"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici OWAIN ✏ Everybody knows i'm a motherfucking monster 2979874845 OWAIN ✏ Everybody knows i'm a motherfucking monster 1973890357
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OWAIN ✏ Everybody knows i'm a motherfucking monster

Anonymous
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() message posté Dim 31 Aoû 2014 - 15:14 par Invité

Owain-Rhian Davis

London calling to the faraway towns
NOM(S) : davis. PRÉNOM(S) : owain-rhian. ÂGE : 23 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 21 Décembre 1991 à Cardiff. NATIONALITÉ : britannique. STATUT CIVIL : célibataire. MÉTIER  : courtier en bourse / autoentrepreneur, il possède une boîte d'informatique qui bosse sur un programme révolutionnaire. TRAITS DE CARACTÈRE : hautain, intelligent, autonome, infidèle, acharné, manipulateur, fourbe, bosseur, autodidacte, ambitieux. GROUPE : black cabs.



My style, my life, my name

Il a horreur des sucreries, ça lui donne la gerbe ✏ Il fait beaucoup de sport pour se canaliser ✏ On lui a proposé de faire du mannequinat à 16 ans mais il n'aime pas trop qu'on le dirige alors ça n'a pas été concluant ✏ Il fume comme un pompier et boit comme un trou mais trouve que la drogue c'est complètement has been ✏ Il lui arrive de coucher avec trois filles différentes par jour (marathon man) ✏ il ne va jamais bosser avant midi, histoire de décuver un bon coup quand même ✏ Il fait des cauchemars digne des plus grands Stefen King mais refuse d'aller chez le psy ✏ Il déteste les nombres impairs (alors qu'il est né un 21), ça le stresse au plus au point ✏ C'est un sadique mais seulement avec les humains. Les animaux il en a strictement rien à foutre, voilà pourquoi ✏ Il s'est amusé à escroquer de vieilles couguars un peu trop riche quand il avait 17-18 ans, ça l'amusait beaucoup ✏ Il est bipolaire, voire borderline mais il ne veut pas le savoir donc ne retourne pas chez le psy, ce qu'il fait qu'il passe de 0 à 100 en un quart de secondes ✏ Il a des psychoses parfois mais ne l'avouera jamais au grand jamais ✏ Il est étonnamment doué pour la cuisine ✏ C'est un petit génie en à peu près tout. Ce qui le branche en ce moment c'est l'informatique d'où la boîte qu'il vient de monter ✏ son vrai emploi reste courtier en bourse pour la boîte de son beau-père (Maman y tient alors bon)
 
PSEUDO : Union Jack. PRÉNOM : Lou. ÂGE : 22 ans. PERSONNAGE : inventé.  AVATAR : Sean O'pry. CRÉDITS : Class Whore/Tumblr. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : Top Site.


 

 
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Anonymous
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() message posté Dim 31 Aoû 2014 - 15:15 par Invité
At the beginning

Le Seigneur saura récompenser les plus méritants. Est-ce que je suis méritant ? La question se posait même pas à mes yeux. Venir au monde et lutter. Ça avait été mon quotidien depuis que j'avais poussé mon premier cri dans un hôpital de Cardiff, et déjà tout mon désespoir de venir au monde s’y était ancré. Vivre, c’est tellement anodin pour certaines personnes. Pour moi ça n’avait jamais été une mince affaire. Une mère. J'avais eu une mère. Une mère qui m’avait mis au monde : Anna. Une mère qui m’avait aimé de tout son cœur, qui avait protégé son fils du mieux qu’elle pouvait. Ou presque. Je l'aimais, ma mère mais je devais bien admettre qu’elle était trop fragile, trop futile et surtout insignifiante. Elle n’était pas faite pour affronter le monde. Je l’aimais mais elle était un handicape certain face au reste du monde, elle était ma faiblesse.

