| ( ✰) message posté Ven 2 Fév 2018 - 9:15 par Invité
Madeleine Brisard London calling to the faraway towns NOM : Brisard est son nom de jeune fille, elle portait jadis le nom de son mari, Howard.PRÉNOM : Madeleine ÂGE : 80 ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Le 17 octobre 1937 à Vichy NATIONALITÉ : Française et anglaise (nationalisée) STATUT CIVIL : Veuve MÉTIER : Maintenant retraitée, auparavant, ce n'est pas bien clair... Celui qui revient le plus souvent est journaliste, mais avec Madeleine on est jamais vraiment sûr. TRAITS DE CARACTÈRE : Charismatique, érudite, bavarde, joviale, énergique (pour son âge, elle est en forme!), affable, intransigeante et sévère au besoin, sociable et probablement mythomane. On se demande souvent comment elle peut avoir vécu tout ce qu'elle raconte, si seulement la moitié de ses épopées sont vraies. Elle a un peu plus de difficulté avec les « jeunes d'aujourd'hui », car elle a tendance à avoir des réflexes de professeure envers eux. Elle peut donc se montrer plus sévère que d'ordinaire. Cependant, si ledit jeune obtient ses sympathies, elle ne le lâchera plus d'une semelle.GROUPE : The Tube
| My style, my life, my name
Madeleine Brisard est sans conteste une dame qui a beaucoup voyagé. Sa jolie maisonnette est un véritable musée composé de photographies, d'objets rangés sous des vitrines, de tableaux, de masques, etc. Elle active et passe le plus clair de son temps à l'extérieur près des grandes places de Londres, dans les parcs, les cafés ou les endroits commerciaux. La vieille dame est du genre à sortir magasiner et à passer trois heures dans une boutique pour en ressortir avec peu ou pas d'articles, ayant passer le plus clair de son temps à discuter. Elle ne va plus à la messe mais on peut néanmoins trouver une croix chez elle. Le mardi en fin d'après-midi, on la retrouve généralement auprès des bénévoles de l'église à distribuer un repas et à donner un soutien à ceux qui sont dans le besoin.
Madame Brisard a certaines manies qui se sont accentuées avec le temps. Par exemple, sa façon de rappeler aux gens s'ils n'ont pas oublier une étape dans un processus quelconque, que ce soit quand on lui prépare un thé ou qu'on lui sert un repas au restaurant. Elle est du genre, lorsqu'elle reçoit de la visite, à servir des portions démesurées et leur reprocher qu'ils sont maigres ou que leur teint est fade parce qu'ils ne mangent pas suffisamment. D'ailleurs, à ce sujet, elle ne jure que par le bio si c'est possible et dira à tous que l'on mangeait bien mieux dans son temps et dans les autres pays qu'elle a visitée. Par ailleurs, elle est bien accoutumée à la culture anglaise, mais on sent qu'elle possède un bagage étranger, venant d'Inde ou d'Afrique, ou bien de d'autres régions du monde.
Elle a plusieurs passe-temps, mais les principaux sont la lecture, le tricot, les jeux de cartes ou de dés. Elles va de temps en temps faire de longues marches dans la ville, un panier tressé et une baguette sous le bras. Elle apprécie les arts de toutes forme mais surtout les arts visuels, la littérature et le théâtre. Finalement, bien qu'elle n'ose l'affirmer tout haut, elle aimerait se risquer à faire « les folies de jeunesse qu'elle n'a pas encore eut le temps de faire », tel qu'elle le dirait. Entre autres: faire du bungee et du saut en parachute, se remettre à l'escalade, visiter le Mexique et les régions nordiques du monde pendant plusieurs mois. Elle tient un journal intime, un énième devrait-on dire puisqu'elle en a écrit plus d'un depuis le temps. Ils contiennent de tout: récits de voyages, événements marquants, recettes de cuisines des quatre coins du globe et des réflexions personnelles.
