"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici charlie jean oswin • • • tell me you love me, come back and haunt me when i rush to the start. 2979874845 charlie jean oswin • • • tell me you love me, come back and haunt me when i rush to the start. 1973890357
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charlie jean oswin • • • tell me you love me, come back and haunt me when i rush to the start.

Anonymous
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() message posté Ven 4 Juil 2014 - 22:47 par Invité

 
Charlie Jean Oswin

 
London calling to the faraway towns
NOM(S) : Oswin PRÉNOM(S) : Charlie Jean ÂGE : Vingt-Neuf Ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Trois Juin Mille Neuf Cent Quatre-Vingt-Cinq, Cambridge NATIONALITÉ : Anglaise STATUT CIVIL : fiancée MÉTIER  : Directrice Agence Architecture TRAITS DE CARACTÈRE : plus souvent de bonne humeur que de mauvaise, souriante, dépensière (mais sait se tenir, parfois), créative, émotive, franche, passionnée, méthodique (seulement au travail), bordélique (il y a des jours où le ménage a besoin d'être fait et pas qu'un peu),stable, susceptible  GROUPE : The Tube

 


 
My style, my life, my name

 
Charlie est dépensière mais ça, on le sait déjà. Ce qu’on ne sait pas encore, c’est qu’il lui arrive des faire des achats et de les cacher à Dyngan. Pas cacher, parfois elle diffère l'énumération des achats du jour même. Pas parce qu’il se met en colère ou se moque d’elle et ses achats, mais juste parce qu’elle sait qu’elle devrait freiner ses dépenses. Ils ont les moyens, mais ce n’est pas toujours une raison. Elle n’a pas oublié d’où elle vient, elle n’a pas pas oublié qu’elle n’a pas toujours eu les moyens et que tout le monde n’a pas autant d’argent qu’elle. • Elle se ronge les ongles quand elle réfléchit. Ce qui est donc souvent le cas au travail. • Elle déteste les mensonges, elle pourrait tout pardonner sauf le mensonge. • Elle fait confiance à son équipe, ses employés et à Dyngan, mais en dehors de ça elle a beaucoup de mal à faire confiance. La faute de sa mère et un peu de son père, mais surtout sa faute à elle : c’est plus un refus qu’une incapacité. • Enfant et adolescente, elle ne voulait pas fondait de famille, pas d'enfants, pas de maris. Mais ça c'était jusqu'à sa rencontre avec Dyngan, parfois elle se surprend à rêver d'avoir un bébé, un petit garçon ou une petite fille ce n'est pas le plus important. Non, juste Dyngan, elle et un bébé c'est son ultime rêve, aujourd'hui. Mais elle n'ose pas encore amené le sujet dans la conversation, ils commencent à peine à préparer leur mariage. Chaque chose en son temps. • Il lui arrive de fumer une cigarette ou deux, après une longue journée, elle n'est qu'une fumeuse occasionnelle. • Elle déteste les méduses. Elle n'en a pas peur, elle les déteste tout simplement. • Elle a toujours rêvé de prendre des cours de danse, c'est son plus grand regret de sa vie avec ses parents : l'impossibilité de prendre des cours de danse. • Elle pourrait passer des heures sous la pluie, elle préfère une journée de pluie à une journée ensoleillée et chaude. • C'est une vraie passionnée, quand elle aime elle se donne à fond. Elle ne sait pas faire dans la demie-mesure.
 
PSEUDO : ems. PRÉNOM : nadia. ÂGE : vingt-trois ans. PERSONNAGE : scénario.  AVATAR : émilie de ravin. CRÉDITS : taylove + tumblr COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : topsite.


