière fois elle m'a dit : chez toi c'est chez moi. Si ça continue, elle va ramener sa valise. Hors de question qu'une femme s'installe dans mon sanctuaire, faut pas déconner non plus. « Non il avait un truc de prévu. Il m'a parlé de s'inscrire dans l'équipe de basket. Tu comptes le faire aussi ? » Elle me prend pour qui ? Je retourne sur mon problème. « J'en étais sûr ! Vous êtes pire qu'un couple ! Vous pouvez pas vous séparez ? Surtout que toi en sport … quoique ça me permettrait de rire. »  « Je te permets pas, je suis très doué ! » Tout à fait, certes je galère un peu avec la corde, mais ce n'est rien. « Tu veux que je te rappelle la course de samedi dernier ? » Ouais non, mais ça ne compte pas. J'étais pas entraîné ! Je n'étais physiquement pas près pour ce duel. Y a eu de la tricherie dans l'air de toute façon, je le sais, j'ai des preuves. Lorsqu'ils se liguent contre moi, je ne peux rien faire, juste accepter ma défaite. « So … l'équipe de basket. » « A voir, j'ai rien décidé, mais pourquoi pas. La madre veut que je sois plus sociable. » « Toi ? Plus sociable ? » Et ouais. « Non elle veut juste que ton dossier soit au top pour ta future fac. » C'est qu'elle connaît ma mère.  « Ouais elle en a mère que les profs se plaignent de mon indiscipline et de mon côté fanfaron, le sport me ferait du bien à ce qu'il paraît. » Je suis pas sûr, mais y a que les cons qui ne changent pas d'avis à ce qu'on dit ! Je ne compte pas mourir en étant con, donc on va tester et puis je ne suis pas sûr d'être pris, il faut que je passe ses sélections.  « Au fait paraît que tu es une femme à présent. » Je regarde MJ avec un petit sourire en coin, elle se redresse d'un coup et me fait les gros yeux. Et oui je sais tout ! C'est qu'elle me fait sa tête de choqué, on y croirait presque. « Qui ? » « Je l'ai entendu en cours de math, Alyson a dit à l'autre blonde là dont je me rappelle plus son prénom. » « Amelie » « Ouais fin bref c'est pareil, que tu étais partie à l'infirmerie pour je cite des problèmes féminins. » J'espère avoir bien pris l'intonation. Oui je pense que ça passe, elle se cache sous le cousin.  « Évite de salir mon lit femelle ! J'compte garder mon territoire intact. » Aie, elle se rebiffe en plus, un peu plus et la console en prenait un coup. Vilaine. « Je vais les tuer. » « Tu vois ce que ça fait de s’allier à des filles. » J'arrête pas de dire que les filles sont néfastes. « Tu disais pas ça l'autre jour en sport, lorsque tu bavais littéralement sur le décolleté de Becky. » Oh ouais … Rien que d'en parler je revois la scène.  « Pour ta gouverne, elle a deux arguments beaucoup plus imposant que les tiens ! » Y a pas photo, y a rien à regarder chez MJ et puis c'est pas pareil !  « Bon tu permets femelle j'ai des maths qui m'attendent. » « J'peux rester là ? Ma sœur me gave. » « Sans souci. » Je lui rends le coussin et me remet dans mon exercice, non parce que tout à l'heure mon partenaire va arriver et je ne pourrai rien faire. Je tourne la tête pour regarder Jane … C'est fou ce qu'elle est belle tout de même … Pourquoi je pense à ça moi ? Bon les maths !

