"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici take me to new-york (dario) - Page 2 2979874845 take me to new-york (dario) - Page 2 1973890357
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take me to new-york (dario)

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() message posté Ven 6 Jan 2017 - 19:25 par Invité
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Dario & Elizabeth

There is no place like it, no place with an atom of its glory, pride, and exultancy. It lays its hand upon a man’s bowels; he grows drunk with ecstasy; he grows young and full of glory, he feels that he can never die.. ✻✻✻ Un mois s'était écoulé depuis qu'ils avaient partagé maintes caresses dans le lit de Dario et pourtant elle ne l'avait jamais rappelé malgré le fait qu'elle avait le numéro de l'homme en sa possession, de même que ce dernier ne l'avait pas non plus rappelé. Au bout de quelques jours elle s'était finalement fait une raison et n'avait plus repensé à leur rencontre, songeant également qu'il l'avait sorti de sa tête et de son esprit lui aussi. Rien durant leur entrevue n'avait pu laisser présager qu'ils allaient se revoir et surtout que, finalement, aucun des deux n'avaient réellement réussit à oublier l'autre. Malgré tout elle ne pouvait s'empêcher de construire une carapace pour se protéger, en se montrant froide voire carrément désagréable. Maintenant si elle avait envie de se blottir dans ses bras comme elle avait put le faire le mois auparavant, elle avait parfaitement conscience que leur différence d'âge viendrait ébrécher leur couple un jour ou l'autre, peut-être même serait-elle incapable de montrer une once de fidélité à cause des doutes qui embrumaient son esprit. En tout cas la réflexion avait finalement franchit la barrière de ses lèvres et elle ne savait pas de qu'elle manière allait réagir son interlocuteur, à sa place sans doute se serait-elle immédiatement mise sur la défensive en retournant l'accusation mais visiblement Dario avait une manière bien différente de faire les choses, ce qui eut pour effet d'apaiser un petit peu l'apprentie styliste. « Je sais…Et j’en suis vraiment désolé. Mais ce mois-ci a été plus que tendu pour moi avec les fêtes, les demandes ce sont déchaînées », bon elle ne pouvait pas franchement lui en vouloir, elle aussi avait passé des fêtes mouvementées rien qu'avec la tempête de neige qui avait fait rage. Le reste du temps elle aurait préféré passer ses après-midi au chaud, emmitouflée dans un plaid en train de boire un thé brûlant plutôt qu'être confrontée à son frère jumeau avec lequel elle était en froid. Elle n'avait pas franchement passé le meilleur réveillon de noël de sa vie, mais elle savait que le nouvel an allait être totalement différent et rien ne pouvait plus lui remonter le moral que le passer à new-york. « Mais pour t’être totalement honnête, j’ai beaucoup pensé à toi ce dernier mois… », un sourire s'empara des lèvres de la jeune femme alors qu'elle décidait subitement de le taquiner - c'était plus facile que d'avouer qu'elle avait également pensé à lui pendant un temps avant de se forcer à le sortir de sa tête : « tu n'es pas le seul à avoir beaucoup pensé à moi ce mois-ci, vous devriez faire un concours du meilleur amant. », elle ne savait pas si elle était crédible mais elle n'avait pas repartagé le lit d'un homme depuis celui de Dario, elle souhaitait simplement le taquiner pour voir sa réaction, au moins elle se montrait un peu moins sur la défensive et plus encline à la discussion. Il y avait cependant une chose sur laquelle elle émettait pas mal de doutes, il s'agissait de la destination de voyage de Dario; elle essayait de croire en ses paroles mais elle continuait de penser fermement que new-york n'était absolument pas sa destination et elle n'avait pas envie qu'il fasse une grande erreur pour sa carrière juste pour la suivre à l'autre bout du monde « ta secrétaire est incompétente ou son patron change de plans à la dernière minute. » un sourire sarcastique venait de prendre place sur ses lèvres « mais si elle est si incompétente tu peux toujours la virer ... et me prendre à sa place. », elle marqua ces quelques mots par un clin d’œil amusé, visiblement elle semblait vraiment se détendre et sa carapace se brisait petit à petit au fil de la discussion.  