(✰) message posté Mer 30 Juil 2014 - 8:03 par Invité
Arthur Peter Adler
London calling to the faraway towns
NOM(S) : Adler Lorentz PRÉNOM(S) : Arthur Peter Hans ÂGE : 25ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE : né un 28 décembre à Paddington NATIONALITÉ : anglaise aux fortes origines allemandes STATUT CIVIL : célibataire MÉTIER : Officieusement, il est gigolo. Ses clients sont autant des femmes que des hommes. En fait, c'est plus un prostitué qu'autre chose. Officiellement, il gagne sa vie grâce aux aides du gouvernement. TRAITS DE CARACTÈRE : Arthur a très mauvais caractère, pour ne pas dire, de cochon. Il est insupportable avec ses sarcasmes, ses répliques et son air hautain. En réalité, c'est une protection qu'il se créer, cette envie d'être invincible et insaisissable. Il est franc, parfois trop, n'a pas froid aux yeux et est même de nature provocateur, ce qui lui a souvent couté cher. C'est un rebelle dans l'âme, il cherche la petite bête, mais que quand ça en vaut "vraiment le coup". Pourtant, derrière ce côté là de sa personnalité, il cache en réalité son aspect doux et tendre, qu'il ne montre presque uniquement qu'à sa petite soeur. Derrières toutes apparences, c'est quelqu'un de très courageux, déterminé, qui se donne à fond pour une cause qui lui semble juste. Il déteste montrer ce côté là parce qu'il se sent "faible" et qu'il a horreur de s'y en sentir. C'est quelqu'un de très fier et de joueur mais aussi de prudent et consciencieux. Il sait quelles sont ses limites et quand il faut s'arrêter, tout comme il sait quand il faut faire la part des choses. GROUPE : On my bicycle
My style, my life, my name
Il vit dans le regret et le remord et se sent coupable de la mort de ses parents même s'il a rien à voir avec + Il a apprit à faire abstraction des jugements des gens. Aucune remarque ne l'atteint vis à vis de lui. En revanche, prenez vous en à sa petite sœur et vous êtes à peu près certain(e) de le mettre (très) en colère + De part sa mère allemande, il sait tout aussi bien parler, comprendre et écrire l'allemand que l'anglais + C'est un immense fan du groupe Rammstein et il voue aussi une profonde admiration pour Jacques Brel et Serge Gainsbourg. + Il a toujours des capotes avec lui, pour être sur de protéger et d'être protégé + Il n'a plus d'amour propre, ni même d'honneur depuis qu'il se prostitue. Il a horreur de son "métier", il trouve ça dégueulasse, immonde. + Sa petite sœur est la seule chose au monde qui le maintien en vie. Si elle n'avait pas existé, il ne serait plus en vie. C'est pour ça qu'il serait capable de soulever des montagnes pour elle et c'est pour elle qu'il se retrouve dans cette condition + S'il ne vous aime pas, il vous le fera rapidement savoir + Il a tendance à la vengeance. Faites lui un mauvais coup et vous êtes sur de le regretter tôt ou tard, même si cela doit prendre plusieurs années. Il vous attendra et vous frappera au moment où vous vous y attendrez le moins. + Il aime les comics et les marvels + Il a toujours eu un air hautain et agaçant. Depuis la puberté, il est insupportable mais surtout incontrôlable. La seule personne qu'il voulait bien écouter c'était sa mère, mais il lui arrivait quand même de se disputer avec elle et c'est bien ce qui lui fait le plus mal. + Il n'a jamais pu supporter ses professeurs et s'amusait à les appeler sans cesse par leur prénom tout en les provoquant. Il s'est fait renvoyer un nombre incalculable de fois à cause de son comportement et à présent, il le regrette très fortement, puisqu'il réalise qu'en fait, les cours et un parcours professionnel, ça n'aurait pas été si mal en fin de compte. + comme si cela ne suffisait pas, les voisins se plaignait de lui parce qu'il écoutait trop fort la musique et ce jusqu'à tard le