(✰) message posté Mar 11 Avr 2017 - 18:42 par Invité
Adriana Irene Vivanco
London calling to the faraway towns
NOM(S) : Vivanco, nom de famille à consonance espagnol, plus exactement sud-américain. Ce nom de famille est aux couleurs du sombrero, du poncho et des castagnettes, puisqu'il nous vient du Mexique. PRÉNOM(S) : Adriana, la jolie blonde a hérité de ce prénom en référence à sa grand mère paternelle, la plus belle des mexicaines selon elle, il n'y a qu'à voir des photos d'elle en robe de bal. Irene est son deuxième prénom, beaucoup plus classieux, plus chic, l'Angleterre incarné dans son deuxième prénom, nationalité de sa maman. ÂGE : la jolie blonde a bien grandi, puisqu'elle a aujourd'hui trente deux ans. Le bébé a bien grandi, la jolie princesse a muri, elle est devenue une vraie femme affirmée et sure d'elle. Honnêtement, elle a encore sa bouille angélique, ses cheveux blonds, son sourire espiègle qui ne la font que plus jeune encore. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : La jolie jeune femme est née au Mexique à Guadalajara capitale de l'état de Jalisco, le vingt huit octobre mille neuf cent quatre-vingt quatre (28.10.84). La ville est le pôle économique et culturel de l'ouest du Mexique. C'est également une ville très touristique grâce, notamment, à son architecture coloniale. NATIONALITÉ : La jeune a hérité d'une double nationalité: mexicano-anglaise ou anglo-mexicaine, comme vous voulez. Son père est mexicain et sa mère anglaise, elle a donc hérité des deux. Même si ça fait maintenant huit ans qu'elle habite à Londres, elle se sent plus mexicaine qu'anglaise. STATUT CIVIL : la jeune femme de trente deux ans est actuellement célibataire, pour elle avoir quelqu'un dans sa vie n'est pas une nécessité. Elle ne veut dépendre de personne. Elle est maman d'une petite fille de cinq ans, Angelica, qu'elle a adopté en Colombie en 2014. MÉTIER : Polyglotte, la jeune femme est donc devenue traductrice auprès d'entreprises, d'enseignes pour du tourisme, des parcs d'attractions, en droit, en communication, en technique: principalement en anglais, espagnol, français et en italien. Elle gagne très bien sa croute. TRAITS DE CARACTÈRE : Adriana est une femme forte, avec un caractère bien trempé, qui n'a pas peur d'affronter, de se confronter. Elle sait se faire respecter. C'est une jeune femme protectrice et aimante, attachante, souriante et doté d'un grand humour. Elle aime rire, sourire, s'amuser, danser, chanter, aimer. GROUPE : black cabs, on est riche ou on ne l'est pas.
My style, my life, my name
Avec ses cheveux blonds et sa peau claire, elle ressemble énormément à sa maman anglaise, Molly. Ses yeux noisettes, cependant, sont identiques à ceux de son père mexicain. Des trois sœurs Vivanco, c'est celle qui fait la moins latino. D'ailleurs ses cheveux blonds ne sont pas naturels, de base Adriana est brune/châtain.
Adriana vient d'une famille fortunée, que ce soit du côté de sa mère et de son père, elle connait le luxe depuis qu'elle est enfant. Elle avait d'ailleurs une gouvernante dans la villa de ses parents au Mexique. Elle a toujours vécu dans d'immenses maisons, des villas, son père avait d'ailleurs un ranch qu'il a vendu à un très grand prix.
Adriana est l'ainée de la fratrie, elle a deux sœurs plus jeunes qu'elle, qu'elle adore au plus haut point. Adriana a toujours été très proche de son père et beaucoup moins de sa mère. Lorsqu'elle était triste c'est toujours vers son père qu'elle se tournait, Ricardo Vivanco, un riche et puissant homme d'affaire.