La jeune femme n'était cependant pas mécontente d'avoir un peu de compagnie durant le vol qui allait être long, elle ne savait pas si ils allaient beaucoup se croiser une fois en ville - ou même si ils allaient se lâcher, dans le cas contraire où ils passeraient le voyage ensemble - mais elle était quand même assez heureuse de le retrouver. Ainsi il était toujours célibataire, elle n'avait plus à s'inquiéter de savoir si il avait une femme dans sa vie et pouvait donc profiter de ses lèvres - voire plus - à loisir durant ce séjour. Sans répondre elle esquissait pourtant plusieurs sourires dès qu'il reprenait la parole, elle avait hâte de le voir chasser son voisin de vol pour prendre sa place, mais bien vite la discussion se tourna vers sa raison d'être à new-york pour le nouvel an et elle sentait bien que la curiosité de Dario n'était pas anodine, il voulait sans doute savoir si elle avait quelqu'un dans sa vie : « non, je ne vais rejoindre personne. », lorsqu'il esquissa un geste pour attraper sa valise la jeune femme fit barrière avec son bras « attends », elle glissa ses bras derrière sa nuque avant de plaquer délicatement ses lèvres contre celles du chef d'entreprise, elle avait l'impression de tomber dans un piège dont elle n'allait certainement pas pouvoir s'échapper - d'autant qu'elle n'arrivait pas à s'expliquer son attirance pour l'homme - mais ils allaient décoller pour new-york alors il était hors de question de se prendre la tête, elle avait envie de profiter. Elle se détacha du corps de Dario « on peux y aller, maintenant. »

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() message posté Sam 7 Jan 2017 - 19:39 par Invité
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Dario & Elizabeth

It had to be you, it had to be you, I wandered around, and finally found, the somebody who could make me be true, and could make me be blue. It had to be you.   ✻✻✻ Il ne l’avait pas rappelé certes, mais il n’en était pas moins qu’elle non plus. Et pourtant lorsqu’elle lui lança la pique en plein visage, il ne put s’empêcher de se sentir instantanément coupable. Oui, il ne l’avait pas fait mais ce n’était pas pour autant qu’il n’avait pas pensé à elle. Elle avait hanté ses pensées comme personne durant ce dernier mois et lorsqu’elle avait osée poser ses lèvres brièvement contre les siennes, il avait tout de suite compris pourquoi. Il en avait rencontré des femmes, mais aucune ne lui avait fait autant d’effet… Ni même celle qui avait refusé sa demande en mariage. Elle lui procurait un sentiment nouveau et étrange qui ne lui faisait pas comprendre ce qui avait poussé le destin à la mettre sur son chemin et encore moins, s’il avait le droit de croire en ce que lui promettait la vie ou si c’était juste un leurre. A trente-cinq ans, il avait déjà suffisamment donné dans les histoires foireuses. Elle se rendait donc à New-York pour y fêter le jour de l’an et le voilà qui changeait ses plans à la dernière minute pour la rejoindre. Il n’avait pas eu une jeunesse folle et intrépide, au contraire. Il avait toujours passé sa vie à travailler, se demander ce qu’il avait fait de cette fameuse jeunesse qui était passée comme un claquement de doigt. Alors s’il ne vivait pas maintenant et ne prenait des risques, quand pourrait-il le faire ? : « tu n'es pas le seul à avoir beaucoup pensé à moi ce mois-ci, vous devriez faire un concours du meilleur amant. » Pardon ? Choqué, Dario observa le visage de la jeune femme, conservant pour sa part un visage impassible. « Ravi de constater