Les cinéphiles sont des lecteurs dyslexiques ...

Je n'étais pas vraiment brancher films, en faite , ça dependait, des mois j'avais envie de voir tous les films sur c'te planètes, qu'ils soient drole ou triste, torturer ou legerer. Je voulai juste regarder tranquillement assis dans un fauteuil. Ce faisait des mois, que dis je des années que cela ne m'avait pas prix. Et l'été du cinéma venait de reprendre. C'est alors la que tout mon salaire allait passer. Cela faisait deja deux jours que je passait mes journées dans ce cinéma. Meme les déssisn animé n'avait plus de secret pour moi.

La semaine avait été très mal choisi, les gens partaient en vacances ou travaillaient pour la plus part. Alors, c'était vide, mais moi sa m'arrangeait je n'aimai pas etre deranger au cinéma, par les momes, les hommes d'affaire qui répondent, ou ceux qui sms, ceux qui mange, tousse, éternuer, chuchote. Je les deteste tous. En fait, je n'allais jamais au cinéma, pour payer dix euros la place et finalement sortir frustrer, mécontente et en plus avec des bouts manquant du films.

Le dernier film que j'avais choisi était l'un des derniers films d'actions zombie qui était sortie, une sombre histoire de grotte avec des t rex zombie retrouver qui non seulement d'etre imbutable sont en plus contagieux. Oui le scénario était réellement une dobe. Mais il m'avait intriguer.

La salle ou je me trouvait était vide quand j'entra, je prit alors la place la plus au milieu, étant petite c'était une place que je ne pouvais réellement avoir la plus part du temps. Car il suffit que se sois un enfant de plus de 12 ans devant moi et je passe le film en mode aveugle …

Cela faisait deja dix minutes que le films avait commencer quand un abrutie de trente centimètre de plus vint se poser devant moi … pile devant … Pas un peu a coter non . Devant. J'inspira alors … Me leva discretement et me mis sur le coter, mais il faisait trop de bruit, je m'avanca alors de deux rangs et repris le cours du film.

Le jeune homme se mit a jetter des pop corn. Le scénario bien que bizarrement simple comment a etre difficile a suivre tels ma concentration volait vers la mort prochaine de l'inconnu. Je fini par sortir un vieu ticket de ciasse de mon sac , y inscrit « Arrete de jetter ta bouffe ! » et lui envoie en pleine figure.

Je ne savais pas si cela allait avoir l'effet esperer. Je ne savais meme pas quelle effet j'espère. Car , entre nous, les petits mots d'insultes pour demander un service , on sait tous très bien que ça ne marche pas, n'est ce pas …

Jour de congé, jour de liberté.
Malheureusement, il pleuvait ce jour là et je regardais les gouttes tomber silencieusement sur le sol, accoudé à la fenêtre. Le ciel était presque noir tant il était gris et la gouttière ne cessait de résonner dû au claquement de la pluie.
Même par ce temps là, je pouvais voir du monde parcourir la rue doté de leur parapluie. Vu de haut, on aurait dit de grands chapeaux de toutes les couleurs et cela faisait un joli spectacle à regarder. Lorsque je ne savais pas quoi faire de mon temps libre, alors j'observais discrètement les gens, le paysage, l'environnement. C'était un moyen de m'occuper comme un autre. Il n'y avait rien d'intéressant à la télévision, mon voisin ne supportait pas m'entendre jouer à la guitare (il ne supportait pas le moindre bruit, c'est surtout ça) et mes deux chats dormaient paisiblement sur le canapé. Aucun livre ne me tentait, dessiner me fatiguait et je commençais sérieusement à me demander comment j'allais pouvoir passer le reste de la journée. Sans doute pas accoudé ici, à ne rien faire.
Je pris mon téléphone, dans le but d'envoyer un message à Nate pour lui demander de me rejoindre, ou inversement, mais je me rappelais qu'il travaillait aujourd'hui et que cela ne pourrait pas se faire. Ma première idée fut donc de passer par son bar, mais il fallait que je traverse toute la ville et la paresse m'en dissuada.
Je me levai donc pour ouvrir mon placard à fermeture bien gardée qui contenait tout mon répertoire de DVD Bollywoodien rien qu'à moi, en espérant qu'un des films pourrait sans doute me faire patienter calmement mais je ne cessais de répéter « déjà vu » à chaque fois que mon index en caressait un pour les passer en revue. Je finis par me décourager et refermer le placard, puis me laissais tomber, agacé, sur le canapé, pile entre les deux animaux. Si seulement je pouvais me satisfaire d'une petite sieste, comme eux ! Mais j'étais bien trop excité intérieurement pour pouvoir dormir.