Elle a été élevé comme ses sœurs par la gouvernante de la maison, Lucia, qui est pour elle comme une seconde mère. Lucia laissait toujours Adriana courir dans le jardin, se rouler dans l'herbe fraîchement tondue, respirer et vivre tout simplement: s'amuser à l'air libre.
La famille Vivanco a toujours vécu à Guadalajara mais elle avait une maison de vacances à Cancun pour l'été... D'ailleurs comme anecdote, Adriana a surpris son père avec une autre femme que sa mère dans cette maison, mais elle n'a jamais rien dit. Le secret a toujours été gardé par Adriana même si elle en a voulu à son père. Sa famille, connue à Guadalajara a évité un scandale, ouf. Heureusement que ce n'est pas tombé dans les mains de sa mère directrice d'une boîte de journalisme.
Adriana a été en couple de ses quinze ans à ses vingt quatre ans avec le même homme, qu'elle avait rencontré au lycée au Mexique. Il était beau, grand, fort, protecteur, amoureux, romantique: il était parfait parfait, cependant après neuf ans d'amour, ils se sont séparés. Ils prévoyaient déjà un mariage ensemble et des enfants. Adriana devait partir avec lui en Angleterre cependant il n'est jamais venu à l'aéroport, la seule chose qu'elle a eu c'est une lettre de rupture. Lettre qu'il a aussi reçu. Quelqu'un les a séparé mais ils ne le savent pas.
Elle habite à Londres depuis aujourd’hui presque neuf ans, elle s'est installée dans cette ville lorsqu'elle avait vingt quatre ans pour voyager un peu et suivre le reste de sa famille là-bas. Elle habite toujours avec ses parents, dans une maison d'amis collée à la baraque, comme ça ses parents peuvent voir à leur bon plaisir leur petite fille Angelica.
Souffrant d'endométriose, Adriana a des difficultés à avoir des enfants, elle ne s'est pas laissée abattre et a ainsi réalisé un de ses rêves: adopter. Début 2014, elle a adopté une petite colombienne de deux ans (née 14/03/2012), abandonnée répondant au doux prénom d'Angelica; cette petite a été élevé par Adriana dans deux langues: espagnol et anglais, tout comme elle avait été elle-même éduqué. Cette petite de cinq ans est le rayon de soleil de sa vie, elle est si jolie, si souriante, si drôle, une vraie chipie infatigable.
Élevée dans les deux langues; espagnol et anglais, encore aujourd'hui, elle parle en anglais avec sa mère et en espagnol avec son père et tout dépend avec ses sœurs. Parfaitement bilingue, le fait d'avoir grandi dans un pays hispanique lui fera toujours parlé en espagnol sous le coup d'émotions fortes. + elle a des tas de surnoms, plus ou moins mignons ou plus ou moins agaçants, tout dépend des personnes. Certains sont en relations directes avec son prénom, ses origines, son caractère, son statut dans la famille. Reine de la danse et des soirées entre amis à l'époque; certains l'appellent encore "reina de la noche".
Bonne chanteuse et excellente danseuse, elle a longtemps enchanté son petit ami de longue date par son talent mêlant certaines fois: danse, chant et striptease, mais vaut mieux pas que son père l'apprenne, sa fille ainée est une princesse, voyons. une fois qu'elle commence à danser et d’ambiancer, c'est fini on ne peut plus l'arrêter, cette bonne humeur sur pattes qu'est Adriana n'est jamais fatiguée.
Venant d'une famille hispanique catholique, elle est donc croyante comme le reste de sa famille. Les mariages se font à l'église, on baptise les enfants, on fait une cérémonie d'enterrement, on suit les fêtes du calendrier catholique et on va à la messe dès qu'on peut. Voilà le quotidien de la famille Vivanco. Elle utilise beaucoup de fois dans ses phrases "Dieu" ou "Jésus", comme par exemple: Grâce à Dieu, Doux Jésus... Quand quelqu'un éternue elle dit "Jésus" d'ailleurs, tradition espagnole.
