"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici So what about sex ? ft Pia 2979874845 So what about sex ? ft Pia 1973890357
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So what about sex ? ft Pia

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Theodore A. Rottenford
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() message posté Mer 27 Aoû 2014 - 14:30 par Theodore A. Rottenford
South Lodon, Ministry of sound. What a bus stop! “In a fallen world marked by human depravity and deep-seated sin, in a world where Hitler and Stalin had recruited millions of followers to commit mass murder, love must harness power and seek justice in order to have moral meaning. Love without power remained impotent, and power without love was bankrupt. So what about sex ? Mon cerveau était en fusion, mon corps engourdi ployait avant de se redresser, malmené par les bruits et les rythmes endiablés de la musique qui me parvenait de loin. J’étais sourd de l’oreille gauche, mais je pouvais facilement sentir chaque vibration grouiller sur le duvet hérissé de ma nuque. C’était les derniers jours de vacances dans la big city et le secteur de Grand London. Les criminels ne connaissent pas de repos, ni de répit, mais je faisais partie d’une espèce à part. Bien au-dessus des artifices de la civilité et des exaltations du cœur. Je lançai un regard absent au volant de ma voiture, une audi R8V10 coupée noir des jais, bien trop extravagante pour le salaire minable d’un officier de police. Un sourire malsain naquit au bout de mes lèvres, étirant mes commissures labiales et plissant les coins de mes yeux perçants. Je n’étais pas un homme bien, mais je préférais penser que j’étais un homme qui avait réussi. Sur tous les plans. Je déglutis avec lenteur. Ma salive était chargée de poisons et de promesses de frénésies dont ma langue raffolait. Je me penchai avant de sortir dans l’obscurité dominante. Je fis quelques pas avant de stopper net: j’avais toujours mon revolver, accroché quelque part entre mon flanc droit et ma chute de reins. Ce n’était pas une bonne idée d’être armé dans une foule ahuri. Mais ça l’était encore moins d’être sans défenses. Cette pensée m’extirpa une grimace d’horreur. Mon côté psycho, avait une peur bleue des prises de risques inutiles. Je frôlai le bout de mon canon avant de crisper les doigts sur la détente de mon arme. C’était apaisant, presque rafraichissant. Je tournai à gauche afin de rejoindre la file en dehors du club. Ma plaque d’officier faisait des merveilles, et ceci même si je m’aventurais bien loin de mon district of Westminster. Je bravai la foule afin de pénétrer dans l’antre du démon. Une jeune hôtesse blonde et dénudée, m’offrit une coupe de champagne ; soft et délicieuse mais loin de répondre aux exigences de mon palais. Je souris en abandonnant mon masque d’humanité. Mon corps balançait suavement au gré des vents et des lumières multicolores. J’avais cette façon, bizarre et très singulière de marcher en m’appuyant sur le bout de mes orteils. Ce qui m’avait valu le surnom de tiptoes, étant plus jeune. Mais en ce moment précis , je défiais quiconque de se moquer de ma démarche impérieuse et arrogante. J’haussai les épaules, en arquant un sourcil. Direction le comptoir.

« Whisky glace. » Lançai-je en levant un doigt au ciel. « Deux. »

Je bu mon premier verre d’une traite, avant de déguster les senteurs du deuxième. Mes joues cramaient de l’intérieur, affligées par l’alcool fort et la froideur des glaçons. Je scrutai discrètement les lieux à la recherche de compagnie. La longue tignasse d’une jeune blonde, déjà bien éméchée et très enjouée, nargua mes instincts les plus bestiaux. Je fis quelques pas avant de lui souffler dans le cou.

« Votre visage est en feu, devrais-je vous offrir un rafraîchissement ? »

Mon ton était posé, calme, presque snob. Je la regardais avec insistance, mes yeux gris perçants, troublants et pleins d’ombres malsaines. J’espérais tellement de cette soirée.
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() message posté Jeu 28 Aoû 2014 - 0:33 par Invité


