you're ripped at every edge but you're a masterpiece (w/elay).

i can’t remember what it was like before you, and i don’t even know how we got here but maybe that’s exactly what i needed. someone who could make me forget where i came from and someone who could make me love without knowing how to fall. ✻✻✻ Je n'étais pas retournée chez moi depuis ma conversation animée avec Alexander. Ce que j'avais fait à la place, c'était de préparer mes sacs pour mon week-end avec Elay et je m'étais contentée de laisser une note à Levi et Jemma. Pas par écrit. Par sms pour leur dire que je reviendrais bientôt et qu'ils n'avaient pas besoin de s'inquiéter de ma petite personne. Que tout allait bien aller, que j'étais en sécurité. De toute manière, ce n'était pas si je partais à des millions de kilomètres. Avec mes bagages, je m'étais refugiée chez Elay comme si son appartement était le mien, bon avant je lui avais demandé par sms si je pouvais rester chez lui. Sans surprise, il avait accepté parce que de toute manière, Elay avait l'habitude de me voir chez lui. Même qu'au fond, je savais que ça lui faisait plaisir de m'avoir près de lui.
« Bon matin. » Murmurais-je en tournant le visage vers celui d'Elay, les yeux à moitié ouverts. Il était encore très tôt, il faisait encore un peu sombre à l'extérieur et j'étais loin d'être du genre lève-tôt. Sauf que là, c'était différent. C'était le temps de partir pour l'Irlande après qu'ils en aient discutés pendant des jours et des jours. C'était un cadeau, un week-end romantique avait dit Elay. Juste lui et elle. Ensemble. Loin de tout le monde. S'asseyant dans le lit, je m'étirais pour ensuite me lever du lit et me rendre jusqu'à la salle de bain. Retournant au lit, je sautais sur celui-ci comme si j'étais une enfant de cinq ans. Oui, parfois, ça m'arrivait de ne pas être aussi mature. « Faut y aller ! » Lâchais-je en sautant du lit pour atterrir sur le sol et enfiler des vêtements. Un jean et un pull gris. Rien de compliqué, toujours des vêtements simples. Je n'aimais pas perdre mon temps avec la mode. Plus c’était simple, mieux j'allais.
Lors du trajet, je m'endormie. Si au départ, j'avais lutté, j'avais rapidement abandonne l'idée pour me laisser rapidement abandonnée pour laisser place à une petite heure de sommeil. Ou de sieste parce qu'une heure, c'était une sieste. C'était Elay qui me réveilla pour me dire que nous étions arrivés. Aveuglée par les quelques rayons de soleil, j'enfilais une paire de lunettes, certaine que ça va m'éviter de ne pas faire aux autres passagers ou même à moi-même, si jamais, je tombais sur le miroir parce que je devais avoir une mine horrible. « Alors, tu comptes me dire où on séjourne pour ce week-end ? » La dernière fois que nous en avions discutés, Elay m'avait demandé si je préférais une chambre d'hôtel ou un truc plus éloigné. Je n'avais donné aucune réponse exacte me contentant simplement de lui laisser le choix. Même que je me rappelais encore de sa réponse : on verra. Depuis, je lui avais demandé à plusieurs reprises, mais il n'avait rien voulu me dire. Gardant cette information pour lui-même. Et j'étais de nature curieuse et surtout, j'aimais tout savoir. C'était pratiquement vital pour moi.

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i can’t remember what it was like before you, and i don’t even know how we got here but maybe that’s exactly what i needed. someone who could make me forget where i came from and someone who could make me love without knowing how to fall. ✻✻✻Epuisé. Je crois que j'avais atteint un certain stade d'épuisement entre mes gardes et les corrections de mon roman j'étais juste au bout du rouleau. Lola et moi devions partir pour un week-end ce qui était juste parfait, bon je reconnais que le boulot pouvait rester un peu en tête surtout que j'avais soigné un patient assez jeune et je ne pouvais pas m'empêcher de savoir si tout allait bien hier soir après j'avais tout éteint, tout coupé, je me consacrais à nous deux et mon lit. J'étais bien avec ce dernier, Lola pas très loin de moi, ma main posé sur son ventre on avait dormit très peu de temps à mes yeux surtout quand je la sentais s'agiter. La poisse. C'était déjà l'heure? "Non…" murmurais-je à ses mots, j'essayais de me planquer sous la couverture mais en vain alors je fourrais mon nez dans l'oreiller pour espérer gratter quelques minutes de sommeil seulement Lola était impatiente, ou alors j'étais tellement crevé que j'avais somnolé et que je n'avais pas mesuré le temps entre son départ du lit, sa douche et sa préparation. "Barnett cesse ça tout de suite." Riais-je en la sentant sauter sur mon lit, si ce geste pouvait paraitre enfantin fallait nous voir tous les deux parfois quand on se chamaillait comme des gosses, je crois que c'est ça qui faisait notre force, notre complémentarité.  "Tu l'auras voulu écoute." Je me redressais rapidement pour l'attraper dans mes bras et la faire tomber sur le lit je rigolais en m'étalant sur elle, déposant un baiser sur son menton puis sur son cou, un deuxième suivait, un troisième jusqu'à me redresser. "J'ai compris." Je ronchonnais un peu pour le cou, je n'avais pas d'heure, je pouvais être du matin un jour puis le lendemain le détesté tout dépendait de ma nuit, là j'étais entre les deux, l'excitation du départ, la fatigue de la semaine, alors la douche que je prenais me faisait un bien fou. D'ailleurs c'est là que je remarquais les affaires de Lola, plus ça avançait plus il y avait des trucs de filles ici, ça me dérangeait pas en plus je reconnais que je lui piquais son gel douche aux fruits exotiques, je trouvais que ça sentait bon, bien entendu je lui avais piqué encore une fois ce matin.