soir. Ses parents ont eu plus d'une fois la visite de la police à cause de lui. + Il vit officiellement d'allocations de la part du gouvernement et officieusement de sa prostitution, puisque c'est la seule chose qu'il ait trouvé pour empocher des sous le plus vite possible. Même si plus des trois quart de ses revenus sont consacrés uniquement pour sa sœur + Il a une relation très fusionnelle avec cette dernière, vous l'aurez bien compris. Elle est sa pierre précieuse. + La seule famille qu'il leur reste est sa tante mais ils ne se parlent et ne se voient jamais + C'est aussi un jeune homme très malin et particulièrement rusé. Il fait attention à tout et c'est aussi un preneur de risque. Il adore jouer avec le feu, tant que sa soeur n'est pas concernée bien entendu + Il est est allergique à la tomate + La pistache est son péché mignon, il adore ça + Il dort peu la nuit + Il fume + Il aurait aimé joué d'un instrument de musique mais cela n'a jamais pu se faire + son, ou plutôt ses films préférés sont les Superman, les premiers avec Christopher Reeves. + Les seules folies qu'il se permet de temps en temps sont une bière au moins une fois par semaine. + Il adore les gens au fort caractère, bien que ce soit avec eux qu'il se dispute le plus. + Au point où il en est, il se fiche complètement du physique de ses client(e)s : qu'ils/elles soient mince, gros(se)s, petit(e), grand(e), roux(sse), blond(e), chauve, ect... il ne jugera aucunement. Sa seule exigence est que son client et sa cliente soit propre et sente bon car il est sensible aux odeurs. Aussi, même pour les gens en général, il ne porte pas d'avis sur le physique, aussi laide que peut être la personne. De toute manière, il a sa définition même de la beauté et ce n'est clairement pas les canons de beauté que l'on voit dans les magasines.
PSEUDO : bright star. PRÉNOM : camille ÂGE : 23ans PERSONNAGE : inventé AVATAR : dane dehaan CRÉDITS : nevermore COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : via bazzart!
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(✰) message posté Mer 30 Juil 2014 - 8:14 par Invité
At the beginning
La plupart de mes clients étaient des femmes entre quarante et soixante ans. Le profil était souvent le même : délaissée par leur mari, elles voulaient trouver un peu d'affection et de compagnie en m'engageant. Mais j'étais aussi souvent confronté à des hommes, pour des raisons différentes, ou des étudiantes en période de stress avant de passer les examens qui détermineront leur avenir. Cela faisait un an et demi à présent que j'exécutai cette pratique. Ne commettez pas l'erreur de croire que cela m'amuse, bien au contraire. C'est horrible, crade et répugnant. Mais c'était le seul moyen que j'avais trouvé pour « lui » offrir une vie convenable...
Je suis né à Paddington, un quartier de Londres au cœur d'une famille coupée de leur antécédent familiaux. Ma mère, venue tout droit d’Allemagne, était orpheline depuis ses quinze ans. Quant à mon père, il avait coupé les ponts avec le reste de sa famille. Il lui reste bien une sœur, mais c'était la seule personne à déclarer. Jamais de ma vie, je ne l'avais vue. Si mon père ne l'avait pas évoquée une fois, je n'aurais jamais connu son existence. Je grandis seul, en tant que fils unique dans un premier temps. Autrefois, ma vie était à la fois simple et compliquée. Disons qu'elle était simple, mais j'aimais la rendre compliquée. J'aimais déjà me créer des problèmes, comme attirer l'attention des professeurs en leur jetant des boulettes de papiers ou en chantonnant en classe tout en sachant parfaitement que ça les agaçait et que généralement, je recevais plus d'une punition à la journée. Mes parents ne savaient pas comment expliquer ce côté là de mon comportement et moi non plus. J'avais