Au lycée elle faisait partie d'un club "arts du spectacle", ça mêlait danse, chant et théâtre/cinéma. C'était super sympa. Son groupe était très performant et il y avait une bonne entente entre tous. Ils ont joué des comédies musicales, tourné des clips vidéos parodiques ou sérieux de musiques existants déjà, fait des démonstrations de danse devant tout le monde. Elle garde un super bon souvenir de ces années car en plus d'avoir commence une grande histoire d'amour, elle a pleins de beaux souvenirs grâce à ce club. Toutes les tenues d'arts du spectacle sont dans une penderie spéciale chez elle: une robe rose magnifique, un habit de cheerleader, des vêtements sexy, une combinaison de cat-woman. Lorsqu'on ne sait pas que c'est pour un club, on peut trouver ça bizarre, c'est vrai.
Elle adore la réaction des gens lorsqu'elle dit qu'elle est mexicaine, lorsqu'elle demande aux gens de deviner, jamais ils ne disent ce pays: elle entend souvent: Grande-Bretagne, France, États-Unis, Russie, les clichés quoi. Souvent les personnes ne la prennent pas au sérieux, elle ne ressemble pas à une mexicaine, pourtant même si elle a perdu son bronzage et s'est teint les cheveux, c'est bien une mexicaine, sombrero, poncho, c'est sa tenue de base, ou pas.
Fille de riches, elle fait son shopping à Harrods, a un chauffeur et mange souvent à l'Hotel Hilton, un restaurant de luxe. Elle a toujours été habitué à vivre dans le luxe et l'argent mais elle connait les valeurs de la vie, et est très indépendante. L'argent n'est qu'un plus. Sa famille possède une fondation caritative pour les enfants démunis d'Amérique Latine d'ailleurs que Adriana gère avec une de ses sœurs. Elle n'est pas imbue d'elle-même et capricieuse, heureusement.
Elle aime se ressourcer et ne pas traîner qu'avec des riches, elle aime la simplicité et élève Angelica avec des valeurs fortes. Vous pouvez souvent retrouver Adria' à Notting Hill, au marché des antiquités, où elle aime vagabonder et admirer de jolies choses et voir beaucoup de gens, simples et souriants. Elle se balade aussi au British Museum, adorant l'histoire et l'archéologie. Elle emmène souvent sa fille dans des parcs pour qu'elle joue avec d'autres enfants, fasse du toboggan, comme une petite fille en fait.
PSEUDO : baby. PRÉNOM : diane. ÂGE : dix sept ans. PERSONNAGE : inventé. AVATAR : dianna agron. CRÉDITS : tumblr (icons) Hepburns (vava). COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : pub. CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE ?: non.
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(✰) message posté Mar 11 Avr 2017 - 18:42 par Invité
At the beginning
there's just one life to live like a princess
« Lucía! Faite attention, les filles se roulent dans l'herbe, leurs vêtements vont être tâchés! Faite les rentrer tout de suite. » Il s'agissait de la voix froide de Molly Vivanco, directrice d'une maison d’édition pour le journalisme, une sublime anglaise blonde mariée à un riche homme d'affaires mexicain à qui elle a donné quatre magnifiques petites filles, toutes plus belles les unes que les autres. Elle s'adressait ainsi à une employée de sa maison, la gouvernante, qui était dans l'immense jardin fleurissant, sous le soleil, accompagnée des trois petites Vivanco. Molly n'était pas vraiment méchante, elle pouvait seulement se montrer froide et autoritaire en particulier avec les domestiques de la maison familiale. Lucía prenait son métier très à cœur, elle n'avait pas eu la possibilité d'avoir des enfants alors elles 'occupait des filles Vivanco avec beaucoup de tendresse comme s'ils s’agissaient de ses propres filles. « Madame, ne vous inquiétez pas, elles sont petites, elles ont besoin de bouger, de s'amuser. Je ferais une machine en rentrant. Madame Molly. » Les trois petites dont Adriana continuaient de jouer dans l'herbe et à rire joyeusement sous le regard attendri de Lucia qui caressait les cheveux de la plus jeune. Mme Vivanco, après un signe de tête et un rapide sourire, repartit du balcon et rentra dans sa demeure surement pour aller dans son bureau, téléphoner à des journalistes pour les envoyer sur des affaires intéressantes. La petite Adriana âgée de sept ans ria alors joyeusement lorsqu'elle piqua ce que tenait sa première sœur pour s'échapper en courant avec. Déjà petite, la petite Adriana avait déjà ce rire mutin qui faisait tout son charme, à la fois enfantin et bruyant.