Le journal du jour d'hier trônait sur la table basse et je décidai d'y jeter un coup d'oeil. Je passais rapidement en revue les articles pour finalement finir sur la dernière page, avec les films affichés au cinéma. Trouvé !
Je pris mes clés et ma sacoche, puis sortit pour prendre le métro jusqu'à l'endroit voulu. Je n'eus pas à attendre longtemps pour avoir un ticket, et j'en profitais même pour me prendre une grande boite de pop corn, oubliant que j'étais en période de Ramadan.
Ce fut seulement une fois dans la salle, en ayant pris une première poignée et pile avant de la mettre à la bouche que la mémoire me revint. Durant les dix premières secondes qui suivit, je me mis à hésiter grandement sur la décision qui s'en suivait : braver la règle ou bien laisser de côté ?
Non, j'eus une meilleure idée.

J'étais pile au milieu de la salle de cinéma et il n'y avait pas beaucoup de monde. Derrière moi, une jeune femme blonde et à quelque rangées devant, un couple de vieille personne. Le film avait démarré depuis dix minutes déjà et mes mains grouillaient dans le paquet. Finalement, je sautai le pas et décidai de propulser innocemment un pop corn derrière moi afin de tester la réaction escomptée. Comme je ne sentis rien du tout, je me mis à en envoyer un second, puis un troisième. Quand au final, j'entendis un « Mais arrête de jeter ta bouffe ! » je me mis à éclater de rire. Je sentis un de mes pop corn me retomber sur la tête et suite à cette déclaration de guerre plutôt inattendue, j'opérai de nouveau en lui adressant d'autres projectiles.

« Il est bien le film, hein ? » plaisantai-je sans même me retourner, juste pour pouvoir l'embêter, puisque visiblement, elle était d'humeur à répondre.

« Il est bien le film, hein ? » me lanca une voix provenant du coins ou le jeune homme me projetait des pop corns, je compris sans difficulter que non seulement il se moquait de moi et en plus, il se moquait également du respect minimum requis pour voir profiter sans interpeller les gardes du cinema. Toutefois, il avait raison, le film, ne vallait aucunement un quelconque respect. Je m'aggroupis alors derrière le dossier, pour me proteger des projectiles.

La plus part des confiseries avaient leurs routes modifier a cause de la climatisation, ce qui faisait que je n'avait quasiement aucune armes pour me defendre. Je fourra alors ma main dans mon sac a main a la recherche de munitions et trouva alors un bloque de post it. J'en arrache les dix premières feuilles et les lui lanca. Les quaters premiers fut une rattrage complet. Mais le dernier le toucha en plein front. Je ne pu m'empecher d'échapper un rire qui se rapprocha plus du gloussement que du rire sensuel que j'avai d'habitude.

Aggroupit dans le noir je changea de ranger, a quatres pates par terre j'entendai mes talonts cogner contre le sol, c'est alors que je me stoppa pour les retirer et les ranga dans mon sac mais attrappa ma laque, a quelques centimètre du jeune homme je leva le spray au niveau de sa nuque pour lui envoya un jet dans le coup. Je grimaca fiere de ma connerie et me glissa sous la ranger de sieges. Comme si je n'avai jamais ete la.

Je n'étais pas du genre a me laisser aller comme ca, avec un inconnu, faire les momes dans un endroit reputer pour etre calme, et strict. Pour etre dit – silencieux – Je n'étais pas non plus habituer , a gaspiller des post it , des bouts d'arbres pour les jeter, pour ne pas honnorer leur mémoire. Mais c'était amusant. C'était drole parfois, de ne plus répondre au normes sociale.

Je crois que ce moment la, juste morte de rire , allonger sous un siesge de cinéma serai a jamais graver dans ma mémoire. La laque contre ma poitrine, bien serrer entre mes mains. C'est comme ça que devrais etre tout mes jours de libres. En fait, c'est comme ça que devrait etre tout le jours de libre de tout le monde …

Peut etre que meme si j'étais fiere de moi, la blague ne l'avait pas amuser. Alors j'attendai, j'attendai la sentence de monsieur, les dents serrer. Les Dinosaures faisaient bien trop de bruits pour que j'entende quoi que se sois. Pour que je sache par ou allait arriver la vague. Alors, je serrai les dents, pretes a subirent ce que j'avai un peu chercher ...