Le trajet fut pas long, on avait prit un taxi pour aller à l'aéroport, j'étais trop claqué pour avoir une conduite en toute sécurité, si j'avais été seul je l'aurais surement fait seulement hors de question de mettre ma copine en danger, Lola était bien trop importante à mes yeux. Si moi j'avais dormi une bonne partie du voyage, Lola elle faisait le tour du réveil, elle avait passée tout son temps dans les bras de Morphée et moi je m'étais contenté de m'occupé comme je pouvais sur mon ordinateur pour quelques corrections mais je reconnais que je lui jetais pas mal de coup d'œil pour réajusté la couverture que l'hôtesse nous avait donné ou encore pour lui pousser sa mèche devant son visage, des gestes qui avaient bien fait rire les hôtesses de loin, heureusement que Lola ne s'en rendait pas compte. "Patience, patience." Dis-je en souriant alors qu'on descendait tous les deux. Le soleil m'avait complètement explosé les yeux, contrairement à la petite blonde je n'avais pas prit soin de mettre mes lunettes de soleil dans mon sac mais bien dans ma valise. "Me fait pas tes yeux ça ne marchera pas, j'ai tenu bon en plus tout ce temps." J'avais choisi un petit hôtel, pas très luxueux parce que ça nous correspondait pas mais pas non plus bon marché, en fait je trouvais qu'il était juste super, très traditionnel dans une rue assez vivante pour qu'on puisse en profiter. Valises puis taxi, je passais ma main dans mes cheveux en arrivant en face de l'hôtel. "C'est…" Pas vraiment comme sur la photo que j'avais vu mais ça passait. "Allez." Je lui prenais les valises de main pour rentrer découvrir notre chambre, bien grande, j'avais pris une suite, ce n'était pas une suite de palace mais ça nous allait de toute manière on restait une nuit ici autant en profiter.


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i can’t remember what it was like before you, and i don’t even know how we got here but maybe that’s exactly what i needed. someone who could make me forget where i came from and someone who could make me love without knowing how to fall. ✻✻✻ « Non... » Oui. Il était peut-être fatigué, mais ce week-end, c'était son idée alors s'il devait se lever aussi tôt, c'était de sa faute et non de la mienne. « Barnett cesse ça tout de suite. » Euh ? C'était quoi cette nouvelle obsession de m'appeler par mon nom et non, mon prénom ? Je n'étais pas certaine d'aimer cette nouvelle habitude. Je détestais me faire appeler par mon patronyme, il n'y avait que mes professeurs et ma mère qui le faisaient. Mon copain ne devrait pas le faire. « Tu l'auras voulu écoute. » Pendant un instant, j'étais certaine qu'il me fasse un suçon ce qui n'aurait pas fait plaisir du tout. Devoir dissimuler ça jusqu'à ce qu'il s'efface m'emmerdait, mais visiblement c'était le plaisir coupable d'Elay. Durant l'hiver, c'était un peu plus facile, je n'avais qu'à enfiler une écharpe - celle qu'il m'avait offert - et le tour était joué. Avec le printemps qui approchait, c'était un peu plus difficile. Au moins, mes cheveux aidaient; je n'avais qu'à ne pas les attacher en une queue-de-cheval. Bon, c'était un peu plus difficile parce que j'aimais avoir les cheveux attachés, mais si c'était pour éviter des questions sur la marque sur mon cou, j'allais le faire. « J'ai compris. » avait-il dit après s'être redressé en l'entendant ronchonner. Comme un vieillard ce qui m'amusait pour être honnête.
