"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Pain is a bitch, just like you man [PV Alfie] 2979874845 Pain is a bitch, just like you man [PV Alfie] 1973890357
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Pain is a bitch, just like you man [PV Alfie]

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() message posté Dim 19 Oct 2014 - 14:24 par Invité
Pain is a bitch, just like you man [PV Alfie] Tumblr_nch22gkRlL1qg62rmo2_400Aujourd'hui était un grand jour pour moi car j'avais enfin réussi à obtenir une journée de congé de la part de mon patron. Après avoir ramené quelques gros clients à l'entreprise, j'étais dans ses petits papiers, je n'était plus le petit arriviste qu'il avait engagé simplement pour faire une faveur à un vieil ami, non j'étais désormais bel et bien un élément essentiel du staff. En me réveillant j'avais déja le sourire aux lèvres sachant que je pourrai enfin faire ce que je n'avais pas encore eu l'occasion de faire depuis le début: jouer les touristes. Je me dirigeais rapidement vers la douche histoire de me débarbouiller et pour une fois je n'enfila pas un de mes costumes, non je pris un pantalon et un débardeur, que j'enfilais en un clin d'oeil, je me sentais beaucoup mieux dans ce genre de vêtements. Lorsque je me regardais dans le miroir habillé à quatre épingles avec une chemise et la cravate assortie j'avais l'impression d'être déguisé en mon père, ce qui n'avait rien de rassurant.

Attrapant mes lunettes de soleil au passage, je pris le soin d'emporter une barre chocolatée histoire de ne pas mourir de fin, je savais qu'un starbucks se trouvait au bout de ma rue, j'avais juste à y prendre un café histoire de bien commencer la journée. Les gens me regardaient comme si j'étais l'un des leurs, je ne faisais plus tâche dans le paysage londonien, même si dans le cœur je serais toujours un fervent habitant de ma Californie natale. M'approchant peu à peu du quartier de Westminster que je n'avais alors seulement vu que de loin, j'en pris bientôt plein la vue. Big Ben, l'Abbaye, le London Eye... tout cela était vraiment parfait. Suivant la tamise le long de Victoria Embankment je me décidais enfin à tourner histoire de remonter un peu plus loin pour tomber sur le fameux palais de la reine, elle ne semblait pas être présente puisque le drapeau surplombant la bâtisse était en berne. Un peu déçu je fis demi-tour pour pouvoir m'acheter un sandwich histoire d'aller manger au milieu des écureuils de Hyde Park qui se trouvait à quelques mètres de là.

Tout en respirant l'air frais qui m'entourait à pleins poumons, je commençais à ressentir comme un espèce de malaise en moi, une fatigue soudaine qui ne m'était pas du tout étrangère, c'était sans doute cette foutue maladie qui reprenait le dessus. Alfie qui était mon infirmier attitré m'avait bien prévenu de ne pas sortir seul au cas où quelque chose comme ça m'arriverait et bien sur je ne l'avais pas écouté. Sans attendre je profitais de la foule qui se trouvait là pour m'adosser à un arbre, fermant les yeux, grimaçant légèrement pour retrouver mon souffle. Cette douleur poignante était insupportable et je ne savais vraiment pas comment l'arrêter Un regard à droite, puis à gauche me permis me repérer un taxi non loin de là qui attendait le client. Je pris mon courage à deux mains pour me redresser et marcher jusque là, non sans peine. Ouvrant la porte et me jetant a l'intérieur j'indiquais au chauffeur ma propre adresse avant d'envoyer un message à Alfie pour qu'il rapplique au plus vite, je ne pouvais pas me permettre de passer une de mes seules journées de congé cloué au lit. Arrivant assez rapidement sur les lieux, je donnais un billet de 50 livres au chauffeur lui indiquant de garder la monnaie, puis je sortis, restant assis sur le pallier de ma maison pendant au moins une bonne dizaine de minutes. Ma vision se troublait, j'avais un mal de crâne énorme et je pouvais à peine tenir debout, génial. Cela ne m'arrivait en général que très rarement et bien souvent la nuit ce qui me permettait de pouvoir encore le cacher à tout le monde mais cette fois-ci je n'avais plus le choix. Lorsque Alfie arriva enfin je soufflais de soulagement levant les yeux vers lui. Tu t'es fait attendre dis donc, j'aurais pu crever ici sur le trottoir au moins 5 fois le temps que tu daignes bouger tes fesses. Toujours aussi aimable, j'entrepris de m'appuyer sur son épaule pour pouvoir rentrer sans trop de soucis. Donne moi quelque chose, fais moi un truc, mais la j'en peux plus ça m'a pris il y a environs une heure, j'ai l'impression que j'en ai plus pour longtemps. L'exagération d'un mec malade pouvait parfois aller très loin également.