 

 
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() message posté Ven 4 Juil 2014 - 22:48 par Invité
At the beginning

   
1985, 3 Juin – 17h13
« Félicitations, vous avez une jolie petite fille en bonne santé ! »


Clara et William Oswin échangèrent un regard, tendre, amoureux, soulagé aussi. Ils désiraient plus que tout au monde que leur enfant soit en bonne santé, mais tous deux espéraient une fille et ne voulant pas gâcher la surprise avait décidé d’attendre la naissance pour connaitre le sexe du bébé. William embrassa sa femme et accueillit leur enfant dans ses bras. Elle était toute petite, semblait si fragile. Il l’inonda de baisers et de mots doux et, avant de la céder à sa femme, lui chuchota une promesse.


« Je ne laisserais rien ni personne te faire du mal et je t’aimerais comme personne n’a jamais aimé.  »
 
1992, 9 décembre – 21h30
La porte d’entrée s’ouvrit, William passa le seuil et vit une petite tête blonde assise dans les escaliers qui faisaient face à la porte, à peine ses yeux s’étaient posés sur sa fille qu’un sourire se dessina sur son visage. Il eut tout juste le temps de fermer la porte qu’elle lui sautait dans les bras, l’accueillant avec un gros câlin comme elle sait qu’il les aime. Elle l’embrassa sur la joue et lui offrit le dessin qu’elle avait fait pour lui à l’école. Il la remercia et lui ordonna d’aller se brosser les dents, qu’il arriverait la border dans quelques minutes.
Quand la silhouette de sa fille n’était plus à portée de vue, il se rendit dans la cuisine où sa femme l’attendait.
 
« Tiens, je t’ai préparé une assiette. Et avec Charlie, on a fait un gâteau, elle a tenue à ce qu’on te garde la plus grande part ! »


Clara sourit à son mari. Elle souriait, ce n’était pas bon. En même temps, ça signifiait qu’elle était de bonne humeur, ce serait peut-être plus facile.


« Tu rentres tard, ce soir. »


« Il y a eu un problème, au travail. »


« Qu’est-ce qu’il se passe ? »


Il venait de s’assoir à table, mais il ne toucha pas à l’assiette ni même au gâteau, cependant il se servit un verre de vin ainsi qu’à Clara. Il en prit une gorgée et la plongea son regard dans le sien.


« Restriction budgétaire, personne ne s’y attendait. Pas même Andrew, ça l’a rendu malade mais il devait faire son job alors... » Une nouvelle gorgée de vin. « Tu crois que tu pourrais demander à ton père ou ton frère s’ils n’ont pas une place pour moi ? »


« T’as été renvoyé ?! »


« On est quatre à occuper le même poste, je suis arrivé le dernier, je pars le premier. C’est logique, c’est normal. »


« Ce n’est pas normal ! Andrew est ton meilleur ami, il t’a fait quitter ton ancien travail pour aller bosser avec lui, et maintenant quoi ? Ce n’est plus seulement nous deux, Will, on a Charlie. On ne peut plus se permettre de vivre d’amour et d’eau fraîche. »


« Tu crois que je ne le sais pas, ça ! Je préférerais mourir que demander de l’aide à ta famille, et pourtant je viens de te demander de le faire ! »


« Ils n’accepteront jamais ! On n’a pas eu de contact aucun d’eux depuis 15 ans ! Tu crois qu’ils vont m’accueillir les bras ouverts et t’embaucher comme si de rien n’était ? »
 
C’est la première fois que Charlie entendit ses parents se disputer, se crier dessus, mais pas la dernière.

 
1993, 1 Juin 13h30
Il raccrocha le téléphone, choqué et inquiet par l’appel, et se précipita vers l’entrée, à la recherche des clés de voiture.



« Clara ! Clara, descend on doit passer à l’école chercher Charlie, elle est tombée. »


Pas de réponse de la part de sa femme, mais il pouvait l’entendre descendre les escaliers. Il tourna la tête, s’apprêtant à demander à sa femme de se presser un peu : leur fille était blessée et les attendait, il n’y avait pas une minute à perdre. Il tourna la tête et ce qu’il vit lui fit perdre notion du monde extérieur, c’est comme s’il n’y avait qu’eux au monde, comme si la terre s’était arrêtée de tourner, ainsi que le temps.