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Je n'étais pas des plus heureuse aujourd'hui alors, j'avais décidé d'aller faire la fête seule et me souler jusqu'à ce que mes pieds ne veuillent plus me porter. Jusqu'à ce que je sois malade à vomir par terre et jusqu'à ce que je finisse la nuit avec un homme. Le but de ce soir c'est de ne pas finir ma soirée seule à déprimer. Je veux juste faire la fête, boire et draguer mon monde et peut-être finir par m'envoyer en l'air. Je crois vraiment avoir besoin de compagnie parce qu'en ce moment ce n'est pas la joie... Du coup je me retrouve dans la file d'attente du Ministry of Sound la boîte de nuit la plus branchés de tout Londres et j'aimais vraiment cet endroit beaucoup de lumière, de bonnes musiques et surtout une ambiance et de belles personnes, tout pour me rendre le sourire. J'attends déjà depuis une bonne dizaine de minutes quand je décide de passer devant tout le monde et finir devant un homme qui me barre la route, après quelques minutes de discussion je suis dans le vestiaire où je dépose mon long manteau noire, je sens un regard plein de désir quand l'homme derrière moi aperçoit ma robe dos nu, le dos nue tombe juste avant mon postérieur et je porte de beaux talons haut qui mettent en valeur mes jambes. J'ai déjà pris plusieurs verres, tous offerts par la gentes masculine et bien évidemment j'aie fais d'une priorité d'aller remercier chaque homme avec un sourire et une petite conversation. J'ai également dansé avec deux d'entres eux, mais je n'ai pas encore trouvé l'homme avec qui il y a ce désir incontrôlable alors je décide de continuer à boire et à danser en m'amusant des regards des hommes et de la jalousie de certaines... Après plus de deux heures à danser et à boire, je rejoints le bar principal pour demander un soda avec glaçon histoire de me désaltérer et reprendre mon souffle.


En tournant la tête je remarque un beau brun qui attire tous les regards. Il semble si sûr de lui et puis il a cette aura naturelle qui m'attire, je ne saurais même pas dire ce que je pense de lui là à l'instant... Il me donne des frissons et j'apprécie ce que je vois bien qu'il est l'air vraiment imbu de lui-même et ça on ne peut pas vraiment le louper... Ce qu'il a l'air Snob, je retourne à mon soda et le sirote tranquillement tout en regardant les hommes qui dansent. Je remarque un beau blond qui danse sensuellement avec une femme et j'aimerais vraiment être à sa place, j'allais y aller quand dans mon coup je sens un souffle et des paroles qui me parviennent aux oreilles « Votre visage est en feu, devrais-je vous offrir un rafraîchissement ? » Je me retourne et je retrouve le beau goss du bar qui avait l'air d'un gros snob, je le regarde dans les yeux et détails chacun de ses traits de visages. C'est un homme magnifique il a un sourire charmeur des yeux pétillants de plus je remarque que même avec mes talons il est plus grand que moi et franchement ça me plait. Ce que je vois me donne envie et je ressens des frissons rien que part notre proximité. Je lui montre mon soda et lui souris « Je ne serais pas contre un verre d'alcool ceci-dit. » Je me colle un peu plus à lui et le regarde avec envie. « Une tequila s'il vous plait. » Je penche la tête sur le côté et relève mes cheveux pour en faire un chignon, je découvre ma nuque pour son plus grand bonheur j'espère et pour dire la vérité ma tignasse blonde me donne chaud.


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Theodore A. Rottenford
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() message posté Sam 6 Sep 2014 - 3:58 par Theodore A. Rottenford
South Lodon, Ministry of sound. What a bus stop! “In a fallen world marked by human depravity and deep-seated sin, in a world where Hitler and Stalin had recruited millions of followers to commit mass murder, love must harness power and seek justice in order to have moral meaning. Love without power remained impotent, and power without love was bankrupt. So what about sex ? Les ténèbres engloutissaient peu à peu les jeux de lumières multicolores. Je plissai les yeux, tandis que les nuances rouges, jaunes et bleues se dissipaient en face de moi. Mon cerveau engourdi tanguait entre l’ivresse et les rives lointaines de la sobriété. J’éclatai d’un rire sonore, presque fou en reposant mon regard embrasé sur la jolie blonde. Elle était accoudée au comptoir comme une fleur, prête à être cueillie par mes soins. Je passai ma main crispée dans  sur mes joues puis sur mon menton, séduit par la perspective d’une soirée aux côtés d’une créature aussi exquise.

« Je ne serais pas contre un verre d'alcool ceci-dit. » Elle s’approcha dangereusement de moi, titillant ma bête sauvage et les restes de ma conscience. « Une tequila s'il vous plait. » Souffla-t-elle.  

Je souris d’un air narquois, mais la vérité c’est que j’étais incroyablement déstabilisé en ces lieux de bruits et de dépravation. Les rythmes de la musique, les excitations de la foule et les sons des verres que l’on maniait au bar, captivaient toute l’attention de mon unique oreille saine. Tout le reste n’était que bourdonnements et vibrations désagréables. Je me mordis doucement la lèvre inférieure. Je n'avais pas la moindre idée de ce qu'elle racontait!