seulement envie de me faire remarquer, c'était tout. Pourtant, je ne manquais pas d'amour ou quoique ce soit de ce genre. J'étais proche de mes parents, je les aimais et ils me le rendaient bien, mais c'était plus fort que moi. Il fallait qu'on me remarque, et cela, même dans le pire des cas. L'adolescence fut encore pire. Je connus mes premiers renvois d'école suite aux provocations que je m'amusais à faire à mes professeurs et mes parents en étaient exaspérés. Ils m'ont demandé plusieurs fois de me calmer, car sinon je n'allais pas avancer dans la vie et mon père n'a pas non plus hésité à me dire que je le décevais. C'était vrai, mais j'en avais rien eu à faire à l'époque. Je considérais l'école comme une contrainte, quelque chose que je pouvais me passer. Je trouvais que cela était une éducation que je n'avais pas à recevoir et que la seule chose que l'on voulait, c'était de faire de moi un petit soldat prêt à écouter et exécutai sagement les ordres sans réfléchir. A présent, je le regrettais. Il n'y avait pas que mes professeurs qui en avaient par dessus la tête de moi : nos voisins se plaignaient souvent du tapage que je faisais. A des moments, je cessais pendant plusieurs mois, avant de reprendre de plus bel, parce que ça me faisait envie. Je me sentais libre, mais surtout puissant. Personne, à part ma meilleure amie, ne m'aimait et j'en avais franchement rien à faire parce que je n'en voulais pas, de l'attention des gens. J'étais bien là, dans mon coin, mon propre univers, à faire ce que je voulais. En contre partie, je ne me rendais pas compte que je passais à côté de plein de bonnes choses...
A dix-sept ans, mes parents me donnèrent la plus belle chose qui me fut été données dans la vie : Lucy, ma petite sœur. Quand ma mère était encore enceinte, je voyais l'arrivée de ma sœur comme mauvaise. J'étais même jaloux. Je ne voulais pas d'elle dans la famille. Et puis, quand elle est apparue, avec ses petits yeux et déjà quelques petits cheveux, ce fut comme une évidence : j'étais liée à elle. Je l'ai de suite aimée. Ma sœur est devenue la personne que je voulais chérir le plus au monde. Elle était aussi la seule personne capable de me calmer. Dès ses quatre ans, on pouvait la voir frapper à ma porte pour pouvoir me demander de jouer avec elle. Alors je stoppais ma musique, j'éteignais ma clope et je me dirigeais dans sa chambre et mes parents me retrouvaient avec une poupée à la main en train de faire la conversation à celle de ma sœur. Chaque soir, je lui lisais une histoire avant de dormir et il m'arrivait de temps en temps d'accepter de dormir à ses côté quand elle me le demandais. J'aimais quand elle riait, j'aimais quand elle souriait. Elle était mon rayon de soleil tant elle était adorable. Elle l'était toujours à présent même d'ailleurs. J'en prenais soin comme la prunelle de mes yeux. Je pourrais aller même jusqu'en enfer pour elle...
Bien sûr, cette petite vie, qui me semblait idyllique, ne dura pas très longtemps. Mes parents avaient gagnés un voyage dans les îles exotiques grâce à un jeu concours à la radio. Ils étaient ravis de partir et me faisaient confiance pour la garde de Lucy. Un peu de vacance leur ferait du bien, avais-je pensé, et je m'étais porté garant de la responsabilité sur ma petite sœur. J'étais majeur, de toute manière et je savais très bien m'occuper d'elle. Elle allait tout juste avoir six ans... Nous vîmes nos parents partir et monter dans l'avion. Lucy et moi leur faisions un signe de la main. Ce sera la dernière fois que nous les vîmes. Le lendemain, on m'appela pour me mettre au courant de leur disparition, qui s'était finalement transformée en mort. L'avion avait explosé en plein ciel et il n'y eut aucun survivant après que l'enquête fut menée. Et là, le monde s'écroula.