« Qu’est-ce que tu fais ? »


La question était inutile, il avait compris mais il refusait tout simplement d’y croire. Ça ne pouvait pas arriver, non. Ses yeux allaient du visage de sa femme à la valise à sa main, puis de nouveau à son visage. Non, ce n’était pas réel, il rêvait.

« Ca ne peut pas continuer, Will. J’ai parlé avec mes parents, ils veulent bien aider. »


« Tu ne peux pas faire ça, Clara. Tu ne peux pas partir. »


« J’en peux plus, tu comprends. Tu n’es jamais à la maison, je dois m’occuper de Charlie toute seule, c’est moi qui doit lui refuser tel ou tel jouet, c’est moi qui dois lui expliquer que oui, c’est marrant les cours de danse mais que non, elle ne pourra pas y aller comme toutes ses camarades. J’en peux plus d’être la méchante. »


« Alors la seule solution que tu aies trouvé c’est de l’emmener avec toi ? Comment tu as convaincu ton père, alors qu’il y a quelques mois c’était inconcevable de lui demander de l’aide, dis-moi !  »


Il ne voulait pas de dispute, c’était trop fréquent ces temps-ci. Et Charlie les attendait, non ils n’allaient pas se disputer et Clara n’allait pas partir avec Charlie.


« C’est devenu facile quand je leur ai annoncé que je te quittais. Ne t’en fais pas, je ne t’enlève pas ta fille. De toute manière, elle refuserait de rester avec moi. Je t’appellerais dans la semaine, pour passer prendre le reste de mes affaires quand Charlie sera à l’école. »


« Tu ne peux pas faire ça ! Son anniversaire est dans deux jours, tu ne vas pas partir comme une voleuse sans dire au revoir à ta fille ? »


Il n’y eut pas d’autre mots de la part de l’un comme de l’autre, juste le klaxon d’un taxi et dans le silence Clara passa la porte, ni William ni Charlie ne la revit.
 
1995, 5 Janvier 18h00
« Papa, non. Ne me laisses pas ici, je veux venir avec toi ! »


Ça lui brisait le cœur, mais il n’avait pas d’autre choix. Ils s’étaient retrouvaient à la rue très vite après le départ de Clara, il n’avait pas réussi à retrouver un travail sûr. Il avait demandé de l’aide à Andrew, son meilleur ami de toujours qui les avait accueillis, lui et sa fille, les bras ouverts. Il se sentait responsable, Andrew, du malheur de son meilleur ami. Il savait qu’il était le responsable de la tournure qu’avait pris la vie de Will et Charlie. C’est pour cette raison qu’il avait bougé ciel et terre pour trouver un travail à William, et c’était à présent chose faite. C’était bien payé, et tout à fait ce qu’il fallait à Will, complétement dans ses compétences… Mais c’était à des kilomètres d’ici, à un océan loin d’ici et il n’y avait pas de place pour Charlie, pour l’instant.


C’est comme ça que Charlie s’était retrouvée chez sa tante et son oncle, petite sœur et beau-frère de son père, à Londres. Elle n’avait jamais mis les pieds à Londres et arrivait dans une ville inconnue à 10 ans, sans son père, elle n’aimait pas du tout l’idée. Oui, leurs vies étaient misérables, mais ils étaient ensemble et c’était tout ce qui comptait pour la petite fille. Elle n’avait plus pensé à sa mère depuis plusieurs semaines, maintenant, et elle était persuadée qu’elle ne lui manquait plus, qu’elle ne penserait plus jamais à elle.
Charlie resta dans l’allée, pleurant à chaude larmes alors que la voiture de son père s’éloignait un peu plus d’elle à chaque seconde.
 
2004, 17 Juin 10h29
« Non ! Tu ne comprends rien, laisse-moi ! »
 
Il pensait vraiment que c’était aussi facile, hein ? Ce n’était pas juste, elle avait appris, s’était habitué à vivre à Londres. Elle adorait sa tante et son oncle, les pauvres n’avaient jamais eu d’enfant à eux et il considérait Charlie comme leur fille. Les trois savaient pertinemment que ce n’était pas le cas, Charlie n’était pas une orpheline qu’ils avaient recueillis, mais leur nièce dont il s’occuper pour un temps indéfini mais pas infini.
 