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() message posté Dim 19 Oct 2014 - 17:21 par Invité
Pain is a bitch, just like you man
feat. Austin & Alfie
Elle dansait si bien sur ses petits talons aiguilles Mathias Malzieu
Il faisait incroyablement lourd dans ses bureaux. Je n'en pouvais décidement plus de supporter les petits caprices de mon metteur en scene qui me prenait pour le plus incapable des écrivains. Bien que j'avais le producteur dans la poche, sachant que mon histoire pourrait faire une très bonne série. Cela me mis dans le colimateur du metteur en scene. Il me faisait vivre un enfer, même les déboirs d'Eugénia en mon egard sembler idyllique. Il était 11 heures, je venais a peine d'arriver. Après avoir pris la tête au metteur en scene que je refusais integralement que le second soit une femme pour qu'une de ses amies actrice puissent avoir le rôle. Je trouvais le show buisness vraiment cruel par moment, j'ai réçu un sms qui me surprenait d'avantage. Austin Jenkins l'un de mes patients, Il souffrait d'une maladie héréditaire. Les symptomes apparaissait entre 20 et 25 ans et de ce que m'a dit son medecin, il semblerait que les symptomes sont apparus. Je suis son infirmier personnel, je devais faire preuve de discretion comme le voulait la déontologie. Malgré qu'il soit tout de même infernal. je dois dire que j'ai connu pire à Londres. Je ne savais pas ce qu'avais ses malades à Londres ils sont beaucoup plus cruel que les Néo-zélandais. Dés fois mon île me manque, beaucoup plus chaude que celle ci... j'avais eu le mal du pays ca me faisait même peur à voir. J'avais découvert mon coté Roux qui ressortait malgré la paleur de ma peau. Mon brozage annuel a disparu assez vite avec le climat Londonien comment en être dégouté tout de même. Cela dit son message semblait urgent, je me suis lever prenant mes affaires allant vers le bureau d'Isaac : " Isaac je peut te parler? J'ai un de mes patients qui a besoin de moi en Urgence, je peut quitter le bureau? Je reviendrais en fin de journée finir la scene 8." Isaac accepta en grincant a moitié des dents. le faite que j'avais ce metier en plus l'embetait encore plus, mais je pouvais pas ne as travailler a coté. Je ne veux pas que ma passion soit mon seul revenu... Je sentais bien que cela me détruirait... Isaac avait du mal à le comprendre, mais j'étais comme un Artiste dans ma tête. Bien quej e comprenne qu'il ne faudrait pas être perturbé ou depressifs, mais pour moi, on ne peut pas vivre entierement de sa passion ce serait du gachis dans l'inspiration. J'ai quitté les bureaux de la BBC. quittant Camden pour rejoindre Notting Hill, faisant un détour sur Hammersmith pour recuper ma sacoche de travail. J'en profita pour passer a la pharmacie recuperer un traitement pour Austin. J'ai pris un black cab pour venir, je savais que j'irais plus rapidement pour le rejoindre. J'arrive de sa porte le voyant tituber: " Mr Jenkins ! " Je me suis approché de lui m'accroupissant pour l'aider a se relever alors qu'il me gronda : " Tu t'es fait attendre dis donc, j'aurais pu crever ici sur le trottoir au moins 5 fois le temps que tu daignes bouger tes fesses. " Je me suis a mis a sourire, je lui dit alors glissant mon bras derrière son dos pour l'aider à se lever : " Tu sais bien qu'un héros doit se faire désirer... Bon que c'est il passer? " Lui disais alors que j'ouvris la porte de son appartement l'aidant alors à rentrer alors qu'il m'avoua: " Donne moi quelque chose, fais moi un truc, mais la j'en peux plus ça m'a pris il y a environs une heure, j'ai l'impression que j'en ai plus pour longtemps. " Je soupirais, refermant la porte le dirigeant vers sa chambre en lui disant : " Okay okay... Vas t'allonger, je reviens dans deux minutes avec de quoi te soulager." Je le laissa l'espace d'un instant faisant un saut dans sa salle de bain pour enfiler ma tenue de travail... Pour un infirmier à domicile, il ne fallait pas grand chose, de quoi desinfecter les mains, je prepara un verre d'eau revenant alors vers la chambre. Je posa mon sac sur une table l'ouvrant, sortant alors un stétoscope et un tensiomêtre, sortant un petit carnet et un stylo, je m'approcha de lui qui était allongé sur son lit, je me suis assis alors a coter de lui prenant son bras enroulant le tensiomêtre autour de son bras je commencer à pomper, remarquant alors l'aiguille du cadran bouger ce qui me fit constater: " Tu as une tension trop elevé..." Je le griphona sur mon carnet alors que je sortais un thermomètre, je pris sa temparute. Il n'avais pas de céphalée c'était bon signe. je posa mon matériel sur la table, sortant alors un sachet venant de la pharmacie, sortant une boite d'antalgique. Austin semblait avoir une forme précoce et rapide de la chorée de Huntington. Une maladie héréditaire et orpheline, Une maladie que j'ai déjà vu a mon internat de medecine il y a cinq ans. Il n'y a pas de traitement definitive, les simples medicaments que je pouvais lui donner c'était simplement des anti douleurs ou de quoi faire disparaitre les symptomes, mais la maladie est toujours là quoi qu'il arrive: " Austin dit moi... que sait il passer depuis ma dernière visite hier. Cela fait quelques jours que tu n'as pas fait de crise... " lui demandais-je, son cas était assez rare pour l'hopital un jeune homme de 23 ans qui commencais a avoir les symptomes de Chorée de huntington était assez rare cela arriverait généralement entre 40 voir 50 ans surtout dans la ville de Londres. Je lui tenda alors trois comprimés avec un verre d'eau.