Ah l'Irlande. Ça me faisait réellement plaisir d'être ici, je rêvais de visiter ce coin de pays depuis un moment et même si deux jours passaient rapidement, je savais que nous allions en profiter au maximum. Je ne comptais pas rester dans ma chambre tout ce week-end. Même que c'était hors de question dans ma tête. « Patience, patience. » Ouais, ouais. La patience ce n'était pas mon fort. J'aimais connaître tous les détails, j'étais faite ainsi. Râlant un peu, je passais une main dans mes cheveux tandis qu'on descendait. Le soleil était au rendez-vous, c'était plaisant. À travers mes lunettes, je décidais quand même de lui faire mes yeux de chat potté en espérant que ça fonctionne. Je me trompais entièrement. « Me fait pas tes yeux ça ne marchera pas, j'ai tenu bon en plus tout ce temps. » Laissant échapper un soupir, je décidais d'abandonner l'idée de savoir où nous allions rester pour deux jours. Visiblement, ce n'était pas la peine de lui faire mes beaux yeux puisque ça n'allait pas fonctionner, malheureusement. Installée dans le taxi, le trajet se fit rapidement. Principalement parce que je me contentais d'observer le paysage. « C'est... Allez. » Quoi ? Ça ne ressemblait pas à ce qu'il avait imaginé ? J'en avais absolument aucune idée puisqu'il avait gardé l'information pour lui et ne me l'avait jamais divulgué. Le laissant prendre ma valise, je le suivais jusqu'à l'intérieur avant d'arriver à la chambre. Retirant mes lunettes de soleil, je regardais autour de moi. C'était plutôt mignon comme chambre. « Je te donne un point pour la chambre. Elle est jolie. » disais-je en lui souriant. Je m'approchais du lit où je m'asseyais en rebondissant dessus avant de finalement me laisser tomber sur celui-ci. « Va falloir essayer le lit sinon on aura loupé quelque chose. » Ajoutais-je en me relevant de celui-ci pour continuer à regarder un peu la chambre tout en le regardant d'un air un peu coquin. « Alors, on fait quoi pour cette première journée ? Je sais que tu as prévu quelque chose sans me le dire. » Avec les semaines qui s'étaient écoulées, je commençais à plutôt bien le connaître.

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i can’t remember what it was like before you, and i don’t even know how we got here but maybe that’s exactly what i needed. someone who could make me forget where i came from and someone who could make me love without knowing how to fall. ✻✻✻ Le visage de Lola se renfermait souvent quand je l'appelais par son nom de famille, moi j'aimais bien le faire ça me faisait rire et puis je reconnais que c'était ma manière de me venger de ses bisous sur le front que je détestais par-dessus tout. Dans l'avion d'ailleurs j'y pensais un peu avant de dormir, je me disais que notre couple était solide, presque un an après notre rencontre rien avait bougé, nous étions toujours sur la même longueur d'onde, on était bien ensemble en tout cas moi je l'étais avec elle. Lola avait su m'apaiser, me rendre plus calme, moins torturé par mes démons, par contre je ne savais pas ce que je lui apportais, parfois je reconnais que j'avais peur qu'elle parte, qu'elle se lasse de moi et qu'elle se dise que ça ne lui convenait pas surtout que je pouvais me montrer assez lourd dans le sens ou j'avais toujours un geste pour elle comme la recouvrir dans l'avion, lui faire son café le matin avant le mien, enfin c'était des petits gestes qui pour moi était normal, elle passait avant maintenant je sais pas même dans mes pensées je me posais des questions. Le mieux serait de lui en parler mais la réponse me faisait peur, décidément je crois sincèrement que cette relation était bonne pour moi, le fait d'éprouver ces sentiments ne faisait que confirmer que cette femme à mes cotés dans le taxi me faisait tomber amoureux d'elle. Arrivé face à l'hôtel, je regardais la façade, bon ce n'était pas ce que je croyais et une fois arrivée dans la chambre bien je n'étais pas déçu surtout que Lola avait l'air d'apprécié l'endroit, alors du moment que c'était bon pour elle ça m'allait largement, pour moi une chambre reste une chambre du moment qu'on puisse se reposer et avoir la wifi le reste je m'en m'occupais un peu. "Si on trouve une pharmacie on pourra tester tout ce que tu veux." Riais-je en passant ma main dans mes cheveux. "J'ai complètement oublié de prendre des capotes." Alors là si il y avait un truc ou j'étais sans concession c'était bien ça, une potentielle grossesse n'était pas envisageable, surtout pas avec les études de Lola, je la mettrais dans une merde totale si ça arrivait et puis je reconnais que je me voyais pas vraiment père, je ne pensais pas être bon pour ce rôle, j'étais un bon oncle parce que je m'en occupais pas tout le temps, un enfant c'était… d'ailleurs on en avait pas parlé, alors oui notre couple était très jeune, seulement Lola et moi avions l'impression que notre couple était normale, on était destiné à être ensemble, il y avait cette fusion, cette passion entre nous. La preuve la seconde suivante, Lola me connaissait par cœur pratiquement. "Non j'ai rien prévu." Mentais-je avant de me poser sur le lit. "Bon j'avoue." Je rigolais en la basculant sur le lit pour l'embrasser, plusieurs petits baisers au début puis ça dérapait à cause de ce courant électrique qui passait entre nous, les simples baisers chastes se transformaient en un beaucoup plus langoureux, passionné que je rompais à contre cœur. "On pourrait aller voir la Cathédrale Saint Patrick puis le musée national d'Irlande après j'ai rien de défini, on peux se balader dans les rues mais si tu es fatigué on peut rester là…" dis-je en déposant un baiser sur sa tempe, sur sa joue, dans son cou. "Je m'occuperais de toi." C'est elle qui m'avait chauffé avec son allusion, m'en fallait pas beaucoup pour accepter.