« Charlie, écoute-moi, je sais que c’est pas simple, mais essaie de comprendre. »


« Ça fait longtemps que j’ai compris, papa ! J’ai compris quand maman est partie, j’ai de nouveau compris quand tu m’as amené ici pour m’abandonner à ton tour ! Laisse-moi tranquille ! »
 
Elle courut dans la rue et ne s’arrêta de courir que lorsqu’elle fut sûre qu’il ne l’avait pas suivie. Plus tard, dans la soirée, quand elle rentra, elle trouva son père assis dans les escaliers à l’attendre. La colère la quitta quand elle reconnue l’habitude qu’elle avait, enfant, de l’attendre dans les escaliers le soir. Elle s’assit à côté de lui, lui dit qu’elle l’aimait, qu’il lui manquait chaque jour, mais qu’elle refusait de partir avec lui aux États-Unis. Elle lui expliqua qu’elle avait mis neuf ans à se faire à Londres, à se faire à sa tante, à son oncle, à leur vie à trois. Lui promit que viendrait un jour où elle lui pardonnerait, mais que ce jour n’était pas encore là, lui promit qu’elle viendrait lui rendre visite pour des vacances. Mais elle refusait de le suivre, elle refusait de faire des concessions pour lui, elle en avait déjà trop fait pour son jeune âge. Il comprit, du moins c’est ce qu’il lui répondit, avant de lui demander de l’accompagner à l’aéroport pour lui dire au revoir le lendemain. Elle le fit.
 
 
Ce qu’elle n’avait pas dit à son père, ce soir-là, c’est qu’elle ne pouvait pas quitter Londres, l’Angleterre parce qu’elle n’était pas seule. Il y avait son oncle, oui, sa tante aussi, mais il y avait surtout Dyngan.  Ce jeune garçon, de quatre ans plus jeune qu’elle, avec qui elle partageait tellement de chose bien qu’ils soient différents dans bien des manières. Ils s’étaient trouvés et ils s’étaient sauvés, d’une certaine façon.


Deux ans après leur rencontre, Charlie et Dyngan quittaient leurs foyers respectifs pour vivre ensemble. Le père de Charlie avait réussis à se faire muter à Londres, mais leur relation ne s’était pas arrangée, au contraire, cela devenait difficile pour Charlie comme pour son père de croire qu’il fût une époque où ils étaient proches, inséparables.


Dyngan, c’était des raisons totalement différentes qui le motivaient, mais ils savaient l’un comme l’autre que tant qu’ils étaient ensembles, rien ne pouvait leur arriver. Ils le savaient ou l’espérait, peu importe : c’était eux deux contre le reste du monde.


Ils avaient eu raison de parier l’un sur l’autre : ça n’avait pas été facile au début, c’est certain, c’était même très difficile. Dyngan accumulés les petits boulots pour réaliser le rêve de Charlie qui était de faire une école d’architecture. Elle se donna à fond, quand Dyngan lui fit la surprise de lui payer la meilleure école qu’il pouvait lui se permettre. Elle ne le laissa pas tomber, elle le rendit fier, elle obtint son diplôme et elle lui sera toujours redevable car c’est grâce à lui et seulement lui qu’elle peut aujourd’hui être à la tête de sa propre agence d’architecture. Elle le remercia en lui payant, à son tour, l’école de photographie dont il avait besoin. Parce que la photo était un besoin pour Dyngan, autant qu’une passion. Elle connaissait son histoire et savait que ça lui avait permis de s’en échapper, avec elle.