J'étais seul. Avec ma sœur. Mais cela, je n'y fis pas d'abord attention. J'étais trop bouleversé par la nouvelle : en plus de leur disparation à tout jamais, comment j'allais faire ? Je n'avais pas diplôme, ni boulot et je n'étais qualifié en rien. C'était comme si ma vie s'était soudainement cessé. Que le monde avait cessé de tourner. Que plus rien n'était dans l'ordre. Ce fut quand je me retrouvais au sommet du toit de l'immeuble dans lequel nous vivions – plus pour longtemps – que l'idée du suicide me traversa l'esprit. Je m'étais rapproché du bord à regarder en bas en me demandant à qui je manquerais si on me retrouvais écrasé comme une crêpe sur le trottoir. Et puis je repensais à Lucy. Et pile à cet instant, je reculais d'un grand pas. Je ne pouvais pas mourir. J'avais trouvé ma raison de vivre. J'étais rentré à la maison et l'avait retrouvé seule, dans la chambre, à jouer à la poupée. Quand elle me vit rentrer, elle s'immobilisa un instant, cligna des yeux tout en me lançant un regard étonné. « J'ai fais quelque chose de mal ? » s'inquiéta-t-elle. En tout réponse, je m'étais précipité sur elle et l'avait serré aussi fort que j'ai pu dans mes bras, en faisant attention à ne pas l'étouffer. Je m'étais mis à chialé comme une merde et elle n'avait pas tarder à me suivre. « Je t'aime, grand frère » avait-elle fini par me dire. « Je t'aime aussi, trésor. » Et le lendemain, je m'étais chargé d'obtenir les cotisations nécessaire ne faisant appel à l'aide du gouvernement. La femme qui me reçut avait un regard hautain, sévère. J'avais beau ne pas avoir encore dit un mot, c'était comme si elle me méprisait déjà. J'expliquais ma situation aussi calmement que possible, ravalant ma fierté et tâchant d'être le plus précis et doux possible. J'avais honte, parce que je me trouvais misérable. Mais il fallait que je le fasse si je voulais obtenir gain de cause. Finalement, elle me fit remplir un dossier et m'apprit que j'allais pouvoir toucher soixante huit livre sterling par semaine et me pria de quitter la pièce. « Seulement soixante huit livres ? » m'étais-je étonné. « Mais... comment je vais pouvoir payer un loyer, nourrir et habiller une petite fille avec seulement soixante huit livres par semaine ? » Je vis ses yeux luer par dessus ses lunettes et son regard me lançant des éclairs. Soit elle ne m'aimait clairement pas, soit elle était aussi infecte avec toutes les personnes qu'elle recevait et cela ne m'étonnerait clairement pas. « Ça, il fallait y réfléchir avant de prendre un avion. » répliqua-t-elle en faisant un signe de la main pour me dire de dégager. J'étais tellement médusé par la réponse fournie que je n'avais pas rien trouver à répliqué. J'étais sorti de là, abasourdi, en me demandant ce qu'il venait de se passer. Mais de toute manière, je pourrais insister que je n'allais jamais trouver comment augmenter le maigre « salaire » que j'allais toucher. Et je ne tardais pas à m'abandonner à la manche. On pouvait me retrouver assis avec une pancarte « j'ai une sœur à nourrir » près de la gare à attendre d'avoir de l'aide de la part d'âmes charitables. Et malheureusement, il n'y en avait pas beaucoup... Et je maudissais la société pour le coup. Mais au fond, la personne que je maudissais le plus au monde, c'était moi même. Je payais au prix fort toutes mes conneries du passé... - Hey, toi là ! Interpella un homme qui s'était posté juste devant moi. Il était grand, les cheveux noirs et avait un fort accent américain. Et ce fut, en quelques sortes, celui qui me sauva la vie. « Tu cherches à te faire des sous hein ? » Il ne m'avait pas demandé ça par curiosité. Au fond, il savait parfaitement ce que je recherchais : il n'y avait qu'à le lire. « Ouais... » avais-je répondu de manière lasse et agacé, parce que je n'avais pas besoin qu'on me rappelle que j'étais au fond du trou. Il fouilla dans ses poche et sortit une petite liasse de billet qu'il me présenta comme un pompom à attraper dans les fêtes foraines. « Il y a 100£ là dedans. Ils seront à toi, si tu me suces. » Je l'avais regardé avec de grands yeux et avec une expression