(✰) message posté Mar 19 Aoû 2014 - 19:41 par Invité
Wendy Astoria Castle
London calling to the faraway towns
NOM(S) : Castle, le nom de famille reflétant la fortune. PRÉNOM(S) : Astoria, le prénom qui se transmet de génération en génération ; Wendy, pour assortir aux fières origines nobles et anglaises. ÂGE : Vingt-ans, Astoria entame la vingtaine mais se sent déjà adulte. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Un douze mai est née Astoria à Londres dans l'hopitâl Great Osmond Street. NATIONALITÉ : Anglaise pure, dans le genre écrasante. STATUT CIVIL : Chez les Castle à l'âge de vingt-deux ans, l'on désigne un mari aux jeunes filles ; Astoria profite et n'en fait qu'à sa tête jusqu'à l'âge de la résignation ; Pour le moment, elle est dans une fausse relation avec l'un des fils d'une famille proche de la sienne pour faire plaisir à sa mère et son père, mais entre Astoria et son faux-copain : c'est la guerre. MÉTIER : Astoria est étudiante dans une université privée, en section sportive en la crosse. TRAITS DE CARACTÈRE : Elle est de nature franche, voir trop honnête par moment, elle n'hésite pas à dire ce qu'elle a sur le cœur que ce soit gentil ou non ; on la traite souvent de garce parce qu'elle ne cesse de faire des coups bas aux personnes qui lui déplaisent ; avec son groupe restreint et sélecte d'amis, elle a cependant bon cœur et aime beaucoup rire, mais tout le monde sait parfaitement qu'il ne faut pas beaucoup la contrarier car se disputer avec elle et l'avoir dans son dos, c'est déclencher une guerre sans merci ; Astoria est une personne assez impulsive, capricieuse quand elle veut obtenir quelque chose mais très sensible à l'intérieur : une facette qu'elle ne montre à personne et qui s'est créée avec les nombreuses restrictions et l'éducation sévère de sa famille. GROUPE : Black cabs, l'envie de marcher ou de soi-même conduire ne s'est jamais faite ressentir chez les Castle.
My style, my life, my name
Astoria ne se déplace qu'en taxi + Elle provient d'une riche et noble famille anglaise qu'elle déteste + Elle a peu d'amis car elle trouve qu'il est inutile de rester avec des des personnes hypocrites + Elle subit une fausse relation avec Miles Adamson ; un garçon proche de sa famille, qui lui a fait du chantage parce que la famille Adamson souhaite voir les Castle associés à la leur ; sauf que peu de chances pour elle, elle tombe peu peu amoureuse de lui + Sa couleur préféré est le beige + Elle écoute de la musique rock, voir hard-rock sans que ses parents ne le sachent + Dans la famille Castle, les mariages arrangés existent toujours ; A l'âge de vingt-deux ans les filles ont un riche mari imposé + Elle adore dire des gros mots + Elle est bilingue : parlant couramment l'anglais et le français + Elle est encore vierge même si elle prétend le contraire auprès de ses amis + Elle aime énormément de faire la fête + Elle excelle dans le vengeance si une personne lui fait un coup dans le dos + A l'université, Astoria possède une réputation de garce alors qu'elle ne l'est pas à l'intérieur + C'est une grande romantique même si elle ne montre pas + Elle adore manger, notamment le chocolat ; son péché mignon + Elle s'est fait un tatouage aux symboles chinois sous le poignet, avec inscrit dessus : rebelle.
PSEUDO : nazack. PRÉNOM : ivana. ÂGE : dix-sept ans. PERSONNAGE : inventé. AVATAR : margaret qualley. CRÉDITS : pulp fiction. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : parce que j'ai fait les deux premières versions de ce superbes forums et que j'ai toujours voulu m'inscrire dessus.
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(✰) message posté Mar 19 Aoû 2014 - 19:41 par Invité
At the beginning
« Quelle tristesse de voir un père avec de l'argent et pas de la joie. L'homme a étudié l'économie, mais jamais le bonheur.