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i can’t remember what it was like before you, and i don’t even know how we got here but maybe that’s exactly what i needed. someone who could make me forget where i came from and someone who could make me love without knowing how to fall. ✻✻✻ « Si on trouve une pharmacie on pourra tester tout ce que tu veux. » J’arquais un sourcil, riant. « Peut-être que je parlais de dormir dedans, qui sait ? » Ah oui, je jouais la carte de l’innocente. Elle m’allait tellement bien, après tout. Bon, il était évident que je ne parlais pas de sommeil. Pas avec cet air coquin que je lui avais offert après avoir prononcé les mots. « J’ai complètement oublié de prendre des capotes. » J’affichais une mine faussement triste. « C’est triste cet oubli. Tu sais ce que ça veut dire ? Rien n’arrivera. » Répondis-je avec un sourire en coin. J’ignorais si cette conversation rendait mal à l’aise Elay vu la manière dont il se passait la main dans ses cheveux, mais me concernant ça ne me gênait pas. À bon ça servirait d’être gêné ? « Non j’ai rien prévu. » Je le regardais en haussant les sourcils sachant pertinemment qu’il mentait. Elay semblait plus apprécier la préparation que moi-même. Je n’étais pas très aventureuse laissant ce rôle à mon frère jumeau. Penser à Levi, ça me rappelait que ma mère voulait rencontrer Elay. Ce qui était parfaitement normale. « Bon j’avoue. » Voilà. Laissant échapper un cri de surprise lorsqu’il me bascula sur le lit pour ensuite me couvrir de baisers. Je devais me retenir très fort pour ne pas glisser mes mains sous son chandail alors j’enroulais mes bras autour de son cou.
« On pourrait aller voir la Cathédrale Saint Patrick puis le musée national d’Irlande après j’ai rien de défini, on peux se balader dans les rues mais si tu es fatigué on peut rester là… » Ses lèvres sur ma tempe, ma joue puis mon cou, j’en frissonnais. Lui donner une réponse n’était pas dans mes plans pour l’instant. Même si ce n’était pas une bonne idée de continuer sur cette route, je n’avais pas le désir de m’arrêter maintenant. « Je m’occuperais de toi. » M’emparant du visage d’Elay, je l’approchais du mien pour y déposer mes lèvres sur les siennes. Je l’embrassais tendrement, mais aussi langoureusement. Deux-trois mouvements, je me retrouvais à califourchon sur lui. « Non, non, non. » Murmurais-je en me séparant de lui à contre cœur sauf que je restais assise sur lui. Un peu de contrôle, s’il-vous-plaît. Non, ça non plus ce n’était pas une bonne idée mais ça me semblait l’être.
« Je ne suis pas fatiguée. » lâchais-je après deux petites secondes en le regardant, sourire en coin. J’avais peut-être l’air d’un zombie, je n’étais pas fatiguée. C’était Elay qui avait le plus besoin de dormir entre nous deux. Une fois éveillée, il m’était impossible de faire la sieste. « Je me dis qu’on pourrait aller marcher un peu. Manger aussi, j’ai faim. » Sans y faire attention, ma main avait commencée à lui caresser la nuque. Bon, je parlais d’une vraie faim. Celle où on mangeait de la nourriture, des aliments récoltés. Puis, il me semblait ne pas avoir mangé quoique ce soit depuis mon réveil. « À moins que ta vieillesse t’empêche de faire quoique ce soit aujourd’hui. » Dis-je, hilare. J’espérais juste qu’il ne soit pas touché par mon commentaire sur son âge. Ce n’était pas méchamment, il devait le savoir. « Si c’est le cas, cligne des yeux et je m’occuperais de toi. » Un peu de manque de sommeil et je faisais des blagues pourries. Heureusement que je les trouvais drôle.