très significative : « non mais ça va pas oui ? » Réaction normale, instinctive. Le peu de fierté et d'humilité qui me restait avait monté à la surface. Mais il monta le prix avec 50£ en plus et à partir de ce moment là, je me mis sérieusement à réfléchir. Je le regardais en me demandant s'il était sérieux et il m'assura du regard qu'il tenait à sa proposition et que cela ne durerait que le temps de quelques minutes. L'hésitation fut longue. Mais lorsqu'il fit mimes d'avoir des choses à faire et qu'il n'avait pas que ça à faire que d'attendre, j'entendis ma terrible voix exprimer un : « D'accord. » Rapide, mais ferme. Il était devenu mon premier client. Je ne le vis pas qu'une fois, puisqu'il me donna rendez vous à multiple reprises et pour aller bien plus loin qu'une simple fellation. Les premières fois avaient été difficiles, et quand j'étais rentré le soir, Lucy m'avait retrouvé aux toilettes en train de vomir mes tripes tellement j'étais dégoûté de ce qui m'arrivait. Mais si j'avais décidé de me sacrifier, ce n'était pas pour moi. C'était parce que je voulais qu'elle mange et qu'elle étudie convenablement. Qu'elle puisse avoir droit à tout ce que MOI j'avais raté. Je ne voulais surtout pas qu'elle ait le même sort que j'avais reçu. Et quand mon « client » m'annonça qu'il allait retourner en Amérique car il avait terminé sa mission ici, ce fut comme si on m'avait annoncé une seconde fois la mort de mes parents. Grâce à lui, j'avais réussi à obtenir je ne savais combien de fois plus que ce que j'aurais du recevoir sans « son aide ». C'est alors qu'il me conseilla de m'inscrire sur un réseau spécialisé tout en me fournissant l'adresse – internet – avant de disparaître en me souhaitant bonne chance. Bien que j'hésitais à me lancer, mon hésitation ne dura pas longtemps. Il m'en fallut de peu pour trouver une connexion et à m'inscrire et les appels ne tardèrent pas à tomber. Chaque soir, avant d'aller « travailler », je retrouvais mon rayon de soleil et je la regarder s'épanouir tout en me rassurant que ce que je faisais n'était pas pour des prunes. Que c'était nécessaire, utile voir même indispensable. Ma meilleure amie me rendait de temps en temps visite : c'était même elle qui gardait ma sœur quand je n'étais pas là. Bien entendu, elle était au courant de ma situation et avait voulu me donner de son aide à elle mais j'avais tout bonnement refusé. Ma fierté m'y avait opposé. Et pourtant, qu'est ce que ça aurait changé ? La seule chose que je voulais, au fond, c'était de m'en sortir seul. De me trouver une propre utilité en ce monde. Et cela, quitte à être plus bas que terre...
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(✰) message posté Mer 30 Juil 2014 - 8:15 par Invité
dane tu as du gout toi, je t'aime bien ! (jugement attif mode on) bienvenue parmi nous en tout cas! bon courage pour ta fiche et à bientot sur le rp !
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(✰) message posté Mer 30 Juil 2014 - 8:25 par Invité
Bienvenue ! :rodeo:
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(✰) message posté Mer 30 Juil 2014 - 8:46 par Invité
merciiiii *0*
bellamy > ouais, et en plus on partage le même prénom irl, si c'est pas beau ça :hihi: Michi à toi en tout cas *-*
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(✰) message posté Mer 30 Juil 2014 - 8:52 par Invité
*_* Rebienvenue
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(✰) message posté Mer 30 Juil 2014 - 9:13 par Invité
Bienvenue à toi & bonne chance pour ta fiche
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(✰) message posté Mer 30 Juil 2014 - 9:14 par Invité
Bienvenue
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(✰) message posté Mer 30 Juil 2014 - 9:30 par Invité
Ta signature ou la sale manie pour laquelle je me fais engueuler à longueur de temps Bienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche n'hésites pas si tu as des questions
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(✰) message posté Mer 30 Juil 2014 - 9:32 par Invité
merciii à vous *_*
Elias > mmmh? pourquoii? tu machouilles tes cordelettes?