que tu as eu des aventures. » Quand lui avait eu peine à boire et manger. Mais bon, à quoi s’attendait-il ? Elle ne lui avait ni promis fidélité et il ne pouvait s’en prendre qu’à lui pour ce goût amer qu’il avait en bouche. Malgré lui, la jeune femme perspicace comprit bien vite que son stratagème pour être à ses côtés n’était qu’une excuse bidon. « ta secrétaire est incompétente ou son patron change de plans à la dernière minute. » Et merde. « mais si elle est si incompétente tu peux toujours la virer ... et me prendre à sa place » Dario arqua un sourcils dans sa direction. Prendre à sa place ? Vu qu’ils ne cessaient de parler du fait qu’elle pourrait travailler pour lui, elle allait réellement finir par le faire, non ? « Ok. Commences quand tu veux, je t’embauche avec grand plaisir. » Et intérêts, non ? Dans tous les cas, il ne la repris pas. Qu’elle pense ce qu’elle voulait il n’allait pas lui mentir plus longtemps. Un jour, il lui dirait la vérité. Il marqua alors une pause avant de lui demander si elle allait rejoindre quelqu’un. Sinon s’était pas drôle de se pointer pour la voir aller dans les bras d’un autre. « non, je ne vais rejoindre personne. » Un sourire se dessina sur les lèvres de Dario, ça c’était une bonne nouvelle après avoir souffert de la jalousie. Ils s’engouffrèrent dans un long couloir en direction de l’avion quand il lui proposa de prendre sa valise. Cependant, la jeune femme le stoppa avant d’enrouler un bras derrière sa nuque pour l’embrasser. Pour la seconde fois en moins d’une demi-heure il était conquis. « on peux y aller, maintenant. » Se détachant, Dario se passa la langue sur les lèvres. « Attends, petit courant d’air. C’était quoi ça encore ? » Ce qu’il ressentait était peut-être réciproque après tout et cela avait le don de le rendre tout…con. Malgré tout, il sourit en secouant la tête et attrapant sa valise, il s’arranga avec la personne qui devait s’installer dans l’avion avec la jeune femme, et échangea sa place. Il réussit donc à s’asseoir à ses côtés. « J’espère que tu es distrayante, j’ai horreur de m’ennuyer. » Ainsi dit, il posa sa tête sur le dossier de son fauteuil et l’observa longuement. « J’te dirais bien que tu m’as manqué, tu sais ? »


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() message posté Dim 8 Jan 2017 - 18:30 par Invité
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Dario & Elizabeth

There is no place like it, no place with an atom of its glory, pride, and exultancy. It lays its hand upon a man’s bowels; he grows drunk with ecstasy; he grows young and full of glory, he feels that he can never die.. ✻✻✻ En réalité la situation lui échappait complètement, elle était partagée entre de nombreuses pensées contraires qu'elle ne parvenait tout simplement pas à s'expliquer. Pourquoi, diable, ne pouvait-elle pas tirer un trait sur un homme avec lequel elle avait couché une seule et unique fois ? et pire encore, pourquoi se perdait-elle une nouvelle fois dans ses bras, accrochée à ses lèvres dans un aéroport alors qu'elle aurait pu feindre l'ignorance et faire semblant de ne pas le reconnaître ? Elizabeth ne savait pas ce qui ne tournait pas rond dans sa tête mais elle avait finalement abandonné la barrière qu'elle s'était évertuée à maintenir jusque là pour se protéger du chef d'entreprise, elle ne pouvait nier qu'il l'attirait inexorablement mais elle ne pouvait faire taire ses pensées qui la mettaient en garde chaque secondes : leur différence d'âge viendrait détruire leur potentiel couple au moment même où leurs intérêts ne seraient plus les mêmes. Elle avait beau avoir conscience de tout ça elle continuait de discuter tranquillement avec son interlocuteur et n'allait pas tarder à grimper dans le même avion que lui, direction new york city. Un léger soupir à peine audible s'était échappé de ses lèvres alors qu'elle se sortait de ses pensées; elle se prenait définitivement trop la