« Harry tu te sens comment ? » « Bien coach ! » J'ai juste l'impression de mourir de l'intérieur, mais hormis ça, tout va bien. « Tu vas pouvoir jouer le deuxième tour ? » « Comptez sur moi ! » Sauf si je meurs entre temps. Il faut juste que je me reprenne. Le sifflet retentit, on a vingt minutes de pause c'est ça ? De l'eau, il me faut plus d'eau. Pourquoi j'ai l’impression d'étouffer, je respire moins. « T'es sûr que ça va ? » Peter me donne un coup dans l'épaule, il a eu des supers pouvoirs ou quoi ? « Mais oui t'en fais pas. » « Pas à moi » Quoi pas à lui. Voilà qu'il me regarde en profondeur, quoi tu veux voir mon âme ? Je te jure qu'elle est là, elle meurt à petit feu. « Harry si tu peux pas, c'est pas grave. » « Je peux. » Je sais, je suis têtu, mais si je ne joue pas, le coach va devoir mettre l'autre clanpin et il le déteste. Il faut voir tout ce qu'il se prend. « Harry... » « Je vais bien, je t'assure. » Il a pas l'air satisfait de ma réponse, mais c'est tout ce qu'il aura. Je vais bien ! Si je m'en convainc ça devrait aller. C'est la première fois que je me sens ainsi. « J'déteste quand tu me mens, mais bon c'est toi qui voit. » Je tourne la tête vers mon partenaire. Je vois bien qu'il est pas satisfait de ma réponse et je déteste lui mentir aussi, mais là c'est un cas de force majeur. Peter tourne la tête et salut quelqu'un. Oui, mais qui ? Oh c'est Jane … « Qu'est-ce qu'elle fout avec c'con ? » Hein ? Quoi ? J'ai pas compris, je tourne mieux la tête. « C'est une blague ? » Apparemment non, il faut voir comment il passe son bras derrière elle. « Sérieux ça me gave ... » Je regarde Peter… Tu m'en diras tant, il sait très bien ce que je ressens. On a fait le pacte samedi dernier, aucun de nous deux ne tentera quelque chose. MJ est notre amie avant tout et hors de question que je me batte avec mon meilleur pote pour notre meilleure pote. Très étrange dit comme ça. « On a un match a gagné non ? » Petit clin d’œil de circonstance. « Si le ballon pouvait lui atterrir dans la face. » Oh oui ! Faites que tes prières soient entendus. On ne sait jamais, peut-être que le dieu du sport entendra nos saintes paroles. Bon corps tu dois tenir encore une trentaine de minute, si tu peux faire un peu plus, je dis oui. Je sais que je peux le faire, je l'ai déjà fait, je ne suis pas le plus sportif, mais faut pas déconner. Allez c'est parti, que le jeu commence, enfin non reprenne. Pourquoi je craque… Merde je rêve ou quoi. On secoue la tête. Là ça va mieux… Ou pas. C'est flou d'un coup. « Harry. » Hein ? Quoi ? Merde la balle vient de me passer sous le nez. Il faut que je me reprenne ou le coatch va me tuer. Je peux le faire. Aie c'est quoi ça. Je me suis rien pris ici …  « HARRRY ! »

Hum… ma tête … Aie … Pourquoi est-ce qu'on m'écrase le torse. C'est pas possible, elle était obligée de poser son cul sur moi… Je suis où ? Ah la lumière me tue. « Polichon ? » Ah y a ma mère, je ne suis plus sur le stade … « On est où ? » « Doucement. » Pourquoi est-ce qu'elle me tient. C'est quoi tout ce bordel ? Pourquoi est-ce que mon bras est attaché et oh je ne suis pas un robot. Je secoue mes yeux, histoire de voir plus clair. « On m'explique ce que je fais ici ? » Là je ne pige rien. Je regarde ma mère, puis mon père. « Tu te souviens de rien ? » Je regarde mon père, j'ai une tête à me souvenir de quelque chose. « Juste du jeu, je courais après l'autre dadet et d'un coup j'ai ressenti une douleur mais ... » Ma mère se pose à côté de moi. « Tu as fait un malaise. » Oui ça j'avais compris, mais pourquoi on est ici ? « Et tout ceci est nécessaire ? » Je montre les fils et compagnie. J'ai l'impression d'être un robot, faut pas abuser, j'ai fait un malaise, soit pas grand chose. Il ne faut pas en faire toute une histoire, je suis debout à présent. « Les ambulanciers ont incité... » Oui bon je vais mieux à présent, on peut partir d'ici. « Harry, pourquoi tu as continué ? Peter nous a dit que tu n'étais pas dans ton assiette, tu n'as rien mangé en plus. » Je lève les yeux au ciel, j'adore ma mère, mais là elle dramatise. « J'avais pas faim et puis il fallait bien que je joue ou le coach aurait mis Grinberg et il a horreur de lui. Au fait on a gagné ? » Je regarde mon père, il sourit. Je prends ça pour un oui. « Bon je suis réveillé à présent, on peut rentrer à la maison ? » Ma mère me caresse le front, j'aime pas. J'ai l'impression d'avoir cinq ans à nouveau. « Les médecins veulent faire des examens approfondis. » Sérieusement ? Je les regarde tour à tour. « Mais je vais bien, on peut rentrer. » « Juste quelques heures. » Qu'est-ce qu'il faut pas entendre. « Je vais te chercher un truc à manger. » « J'ai pas faim, je voudrais juste qu'on rentre. » Je vais bien, où est l'intérêt de rester ici ? « Harry tu t'es vu ? » Quoi ? « Oui ce matin en me brossant les dents. » « Ce n'est que pour quelques heures. » Je souffle un bon coup et plaque l'espèce de drap. « Quelques heures ? » Et voilà comment redonner le sourire à ma mère. Il suffit que j'accepte de rester ici quelques heures de plus, soit l'enfer. « On a gagné de combien ? »  J'aimerai savoir de combien on les a écrasé ! Je n'ai pas la mémoire claire et puis apparemment je me suis évanoui. Je n'ai donc pas assisté au match et puis je veux savoir moi ! Est-ce que mon malaise a servi au moins. « Victoire a dix. » J'ouvre grand les yeux. Impossible ! On leur a mis la misère ! Trop bien !
   