© Gasmask  
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() message posté Dim 19 Oct 2014 - 22:23 par Invité
Pain is a bitch, just like you man [PV Alfie] Tumblr_nd321sna3Q1tiyc2co8_250Lorsque Alfie fit enfin son apparition je me sentis soudain plus que soulagé, je ne voulais pas paraître faible mais pourtant je l'étais bel et bien et seul lui savait comment soulager ma douleur. Il était le seul au courant du mal qui était en moi, qui malheureusement me rongeait de l'intérieur. Apparemment il était rare que les symptômes apparaissent si tôt dans la vie d'une personne et pourtant j'étais l'heureux gagnant de cette loterie improbable. Ce qui s'est passé ? Cela me paraît évident, je me suis pratiquement écroulé alors que j'étais tranquillement en train de manger un sandwich dans Hyde Park, une douleur profonde aux tripes m'a pris au dépourvu, ensuite est venu le mal de crâne et puis... enfin tu sais très bien, pourquoi tu tiens tellement à me le faire dire. Je lui fis une petite moue dépitée avant de suivre ses conseils et de me diriger vers ma chambre, je connaissais la chanson depuis quelques temps cette routine était récurrente. Je marchais jusqu’à mon lit, la douleur semblait s’apaiser peu à peu mais j’avais toujours l’impression qu’une masse reposait sur mes épaules tant j’étais vidé de toute énergie. Comme si faisais un mauvais trip après avoir fumé un joint ou que j’avais tellement bu que je n’étais pas capable d’épeler mon propre nom. Je pris mon téléphone pour vérifier que je n’avais pas d’appel du boulot avant de le poser sur la table de nuit sui se trouvait à côté de moi. Je tombais alors comme une souche, bien allongé, tête levée vers le plafond qui me faisait presque face, j’avais l’impression assez inquiétante qu’il se rapprochait de plus en plus même. Secouant rapidement la tête, j’entrepris de fermer les yeux, respirant profondément pour me calmer, enfin Alfie fit son apparition devant moi, je tentais de me redresser un tant soit peu mais sans succès. Une tension trop élevée ? Ce n’est pas grave alors dis-je simplement en le voyant les yeux rivés sur le cadran du tensiomètre qu’il avait scratché à mon bras un peu plus tôt. Je fis un léger sourire avant de retirer ma veste et de déboutonner ma chemise pour qu’il puisse faire son boulot, plus besoin de me demander, j’étais autant patient qu’infirmier tant j’étais informé du protocole qu’il suivait à la lettre chaque fois qu’il venait checker si tout allait bien. Je sentais les gouttes de sueur froide couler le long de mon front, je ne m’étais jamais senti aussi mal, au bord du gouffre, comme si la mort m’appelait peu à peu me poussant à sauter. Il ne m’est rien arrivé du tout, aujourd’hui je suis en congé, j’ai voulu faire une ballade et visiter Londres comme je n’avais jamais vraiment eu le temps de le faire et voilà. Ah oui et je me suis engueulé avec mon père, et hier soir j’ai fait l’amour à quatre reprise avec ma potentielle nouvelle copine. J’espère que je ne te choque pas mon cher Alfie. Un sourire vicieux se posa sur mon visage, je savais bien qu’il en fallait peu pour le mettre mal à l’aise, d’ailleurs je m’amusais bizarrement de la tête qu’il faisait chaque fois que je devais me retrouver à demi-nu devant lui. Un spectacle qui n’avait pas l’air de lui déplaire en soi, et j’avais besoin qu’il soit tout de même un minimum distrait pour éviter ses questions trop personnelles. Je n’avais pas envie qu’il fasse ressortir tous ces mauvais souvenirs, ceux que moi-même j’essayais de cacher derrière un voile. Dis-moi que ça va finir par se calmer, dis-moi que je ne vais pas devoir me terrer dans ma chambre sans pouvoir bosser ni courir, ni manger ce que je veux. Je déglutis difficilement, je retenais les larmes qui me montaient peu à peu aux yeux, je n’avais pas pour habitude de pleurer, cela ne m’arrivait jamais. Et encore moins devant un mec que je ne connaissais qu’à cause des circonstances. Levant les yeux vers lui j’attendais une réponse, une réponse qui je le savais ne me plairais surement pas
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