tête à se poser des questions sur cet homme dont elle ne connaissait même pas le nom de famille. Le hasard les avaient réuni une fois mais rien ne lui garantissait qu'il le ferait une seconde et rien ne l'engageait, elle, à reprendre contact avec lui après leur escapade sur le territoire américain, il lui suffisait juste de prendre du bon temps. « Ravi de constater que tu as eu des aventures. », d'abord interloquée, elle éclata sincèrement de rire en regardant le visage fermé de Dario qui prenait visiblement ses paroles au sérieux, pour la blague elle allait devoir repasser ou alors elle était très bonne menteuse, quoiqu'il en soit elle n'avait pas envie de faire ruminer le bel italien « je ne me savais pas aussi bonne comédienne. », elle marqua une pause le temps de planter son regard dans celui du chef d'entreprise « tu n'as pas eu de problème avec tes employés la dernière fois ? », elle n'en avait pas eu, elle. Une fois dans les bureaux le lendemain elle s'était excusée auprès de son patron et mentor qui s'était contenté de lui afficher un grand sourire puis de lui demander son avis sur une nouvelle pièce de la future collection. Elle se contenta d'ailleurs d'afficher un large sourire amusé à l'idée qu'il pouvait l'embaucher dans son cabinet d'architecture comme secrétaire, évidemment la réflexion relevait de la blague puisque tous deux savaient qu'elle ne quitterait gucci pour rien au monde, pas après s'être autant démenée pour y obtenir sa place d'apprentie. Il était dorénavant temps de s'engager dans la file d'attente pour prendre le vol, après un petit baiser échangé, Dario s'était empressé d'attraper sa valise pour jouer au parfait gentleman et avait finalement réussit à négocier sa place avec l'homme qui aurait dû être aux côtés de la jeune apprentie. « J’te dirais bien que tu m’as manqué, tu sais ? », pour simple réponse elle lui avait adressé un clin d’œil avant le décollage de l'avion.
Le vol s'était bien déroulé, elle était satisfaite lorsque ses voyages se déroulaient sans accrocs, se rappelant amèrement de l'état de son bras après avoir passé son vol au côté d'un homme particulièrement stressé lors d'un voyage à rio de janeiro. La compagnie de Dario avait été bien plus agréable et, descendue de l'avion, elle ne put s'empêcher de le taquiner une énième fois « et je suppose que ton incompétente secrétaire n'a pas non plus eu le temps de te réserver une chambre d'hôtel », même si ce n'était pas ce qui manquait à New-York. Agrippant la main de Dario, elle se déplaçait avec une facilité déconcertante dans l'aéroport américain, à croire qu'elle le connaissait largement plus que celui de Londres, et grimpa dans un taxi qui attendait de nouveaux passagers, en direction de l'hôtel « tu seras dans le même que moi, tu verras il est sympa. », elle en avait testé plusieurs mais celui-là en plein cœur de manhattan avait toujours été son petit coup de cœur. L'apprentie styliste s'extirpa du taxi après avoir réglé la course et se tourna vers son amant un nouveau sourire éclairant ses lèvres « welcome to new-york, darling. », alors qu'elle laissait le bagagiste s'emparer de ses valises pour les monter jusqu'à sa chambre, elle jetait un rapide coup d’œil autour d'elle, visiblement ravie de se retrouver dans sa ville préférée. Elle avait l'impression de ne pas y avoir mit les pieds depuis une éternité et pourtant elle se sentait capable de faire une visite de nuit en pouvant retrouver son chemin les yeux bandés. Elizabeth enfonça ses mains dans les poches de son manteau avant de se tourner vers Dario « bon, je vais faire un tour pour m'acheter un truc à manger, tu viens ? », elle n'allait certainement pas le forcer à la suivre dans les rues de new-york, aussi elle commençait déjà à s'en aller, un large sourire aux lèvres, avant de lancer à l'intention de dario - sans pour autant se retourner - « à moins que tu aies un contrat à signer. »