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() message posté Dim 28 Sep 2014 - 19:10 par Invité
At the beginning

 

 
The freedom and simple beauty is too good to pass up...
When the days are cold. And the cards all fold. And the saints we see. Are all made of gold. I wanna hide the truth. I wanna shelter you. But with the beast inside. There's nowhere we can hide.This is my kingdom come. When you feel my heat. Look into my eyes. It's where my demons hide. © by anaëlle.

Et me voilà de retour à l'hosto… pourquoi c'est une très bonne question. J'ai même le droit à faire un tour dans le bureau du médecin général. Le grand chef comme les autres aiment le dire. C'te classe, fin moi je préfère largement être dans mon lit, j'étais pénard et voilà qu'on vient me faire chier. « Polichon ça va ? » Je tourne la tête vers ma mère, elle n'arrêtera jamais avec ce surnom. « Mais oui, ça irait mieux si on était à la maison, tu peux me dire ce qu'on fait ici ? » « Le médecin a demandé à nous voir. » Super. Il aurait pu en dire plus, je dévisage ma mère, elle joue avec ses doigts, plus précisément, elle les fait craquer. J'analyse son visage et je peux voir qu'elle est inquiète. Papa se tient droit à côté, il fronce les sourcils, ça ne présage rien de bon. Le doc sort enfin et nous contemple, oui on est là et au complet. « Mr et Mme McGuiness. » Il nous fait signe de rentrer. Ils prennent place tous les deux à côté de moi, on se croirait presque en thérapie, pas que j'y sois allé ou que je connaisse l'endroit, juste dans les films ça fait ainsi. « Doc si vous pouviez rassurer mes parents, leur dire que je vais bien, histoire qu'ils puissent dormir tranquille. » J'aime mettre les pieds dans le plat ! De toute façon, il en faut bien, les gens n'osent jamais, mais ils sont bien content lorsque quelqu'un dit tout haut ce qu'il pense. C'est un précieux conseil de mon père, ça l'a toujours amusé quand je disais tout haut ce que tout le monde pense tout bas. J'en fais même pas exprès, ça sort tout seul, j'y peux rien, ouais je sais que parfois je devrais tourner sept fois ma langue dans ma bouche avant de parler, mais bon c'est pas aussi simple. « Harry... » Oui c'est moi, c'est bien il connaît mon nom. « Si je vous ai demandé de venir, c'est que nous avons reçu les analyses ... » Il prend carrément le ton suspense, il veut nous faire attendre. Mes parents sont pendus à ses lèvres, allez doc trancher le morceau. « Les résultats ont montré qu'Harry avait un taux très élevé de lymphoblastes dans sa moelles osseuse  » Euh… « Sa moelle osseuse ne peut plus fonctionner correctement et donc assurer la production de cellules sanguines normales... En d'autres termes, son organisme est beaucoup plus sensible aux infections pulmonaires. » Je regarde les parents, y a que moi qui suis largué où ? « Docteur vous entendez quoi par défaillants ? » Il prend une pause plus théâtral, mon père le dévisage, oui soyez un brin plus clair docteur ! On a pas tous fait des brillantes études pour comprendre votre charabia.  « Harry est atteint d'une leucémie aiguë lymphoblastique »  WHAT ? J'ouvre grand les yeux. Traduction … « C'est impossible... » « Comment mais ? » « C'est une maladie rare qui provient généralement dès l'enfance, mais il se peut qu'elle surgisse plus tard... » « Vous êtes en train de dire que c'est normal ? » « Non monsieur ce que je veux dire c'est qu'elle peut survenir à n'importe quel âge, nous pouvions pas le prévoir… Les analyses nous l'ont confirmé, il portait déjà tous les symptômes, je n'étais sûr de rien avant les analyses ... » « Quels sont les traitements ? » « Et bien par chance » « Chance ? » « Oui c'est une chance que nous l'ayons détecté à temps, Harry va pouvoir suivre une chimiothérapie » « Qu'elles sont ses chances ? »  « Je... A ce stade c'est assez positif, il a une chance de vivre… Bien sûr nous pouvons aussi faire une greffe de cellule… Harry. » Tous les regards se posent à présent sur moi, ça fait au moins une dizaine de minutes vois plus qu'ils sont en train de parler de moi alors que je suis ici. Pour la première fois, je n'ai rien à dire. « Polichon ? » « Harry ? » Mon avis les intéresse d'un coup. « Je… c'est une blague ? » « Harry je... » Il me regarde tous à un nouveau. « Vous êtes en train de me dire que j'ai un cancer ... » Et voilà le premier regard de pitié … puis le deuxième … et puis ma mère prend ma main...