« Prenez ce que vous voulez. » Scandai-je à tout hasard, espérant que cette phrase passe partout suffirait à retarder l’échéance inévitable. Ce soir, je n’avais pas envie d’être sourd et pitoyable. Je ne voulais pas être moins que normal. Je saisis l’opportunité pour m’approcher doucement d’elle. Mes doigts frôlèrent son avant-bras nu.

« Je m’appelle Alistair » Lançai-je en plongeant dans ses yeux azur. Un éclat de lumière traversa la pièce à cet instant afin d’illuminer ses traits enfantins. Je la fixai d’un air absent, complètement envouté par sa beauté. Elle avait une telle force dans le regard. Une sentiment bizarre s’immisça au creux de ma poitrine afin d’étouffer les battements de mon cœur.

« Je sais que c’est cliché, mais vous avez de très joli regard. » Laissai-je échapper malgré moi.

Ce n’était pas ma façon d’opérer d’ordinaire, mais je n’étais pas en position de force en boite. Je déglutis en silence. J’avais foncé tête baissée dans la zone de danger suprême. Cette fille magnifique m’apparaissait tantôt comme une âme démoniaque tantôt comme une rose égarée. Ma bouche se courba tout à coup. Je sentis mon souffle se glacer et mon torse se soulever. Ma langue s’enroulait suavement autour de mes lèvres, avide de baisers profanés. Je ressentais le besoin irrépressible de frôler son visage. Ce n’était pas une attirance ordinaire, l’alcool qui circulait dans mes veines troublait ma vision et mes perceptions de la réalité. J’étais prêt à me laisser embarquer dans un monde d'aliénation totale. Je sortis un petit flacon de pilule de ma poche afin d’avaler deux comprimés d’une traite. Je n’étais pas un drogué, mais j’étais sous traitement anxiolytique depuis mon accident. Et lorsque j’avais découvert l’effet étourdissant de ces  petites molécules en association avec l’alcool, je n’avais pas pu m’empêcher de faire coïncider la prise de mes médicaments avec mes moments détente. Juste pour le plaisir.

Je détournai le regard vers la piste de danse en souriant.

« Vous ne dansez pas? »

Je n'étais pas friand de collés serrés au milieu de tels groupements de gens. A vrai dire, j'avais horreur d'être touché, spécialement à l'oreille et sur le torse. Mais je voyais dans cette invitation le seul prétexte pour lui tendre l'oreille.
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() message posté Dim 7 Sep 2014 - 19:22 par Invité


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« Prenez ce que vous voulez. » voilà qui était dit je pouvais prendre ce que je voulais, seulement je suppose qu'il ne m'a pas entendu lui demander un verre de tequila. Il me prête vachement attention... Je crois que son petit côté je me la pète et je suis snob va vite me foutre les nerfs et je vais disparaitre très rapidement de son champs de vision. Il se rapproche un peu plus près de moi et ses doigts frôlent mon bras dénudé... Je ressens un léger frisson mais cette sensation s'évanouie rapidement quand il reprend la parole « Je m'appelle Alistair » Je le regarde dans les yeux et je suis prise au dépourvue par la façon dont il me regarde, il a un regard de braise qui me fait me sentir toute petite. J'aurais presque envie de fuir tellement je suis impressionnée par cet homme fort est plus grand que moi qui me regarde dans les yeux avec une intense lueur qui me laisse perplexe, je ne sais pas trop quoi penser de cet homme et je ne comprends pas pourquoi il me fixe autant -est-ce que je le connais ? Est-ce que j'ai déjà été avec ? Ou encore est-ce que j'ai quelque chose sur la tronche ?- Je soupire je ne sais pas trop quoi faire alors je baisse la tête. « Je sais que c'est cliché, mais vous avez de très joli regard. » Je relève la tête et lui souris tout en penchant la tête sur le côté. « Merci. » Ce n'est pas la première fois qu'on me parle de mes yeux oui ils sont beaux, mais il ne faut pas abuser non plus, ils sont bleu point barre ceci-dit ça fait toujours plaisir de se faire complimenter. Je le regarde et je me doute qu'il attend de moi mon prénom, mais je ne suis pas décidée à lui dire parce que pour moi je n'en vois pas l'intérêt, je ne sais même pas si je vais passer la soirée avec lui.