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PSEUDO : Je comptes sur vous!PRÉNOM : Maxime ÂGE : 27 ans PERSONNAGE : inventé AVATAR : Maggie Smith CRÉDITS : Pinterest COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : Bouche à oreille CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE ?: Premier compte
At the beginning
Il était dix heure moins vingt le matin et déjà une grande agitation régnait dans la cuisine de madame Madeleine Brisard. Des parfums de pâtisseries et de pruneaux embeaumait l'air du matin, au grand profit des citoyens qui passaient devant la fenêtre ouverte de sa maison. C'est que, voyez-vous, la vieille dame octogénaire attendait la visite de son petit-fils après midi. Elle s'activait donc à lui préparer un clafoutis aux prunes, un gâteau qu'elle tenait de ses racines française. Madame Brisard se réjouissait d'avance de recevoir son petit Jack préféré chez elle et de prendre le thé avec lui.
Plus tard, alors que son petit fils n'allait sûrement pas tarder à arriver, elle s'accorda un instant pour reposer ses jambes usées par l'âge et par les voyages de sa jeunesse et s'assit dans son canapé antique à motifs floraux. Elle passa en revue les cadres de photos de son salon en se demandant si elle n'avait pas oubliée de poussière quelque part, puis son visage s'attendrit lorsque son regard tomba sur une photo en noir et blanc, montrant un homme d'un âge avancé, à la coupe stricte, portant la moustache et affichant un air sérieux, peut-être à force de poser pour que la photo ne sorte pas floue. Elle resta ainsi un moment, silencieuse. Çà et là, dans les cadres: une photo d'une femme plus jeune, probablement Madeleine, en compagnie d'étrangers d'origines variées; ailleurs, une photo de famille de couleur sépia et usée dans les coins; ailleurs, une Madeleine dans la quarantaine, tenant un appareil photo comme si elle photographiait celui qui l'avait prise en photo. Il y en avait bien d'autres, des images; beaucoup semblaient être des gens de sa famille. Il y avait même une photo de Mère Theresa en face du mouroir de Kalighat. Peut-être que Madeleine avait vraiment voyagé en Inde et y avait rencontré cette dernière.
Elle récupéra un tricot dans un panier non loin de ses jambes étendues, et se mit à penser à tout et à rien. Quel thé accompagnerait le clafoutis? Comment se portait son petit-fils et sa famille? Auraient-ils l'occasion de se faire un tour du quartier, s'il n'était pas trop pressé... Et ainsi de suite.
Assez tardivement, Jack arriva au seuil de la maison, plusieurs boîtes empilées sur les bras. Lorsque la sonnette retentie, Madeleine posa rapidement son tricot (une autre paire de chaussons, comme à chaque fois qu'elle tricotait) dans le panier où il allait, puis marcha d'un pas étonnamment énergique pour son âge. Elle était bien conservée, il fallait l'admettre. Elle ouvrit la porte après avoir vérifier dans l'oeillère de celle-ci, puis accueillit Jack dans un flot de phrases et de ravissement:
« Mon cher petit Jack! », dit-elle à l'homme dans la trentaine. « Comme je suis contente que tu viennes voir ta vieille mamie - viens entre, je t'en pris! Tu es chargé comme un cheval, mon pauvre, pose donc tes boîtes dans l'entrée. Tu devrais faire plus attention, tu sais, j'en ai croisée plus d'un dans mon jeune temps qui se sont blesser au dos à porter des choses comme ça. »
Et ainsi de suite. Ce faisant, elle bourdonnait autour de lui d'une belle effervescence, comme savent le faire les gens âgés qui semblent réellement heureux dans les moments les plus simples, comme de recevoir sa famille. Son petit-fils préféré lui embrassa la joue. «Je vais bien, Mamie. » Jack retira ses chaussures. « Ça sent bien bon ici... comme d'habitude. »
Madeleine lui « reprocha » gentiment ce compliment, le regard pétillant de bonheur: « Allons, tu dis ça pour me faire plaisir! Ce n'est qu'un petit clafoutis que j'ai préparer, si jamais tu avais le temps de prendre le thé avec ta grand-maman... Si tu préfères sinon, il doit me rester des crumpets que j'ai préparée pas plus tard que ce matin. » Ce faisant, ils se retrouvèrent tout naturellement à boire une tasse de darjeeling, un thé noir d'Inde, à peine moins bon que celui qu'elle avait eut la chance de déguster sur place jadis lors d'un séjour là-bas, selon ses dires. Son petit-fils, qui ne devait pourtant que rester quelques minutes, restant un bon moment chez elle. La dame lui raconta, une fois de plus, des bribes de son passé, tout en lui montrant de vieilles phographies ou des impressions de dessins et des bribes d'articles de journaux.