Je ferme un œil puis j'ouvre l'autre. Je tourne à gauche puis à droite. Il faut que je me lève, déjà deux jours que je suis cloître dans mon lit. Je deviens l'ombre de moi même au fur et à mesure que les jours passent, je me demande comment je vais être à la fin de l'été. Une larve probablement. J'entends la porte de ma chambre qui s'ouvre. Sûrement l'araignée qui vient voir mon état. « Ça pue le fauve ici, t'as déjà pensé à ouvrir ? » Je bouge un peu, je sais qu'il ne va pas lâcher le morceau facilement. J'enlève la couette de mon visage, afin de me redresser pour le voir. Peter n'est pas du genre à lâcher prise aussi facilement, ça fait déjà  trois jours qu'il veut me voir et que j'annule, je m'en doutais qu'il ne tarderait pas à débarquer chez moi. « Tu comptes te transformer en papillon ? » Il me balance un truc et moi je grogne. Quoi ? Je n'ai pas envie qu'on me fasse chier. « Bon tu te bouges ? » Je le regarde se poser à côté de moi. « Who la tête, t'as pas osé faire la fête sans moi ? » La fête ? J'ai une tête à faire la fête, tout sauf ça, j'ai plutôt envie de mourir doucement dans mon lit. De toute façon, c'est ce qui va m'arriver.  « Harry ? » Je tourne la tête vers lui ? « S'passe quoi ? T'es différent en c'moment. » Je soupire. « Mais non, je suis juste fatigué. T'en fais pas rien d'grave. » Il est sceptique, je le vois bien, il me connaît et inversement. Seulement là … « T'es sûr ? Tu sors pas, MJ m'a dit que tu as refusé d'aller au ciné avec elle, tu veux plus nous voir ou quoi ? » Si seulement … « Mais non, je suis juste fatigué en c'moment, mais ça va revenir vite. » Je lui fais un petit clin d'oeil, il faut que je garde la tête haute, ils ne doivent pas savoir. « Sûr ? T'sais je m'inquiète un peu, j'te trouve vachement différent ... » « Faut que je t'avoue... » Il ouvre grand les yeux, je sais qu'il est au taquet. « Je vais bientôt muté … J'ai été piqué y a deux jours et donc... » Il me donne un coup dans l'épaule… Aie. Je grimace un peu, mais trois fois rien. « T'es con ! Ta connerie a pas bougé c'est déjà ça ! Bon j'repasse demain et on s'fait un truc ! » Là je ne peux pas dire non. « Sans faute ! » « C'est MJ qui va être heureuse. » Je dois me reprendre ! « Bon Osborn j'te laisse, mais tu vas pas te débarrasser d'moi ainsi. » Si tu savais … Je le regarde quitter la pièce. Je remets ma couette sur la tête, m'enfonçant de nouveau dans mon lit. « Tu lui as toujours pas dit. » La madre le retour ! J'ouvre un peu ma carapace couetté. « Harry... » « On en a parlé ! Tu m'as promis ! » Je regarde ma mère, elle ne doit rien dire, c'était le deal. « Harry je sais bien, mais... » « Y a pas de mais, je vous ai dit non, ils ne doivent pas savoir, je ne veux pas ! Vous m'avez promis ! » Je vois bien qu'elle est encore contre l'idée, mais hors de question qu'il sache. « Harry ce sont tes meilleurs amis, ils doivent savoir... » « Tu as toujours dit que j'étais unique, tu as toujours dit qu'il y avait quelque chose d'unique en moi. Petit tu disais que j'étais précoce et bien là tu le sais. Je suis une bombe  à retardement et je ne veux pas leur infliger ça ! Je veux emporter le moins de monde avec moi. Je veux pas maman. C'est mon choix et vous m'avez promis de respecter ça ! On quitte Londres à la fin du moi et je veux qu'il garde la même image de moi. Rien ne doit changer. » Je sais qu'elle n'accepte pas mon choix, ils veulent que je leur dise, mais je veux pas. Je peux pas leur infliger ça. Je me repositionne près à dormir. « Harry… Je sais que tu n'es pas encore près à accepter mes mots, mais un jour tu seras que j'ai raison. Peter et Jane t'aiment pour ce que tu es et non qui tu es. Ils ne changeront pas d'attitude avec toi en apprenant la nouvelle, au contraire je pense qu'ils aimeraient être là pour toi. Je sais que pour l'instant tu ne veux pas y croire, mais crois-moi Harry quand je te dis qu'ils seront là pour toi. » Oui, mais je veux pas. « Je veux pas de leur pitié ! » Je l'entends d'ici souffler. « Harry le médecin a dit que. » Je me relève d'un coup. « Que quoi ? Que j'avais une chance de bien réagir au traitement ?! Que j'avais une chance de grandir normalement ? Toi comme moi on sait bien que c'est faux. Tu veux y croire, moi pas et je veux pas qu'ils soient à mes côtés pour me sortir des foutaises de médecin. Je veux surtout pas qu'ils me voient en train de vider mes tripes. Il est hors de question qu'ils traversent ça à mes côtés, c'est mon choix et vous m'avez fait la promesse qu'ils ne sauront pas ! Sur ce, je suis fatigué. » Je remets ma couette sur ma tête. J'ai plus envie de parler de ça. Je veux qu'on arrête cette conversation, je veux plus qu'on parle de moi. J'en ai marre.