Je le regarde un peu plus et je remarque qu'il lèche de nombreuses fois ses lèvres et ce petit mouvement de sa part m'excite un peu et je dois dire que sa beauté me frappe de plus en plus. Il a l'air d'un véritable dieu grec. Je le regarde encore et encore et je constate qu'il prend des pilules avec son verre d'alcool, je lui souris tout en me demandant ce qu'il vient de prendre... Remarque ça ne me regarde pas après tout et même si mes lèvres et mon cerveau brûlent de désir de le lui demander je ne me vois pas ouvrir la bouche pour le moment. Je remarque que ça fait un moment qu'il a détourné le regard et je remarque qu'il n'a d'yeux que pour la piste de dance, je souris et je pressens qu'il va finir par me proposer de danser. « Vous ne dansez pas? » Je lui souris « Je n'ai pas de cavalier pour danser. » C'était clairement une invitation et s'il n'a pas compris je lui tends la main histoire qu'il prenne conscience que j'avais compris qu'il m'avait invité le premier. « Ceci-dit si vous n'êtes pas dans votre état normal je préfère voir avec un autre. » Je suppose qu'il comprendra que je parle de ces fameuses pilules et je n'arrive pas a détacher mes yeux de lui et je lui souris comme une conne en attendant une réponse.


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() message posté Dim 7 Sep 2014 - 21:12 par Theodore A. Rottenford
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« Merci. »

Elle me répondit d’une petite voix douce et gracieuse, presque fluette. Je n’avais pas vraiment entendu ce qu’elle avait dit, mais je pouvais facilement supposer qu’elle me remerciait. Je déglutis en sentant mon cœur se contracter dans ma poitrine. Elle était si adorable, et à la fois si attirante. Un mélange d’innocence et de sex appeal que je trouvais déroutant.

« Pour une fois que je pense quelque chose. » Raillai-je en me penchant un peu plus vers elle. Mon souffle chaud chatouillait le dessin de sa bouche, mais je restais à bonne distance. Ah ben oui, pas complètement goujat le type !

La piste de danse retenait toute mon attention. J’étais comme hypnotisé par les gestes rythmiques de la foule, et quelque part je me demandais si ce n’était pas une mauvaise idée d’entrainer cette jolie fille là-dedans. Je n’étais pas très à l’aise sur mes deux pieds.

« Je n'ai pas de cavalier pour danser. »

Je lui souris d’un air bête. J’osais espérer que mon silence rajouterait une part de mystère à mon personnage sombre et hautain. Ma démarche était particulière, et même si je m’étais arrangé avec le temps, au fond de moi je gardais les séquelles de mon surnom d’écolier TIPTOES.

« Ceci-dit si vous n'êtes pas dans votre état normal je préfère voir avec un autre. »

Ça commençait à se gâter. J’avais du mal à suivre la conversation malgré mes efforts de concentrations. Je m’appliquais de toutes les manières possibles : penchant la tête vers la gauche, créant un cône discret sur mon oreille valide, étirant mon lobe de la main, plissant les yeux … Rien n’y faisait. Tous ces gestes ne faisaient que me rendre débile. Je devais me résigner à danser. Elle me tandis la main, comme par enchantement, comme si inconsciemment elle avait deviné ma lutte acharnée contre la surdité . Je lui souris, les yeux pétillants de malice. Ma main se tendit afin de rencontrer ses longs doigts filiformes. Je sentis ma peau vibrer lorsque je la touchai, et je ne pu m’empêcher d’entremêler nos doigts. C’était peut-être prématuré, mais la décharge électrique qui me submergeait était tellement addictive. Je clignai des yeux avant de me lever.

« Je prends un traitement anxiolytique mais ce n’est rien. » Soufflai-je. « On est souvent sous stress quand on est dans la police. »

Je suppose qu’elle devait se demander quelles étaient ces petites merveilles que j’avalais avec voracité. Je me mordis la lèvre inférieure pour la énième fois avant de lui lancer un regard séducteur, presque inquisiteur. Son chignon négligé, laissait échapper quelques mèches dorées qui encadraient délicatement son visage. Je posai une main sur sa joue.

« J’espère que vous pourrez me guider. Je suis un piètre danseur. » Raillai-je en la tirant vers moi. Mon accent irlandais avait tout à coup prit le dessus. Je me raclai la gorge avant de lui sourire. Je raffermis ma prise autour de sa taille. Son corps léger heurta mon torse musclé. Je n’aimais pas être touché d'ordinaire, mais je suppose que la présence du tissu me réconfortait. Je la tirai vers la piste de danse, sans lui laisser l’occasion de me répondre. Après tout l’idée c’était que je puisse l’entendre.