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() message posté Mer 11 Jan 2017 - 14:24 par Invité
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Dario & Elizabeth

It had to be you, it had to be you, I wandered around, and finally found, the somebody who could make me be true, and could make me be blue. It had to be you.   ✻✻✻ Ok, il l’avait mérité. Se prendre en pleine face qu’il n’était pas le seul de ses amants à avoir pensé à elle au court de ce dernier mois lui avait fait l’effet d’un beau seau d’eau gelé en plein visage mais qu’y pouvait-il ? Il avait pensé à elle comme un séquestrer pensait à sa liberté. Bien sûr qu’il n’avait pas dû être le seul de ses amants mais quand même, il avait ne serait-ce qu’un peu espérer à ce qu’il fut le meilleur. Lorsqu’elle se mit subitement à rire, Dario fronça les sourcils. Et ça voulait dire quoi ça maintenant ? Tout était trop incompréhensible. « je ne me savais pas aussi bonne comédienne. » Et qu’est-ce que ça voulait dire ça maintenant ? Ce qu’elle venait de dire était donc faux ? Oh, il savait parfaitement qu’il finirait par le rendre chèvre. « tu n'as pas eu de problème avec tes employés la dernière fois ? » Ce fut à son tour de rire doucement. « Moi ? Avoir un problème avec mes employés ? Ils ont juste cru que j’étais mort à part ça, tout allait bien. Et toi avec ton patron ? » Oui, car ne pas se montrer de toute une matinée c’était paru plus que suspicieux aux yeux de certains de ses collaborateurs. Ils se dirigèrent ensuite vers l’avion et Dario ne put s’empêcher de lui révéler qu’elle lui avait manqué. Ce n’était que la vérité après tout, il lui devait bien ça après avoir menti sur sa destination mais pour simple réponse, elle lui avait adressé un clin d’œil avant le décollage de l'avion, ce qu’il avait totalement apprécié, après le baiser échanger grâce à elle. Une fois dans l’avion il avait réussi à échanger son siège avec un autre passager et avait passé son temps à la contempler et à converser gentiment avec elle. Il s’était retenu avec une force olympique de la caresser comme il le souhaitait et avait attendu la fin du vol avec une envie déconcertante. Dire qu’il avait ce contrat à signer. Une fois en dehors de l’avion, Elizabeth mentionna quelque chose qu’il avait totalement zappé. « et je suppose que ton incompétente secrétaire n'a pas non plus eu le temps de te réserver une chambre d'hôtel » Oh la boulette. Souriant de son sourire le plus charmeur, Dario lui adressa un petit signe de tête. « Certes… » Elle était bien trop perspicace pour lui cette demoiselle. Il la suivait tel un automate dans l’aéroport bondé, et la suivit dans un taxi. « tu seras dans le même que moi, tu verras il est sympa. » Il marqua un sourire sur son visage bordé de quelques pattes d’oie. «  Et s’il n’ont plus de chambres disponibles, tu accepterais aussi de me recevoir dans la tienne ? » Il la taquinait à son tour, espérant bien qu’elle dirait oui. Ils arrivèrent bien vite et Dario fut pris au dépourvu en l’observant plus rapide que l’éclair payer la course alors qu’il sortait son portefeuille de la poche intérieure de sa veste. « welcome to new-york, darling. » Finalement, rien que pour le sourire qu’elle affichait, cela valait bien mieux que Rome et son contrat. Ils pénétrèrent dans l’hôtel et en voyant ses valises, Dario se souvint qu’il n’avait strictement rien à se mettre sur le dos. Non puisqu’il avait prévu de se rendre dans son appartement. Or ici à New-York, il n’en avait pas. « bon, je vais faire un tour pour m'acheter un truc à manger, tu viens ? » Soupirant, Dario abandonna sa mallette dans l’hôtel aux bons soins d’un majordome avant de plonger son regard dans celui de sa partenaire. « Que dirais-tu ensuite d’aller faire un peu de shopping ? » Il pouvait tout aussi bien se commander des choses à la réception mais New-York et le lèche-vitrine pouvait être sympa aussi. Il la suivait dans les rues bondées, priant