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i can’t remember what it was like before you, and i don’t even know how we got here but maybe that’s exactly what i needed. someone who could make me forget where i came from and someone who could make me love without knowing how to fall. ✻✻✻ Parler de sexe ne me dérangeait absolument pas, je voyais que Lola non plus vu son visage, d'ailleurs je souriais face à cette moue innocente qu'elle osait me faire, comment ne pas craquer? J'étais faible mais franchement n'importe qui le serait face à la personne à qui l'on tient. "J'espère que tu te trompe." Bien sûr que je voulais qui se passe un truc, seulement si j'étais nerveux c'est plus par sa réaction, j'avais peur qu'elle se dise que si je n'avais pas penser aux capotes c'est que je ne la désirais pas, parfois les gens étaient compliqués, j'en étais la preuve vivante alors cette idée n'était pas totalement stupide et vu sa réaction je crois bien qu'elle n'avait pas songé à cette possibilité. Par contre elle savait bien que j'avais prévu un truc, son mouvement de sourcil, son regard qui se plissait un peu l'air de dire tu crois que je vais oser croire à cette version me le confirmer, pour cette raison que je ne luttais pas avant d'avouer que oui j'avais effectivement prévu quelques trucs, j'avais regardé les endroits potentiels. Là tout dérapait, disons que Lola et moi étions… bien ensemble, on était tactile, elle comme moi, les baisers, les mains sur l'autre, en fait on s'en rendait pas forcément compte tellement c'était naturel comme là quand j'embrassais son cou. Je luttais pour ne pas la déshabiller seulement on n'était pas venu ici pour rester à l'hôtel, on parlait tellement de ce voyage que je risquerais de le gâcher en voulant l'avoir à moi dans ce lit pendant plusieurs jours et il n'était pas trop questions de ça. Bon après entre ce que mon esprit me disait et mon cœur faisait c'était autre chose vu que je ne cessais pas d'embrasser son cou, j'adorais voir sa peau réagir à chaque fois en fonction de l'endroit et puis là tout d'un coup Lola était devenue plus forte que moi. Cette volonté de m'envoyer sur les roses en montant à califourchon sur moi me faisait rire, je la regardais avec son petit air bien décidé alors que sa main qui me caressait la nuque disait là aussi autre chose. "Si tu es pas fatigué je trouverais bien un moyen de te rendre ainsi." Dis-je avec un air un peu coquin. "Bon ok allons manger je note quand même que tu préfères répondre aux envies de ton ventre que de moi, je suis déçu." Dis-je en secouant la tête avec ce maudit petit sourire dans le coin qui cassait toute ma crédibilité. "Je pense que je peux encore marcher." Je posais mes mains sur ses hanches. "Par contre comme tu le dis vu mon âge, prendre une douche tout à l'heure ça va être compliqué, tu viendras surement m'aider." Je me redressais pour lui voler un baiser, un second suivait mais tout aussi rapide. "Je vois que tu as du mal à te décrocher de moi…" et ça me plaisait plutôt bien de l'avoir contre moi, je me levais même en la portant sans difficulté, ses jambes autour de ma taille, je lui mordais légèrement le nez avant de la mettre sur ses pieds pour partir de la chambre. Les rues étaient superbes, le meilleur dans l'histoire? C'était qu'on avait personne pour nous surveiller, pour ma part depuis que j'avais pris des distances folles avec mon roman on me laissait plus tranquille ce qui nous donnait une sacrée bouffée d'oxygène.