+
Il faisait chaud, il faisait beau, il y avait plein de touristes mais leur maison de vacances ici était magnifique et vraiment spacieuse. Pour quelques semaines, la famille Vivanco disait au revoir à Guadalajara et leur villa pour dire bonjour aux plages merveilleuses de Cancun où il y avait toujours une lueur de fête et d'ici dans ce coin. La petite fille de six ans s'était transformée en une bien belle adolescente de quinze ans, ses cheveux châtains encadraient son visage, ses lunettes de soleil cachaient son regard noisette et sa robe longue fleurie frôlait le sol à chaque pas de la jeune fille. Toute sa famille était à la plage sauf son père qui devait aller voir un collègue pour lui donner des papiers importants qu'il n'avait pas pu lui donner avant. Adriana avait eu besoin de retourner à la maison de vacances ayant oublier son téléphone, elle ne pouvait donc pas communiquer avec son ami pour qui elle craquait. Cependant sur le chemin du retour elle croisa son père accompagné d'une sublime jeune femme qui semblait plus jeune que lui et qui n'était certainement pas Molly. Par cette vision, Adriana fut dévastée, pour elle ses parents étaient le couple parfait et voir son père dans les bras d'une autre femme avait blessé la jeune fille de quinze ans. Cependant, elle se jura de ne rien dire et de tout faire pour sauver le mariage de ses parents, car ils ne pouvaient pas se séparer ou voir quelqu'un d'autre. Elle claque la main sur son front et repartit, son téléphone en main vers la plage, en parlant à voix haute. « C'est pas vrai, papa, tu peux pas faire ça. » soupira Adriana.
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Elle venait d'entrer au lycée, elle avait quinze ans et toutes ses dents, cela faisait plusieurs mois qu'elle voyait son ami d'enfance autrement que comme un ami. Elle le trouvait beau, attachant, fort, mature, intelligent: des critères qu'elle recherchait chez un garçon surtout le dernier. Jamais vous ne verrez cette jolie jeune fille avec un garçon bête. D'ailleurs celui qu'elle surnommait affectueusement 'Rey' en référence à son rôle de roi dans la pièce de théâtre qu'il jouait, se trouvait à ses côtés. Ils se connaissaient depuis des années, ayant toujours été à l'école ensemble, pourtant jamais ils n'avaient trainé ensemble, c'est vers l'âge de treize ans qu'ils sont devenues amis. A quinze ans tous les deux, ils commençaient à voir la personne en face autrement que comme un(e) simple ami(e). « Tu veux aller où, Adria? » demanda-t-il en lui souriant. Elle grimpa sur son dos, et lui dit en riant comme une enfant. « Dans la chambre froide. Non je rigole, je rigole. Pas une deuxième fois. Ok. Ok » dit-elle pendant qu'il la chatouillait suite à sa blague.Les deux adolescents avaient été coincé dans la chambre froide du lycée, suite à une punition où ils devaient cherché un truc dans ce froid de canard. Ils ont très peur mais tout a bien fini, ils ne sont pas restés très longtemps bloqué. Adriana comptait prendre les choses e main aujourd'hui et l'embrassait tout de suite pour lui faire comprendre ce qu'elle ressentait. Au moment où il s'y attendait le moins, elle lui empoigna le bras pour qu'il se tourne vers elle et elle l'embrassa à pleine bouche, baiser auquel il répondit. Elle se décolla vite et lui murmura un "je t'aime" avant de partir en courant. « Allez viens attraper ta chérie. »