Comment, en 1955, elle partit à Londres retrouver les traces des grandes femmes militantes du journalisme des années 1930, au grand malheur de sa famille. Madeleine décrivit ses voyages en Afrique du Sud et les articles à sensations qu'elle devait y dénicher, ainsi que comment fut la réalité de sa vie là-bas pendant plusieurs années. Selon ses dires, elle était censée couvrir la région des événements majeurs, et dieu sait qu'il se passait déjà beaucoup de chose. D'après elle, elle fut un temps correspondante de guerre là-bas, et c'est son séjour en Afrique qui lui doit son drôle d'accent anglophone.
Par la suite, en 1963, alors âgée de 26 ans, elle serait partie, épuisée du climat, en reportage spécial de la situation en Inde. Elle aurait notamment relaté les retombées de la guerre sino-indienne du mois d'octobre précédent, et y aurait rencontrer Mère Teresa (qui venait d'ouvrir le mouroir de Kalighat), une « dame incroyable dont tous devrait s'inspirer et prendre exemple », expliquait Madeleine. C'est également en Inde qu'elle aurait croisé celui qui serait son mari pour de nombreuses années. Un véritable coup de foudre, disait-elle. Ensuite, son histoire un peu floue raconte qu'elle aurait traversé la région chinoise pour montrer aux gens la culture de ce pays; qu'elle aurait gravit les plus belles montagnes de Chine durant la période de 1964 à 1966. Puis, fatiguée de tous ces grands événements qu'elle avait vue, elle repartit pour Londres avec l'homme de sa vie. Elle continua métier quelques temps, mais avec les quatre enfants qu'ils eurent ensemble, elle devint femme au foyer.
Il semblerait peu probable qu'elle ait vécut tous ces moments historiques et encore moins qu'elle ait pu y assister aux premières loges, mais telle était l'histoire de son passé qu'elle racontait. Madeleine pouvait fournir des détails étonnamment précis cependant, aussi peu de gens aurait osé la contredire.
À force de discussion, ils en vinrent au sujet du célibat de l'homme mi-trentenaire. Madeleine le sermonna qu'il devrait sérieusement songer à se trouver une femme avec qui bâtir son avenir, qu'à son âge il serait plus que temps de faire un pas vers l'avant, et cætera. La soirée avança et lorsqu'il fut temps pour lui de prendre congé et de rejoindre ses obligations, Madeleine Brisard décida, a parte, qu'elle organiserait un « petit quelque chose » pour que Jack ait une compagne. Elle songea aux possibilités qui s'offrait à elle, n'excluant pas qu'elle devrait peut-être lancer un coup de fil à l'ex-copine de celui-ci...
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Jake O. Cavendish i am every word i ever said. » Date d'inscription : 21/03/2015
» Pseudo : marine / tearsflight
» Avatar : jon kortajarena
» Âge : thirty-two years old
» Schizophrénie : Alexander & Olivia
| ( ✰) message posté Ven 2 Fév 2018 - 9:18 par Jake O. Cavendish omg ce choix j'ai hâte d'en lire plus, ça promet bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche n'hésite pas si tu as des questions |
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Alycia Hemsworth growing strong » Date d'inscription : 15/02/2014
» Pseudo : margaux ; stardust
» Schizophrénie : jamie & gabrielle
| ( ✰) message posté Ven 2 Fév 2018 - 9:41 par Alycia Hemsworth |
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| ( ✰) message posté Ven 2 Fév 2018 - 11:34 par Invité |
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Ethan I. Hemsworth Guyliner. » Date d'inscription : 13/10/2016
» Avatar : Colin O'Donoghue.
» Âge : 37 ans (19/02/82).
» Schizophrénie : Le quadra.
| ( ✰) message posté Ven 2 Fév 2018 - 16:02 par Ethan I. Hemsworth |
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Lola Barnett she has the moon in her mind that’s why stars spill off her lips. » Date d'inscription : 08/05/2016
» Avatar : alycia debnam-carey.
» Schizophrénie : rioja, nova & teodora.
| ( ✰) message posté Ven 2 Fév 2018 - 16:43 par Lola Barnett Bienvenue parmi nous. |
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