Mon père. Cette enflure. Ma terreur. La cause de mes insomnies, de mes bleus, de mes larmes, de mes crises. L’ogre qui sur ma jeune existence avait fait plané son ombre menaçante. Je l’avais haï, peut-être même dès la première fois où j'ai posé les yeux sur lui. Plus d’une fois, j'ai cru mourir, j'ai voulu mourir. Que tout s’arrête. Que la douleur disparaisse. Que la peur disparaisse. Que l’impuissance disparaisse. Que les cris disparaissent. Il m'arrivait de perdre conscience pendant de longues minutes, de longues heures parfois, tombé sous les coups de mon paternel. Je trouvais toujours ma mère à mon chevet, à mon réveil, toujours larmoyante à supplier son bébé qu’elle était désolée. Peu importe les excuses. Je n’étais pas mort. Pourquoi n’étais-je pas mort ? Comment avais-je survécu ? Comment toutes ces fois m’en étais-je sorti ? Je crois pas en Dieu, ni en rien si ce n’est en moi. J'étais vivant parce que j'avais la rage de vaincre, la rage de prendre ma revanche contre mon père. La rage de vivre coûte que coûte, la rage de lui survivre. Et je lui ai survécu. Ma plus grande victoire jusqu’à présent.

Si mon père n’était pas tendre, il m'avait endurci à coup de poing jusqu’à ce qu’il tombe raide, terrassé par un foie dopé à l’alcool : mort bénie. Ce n’était pas pour autant que tous mes ennuis s’étaient évanouis pour autant. Le monde extérieur restait mon pire ennemi. J'étais bien trop curieux et intelligent pour mon âge, bien trop pour mon propre bien. Incompris de mes camarades et de mes professeurs, j'ai été repoussé en marge des autres, victime des brimades et des moqueries. Mais j'étais muet comme une tombe. Alors les enfants se sont montrés plus méchants, plus mesquins et surtout plus violents. Mais ce n’était rien à côté de ce que j'avais subi avec mon père alors je ne me défendais pas, jamais. Ma seule arme, ma seule défense c’était ma tête, c’était ma répartie. Il me suffisait d’ouvrir la bouche pour faire pleurer les gamins et m’attirer les foudres des autres. Mais ça m’amusait, c’était mon passe-temps préféré : les faire souffrir parce qu’ils s’efforçaient tous de nier l’évidence, de noyer le poisson.

Aucun ne voulait ou même ne pouvait reconnaître ce que je ressentais au plus profond de ma chair : je leur étais supérieur. Je n’étais pas né pour être un pauvre petit gars de Berlin, méprisé au milieu des moins que rien de la classe ouvrière de la ville. Je briguais et méritais beaucoup plus. Et je l’aurais. Parce qu’ils n’étaient tous que des cafards insignifiants là où je surnageais aisément. Malheureusement, cette réalité m’a poussée à l’isolement, à la réserve. Je n’ai plus été capable d’exprimer mes sentiments de quelques manières que ce soit. Je n’étais plus capable de faire preuve d’une quelconque normalité : ils me traitaient comme un monstre alors ils allaient en avoir un. Mon caractère, mon essence, s’est forgé dans ma souffrance physique et morale, dans cet étau trop étroit pour moi, dans ce « monde » qui ne me convenait pas. Et malgré mon jeune âge, mon enfance était oubliée depuis longtemps. J'étais déjà en quête, une quête effroyable pour trouver mon âme jumelle, l’être qui saurait me rendre sa vision du monde. Mais jusqu’à présent, cette quête était mon plus cuisant échec.

-Extrait des notes d’Owain (Janvier 2004)-


Michaela est tellement merveilleuse. Je l’aime, je suis fou d’elle. Je ne devrais pas, ce n’est pas raisonnable, ça ne me ressemble pas mais c’est comme ça. C’est comme ça depuis un an, je ne vis encore et toujours que pour elle. Elle était celle que je devais rencontrer sans doute. Je n’en sais rien, je me sens idiot mais tellement bien dans ses bras. Elle n’est pas comme les autres. Mais c’est normal, ce n’est pas une gamine ignorante et idiote. C’est une femme, une vraie et elle m’aime à ma juste valeur. Ok, la loi dit que notre relation est illégale. C’est une adulte, une prof. Elle pourrait perdre son job si jamais notre relation venait à s’apprendre. Je n’ai jamais que 14 ans après tout. Mais qu’est-ce qu’on s’en fiche ? On a à peine 10 ans d’écart. Et l’âge n’est pas du tout un facteur fiable dans mon cas. Je ne suis pas un gamin comme tous les autres, je suis au-dessus de ces bouffons. Ils ne valent rien. Et Mika le sait. Mika m’aime pour ce que je suis, pas pour mon âge ou ce que j’ai vécu. Dans ses bras, je me sens moi-même. Ses soupirs, son odeur, le contact de sa peau, ses cris, ses ongles sur ma peau… elle me rend fou. Elle sait calmer mes humeurs quand ma putain de maladie se rappelle à mon bon souvenir. Elle sait calmer mes angoisses et gérer mon trop plein d’énergie. Je l’aime. J’en ai bien peur.