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() message posté Mar 9 Sep 2014 - 12:22 par Invité


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Plus je le regarde et plus je fonds pour ses traits charmants et son comportement hautain, je ne peux m'empêcher d'éprouver un peu plus de désir à son encontre chaque fois qu'il passe sa langue sur sa lèvre inférieure, il me charme et je le vois bien et franchement j'apprécie ces regards bien que je ne comprends pas trop ce qu'il répond à mes questions. Je ne comprends pas grand-chose avec le bruit assourdissant qui provient des platines des différents DJ, je regarde autour de moi et c'est quand il me prend la main que je reviens dans notre bulle, une décharge électrique parcours mon échine et je sens des frissons jusque dans le creux de mes reins. C'est une grande et étrange sensation qu'évidemment je savoure, je sens ses doigts s'entremêler autour des miens et bien que je ne sois pas habitué à ce genre de contact aussi rapidement, je ne lâche pas sa main bien au contraire. Il se lève et en se levant il reprend la parole « Je prends un traitement anxiolytique mais ce n'est rien. » Ce n'est pas vraiment rien, mais je laisse passer cette étonnante réflexion de sa part, je suppose qu'il voulait me faire comprendre qu'il n'était pas un drogué tout simplement. Il ajoute qu'il est souvent sous stress parce qu'il travaille pour la police. Je suis un peu surprise de sa révélation, je ne l'imaginais pas du tout policier mais plutôt dans un grand bureau avec un boulot qui rapporte sans doute plus qu'un salaire de policier. Je le regarde avec de grands yeux et lui sourit tout en me levant à l'aide de sa main. Un policier charmant et bien qu'il soit hautain je peux le lui permettre a condition qu'il est sauvé beaucoup de personnes.


Quand il se mord de nouveau la lèvre inférieure je fonds littéralement, il pouvait me demander ce qu'il voulait je serais là à ses pieds s'il le souhaite. Je suis complètement sous son charme et quand je le regarde, c'est son regard que je sens pénétrer dans le mien est-il a un regard de séducteur en pleine chasse et je suis bouche bée devant lui. Me demandant s'il n'est pas le diable avec qui je dois conclure un pacte... Quand sa main se pose sur mon visage je ne peux que me laisser faire, il a des mains douces et je me sens toute petite à ses côtés, je me sens bien et en sécurité sans doute le fait que je sache qu'il est policier qui aide un peu. « J'espère que vous pourrez me guider. Je suis un piètre danseur. » Je le regarde du coin de l'oeil, et pense que ce n'est pas le plus important qu'il sache ou non danser bien que je suis une bonne danseuse et j'adore bouger et être avec des hommes qui sachent danser... Je ferais une exception pour ce charmant policier, j'entends chez lui un accent Irlandais que je reconnais facilement puisque j'ai eu dans mon lycée des échanges avec l'Irlande et leur accent est reconnaissable entre mille ! L'homme me tire vers lui et je me retrouve contre son corps après quelques secondes il m'empoigne un peu plus fortement au niveau de ma taille et ce geste me donne quelques frissons que je suppose il a pu remarquer vu notre proximité. Nous arrivons vers la piste de danse et je me colle un peu plus à lui et le regarde dans les yeux ma bouche se trouve à quelques centimètres de ses lèvres et machinalement je m'humidifie les lèvres sensuellement. « Vous n'êtes pas un aussi terrible danseur que ce que vous avez prétendu monsieur. » je lui souris et me détache un peu de lui pour calmer mes ardeurs. Certains hommes se rapprochent de moi et je me mets à rire quand l'un d'eux essai de me séparer littéralement de mon policier, je tends la main vers celui-ci pour qu'il me sauve de cette situation. Qu'il marque son territoire presque, pour dire au monde que ce soir je lui appartiens.


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() message posté Jeu 18 Sep 2014 - 3:28 par Theodore A. Rottenford
South Lodon, Ministry of sound. What a bus stop! “In a fallen world marked by human depravity and deep-seated sin, in a world where Hitler and Stalin had recruited millions of followers to commit mass murder, love must harness power and seek justice in order to have moral meaning. Love without power remained impotent, and power without love was bankrupt. So what about sex ? Il y’ avait une onde malsaine qui parcourrait mon avant-bras. Je baissai lentement les yeux afin de regarder nos doigts entre lassés. Je n’étais certainement pas un grand adepte des excès d’affection, mais cette étreinte m’avait presque paru légitime après des minutes à contempler ses grands yeux enchanteurs. Je déglutis en songeant au gout de ses lèvres, ou à l’odeur de sa chair douce. Ma poitrine trembla, assaillit par les flots d’appréhension et de désirs qui se déversaient par millions dans mon système. Mes anxiolytiques ne semblaient pas encore faire effet, et ce n’était pas pour me déplaire. Cette jeune femme était exquise ! Je me penchai lentement à sa hauteur. Mon souffle chaud chatouillait la peau délicate de son cou avant de remonter jusqu’à moi, imprégné de senteurs sucrées et enivrantes. Je me dirigeai vers son oreille. « Vous vous rendez compte que je ne connais toujours pas votre prénom.» Murmurai-je avec sensualité avant de percuter : Je risquais de ne pas discerner ses mots à cette distance, et avec tout ce bruit. Quel con ! Je me redressai d’un air brusque, irrité par ma propre bêtise. « Réflexion faite, ne dites rien. » Je souris avec malice. « Les choses sont bien plus attrayantes quand elles sont inconnues. » Je me décalai nonchalamment avant de la saisir avec plus d’assurance.