Un bain. J'adore ça. J'ai toujours aimé ça. Je me rappelle quand j'étais petit, mon père le prenait avec moi, on jouait aux navires de combat. J'ai même joué dans mon bain avec Peter … Je ferme les yeux un instant, me raclant la gorge au passage. Je trempe un pied, c'est chaud. Cette sensation qui vous brûle de partout, puis l'autre. Je reste un instant dans ainsi, des frissons me parcours tout le corps. Mon corps. J'ai l'impression qui m'échappe en ce moment. Je m'abaisse passant mes mains dans l'eau, la sensation de l'eau chaude sur ma peau. J'ai chaud, mais j'y reste quand même. Je finis par y rentrer complètement. Soufflant un bon coup. Il fait chaud d'un coup. En quelques semaines mon corps a tellement subi que ce n'est pas de l'eau qui va me tuer … Je pourrais en rire, mais je n'ai pas la force. Je finis par me laisse aller, glissant contre les parois de la baignoire. Fermant les yeux, ma tête passe sous l'eau, je me laisse complètement aller. A ce moment précis, j'ai l'impression d'être un autre, comme quand j'étais petit. Je peux m'imaginer une autre vie, celle d'un super héros qui prend un moment de repos. Ou bien celle d'un homme des mers, je suis perdu sur l'océan, mon navire coule, les sirènes vont bientôt apparaître, je me perdrais dans Neverland ou un autre monde. Ici j'ai l'impression que tout est possible. Je suis juste sous l'eau. Je n'entends rien. Je ne vois rien. Rien ne peut m'atteindre et pourtant … La douleur est toujours là, mais différente, comme si ici elle s'envolait. Cette sensation que je peux être un autre, que je peux être moi à nouveau, sans tous ses soucis. Je vais sortir de l'eau et aller voir Peter ou Jane … Le Harry qui ne doit pas passer ses journées à l'hôpital, qui n'est pas source de problème et d’inquiétude pour ses parents. Le Harry dit normal. Je pourrai aussi arrêter de respirer et achever ce problème. Me laisser aller complètement … Oublier et partir. Laisser la souffrance et les maux là. Partir et ne plus revenir … Mon corps flotterait et moi je m'envolerai ailleurs … Après tout ce n'est pas ce qui doit arriver ? Pourquoi suis-je obliger de partir dans d’atroce souffrance, quand je peux le faire là en paix avec moi même ? Tout serait si simple … La vie serait différente, mes parents tenteront de reprendre goût à la vie. Au début, ça sera dur, maman risque de faire une dépression, mais papa sera là pour l'aider. C'est lui le roc, elle a toujours pu s'appuyer sur lui, il ne baisse pas les bras, même là. Il ne montre pas qu'il souffre, qu'il ne sait pas quoi faire face à cette situation qui lui échappe. Lui qui aime tout contrôler, tout gérer, là il ne peut rien faire pour m'aider. Juste être présent, faire son rôle de père, m'aider du mieux qu'il peut. Il reste fort, pour elle, pour moi, pour nous. Pourtant je vois bien que lui aussi a mal, il partage ma souffrance, mais autrement. Ils ne méritent pas ça. Je n'ai jamais été l'enfant exemplaire, ils en ont vu des vertes et des pas mures à cause de moi, mais là je bats tous les records. Leur vie a basculé suite à cette nouvelle, nouvelle ville, nouveau pays, nouvelle maison, nouveau boulot, nouvelles responsabilités. Tout ça à cause de ça… Je n'arrive pas à la nommer, je ne peux pas. Trop tôt. « Harry ? » Une main me sort de mes pensées. Je sors de l'eau, prenant un bol d'air. J'ouvre les yeux, passant mes mains sur mon visage. « Ça fait cinq minutes que ta mère t'appelles. » Mon père se tient là, il inspecte la pièce. Non papa, ce n'est pas aujourd'hui que je vais me suicider, t'en fais pas.  « Quoi ? » C'est plus fort que moi, je n'arrive pas à être « aimable »,  je les aime, je suis reconnaissant de tout ce qu'ils font pour moi, mais voilà… je n'y arrive pas. «  Harry... »  « C'est bon, je vais pas m'suicider dans la baignoire, bien que l'idée m'ait traversé l'esprit, ce n'est pas aujourd'hui que vous allez vous débarrasser de votre bombe. » « Harry dis pas ça ? »  « Quoi ? Bon si ça te dérange pas j'aimerai me laver en paix ! Est-ce possible ? » Je sais que je suis dur, mais j'y arrive pas. Il y a trois semaines, c'était lui qui me lavait, là je peux le faire. Laissez moi un peu de liberté, je me sens étouffer. Je me sens mal de leur infliger ça. Je me sens monstrueux, normal je suis un monstre. « Le dîner est bientôt près. » « Parfait » Je glisse de nouveau ma tête sous l'eau. L'avantage d'être sous l'eau, on ne peut pas voir les larmes. On ne peut rien voir sous l'eau, du moins c'est ce que je pense. On peut juste se laisser aller et tout oublier. Être un autre le temps d'un court instant.