Ils sont tellement prêts à tout l’un pour l’autre que c’est forcément l’amour, pas vrai ? C’est forcément vrai et inattaquable, ce n’est pas fragile, c’est du solide et c’est pour toujours. Pas vrai ? Dyngan devait en être persuadé ce 24 Avril alors qu’il s’apprêtait à lui faire une demande. En tout cas c’est parce qu’elle, elle en était persuadée que son regard l’a trahit et a confirmé avant même qu’un mot ne soit prononcé sa réponse à Dyngan.
 
Aujourd’hui, entre son agence et les préparatifs du mariage, Charlie est exténuée mais heureuse. Parfois, elle se dit qu’il n’y a pas de femme plus chanceuse sur Terre qu’elle : épouser son meilleur ami, il n’y a pas mieux. Elle est loin de se douter que la vie et le destin n’en ont pas fini avec elle.
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() message posté Ven 4 Juil 2014 - 22:51 par Invité
Bienvenue parmi nous I love you
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() message posté Ven 4 Juil 2014 - 22:52 par Invité
Emilie De Ravin  charlie jean oswin • • • tell me you love me, come back and haunt me when i rush to the start. 2823179453 
bienvenue à toi et bon courage pour ta fiche ♥️
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() message posté Ven 4 Juil 2014 - 22:56 par Invité
Sois l'bienvenue miss ! =D
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() message posté Ven 4 Juil 2014 - 22:58 par Invité
Charliiiiieee charlie jean oswin • • • tell me you love me, come back and haunt me when i rush to the start. 1922099377 :chou: 
Merci d'avoir choisi mon scénario, t'es un m'amour :jongle: :kissthecook: charlie jean oswin • • • tell me you love me, come back and haunt me when i rush to the start. 1481422717 
En tout cas bienvenue ici, et n'hésite pas si besoin charlie jean oswin • • • tell me you love me, come back and haunt me when i rush to the start. 2956214381 :kissouille: 
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Alycia Hemsworth
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charlie jean oswin • • • tell me you love me, come back and haunt me when i rush to the start. Tumblr_inline_ojuj3bc03m1tw2m0e_250
» Date d'inscription : 15/02/2014
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» Pseudo : margaux ; stardust
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» Âge : 28yo
» Schizophrénie : jamie & gabrielle
() message posté Ven 4 Juil 2014 - 22:58 par Alycia Hemsworth
J'aime le pseudo charlie jean oswin • • • tell me you love me, come back and haunt me when i rush to the start. 2555317567 charlie jean oswin • • • tell me you love me, come back and haunt me when i rush to the start. 1922099377

Bienvenue sur LC charlie jean oswin • • • tell me you love me, come back and haunt me when i rush to the start. 2723850382 :hihi:
Bon courage pour ta fiche charlie jean oswin • • • tell me you love me, come back and haunt me when i rush to the start. 1973890357, si tu as besoin, n'hésite surtout pas charlie jean oswin • • • tell me you love me, come back and haunt me when i rush to the start. 2313394760

En attendant d'être validée tu peux déjà aller faire un tour sur le flood ou venir papoter sur la cb charlie jean oswin • • • tell me you love me, come back and haunt me when i rush to the start. 2336905461
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() message posté Ven 4 Juil 2014 - 23:03 par Invité
Emilie. charlie jean oswin • • • tell me you love me, come back and haunt me when i rush to the start. 1922099377 I love you
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche. charlie jean oswin • • • tell me you love me, come back and haunt me when i rush to the start. 1973890357
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() message posté Ven 4 Juil 2014 - 23:05 par Invité
Bienvenue Miss

Emilie est choupinette ! & très bon choix de scénario
Bonne chance pour la suite :D
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() message posté Ven 4 Juil 2014 - 23:15 par Invité
Oula.. mais y a que du beau monde ici (:
Merci à tous, et Dyngan j'envahis déjà ta boîte mp ahah mais j'pense que j'en ai fini, là.
J'me dépêche à faire ma fiche mais en même temps, j'veux pas la louper. Parce qu'Emilie ♥ et puis ce scéna me plait beaucoup, j'aime les triangle-quatuor amoureux ahah
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