La piste de danse était en feu ! La musique forte tambourinait contre mon oreille valide. Je suivais le rythme, porté par une pulsion sauvage qui ne me traversait que dans de rares occasions. Je jetai un regard complice à ma partenaire. Elle était le genre de femme qui me poussait jusqu’à consumation totale, au-delà de mes limites. J’humectai ma bouche tout à coup sèche. Sois mienne ce soir … Je pressai ma paume contre le tissu moulant de sa robe, tout en mon penchant vers son visage angélique. Je faisais en sorte de lui tendre mon oreille droite à chaque fois.

« Vous n'êtes pas un aussi terrible danseur que ce que vous avez prétendu monsieur. »

Je ris à gorge déployée.

« Ce soir, je suis inspiré. » Répondis-je en frôlant sa joue brûlante. Elle rit avant de se détacher de ma prise. La foule en délire nous éloignait immanquablement. Je tendis le bras afin de la retenir, mais un jeune homme était déjà à l’afflux, prêt à me prendre ma place. Je me faufilai à sa hauteur. Mon regard sombre croisa celui de la jeune femme pendant un court instant. L’onde malsaine revint à nouveau s’immiscer entre mon cœur et ma volonté. Je me mordis la lèvre inférieure pour la énième fois, comme pour lui envoyer un signal, avant de fendre sur elle. Je l’embrassai avec voracité. Mes lèvres se pressaient contre sa bouche avec un désespoir presque goulu. Je plongeai la main dans sa chevelure, détachant quelques mèches prisonnières de son chignon.

« Je suis désolé mais ce soir, il n’y aura que moi, jeune inconnue . » Soupirai-je contre ses lèvres.
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() message posté Mer 24 Sep 2014 - 20:16 par Invité


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Je souris quand il me dit qu'il est inspiré ce soir, je sais qu'il le dit pour me complimenter et j'avoue que ça fait un petit effet, car je sens mes joues rosir, je soupire est baisse la tête. Quand l'autre homme s'approche de moi j'espère toujours autant que le policier viendra à mon secours et lorsque le regard noir de celui-ci se pose dans le mien je sens un drôle de frisson parcourir mon corps entier. Lorsqu'il se mord la lèvre une pulsion malsaine souhaite que je lui fonce dessus et que je l'embarque dans un endroit plus calme pour qu'on fasse l'amour tout simplement. Lorsqu'il me fonce dessus je comprends immédiatement ce qu'il compte faire, ses lèvres viennent se fondre sur les miennes et un je suis maintenant sur un petit nuage et quand il passe sa main dans mes cheveux et en détache quelque mèche je fonds littéralement pour cet homme. « Je suis désolé mais ce soir, il n'y aura que moi, jeune inconnue . » je sens son souffle contre ma bouche alors je me rapproche un peu plus pour que mes lèvres effleurent les siennes. Je me recule tout en attrapant sa main droite pour que cette fois-ci nous restions unis, la foule ne va certainement pas me séparer de lui. Pas maintenant, pas alors que je viens de trouver mon coup du soir, est quel homme.