On aurait tort d’être à moitié en vie, à moitié nous même.
maybe one day you’re gonna want her. that girl that knew she wasn’t perfect, but tried to be for you. that girl who wanted nothing more than to be there for you, and loving you was the only way she could. © by anaëlle.


Me faire des amis ? Quel intérêt ? J'avais des amis dans mon ancienne vie, j'étais très bien avec eux. Pourquoi m'en faire des nouveaux ? J'ai pas besoin d'amis, j'ai pas besoin d'entourage, j'ai assez de mes parents. Ils sont déjà assez présent dans ma vie, si je dois rajouter d'autres personnes, l'équation va faire mal. J'ai beau leur dire que je ne veux personne d'autre, ils ont insisté pour m'inscrire à ce groupe de soutient. Je dois parler de mon expérience, de ma vie, des changements et tout le tralala… SUPER ! J'adooooooooore parler. Non franchement je me demande ce que je fais là. Je les regarde tous un par un, barbant, je serais beaucoup mieux chez moi, j'adore être chez moi, pourquoi m'y privé ? Je demande rien, je fais chier personne et bim on m'envoie dans la foule. Fin là en l’occurrence dans ce groupe, soit disant ça va me faire du bien. N'importe quoi. Du monde, j'en vois à l’hôpital, j'ai obtenu ma licence doucement, mais sûrement, je ne fais plus de scandale comme avant, alors il est où le problème ? Pourquoi je dois subir ça ? Pour moi c'est de la torture psychologique, je ne dis pas que leurs problèmes sont pas important, je dis juste que je serais bien mieux chez moi à jouer à ma console ou analyser un film ou n'importe quoi d'autres ! Je déteste déjà ce groupe et quand je déteste un truc c'est dur de m'en faire changer d'avis. « Léa tu veux bien te présenter ? » C'est qui ça ? Je tourne la tête et là je tombe sur une petite brune. Charmante et ravissante, elle va nous parler d'elle…J'ai même pas le droit de dormir, comble. Il paraît que ça serait mal vu. Je me demande si une souris pourrait se faufiler entre ses murs. « Et donc je suis en rémission depuis six mois... » Je remonte la tête, elle a dit quoi ? Je fronce les sourcils, pourquoi est-ce qu'elle me regarde. Je n'ai pas perturbé son discours. «  Je pense qu'on doit tous apprendre de cette épreuve, mes amis m'ont bien entouré, ils ont été présent pour moi. Je sais pas ce que je ferais sans eux. » Je lève les yeux au ciel, bah voyons. « Harry un commentaire ? » Hein ? Et merde je me suis fait avoir. « Ils ont pas eu le choix. » Et là tout le monde me fixe de nouveau, j'ai l'impression d'être dans un océan, j'ai face à moi un groupe de poisson globuleux. « Je veux dire, tu dis qu'ils ont été là pour toi, mais bon tu leur as pas spécialement laisser le choix. En disant ta maladie, tu les insistes à t'aider, tu montres que t'es faible et donc que tu as besoin des autres en l’occurrence là d'eux. Tu pouvais leur éviter ça, tu pouvais leur épargner ta souffrance. Là tu as agis en égoïste, tu les as forcé à t'aider, à être là pour toi, du coup quand tu seras plus là, tu as pensé à leur peine ? Tu as pensé à l'image de toi que tu vas leur laisser ? » Et boum j'ai dit ce que j'avais à dire, une nouvelle fois, ils me fixent tous. Aucunes réactions. « Je pense qu'au contraire ils seront heureux de m'avoir accompagné jusqu'à la fin. » « Bah tu leur as pas laissé le choix. » « Ils pouvaient partir, mais ils sont restés. » « Certes. » « Je crois qu'on va en rester là pour aujourd'hui. » Shit ! Lorsque ça devient intéressant , il arrête tout. J'ai plus qu'à rentrer chez moi. « Harry attend ! » What ? Je me retourne et la petite brune me cours après, littéralement, elle a l'air essoufflé en plus. « On t'a jamais dit qu'il ne fallait pas courir quand on transporte une bonbonne d'air sur soit ? » Je pointe son air. Elle reprend sa respiration. « On t'a jamais dit que t'étais con ? » Oh ça oui. Elle fait quoi à présent ? Dites-moi que je rêve. « A parce qu'en plus tu fumes ? » J'aurais décidément tout vu. « T'aimes vivre dangereusement toi. » Elle rigole, quoi je suis si drôle que ça ? « C'est une sorte de grigri, un p'tit rituel d'après séance. » Oui bien sûr, mais encore. « Tu vois je l'allume pas, je la glisse juste entre mes lèvres, elle ne décide pas pour moi si je dois la consumer ou non. » Oui d'accord, cette nana ne va décidément pas bien du tout ! « J'trouve aussi que ça me donne un style, je fais un peu plus "hispter" et puis ne dit-on pas que ce qui nous tue pas nous rend plus fort ? » Okayyyy … « Alors Harry qu'est-ce qui te rend si ronchon face à la vie ? J'paris que t'es du genre à rester dans ta chambre et ne pas vivre ? J'suis prête à parier que tu t'es construit une forteresse de solitude, où seul tes parents y pénètrent et où tu prends un malin plaisir à les envoyer chier. Comme tu le fais avec toutes les personnes qui t'approchent. » Elle est médium en plus d'être chiante ? « Pas du tout ! » « Mais bien sûr ! » « J'te dis que non et toi tu prends des cours du soir pour être aussi chiante ou c'est naturel ? » « Un don de mère nature, mais va pas le répéter les gens pourraient être jaloux. Bon alors ronchon, tu proposes quoi ? » Elle va vraiment pas bien. « Je propose rien du tout, tu rentres chez toi et inversement. » « Tu vois j'avais raison. » « Sûr ? » « Toi ! » Elle s'avance vers le parking, ou plutôt vers une voiture. « A vendredi prochain ronchon ! » Cette fille me soûle déjà ! Je déteste les filles, surtout celles qui ont le dernier mot !