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i can’t remember what it was like before you, and i don’t even know how we got here but maybe that’s exactly what i needed. someone who could make me forget where i came from and someone who could make me love without knowing how to fall. ✻✻✻ Elay ne semblait pas avoir détecter l’humour dans mes mots. Les chances que rien n’arrive étaient petites. Maintenant que nous avions franchis ce pas, il était de plus en plus difficile de jouer la jeune femme chaste. Ce qu’au fond, je n’avais jamais réellement été. Certes, je n’étais pas du genre à coucher facilement, mais je n’étais pas non plus une nonne. Alors, moi aussi, j’espérais que je me trompais. Même que je savais, au fond, que je me trompais. Mais Elay avait marqué un bon point : sans les préservatifs, rien n’allait arriver. Avoir un bébé ? Non, merci. Je n’étais pas terrifiée par les enfants, loin de là, mais mon but n’était de ne pas en avoir à un aussi jeune âge. Je préférais largement avoir une carrière importante que d’avoir un enfant. C’était mignon les enfants, oui, mais pas au point d’en avoir un. J’allais passer mon tour. Assis à califourchon sur lui, j’avais de la difficulté à me décoller de lui. À imposer une distance entre nous. À me contrôler pour qu’on puisse profiter de l’extérieur après tout ce temps où on parlait de ce voyage. Deux jours, ça passait rapidement alors je désirais vraiment en profiter au maximum. Surtout que je n’étais pas plus impatiente qu’il le fallait de retourner à la maison. À ma routine. À Alex. Je croisais juste les doigts pour que sa phase d’enfant soit passé. « Si tu es pas fatigué je trouverais bien un moyen de te rendre ainsi. » Ah bon ? Je secouais la tête dans tous les sens en levant les yeux au ciel. Quel coquin, lui. « Bon ok allons manger je note quand même que tu préfères répondre aux envies de ton ventre que de moi, je suis déçu. » J’haussais les épaules, innocemment. « La nourriture ne déçoit jamais, Elay. » Répondis-je avant qu’il puisse rajouter quoique ce soit. Je savais qu’il blaguait et moi aussi. Même si j’essayais d’être aussi sérieuse que possible. Après l’avoir taquiné sur son âge, je m’attendais à une réplique cinglante de sa part ou une attaque surprise de sa part, mais ce fut tout le contraire. « Je pense que je peux encore marcher. » Au moins, il embarquait dans ma blague, ça ne le gênait pas que je blague sur ce sujet. De toute manière, j’avais de la difficulté à le voir s’offusquer pour une remarque dans ce genre-là. Même lui était conscient de la différence d’âge entre nous deux. Elle était indéniable après tout. Elle était là, présente. Tous les jours. « Par contre comme tu le dis vu mon âge, prendre une douche tout à l’heure ça va être compliqué, tu viendras sûrement m’aider. » J’arquais un sourcil. Vraiment ? On pouvait être deux à jouer ce jeu-là. « Peut-être que non. Peut-être que tu devras te débrouiller tout seul. » Dis-je entre ses vols de baiser. Puis, il se redressa avec moi accroché à lui comme un koala à un arbre. « Je vois que tu as du mal à te décrocher de moi… » Avec un soupir, je me décrochais de lui en remettant mes vêtements en place. M’emparant de mes affaires, je le suivais jusqu’à l’extérieur. Le soleil était toujours présent alors je mettais mes lunettes. Le temps était doux, agréable et ça faisait plaisir. Vraiment très plaisir. Mais ce qui changeait le plus, c’était le fait qu’on pouvait se promener tranquille dans les rues sans que les caméras flashent d’un peu partout. Ici, les gens ne semblaient pas connaître Elay plus qu’il le fallait. C’était vraiment agréable. « C’est mal si je dis que j’ai envie d’une pizza ? » Le pire dans toute cette histoire, c’était que j’en avais mangé quelques jours auparavant. La pizza était mon réconfort, personne ne pouvait me l’arracher. « Ou alors on mange un repas typiquement irlandais. » Malheureusement, je n’avais pas eu le temps de me renseigner plus qu’il le fallait sur la gastronomie irlandaise avec tous les examens, travaux d’être en droit. « C’est bien de pouvoir marcher en se tenant la main, hein ? » Demandais-je en levant nos mains jointes. À Londres, mon but premier était de ne pas apparaître dans les pages d’un magazine et ce, même si Elay était mon copain, je ne désirais pas l’attention sur moi.

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i can’t remember what it was like before you, and i don’t even know how we got here but maybe that’s exactly what i needed. someone who could make me forget where i came from and someone who could make me love without knowing how to fall. ✻✻✻Un geste si anodin que de se tenir la main dans la rue pouvait paraitre pour nous comme une sorte de miracle, même si désormais Lola avait mit au courant sa famille, on ne souhaitait pas l'exposer aux yeux du monde entier. Je n'avais pas honte d'elle, seulement il est vrai que je ne me voyais pas la forcer à faire quelque chose qu'elle ne souhaitait pas, si pour notre couple c'était mieux ainsi alors oui je ferais ce qu'elle souhaite, après tout la notoriété elle ne l'avait pas choisi, moi quelque part si avec le succès de mon livre. Je passais ma main dans mes cheveux machinalement lui tenant toujours l'autre en regardant les rues, je trouvais la ville très belle, j'adorais Londres seulement pour moi il manquait quelque chose, mon Ecosse natal me manquait énormément je pense que ça jouait beaucoup sur ma vision des