Je le regarde avec envie et tourne sur moi-même à l'aide de sa main, ça fait un peu enfantin, mais je me sens bien et je suis heureuse d'être ici, comme une enfant protéger par un homme fort et musclé et surtout policier. Je le regarde quand je me retrouve face à lui et me rapproche sensuellement jusqu'à ce que mon corps entre en contact avec le siens, malgré mes talons je lève la tête pour pouvoir le regarder dans les yeux, je le regarde avec envie et ne peux m'empêcher de porter mes lèvres à la commissure de ses lèvres « Il n'y a pas a être désolé. » Je ne voyais rien d'autre à ajouter excepté le baiser ardent que je lui offre, après quelques secondes j'entrouvre la bouche pour laisser passer ma langue qui fond immédiatement dans sa bouche avec ardeur. Quand je donne fin à ce baiser je suis a cours de souffle tellement il y a eu d'ardeur lors de cet échange. J'ai maintenant envie de me mettre au calme pour parler un peu ou autre parce que finalement je n'ai pas spécialement besoin de parler parce que j'ai déjà ce que je veux. Lui. Je l'attrape par la main sans lui demander et l'attire vers un endroit un peu plus calme - plus confortable oui - raille ma conscience. Je m'assois sur la banquette et un serveur vient rapidement nous voir « Mojito pour moi. » Je regarde pour la première fois depuis que nous sommes installés « Tu veux quoi... euh... » Je le regarde penche la tête tout en lui souriant « je ne me souviens pas de ton prénom. Désolé...» Je soupire lourdement légèrement honteuse et merde je viens de me griller quoi que finalement je m'en fiche, il ne connaît même pas le mien et il s'en fiche alors pourquoi aurais-je du me souvenir de son prénom. Ce n'est pas ça qui m'intéresse chez lui tout simplement et je préfère porter mon attention sur ses lèvres et la façon dont il se mord sa lèvre inférieure. Le serveur repart avec je suppose la boisson du policier ainsi que la mienne en tête, je porte alors mon attention de nouveau sur mon charmant charmeur qui me fait plus que fondre. Je nous trouve assez loin l'un de l'autre alors je me rapproche de lui jusqu'à ce que mon corps frôle le sien. Un frisson me parcours le dos et je sens de nouveau en moins une envie de le chevaucher dans cet endroit pourtant public.


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Theodore A. Rottenford
Theodore A. Rottenford
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() message posté Mer 24 Sep 2014 - 21:11 par Theodore A. Rottenford
South London, Ministry of sound. What a bus stop! “In a fallen world marked by human depravity and deep-seated sin, in a world where Hitler and Stalin had recruited millions of followers to commit mass murder, love must harness power and seek justice in order to have moral meaning. Love without power remained impotent, and power without love was bankrupt. So what about sex ? Je ne pouvais plus vaincre la bête qui grognait dans ma tête. Ses lèvres qui touchaient les miennes m’entrainaient dans les bas-fonds, et il se trouve que mon corps raffole des ténèbres. J’encadrai son visage des mains afin d’approfondir notre moment de transe. J’étais incapable de discerner le monde autour de moi, ou de nommer ce pouvoir qu’elle avait sur ma virilité. Je me délectais doucement, tantôt comme un homme hyperexcité, tantôt comme un adolescent effarouché. Le duvet de mes bras s’hérissa et je la regardais d’un air mystérieux. Qui était-elle au juste ? Une âme damnée comme la mienne ? Ou une simple fille qui cherchait à combler un creux dans son emploi du temps ? Je me mordis la lèvre inférieure en penchant la tête vers mon oreille sourde. J’essayais de deviner ses mots en me concentrant sur les mouvements sensuels de sa bouche … Mauvaise idée. Plus je le la regardais, plus je ressentais le besoin irrépressible de l’embrasser à nouveau. Je soupirai. Mon cœur battait la chamade, malmené par les pensées malsaines et les signaux pervers qu’envoyait mon cerveau. Elle venait d’allumer un grand feu dans mon entre jambe. Un feu auquel je ne pouvais plus échapper. Elle m’entraina en emprisonnant ma main. Un sourire malsain se traça sur mon visage. Elle était entreprenante, et j’adorais ça chez une femme. Je la suivais comme un pantin, guidé par le rythme effréné de mes pulsions.

Je m’assis sur une banquette au coin du club. C’était plus calme, mais les bourdonnements de la musique continuaient à perturber mon ouïe. Je plissai les yeux. J’arrivais à discerner sa voix, et pour la première fois les notes fluettes enchantèrent mon oreille. Je lui souris les yeux pétillants, comme si je venais d’avoir une illumination. Et c’était le cas! Elle était délicieuse de la tête au pied, de la bouche aux cordes vocales. Je lui jetai un regard en biais avant de laisser mes yeux gris fondre dans l’obscurité ambiante.

« Un mojito pour moi. Tu veux quoi... euh... »

Elle me tira de ma torpeur passagère. Je tournai lentement la tête vers elle, afin d’accrocher son regard.