pour ne pas la perdre dans la cohue. « à moins que tu aies un contrat à signer. » Largement au loin devant lui, il soupira et l’attrapa par le bras la forçant à s’arrêter et à lui faire face. « Ok, je dois t’avouer un truc. J’ai changé mes plans à la seconde où tu m’as dit que tu allais à New-York, car je voulais passer du temps avec toi… Pour être honnête, je devrais être à Rome et non ici. Il est là-bas mon contrat à signer… » Comme si ses révélations lui avaient couté un effort surhumain, il la rapprocha de lui tandis que la foule les bousculaient de temps en temps et entoura sa taille avec un de ces bras. L’endroit n’était pas romantique mais digne d’un film romantique. « Alors j’ai menti. Pour pouvoir venir avec toi. » Mais bon elle le savait déjà tout ça. Il caressa alors distraitement sa joue d’une main et continua son petit monologue. « Parce que lorsque je t’ai vu, j’ai compris que c’était une chance de passer du temps avec toi. » Puis sans lui laisser le temps de répondre quoique ce soit, il l’embrassa passionnément, la serrant contre lui comme s’il cherchait à la protéger. Il se détacha alors d’elle et lui pris la main. « J’espère que tu ne m’en veux pas… » Il se mit à rire doucement. « Allez viens, ce petit restaurant sur la 6eme avenue est un bon prétexte pour déjeuner. »

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() message posté Sam 14 Jan 2017 - 14:05 par Invité
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There is no place like it, no place with an atom of its glory, pride, and exultancy. It lays its hand upon a man’s bowels; he grows drunk with ecstasy; he grows young and full of glory, he feels that he can never die.. ✻✻✻ Maintenant qu'elle s'était adoucie elle devait admettre que la situation était agréable, même si elle ne s'était pas attendue à croiser Dario en se levant ce matin et que cette pensée ne lui avait même pas effleuré l'esprit, elle était contente que le hasard fasse bien les choses et que le chef d'entreprise l'ait reconnue parmi toute la foule de l'aéroport. Elizabeth n'avait aucune idée de comment allait se dérouler sa semaine dans la célèbre ville américaine aux côtés de son amant qu'elle n'avait pas revu depuis un mois, mais elle avait hâte de fouler le sol de new-york city et, même si elle avait du mal à se l'avouer, passer du temps avec Dario. Même si ils avaient un petit peu discuté la dernière fois, leur temps avait surtout été prit par des baisers et des caresses, cette escapade à nyc allait donc permettre à la jeune apprentie styliste d'en apprendre plus sur cet homme qui n'avait pas hésité une seule seconde à changer de destination pour ses beaux yeux. « Moi ? Avoir un problème avec mes employés ? Ils ont juste cru que j’étais mort à part ça, tout allait bien. Et toi avec ton patron ? », elle haussa les épaules sans vraiment savoir quoi ajouter de plus, son patron n'était pas le genre d'homme à piquer une colère pour du retard même si ce retard était d'une matinée entière, il savait très bien qu'Elizabeth était une apprentie studieuse et que ledit retard serait rattrapé d'une manière ou d'une autre « il m'a juste demandé mon avis sur la pièce qu'il était en train de créer, ça change pas de d'habitude quoi. » Le trajet en avion avait été agréable même si elle n'était pas mécontente de poser les pieds sur la terre ferme, évidemment elle avait tout de suite su se repérer dans l'aéroport et avait entraîné le chef d'entreprise à sa suite sans forcément lui demander son avis. Devant l'hôtel elle avait recommencé à le taquiner au sujet de la prétendue incompétence de sa secrétaire et de son manquement aux règles fondamentales de tout voyage d'affaires : la réservation d'une chambre d'hôtel, voire de la suite royale pour un chef d'entreprise de son envergure. « Et s’il n’ont plus de chambres disponibles, tu accepterais aussi de me recevoir dans la tienne ? », la jeune femme arqua un sourcil en plantant son regard dans celui de Dario, elle ne pouvait lui enlever sa franchise qui lui arracha un sourire. Avant que le bagagiste ne disparaisse dans l'hôtel elle l'appela pour le retenir quelques secondes « déposez ses affaires dans ma chambre, s'il-vous-plaît. » elle se tourna ensuite vers son charmant interlocuteur, un large sourire aux lèvres « tu dormiras sur le tapis. »