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« Demain, à nous l'Angleterre et la capitale so british, bébé. Les mexicains débarquent. » Elle rejoignit son compagnon depuis neuf ans sur le canapé, il avait une guitare à la main, et jouait une mélodie qu’elle adorait lorsqu'ils étaient au lycée et fraîchement ensemble. Elle avança à pas de chat et lui prit la guitare des mains pour la poser plus loin. Elle se mit à califourchon sur son petit-ami et les deux amoureux s'embrassèrent. Dieu qu'ils s'aimaient et ça n'avait jamais cessé depuis toutes ses années. Leur couple avait tenu la barre du lycée. Ils avaient tous les deux vingt quatre ans et une nouvelle vie les attendait à Londres. La blonde avait réussi à le convaincre de venir vivre avec elle là-bas, dans une autre univers et il avait accepté par amour pour elle. «Chérie, là-bas, on se mariera, je te le promets. » lui avait-il répondu avant de l'embrasser à nouveau. La nuit tomba rapidement et leurs vêtements également au sol. Adriana ayant laissé toutes ses valises dans sa maison, elle avait du partir et avait dit à son chéri de la rejoindre à l'aéroport directement. Seulement à l'aéroport il n'est jamais venu, et ce n'est pas faute d'avoir essayé de le joindre sur son téléphone, il ne répondait pas. En fouillant dans sa poche de blouson, elle trouva une lettre qui lui brisa le cœur. Elle venait de se faire larguer, il ne viendra pas avec elle à Londres, le cœur brisé, elle prit ses valises et prit l'avion rejoindre son père déjà arrivé là-bas. Ses sœurs et sa mère n'allaient pas tarder à arriver, non plus. Comment neuf ans de relation pouvait-elles voler en éclat ainsi? Ce qu'elle ignorait c'est que son chéri avait trouvé une lettre signée Adriana, sur la table du salon; une lettre de rupture également. On les avait séparé sans qu'ils ne le sachent, et leur égo et leur cœur brisé à tous les deux les empêchaient de se parler et s'expliquer.
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Adriana était à Londres depuis presque neuf ans aujourd’hui, elle vivait toujours chez ses parents avec ses sœurs, seulement ayant adoptée une petite fille, elle occupait la maison d'amis pour plu d'espace et de tranquillité. Adriana était toujours aussi drôle, souriante, indépendante et rebelle. Elle n'avait pas changé, l'arrivée d'Angelica dans sa vie en 2014 avait encore plus adouci la jeune femme. Angelica était une petite fille adorable et casse-cou, elle ressemblait tellement à sa maman adoptive, alors qu'elles n'étaient pas liées par le sang. le hasard faisait bien les choses tout de même.Adriana venait de rompre avec son compagnon depuis deux ans, elle ne le supportait plus, il n'était pas celui qu'elle avait aimé pendant neuf ans voilà tout. Elle pensait encore à lui, elle ne pouvait pas l'oublier. Elle aurait tellement aimé que cela ne finisse pas ainsi et qu'ils se reparlent encore. Elle n'avait aucune nouvelle de lui et il lui manquait autant en tant qu'ami qu'en tant que petit-ami. Mais après il l'avait quitté alors pourquoi pleurnichait-elle encore à cause de cela. Le destin était ironique, le couple que formait se parents avaient surmonté un tas d’épreuves ensemble mais son ex-copain et elle n'avaient pas tenu le choc. Angelica jouait dans le parc avec d'autres enfants de son âge, ses jolis cheveux bruns flottaient dans l'air et son sourire éclatant illuminait les jours d'Adriana. « Muñeca, on y va? Papi et mamie t'attendent ma belle ainsi que tes taties. Allez vamos. » La petite fille lui attrapa la main et elles partirent toutes les deux vers la voiture qu'ils les attendaient pour les diriger chez elles.
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