it's time to meet (Ethan + Lou-Ann)

Jusque là, la jeune femme trouvait qu'elle ne c'était pas trop mal débrouillée, finalement. Sa vie n'était pas totalement ce qu'elle avait prévue, certes, mais à présent Amanda songeait complètement absurde d'avoir cru un instant que cela fut possible. Par ailleurs, elle constater depuis quelques mois, si ce n'était plus, une certaine amélioration. Qui aurait envisager peu de temps au par avant qu'elle retrouvait Ethan ? Ou simplement l'envie de poursuivre sa route ? Car si elle c'était bien installée ici dans le but de se reconstruire, de démarrer une nouvelle vie, elle ne pensait pas sincèrement réussir à dépasser tout ça. Ce n'est d'ailleurs pas tout à fait encore chose faite, pensa-t-elle. Mais la jeune femme faisait des efforts. Non seulement pour sa fille, mais également pour elle-même et la perspective revenue d'un futur plus doux.
Et donc, au milieu de tout ça, entre un événement et un autre, l'assistante avait essayée tant bien que mal de faire au mieux, concilliant sa vie professionelle et personnelle, ses nouvelles et éventuelles anciennes connaissances, les amis, la famille...Ce qui l'avait conduit, consciemment ou non, à compartimenter un peu tout ça. Voila comment aujourd'hui, elle en venait à devoir présenter Ethan et Lou-Ann, qui ne se connaissaient pas. En se penchant sur la question, elle c'était rendu compte qu'ils coexistaient tous les deux,  dans son quotidien mais comme séparés par un mur invisible. Mais elle entrait maintenant dans l'air du changement. Sa relation avec son mari ayant considérablement évoluée, il lui semblait logique de l'intégrait d'avantage dans son décor. Je l'ai sans doute suffisamment tenu à l'écart comme ça. Parfois elle regrettait, coupable de leur avoir infligé ça. D'autres fois, elle se disait que cela avait été un mal nécessaire. Les choses n'arrivent pas sans raisons, tenta-t-elle de se convaincre. Déjà installée à une table, dans ce café, elle attendait patiemment ses deux compagnons. L'australienne leur avait donnée rendez-vous ici, en terrain qu'elle jugeait neutre et propice à la discussion amicale. Ca va bien se passait, se dit-elle encore une fois. Il n'y avait pas de raisons après tout.
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