La jeune fille perdait son regard dans le feu crépitant de la cheminée. Le bois foncé et fraîchement ramassé, s'embrasait lentement dans les hauteurs du toit et rendait l'ambiance de la maison plus lourde et étouffante qu'elle ne l'était déjà. Astoria s'efforçait de concentrer son attention sur tout ce qui se déroulait sous sa vision, outre que les paroles fastidieuses de ses parents. Ses yeux bleus et profonds, aux reflets détrempant à l'instant son angoisse future, clignèrent plusieurs fois à la seconde suivante pour assimiler le ramassis de conneries qu'elle ne souhaitait entendre. « Voici la liste de tes potentiels maris, Astoria. » Suite à ses paroles, son père déposa sur la table posée devant elle d'un verre fin et délicat, les quelques papiers dont il venait de parler. Des papiers qui en soit, ne faisaient que de plus l'exaspérer. Dans deux ans, elle était vouée à la prison. Dans deux ans, elle était vouée à la prison familiale. Prison familiale qui comprenait qu'à l'âge de vingt-deux ans, chaque jeune femme de la maison Castle, serait fiancée à un riche prétendant, à la hauteur des yeux de papa et maman. Une restriction étouffante et barbante qui donnait par moment à Astoria, l'envie de suicider. Une envie qui s'est faite régulière depuis son plus jeune âge à son plus grand malheur. Comme on dit : « L'argent ne fait pas le bonheur » et Astoria a rapidement du assimiler la définition. Tout au long de son enfance, qui ne semble cependant ne pas encore avoir pris fin aux yeux de son père et sa mère, elle fut conçue au pied et la lettre de la Castle éducation : un respect sans borgne à ses aînés, un travail irréprochable à l'école la plus chère du coin, le français parlé couramment et sans aucune faute d'orthographe, ainsi que la religion rythmant le cœur des journées. Elle n'a jamais manqué de rien, pour ainsi dire, elle est explicitement née avec une cuillère en argent dans la bouche, s'étranglant par moment même avec cet argent que l'on pouvait jeter par les fenêtres, tellement celui-ci débordé des poches du père Castle. Mais où était l'amour, celle-ci de définition, jamais elle n'a su la trouver. Les Castle étaient tous ceux que détestait Astoria : bourgeoisie rimant avec narcissisme, égoïsme, égocentrisme et la liste était encore bien à longue à son grand regret. Astoria était la Castle parfaite : cheveux bruns, longs et parfaitement peignés dés son lever, jupe et blazer noirs lisses, sans aucun plis, accompagnés d'un léger sourire en coin reflétant l'hypocrisie presque cruelle de sa famille. Ainsi était l'apparence externe d'Astoria Wendy Castle, mais seulement l'apparence externe. Celle qu'elle montrait à la maison, celle qu'elle exposait à l'université privée, celle-ci d'apparence, la fausse. Parce que la véritable ne se révélait que très rarement.
« L’argent ne rachète pas la jeunesse. La jeunesse c'est se révolter contre tout. La jeunesse n'a qu'un temps. »
Après l'enfance, entamons cette période que l'on appelle adolescence. Cette période de révolte pour certain, cette période de foutoir total dans la tête des jeunes également. La période en clair que subit depuis l'âge de treize ans Astoria. Une vie rythmée par les cours, les nombreux trajets en taxi et essentiellement les virées entre amis. La connaissance de la notion amitié, la connaissance de la notion de trahison. Un gros bordel, pour s'exprimer vulgairement. Comme lui répétait sa mère : « Il vaut mieux être seul que mal accompagné. » Pour une fois qu'Astoria était en accord total avec sa mère. Une première chez la jeune brune. Trahison, associée à la déloyauté, la divulgation, la félonie, la fourberie, l'infidélité et le mensonge. Elle n'aurait jamais voulu faire connaissance de ces mots, mais ils sont venus faire amis/amis avec elle. Une amitié bien trop proche à son goût. Le ciel étonnement éclatant pour un temps londonien, la tête au sol, couchée sur la pelouse verdoyante et fraîchement coupée par le jardinier de l'université, Astoria a l'impression d'un paradis à ce moment-là. Un livre à la main, sous un arbre produisant de l'ombre sur son visage crémeux, elle profite. Astoria profite de cet instant de liberté. Instant de liberté où la solitude semble étrangement agréable, où le silence et le léger froissement du vent dans les oreilles sont une caresse pour le corps. Tranquillité subitement interrompue par le bruit fracassant et étourdissant de la sonnerie de l'école, annonçant la fin d'un cours, mais aussi de ce moment paisible. Regardant dans les alentours de ses yeux bleus pénétrants, avec l'intention de découvrir s'il n'y a personne de susceptible de détruire sa réputation en moins de deux minutes, Astoria balança les mots les plus charmants de son vocabulaire : « Fais chier. » La jeune femme se leva, accompagnée d'une lenteur et d'une lourdeur insoutenable, dans l'optique de rejoindre le cours de philosophie. Enfin, le cours de torture serait plus adapté à la prochaine heure qu'elle allait passer. Marchant en direction de la salle de classe, ses livres scolaires pesants dans ses bras, elle s'empressa d'arranger sa jupe et ses cheveux pour rejoindre le groupe bruyant de personnes que l'on nommait, des camarades. Astoria n'était pas une solitaire, elle avait bien des amis, mais très peu. Un groupe restreint de personnes dont la brune s'apprécie de dire qu'elle peut leur faire confiance, même si c'est un vicieux mensonge dont elle en est tout à fait conscience. La moindre rumeur ou bien-même le moindre faux pas et la vie d'Astoria se fait sans détour, enterrer à mille mètres sous terre. Adieu réputation, adieu argent, adieu famille Castle et bonjour à la faillite, bonjour à la chute sans fin. « Vive les amis. » ne put-elle que chuchoter seule et tout bas, sur un semblant ton de gaieté.