choses. D'ailleurs un jour j'emmènerais Lola lui montrer les recoins de mon pays, la beauté des légendes, des histoires de fantômes qui avaient longtemps bercés mon enfance, je peux vous dire qu'en plus quand vous avez deux grands frères, en général ils s'amusaient énormément à vous faire la misère. "Non parce que j'en mangerais bien une aussi." Les pizzas étaient surement la nourriture qu'on mangeait le plus tous les deux, bien que je faisais la cuisine les soirs ou elle était à l'appartement, fallait pas non plus que notre santé en pâtisse sans compter que depuis que j'avais repris mon boulot de chirurgien j'avais tendance à voir des malades partout et mon hygiène de vie changeait du tout au tout. "J'ai entendu le mot pizza c'est mort je ne veux pas d'autres trucs." Riais-je en avançant vers la carte d'un petit restaurant mais pas de pizza surprenant d'ailleurs alors on continuait notre route. "Ouais." Dis-je avant de reprendre en regardant nos mains. "Tu sais que je veux rien t'imposer mais maintenant que tes proches le savent, on pourra sortir surtout que je suis moins le sujet de conversation désormais." Je levais les yeux au ciel, faut dire que les médias avaient fait tout un plat de mon bouquin surtout quand le studio Universal avait acheté les droits pour des adaptations, c'est clair que ma vie avait changée, maintenant elle reprenait son cours doucement. "Ça marche toujours pour la pizza non?" De loin on voyait une sorte de restaurant italien qui me donnait pire qu'envie, l'odeur qui sortait avait l'air divine tout comme les plats des clients qu'on apercevait sur la terrasse entrain de manger. "Pas le choix on y va."M'amusais-je à dire en la tirant sur une chaise à l'extérieur, la carte était déjà posée sur la table et les pizzas potentiels étaient nombreuses, mon ventre ne supporterait pas de tout manger c'est clair alors le choix serait bien plus compliqué que prévu. "Tu as fait ton passeport?" Je lui avais demandé je ne sais combien de fois ces derniers temps seulement les vacances d'été approchait et personnellement j'avais des projets pro qui l'incluait.



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i can’t remember what it was like before you, and i don’t even know how we got here but maybe that’s exactly what i needed. someone who could make me forget where i came from and someone who could make me love without knowing how to fall. ✻✻✻ Je n’allais pas mentir, j’étais heureuse de pouvoir, après tous ses mois, lui tenir la main en public sans avoir peur que des paparazzis ou fans nous voient et prennent des photos de nous deux. Son succès à Londres s’était peut-être calmé depuis qu’Elay s’était retiré de l’œil public pour retourner à son métier de médecin, cela ne signifiait pas pour autant que c’était un feu vert pour notre relation. Certes, maintenant, les choses étaient plus simples : mon entourage était au courant. La plupart l'avait bien pris, ma mère désirant le rencontrer et Levi se moquant un peu de cette relation. Oui, j'étais anxieuse de présenter Elay à la femme qui m'avait donné la vie, celle qui m'aimait malgré tout. Son avis comptait beaucoup pour moi. Plus que celui de Levi ou Alexander. Même si, profondément, la réaction d'Alexander m'avait déçue. La voix d'Elay me ramena sur terre. J'étais partie loin, encore une fois. « Non parce que j’en mangerais bien une aussi. » J’affichais un sourire victorieux. Je savais qu’au fond, il ne refuserait jamais de penser de la pizza. C’était un repas tellement délicieux et même s'il faudrait changer cette habitude, il était difficile de refuser. « J'ai entendu le mot pizza c'est mort je ne veux pas d'autres trucs. » Pouffant de rire, je compatissais à ce problème. En fait, la pizza était un peu un inside entre nous. Je crois que les gens n'arrivaient pas à comprendre pourquoi nous en mangions sur une base régulière. Heureusement qu'il lui arrivait de faire à manger sinon je crois que ma silhouette m'en voudrait.
« Ouais. » Ses yeux étaient posés sur nos mains entrelacés. C'était étrange dans un sens. En Irlande, les choses semblaient beaucoup plus simples qu'elles l'étaient à Londres. « Tu sais que je veux rien t'imposer mais maintenant que tes proches le savent, on pourra sortir surtout que je suis moins le sujet de conversation désormais. » Je confirmais ses dires en hochant la tête. « Jusqu'à ce que le film soit à l'affiche. Là, ça deviendra un vrai chaos, encore une fois. » Répondis-je en essayant d'imaginer la situation. J'en étais incapable pour la simple et bonne raison que j'ignorais quand cette fameuse sortie allait être. Même qu'Elay et moi ne serions plus ensemble. J'essayais de ne pas être pessimiste, mais si tout allait bien maintenant, peut-être que ça n'allait plus être le cas dans quelques mois. Qui savait ? Personne. La vie était imprévisible, c'était la tristesse d'une vie, dans un sens. « Ça marche toujours pour la pizza non? » Elay semblait déjà avoir remarqué le restaurant à l'allure italienne. Il avait guidé ses pas vers cet établissement et moi, je le suivais, silencieuse. Évidemment que ça marchait toujours. Même qu'il semblait que je n'avais pas le choix. Mais je suivais Elay parce que j'avais envie d'une pizza. De m'asseoir face à lui sans que des gens nous prennent en photo. Je voulais un repas tranquille et c'était notre chance. Il fallait en profiter. Alors, je prenais place sur la chaise et souriais à Elay. C'était plaisant, en fait. J'étais heureuse.