Je pensais pas reprendre cette route un jour, mais comme quoi il n'y a que les cons qui ne changent pas d'avis. Elle m'a fait changer d'avis sur pas mal de chose. On peut dire qu'elle a changé ma vie durant ses derniers mois, elle m'a permis de me remettre en question. J'aurai aimé avoir plus de temps à ses côtés… J'aurai aimé qu'elle soit là avec moi, je suis sûr qu'elle aurait trouvé la connerie parfaite à sortir. C'est elle qui m'a dit que mon comportement était con, que j'étais un lâche et que j'allais le regretter. Je l'ai enfin compris… C'est sûrement trop tard, plus que sûr. Une fois de plus, ma mère avait raison, j'aurai dû leur dire. J'ai été lâche, con et égoïste. Il n'a pas arrêté de penser à moi...il me l'a fait savoir et moi rien. En cinq ans et demi, pas un signe, pas un coup de fil, pas une lettre pas d'explication, alors que lui… Lui il n'a pas baissé les bras. Pourquoi ? J'en sais rien. Je ne sais même pas pourquoi j'ai été sur cette vieille adresse mail, curiosité ? Peut-être, j'en sais rien. La mort de Léa a laissé un vide dans ma vie, ce n'est pas juste. De toute façon rien n'est juste sur cette terre, mais sa lettre m'a permis de comprendre ma réaction, de comprendre que j'avais été le roi des cons. J'aurai pas dû les évincer de ma vie. J'aurai dû les garder près de moi… Peter m'a envoyé pendant un an des mails tous les jours … Il me racontait l'évolution de Jane, ce qu'il ressentait, ce qu'il pensait de moi, ô combien il m'en voulait. Il se défoulait par mail, tous les jours … Et puis après il m'a envoyé un mail pour mon anniversaire et y a deux an, il m'a dit adieu … Je crois que ce mail, a été le déclic, il n'a jamais baissé les bras, sauf l'année dernière. Il m'a expliqué qu'il voulait tourner la page, il avait besoin de ne plus penser à moi, de ne plus espérer avoir de mes nouvelles. J'étais loin de penser tout ça, je pensais pas qu'il tiendrait autant, je pensais qu'il referait sa vie, qu'il m'oublierait … Apparemment j'avais tort. Qu'est-ce que j'ai pu être con ! Ils sont probablement heureux à présent, sans moi et… je vais tout foutre en l'air, mais je peux pas. Je ne peux plus me taire et rester loin d'eux. J'ai besoin d'eux, j'ai besoin d'elle … J'ai besoin qu'elle sache ce que je ressens une bonne fois pour toute, j'ai besoin de les voir. J'ai besoin d'être heureux ! Léa m'a dit que pour qu'une bombe est de l'impact, il fallait des blessés, elle était prête à se sacrifier, faire partie des rescapés … Elle m'a fait comprendre que les gens m'aiment pour ce qui j'étais réellement, qu'ils en avaient rien à faire de ma maladie. Par dessus tout, j'ai compris que mon cancer ne définissait pas qui j'étais, il fait parti de moi, mais il ne doit plus gérer ma vie. J'en ai peut-être pas fini avec lui, mais pour l'heure je veux redevenir le Harry que j'étais. Celui qui était insouciant, qui vivait sa vie comme il l'entendait et par dessus tout, celui qui était entouré des deux être qui aime par dessus tout !J'ai besoin d'eux à mes côtés. J'ai obtenu ce que je voulais sur le plan scolaire, sur le plan amoureux … no comment. J'ai pendant longtemps mis ma vie de côté, pour me centrer sur mon cancer, pourtant il ne définit pas qui je suis. Il n'est pas moi. Les parents ont été heureux de savoir que je partais pour Londres. Ils étaient déjà heureux lorsque Léa est arrivée dans ma vie, mais là je les sens mieux. Ils se soucient un peu moins de l'avenir, on va l'aborder en douceur comme je leur ai dis. Je n'ai plus peur à présent, plus peur de vivre. Je touche ma poche, un paquet de cigarette. Un petit sourire se forme sur mon visage, je pense immédiatement à Léa… Cette nana savait vivre dangereusement, mais elle s'en foutait royalement, elle avait pour concept que ce n'était pas la maladie qui la tuerait. Du moins, elle ne tuerait pas qui elle est réellement, elle continuerait à être ce qu'elle est … Une bouffée d'air frais, c'est con, mais je me suis vu à travers elle. Je souffle un bon coup et sors du taxi. Plus question de faire machine à arrière à présent. Je suis là, j'ai fais toute cette route pour les voir, hors de question de reculer. J'avance… Un inconnu sort de l'immeuble, moment parfait pour rentrer. Je regarde l'étage, c'est parti. Ce n'est plus le moment de fuir, mais d'assumer. Un coup… puis deux, la porte s'ouvre...  « Harry. »  to be continued ...
 