Elle les aperçoit au loin, ces gens qu'elle qualifie comme les plus aptes de partager la notion d'amitié avec elle. Elle les aperçoit au loin, ces têtes bien coiffées et brillantes de soins capillaires puant la monnaie. Elle les aperçoit au loin, les copies d'elle, les copies d'Astoria. L'individualité n'existe pas ici, l'uniformise est la clé de la réussite dans ces immenses couloirs. Ne pas faire parler de soi, ne pas se faire remarquer et votre fin de scolarité se passera sans aucun souci. Ainsi est l'apparence externe de la jeune Astoria. Pourtant perdue dans ses pensées, rien n'empêche de ne pas l'apercevoir. L'apercevoir lui, lui le petit enfoiré qu'elle ne voudrait pas aimer, qu'elle souhaiterait détester par-dessus tout. Miles. Miles Adamson. C'est dans ces instants précisément, qu'elle voudrait oublier le putain d'engin qui bat dans poitrine. Cet engin, le cœur et ses copains les sentiments.
Tout le monde a remarqué. Tout le monde a remarqué sauf elle, qu'elle s'était arrêtée de marcher. Qu'elle s'était arrêtée de marcher pour le contempler. Admirer son élégance, sa beauté. Alors qu'elle s'apprêtait à rejoindre son fameux groupe d'amis, ses songes avaient pris le relais sur son corps. L'erreur presque fatale. Elle s'empressa rapidement de corriger son erreur et de marcher vers le groupe tout près d'elle à présent. Elle tenta également d'oublier les rougeurs de honte sur ses joues et d'effacer de sa mémoire le regard foudroyant de Miles qu'elle adore tant. Miles et Astoria, à la base, ce n'était que du faux et c'était censé rester ainsi. Miles et Astoria, c'était juste une amourette mensongère à l'école, comme il y en a tant d'autres. Les deux enfants drogués à l'argent de papa et maman et aux familles proches amies. Mais Miles et Astoria, ce sont aussi deux contraires. Leurs différences même, crèvent les yeux. Ils se connaissent depuis quelques années à cause de leurs parents respectifs et chacun sait parfaitement qui est l'autre. Tandis qu'Astoria aime se faire passer pour la garce de service auprès de ses camarades et l'adorable fille à papa, aux yeux de son père et sa mère alors qu'elle ne l'est absolument pas, Miles est le doux et charmant garçon dont toutes les filles rêvent d'avoir pour petit-copain, alors qu'au fond, ce n'est qu'un enfoiré de première qui s'amuse à briser les cœurs. Mais un jour, Miles abattu par son père et sa mère qui ont dans l'optique fixe et précise, de réunir la famille Castle et Adamson dans un détestable mariage arrangé, a fini par faire un vilain chantage à la jeune brune. « Faisons croire à tous que nous sortons ensemble ou je termine ta vie avec les quelques rumeurs sur qui tu es vraiment. » Ne pouvant rien contre la popularité étouffante et écrasante de Miles, Astoria ne put qu'accepter à regret le deal. Parce que Miles Adamson, c'est exactement comme ses très amis : le pouvoir d'anéantir son futur en un rien de temps. Mais alors qu'embrasser Miles était supposé la repousser, voir la dégoûter et lui donner envie de vomir au vu de la personne qu'il est réellement, ses sentiments en ont décidés autrement ; ils n'en ont fait qu'à leur tête, les salopards. Une fausse relation tournant à l'amour à sens unique et des parents sur son dos avec un mariage arrangé ; l'envie de se suicider n'est à nouveau pas loin chez Astoria Wendy Castle.
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(✰) message posté Mar 19 Aoû 2014 - 19:47 par Invité
Nazack la merveilleuse + le pseudo
bienvenue, bon courage pour ta fiche et si tu as la moindre question, n'hésite pas
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(✰) message posté Mar 19 Aoû 2014 - 19:59 par Invité
Bienvenue
Alycia Hemsworth
growing strong
» Date d'inscription : 15/02/2014
» Messages : 62617
» Pseudo : margaux ; stardust
» Avatar : zoey deutch
» Âge : 28yo
» Schizophrénie : jamie & gabrielle
(✰) message posté Mar 19 Aoû 2014 - 20:01 par Alycia Hemsworth
Bienvenue sur LC :hihi: Bon courage pour ta fiche , si tu as besoin, n'hésite surtout pas
En attendant d'être validée tu peux déjà aller faire un tour sur le flood ou venir papoter sur la cb
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(✰) message posté Mar 19 Aoû 2014 - 20:05 par Invité
Caleb, oh merci je t'aime déjà Jonah, meeerci Lizzie, merci à toi ! je vous rejoins au plus vite
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(✰) message posté Mar 19 Aoû 2014 - 20:49 par Invité
▼ PSEUDO : nazack. Je suis tellement fan de tes designs Bienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche
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(✰) message posté Mar 19 Aoû 2014 - 20:56 par Invité
bienvenue
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(✰) message posté Mar 19 Aoû 2014 - 21:02 par Invité
Bienvenue
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(✰) message posté Mar 19 Aoû 2014 - 21:02 par Invité
Elias P. Ioannis-Hanwell a écrit:
▼ PSEUDO : nazack. Je suis tellement fan de tes designs