-Extrait des notes d’Owain (Mars 2005)-

Elle a osé. Elle a osé me trahir. Elle a osé bafouer l’amour que j’avais pour elle. La garce. Elle n’a même pas idée de ce qu’elle a déchaîné, elle n’a même pas idée du suicide qu’elle vient de commettre. Parce que, plus que ma destruction avérée, c’était son propre arrêt de mort qu’elle venait d’amorcer. Elle pouvait avoir l’air et se croire heureux avec son enfoiré de fiancé. Elle pouvait toujours croire qu’eux deux s’étaient pour la vie. Mais la vérité c’était que c’était nous deux pour la vie et que si jamais notre relation venait à disparaître, je ferais en sorte qu’elle la suive. Moi, il était hors de question que je disparaisse. Il était hors de question que je laisse cette douleur viscérale me détruire. Elle ne m’aurait pas. Je lui avais déjà beaucoup trop donné de moi-même mais tout ça, je l’enterrais avec elle. Plus jamais je ne ferais la même erreur. Plus jamais je n’aurais foi en une femme. Elles sont fourbes, de sales petites garces. Plus jamais je ne laisserai aucune me mettre la corde au cou. C’était moi qui allais leur mettre mes mains autour du cou et les tuer à petit feu en les baisant. Jamais une femme n’irait plus loin que mon lit, jamais. S’en était fini.

Heureux vous les pauvres, heureux vous qui avez faim, heureux vous qui pleurez, heureux vous qui souffrez persécution. Owain n’avait jamais autant été d’accord avec la parole sainte. Mais loin de lui l’idée de rester passif face à son quotidien. Il était décidé à faire payer à tout le monde tous les coups qu’il avait pris dans la gueule. C’était à son tour de distribuer les coups et ça allait faire mal. Il était prêt à marcher sur les gens, sans vergogne. Qui oserait se mettre en travers de son chemin se verrait écraser sans ménagement. Il n’avait pas le temps de faire dans le sentiment, il n’en avait pas l’envie non plus. Ils lui avaient déclaré la guerre et lui était bien décidé à leur montrer qu’il n’y avait qu’un vainqueur possible : lui.
Les femmes étaient sa cible favorite. Si frivoles, si promptes à croire aux promesses, aux mots doux et surtout à se croire exceptionnelles, elle était tellement facile à faire chuter plus bas que terre. Un délice, un plaisir pour les sens et pour l’âme. Il profitait d’elle au maximum, il s’amusait aux creux de leurs reins puis il les balançait comme des capotes usagées. Des sentiments ? Pourquoi faire ? Ce n’était pas sa faute si elles étaient futiles au point de croire qu’un mec comme lui pouvait s’intéresser à elle. Insatisfait et insatiable, il a erré de corps en corps dans la quête d’une perfection vaine dont il ne veut rien. 16 ans et chat errant, c’est triste non ? Mais il ne voulait pas qu’on s’apitoie sur son sort. Il n’était pas là pour ça, il n’était pas né pour ça. Il était né pour tenir le devant de la scène, pour être adulé, pour qu’on crève de lui, pour qu’on s’incline devant lui, devant sa supériorité. Et il n’aurait de cesse que sa quête ne prenne fin. Chacun devait voir, chacun devait savoir de quoi il était capable. Chacun devait payer ce qu’on lui avait refusé, ce qui devait lui revenir de droit.