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() message posté Dim 28 Sep 2014 - 19:14 par Invité
MAIS PROUT PROUT ET REPROUT !! En plus tu te sers de moi pour atterrir ici sans rien me dire ! T'es trop une mauvaise Mamie !
Bref bienvenue, et t'as plutôt intérêt à me réserver un lien sinon Bazooka dans ta tronche ! Imagine que Martin Luther King ait dit : « J’ai fait un rêve... mais j’ai pas envie d’en p 1973890357
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() message posté Dim 28 Sep 2014 - 19:15 par Invité
MISFITS :waaa:

Bienvenue ici I love you
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() message posté Dim 28 Sep 2014 - 19:16 par Invité
Une inscription de groupe, j'adooooore. Imagine que Martin Luther King ait dit : « J’ai fait un rêve... mais j’ai pas envie d’en p 1922099377

Bienvenue parmi nous. Imagine que Martin Luther King ait dit : « J’ai fait un rêve... mais j’ai pas envie d’en p 1973890357
Si tu as des questions, n'hésite pas à nous contacter. Imagine que Martin Luther King ait dit : « J’ai fait un rêve... mais j’ai pas envie d’en p 902495459
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() message posté Dim 28 Sep 2014 - 19:23 par Invité
Ta description IRL et le coup de la puce. Imagine que Martin Luther King ait dit : « J’ai fait un rêve... mais j’ai pas envie d’en p 3903491763 Imagine que Martin Luther King ait dit : « J’ai fait un rêve... mais j’ai pas envie d’en p 3903491763 Imagine que Martin Luther King ait dit : « J’ai fait un rêve... mais j’ai pas envie d’en p 3903491763 Bienvenue parmi nous. I love you Super choix de tronche et tout. Imagine que Martin Luther King ait dit : « J’ai fait un rêve... mais j’ai pas envie d’en p 2941632856
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() message posté Dim 28 Sep 2014 - 19:33 par Invité
Bienvenue !
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() message posté Dim 28 Sep 2014 - 20:08 par Invité
Ton titre Imagine que Martin Luther King ait dit : « J’ai fait un rêve... mais j’ai pas envie d’en p 3903491763 C'est Chandler ça Imagine que Martin Luther King ait dit : « J’ai fait un rêve... mais j’ai pas envie d’en p 1259971015

Bienvenue parmi nous Imagine que Martin Luther King ait dit : « J’ai fait un rêve... mais j’ai pas envie d’en p 1973890357
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() message posté Dim 28 Sep 2014 - 20:29 par Invité
Bienvenue :hinhin:

Imagine que Martin Luther King ait dit : « J’ai fait un rêve... mais j’ai pas envie d’en p Tumblr_mszpblglxG1svno5wo3_250 Imagine que Martin Luther King ait dit : « J’ai fait un rêve... mais j’ai pas envie d’en p Tumblr_mszpblglxG1svno5wo10_250
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