Mon regard parcourait le menu même si, au fond, je savais déjà ce que j'allais demander au serveur. J'étais prévisible, dans un sens. « Tu as fait ton passeport? » Réfléchissant quelques secondes, je secouais finalement la tête de gauche à droite. « Je ne sais pas. Pourquoi ? » Je savais qu’il me l’avait demandé souvent ces derniers temps, mais avec les études, le boulot et mes problèmes, je n’avais pas eu le temps d’y penser ou même de vérifier. Me mordillant la lèvre inférieure, honteuse. « Je sais que tu me l'as demandé à plusieurs reprises, mais j'ai oublié. » De toute manière, Elay devait bien s'en douter. « En fait, j'ignore si j'aurais le temps de voyager cet été. Je n'en ai pas les moyens et je dois bosser pour payer mon appartement. » L'argent n'était peut-être pas un problème pour Elay, mais c'était différent pour moi. Je devais travailler pour amasser les sous afin de payer ma partie de l'appartement et ce qui venait avec le fait de vouloir en adulte indépendant. « J'ai commencé un nouvel emploi, je te l'ai dit ? » Il me semblait que oui, mais je n'en étais pas totalement certaine.

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i can’t remember what it was like before you, and i don’t even know how we got here but maybe that’s exactly what i needed. someone who could make me forget where i came from and someone who could make me love without knowing how to fall. ✻✻✻ Je n'avais rien dit, je sais que la sortie du film allait tout déclencher de nouveau mais je ne pense pas en aussi fort dans le sens où cette fois se serait les acteurs qui seraient sous le feu des projecteurs, moi un peu moins. Seulement rien que sa phrase m'avait mit un doute, est-ce qu'elle en avait marre? Je pouvais comprendre, du moins j'essayais seulement plus ça avançait plus je me demandais si un jour ce ne serait pas ce livre qui nous briserait. J'avais envie de penser que non mais je crois que je n'étais pas loin de la vérité. Une fois installé en terrasse, je préférais penser à autre chose, j'étais heureux tout de même on le voyait sur mon visage avec ce maudit sourire surtout quand je la regardais en pensant à cet été. J'avais des projets pour nous deux, bon ok peut-être qu'il y aurait de temps en temps des petites choses professionnels à faire mais ce n'était rien comparé à tout le temps libre que l'on aurait pour nous. "Tu ne sais pas?" Je levais les yeux en l'air en rigolant un peu. "Je m'en doutais." Je hochais négativement la tête en me posant mieux sur mon siège, à cette allure on ne partirait pas, car oui dans ma tête je me voyais en sa compagnie pour deux mois mais Lola me faisait vite revenir les pieds sur terre à mon plus grand désespoir. "Ah." J'avais envie de ronchonner mais je m'abstenais. "Si tu me l'as dis mais je pensais que ça ne serait pas très long." Je sais qu'elle avait des frais, j'en avais aussi, mon travail était difficile, fatiguant physiquement et psychologiquement alors je pouvais comprendre surtout que j'avais vu ma sœur faire ses études de droit. "Sinon tu lâches ta colocation pour venir avec moi." J'étais vraiment entrain de lui proposer? Ce n'était pas des pensées dit comme ça, on vivait presque ensemble, elle avait plus qu'une brosse à dent chez moi, donc j'étais prêt à passer plus haut puis si on réfléchissait bien ça fait presque un an qu'on se connait à trois mois près. "Je suis sérieux." Dis-je en souriant un peu après avoir bu un peu de mon soda qu'on nous avait rapporté. "Tu vis presque chez moi, tu lâches ton boulot, tu fais tes études tranquillement. Et commence pas à dire je ne sais quoi sur l'argent. Réfléchis à ma proposition, je ne demande pas une réponse instantanée, prend le temps." J'espérais qu'elle dise oui, cette pensée faisait son petit chemin dans ma tête, savoir que Lola pouvait être à la maison pendant que je rentre du garde me plaisait vraiment, pas que je me sentais seul ou autre juste que plus ça avançait plus je m'attachais et plus elle devenait indispensable. Pourtant j'essayais de repousser ça, je n'avais pas envie de ressentir ce sentiment si particulier mais il était inévitable désormais. "Bon…" riais-je un peu. "J'ai l'impression que je viens de casser l'ambiance." Je ne savais pas quoi dire, en fait c'était un peu gênant, en plus je me disais que je n'avais toujours pas vu son jumeau, ni même un membre de sa famille, du coup ça allait peut-être jouer dans sa décision. "Si la réponse est négative, sache que ça me dérangera pas hein, je ne veux pas que tu crois que je te mets devant le fait accomplis, je peux comprendre que tu ne veuilles pas quitter ton frère."


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