«je ne me souviens pas de ton prénom. Désolé... »

Une ombre se dessina au coin de ma bouche, tandis que mon expression restait figée. Il était impossible de déceler mes émotions à mi-chemin entre le rictus aimable, et l’air revêche du lieutenant haut gradé que j’étais. Je restai silencieux quelques instants avant de me tourner vers le serveur.

« Deux Bushmills Irish. » Commençai-je d’un ton dégagé. « L’un avec glaçons et l’autre sans.»

La tension sexuelle était à son comble. Ma jeune compagne me regardait sans retenue, je fis circuler ma langue sur ma lèvre inférieure sans la quitter des yeux.

« Mon prénom… Tu ne t’en souviens réellement pas ?» Raillai-je en m’éloignant lorsqu’elle se rapprocha.

J’étais peut-être obsédé par la séduction et la dépravation, mais ma frénésie de la chasse battait tous les records. Je me penchai doucement.

« Je ne connais pas le tien parce que tu ne t’es pas présenté. On devrait peut-être reprendre dès le début … »

Je lui tendis la main.

« Je m’appelle Alistair. Et toi, jeune inconnue ?»

J’attrapai sa main afin de presser ma paume contre ses doigts fins.
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() message posté Sam 27 Sep 2014 - 16:13 par Invité


SO WHAT ABOUT SEX ?
ft. Theodore  & Pia  


Il n'a pas l'air très surpris que je n'ai pas la moindre idée de son prénom et bien qu'il me l'ai dit un peu plus tôt mon cerveau et tout mon corps étaient remplit de désir pour lui et chaque mouvement de son corps ne faisait qu'augmenter ce même sentiment. J'ai pour lui actuellement du désir de la tête aux pieds et lors de nos deux échanges de baiser je me suis sentis malmené et complètement perdu tout en étant également excité. J'avais en sa compagnie plusieurs ressentiments qui venaient m'assaillir et je n'arrivais plus à contrôler mon envie de lui sauter dessus. Heureusement que le serveur était venu nous interrompre, car je ne suis pas certaine que j'aurais pu me retenir de lui sauter dessus et de lui faire l'amour, là en public. Ceci-dit quand il s'éloigna de ma présence j'étais perplexe, était-il « triste » ou vexé que je ne me souvienne pas de son prénom, était-il du genre à se vexer pour ce genre de chose ? Je ne savais rien de lui et je devais penser aux moindres faits et gestes que je devais faire pour ne pas qu'il parte loin de moi... Très vite toutes ses pensées négatives s'évanouissent car cet homme est là penché au-dessus de moi « Je ne connais pas le tien parce que tu ne t'es pas présenté. On devrait peut-être reprendre dès le début ... » Je le regarde avec un grand sourire, charmant charmeur. Il me tend la main et je l'accepte avec grand plaisir « Je m'appelle Alistair. Et toi, jeune inconnue ?» il presse sa paume contre la mienne et entrelace ses doigts d'homme fort et robuste sur mes petites mains. C'est un sentiment de sécurité que j'apprécie et je dois dire que cela fait bien longtemps que je ne me suis pas sentit autant en sécurité. « Moi c'est Pia. » Je le regarde tendrement avec un regard aguicheur.


Le serveur revient avec nos boissons, il pose devant moi mon mojito et je le remercie avec un sourire charmeur. Il pose également les deux verres du policier et je regarde ce qu'il a prit. Mouais, je n'aime pas trop ce rafraîchissement et je dois dire que pour moi il n'y a que la tequila qui m'aille. Je lève mon verre dans sa direction et fait claquer mon Mojito contre sa boisson, « A notre rencontre Alistair. » Je lui fais un léger clin d'oeil et lui affiche mon plus beau sourire. J'ai chaud très chaud rien qu'en le regardant et je me dis que si ça continue comme ça toute la soirée je vais devoir penser à me rafraîchir histoire de ne pas puer la mort au moment de faire l'amour avec lui. Oui j'ai dans l'intention de coucher avec lui, pour mon plus grand bonheur. Je ne détache plus mon regard du sien et un peu plus à chaque minute je me rapproche de lui. D'un bon je me lève et m'assoit à califourchon sur lui et le regarde dans les yeux avant de l'embrasser à pleine bouche, mon baiser est violent et je le presse un peu pour qu'il entrouvre la bouche. « J'ai vingt-trois ans & je suis photographe ! » je lui souffle ces mots après avoir mis fin à notre baiser fougueux. Je reste à califourchon sur lui et je le regarde dans les yeux avec beaucoup de désir, en restant dans cette position je sens encore et encore monter de plus en plus le désir et j'ai des frissons qui parcourent mon corps. Si je ne me calme pas, je vais finir par lui sauter dessus.


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