Même son corps prenait un malin plaisir à le trahir, à lui rappeler sa condition de mortel. On l’a traité d’attardé, de monstre, de malade parce qu’il passait de 0 à 100 en un quart de seconde. Il est bipolaire, à un certain degré. Cela a entraîné durant toute son enfance des moqueries, des brimades, des mises à l’écart plus que nécessaire. Cela a aussi augmenté la rancœur qu’il voue au monde qui l’entoure. Ses sautes d’humeur, ses manies obsessionnelles, tous les aléas dus à sa maladie l’on handicapé aussi bien sur un point de vue social que sur un point de vue moral. C’est une raison de plus pour lui d’éviter de fréquenter le monde. Tout est bon pour foutre son pied dans le cul du monde. Il a une revanche à prendre sur sa vie pourrie et il compte bien la prendre. Puis le vent a tourné un jour. Il le savait, sa mère l’aimait trop pour son propre bien. Elle savait qu’elle avait un fils exceptionnel et elle a tout fait pour qu’il ait tout ce dont il avait besoin, y compris épouser en seconde noce un homme qu’elle n’aimait pas mais qui aurait les moyens d’élever son petit fils prodige. Alors elle a épousé ce britannique, ce richard bourgeois, PDG de la principale entreprise pétrolière du pays dont Owain n’avait strictement rien à faire. Ce mec ne l’intéresse pas. Il fournit et lui il vit, c’est tout. C’est suffisant. La seule chose potable de sa famille, c’est elle. C’est Birdie.
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() message posté Dim 31 Aoû 2014 - 15:51 par Invité
j'aime ton état civil OWAIN ✏ Everybody knows i'm a motherfucking monster 1499450316 sean o'pry meow OWAIN ✏ Everybody knows i'm a motherfucking monster 878725457
bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche OWAIN ✏ Everybody knows i'm a motherfucking monster 1973890357
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() message posté Dim 31 Aoû 2014 - 15:53 par Invité
bienvenue parmi nouuus OWAIN ✏ Everybody knows i'm a motherfucking monster 1973890357
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() message posté Dim 31 Aoû 2014 - 15:54 par Invité
Merci à vous deux :)
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Alycia Hemsworth
Alycia Hemsworth
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OWAIN ✏ Everybody knows i'm a motherfucking monster Tumblr_inline_ojuj3bc03m1tw2m0e_250
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() message posté Dim 31 Aoû 2014 - 15:55 par Alycia Hemsworth
Oh même nom de famille que Zoey, y aura moyen de trouver quelque chose OWAIN ✏ Everybody knows i'm a motherfucking monster 1922099377
Par contre il faudrait mettre une initiale seulement pour le deuxième prénom, vu que ce n'est pas un prénom composé OWAIN ✏ Everybody knows i'm a motherfucking monster 2979874845

Bienvenue sur LC OWAIN ✏ Everybody knows i'm a motherfucking monster 2723850382 :hihi:
Bon courage pour ta fiche OWAIN ✏ Everybody knows i'm a motherfucking monster 1973890357, si tu as besoin, n'hésite surtout pas OWAIN ✏ Everybody knows i'm a motherfucking monster 2313394760

En attendant d'être validé tu peux déjà aller faire un tour sur le flood ou venir papoter sur la cb OWAIN ✏ Everybody knows i'm a motherfucking monster 2336905461
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() message posté Dim 31 Aoû 2014 - 15:57 par Invité
Merci :D Beh du coup je le transforme carrément en nom composé haha
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() message posté Dim 31 Aoû 2014 - 16:15 par Invité
my gad, seaaaaan OWAIN ✏ Everybody knows i'm a motherfucking monster 1922099377 je veux un lien OWAIN ✏ Everybody knows i'm a motherfucking monster 1499450316
bienvenue parmi nous OWAIN ✏ Everybody knows i'm a motherfucking monster 1922099377 OWAIN ✏ Everybody knows i'm a motherfucking monster 2723850382 OWAIN ✏ Everybody knows i'm a motherfucking monster 2941632856
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() message posté Dim 31 Aoû 2014 - 16:19 par Invité
Merci jolie demoiselle OWAIN ✏ Everybody knows i'm a motherfucking monster 3116077126

Et bien voilà j'ai fini o/
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() message posté Dim 31 Aoû 2014 - 16:26 par Invité
Bienvenue I love you
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