Elle s'était ensuite envolée, un large sourire aux lèvres et avait devancé l'homme de plusieurs mètres lorsqu'elle le héla au loin. Elle connaissait new-york presque comme sa poche et se sentait dans son élément lorsqu'elle se trouvait dans cette ville alors forcément elle n'était pas là à faire sa touriste prenant des photos à chaque coins de rue. « Que dirais-tu ensuite d’aller faire un peu de shopping ? », Lempicka laissa son rire se mêler au brouhaha des conversations des new-yorkais « évidemment, je te rappelle que la mode c'est mon domaine, chaton. », nouveau surnom, à croire que l'air new-yorkais lui donnait des ailes. La main de Dario s'enroula autour de son bras pour l'obliger à s'arrêter et se retourner face à lui, elle planta son regard dans le sien pour écouter ce qu'il avait à lui dire même si elle avait déjà parfaitement conscience de tout cela. « Ok, je dois t’avouer un truc. J’ai changé mes plans à la seconde où tu m’as dit que tu allais à New-York, car je voulais passer du temps avec toi… Pour être honnête, je devrais être à Rome et non ici. Il est là-bas mon contrat à signer… », ces paroles lui donnaient l'impression qu'elle n'avait aucune raison de douter de lui si leur duo venait à se concrétiser et pourtant elle restait sur sa réserve à cause de leur différence d'âge, elle qui aimait tant les hommes plus âgés. Elizabeth glissa ses bras derrière la nuque de Dario en acceptant volontiers d'être collé contre son corps, et se moquant également des passants qui les bousculaient ou des frôlaient de part et d'autre, comme si à ses yeux la rue était vide et que seul Dario comptait. « Alors j’ai menti. Pour pouvoir venir avec toi. Parce que lorsque je t’ai vu, j’ai compris que c’était une chance de passer du temps avec toi. », un frisson lui parcourut l'échine lorsque les lèvres de son amant se déposèrent sur les siennes dans un baiser passionné. Elle ne savait pas ce qu'elle ressentait pour lui mais chacun de leurs moments de caresses et de tendresse lui donnait l'impression que plus rien n'existait autour, c'était à la fois plaisant et effrayant pour elle qui avait peur de s'attacher. Il se détacha de ses lèvres, lui donnant ainsi l'occasion de reprendre la parole « je le savais déjà, Dario. », elle qui n'aimait pas les bouquins à l'eau de rose, elle avait l'impression d'en être une héroïne. « Allons à ce restaurant. »
Si elle mourrait d'envie de s'abandonner aux bras de Dario, son ventre commençait à lui faire comprendre qu'elle devait manger si il ne voulait pas se montrer insupportable pendant tout le restant de la journée. Le temps d'attente pour avoir une table libre n'avait été que de quelques minutes et elle n'en était pas mécontente, même si elle avait pu profiter à loisir ses lèvres de son amant elle devait aussi admettre que la faim se faisait vraiment sentir. Une fois à table, la jeune femme plongea son regard dans celui du chef d'entreprise « quel est ton nom de famille ? », elle ne pouvait s'empêcher de se montrer curieuse à ce sujet, comme il était originaire d'italie peut-être que ses parents avaient déjà entendu parler de lui, qui plus est. Ce n'était pas une information capitale pour la suite de leur voyage mais elle s'était rendue compte qu'elle avait vu son corps entièrement nu et qu'elle ne connaissait pas les choses basiques de son identité, si il n'était qu'un amant d'une nuit comme auparavant ça ne lui aurait pas posé problème mais ils semblaient bien partis pour passer la vitesse supérieure. La jeune femme tendit son bras par dessus la table pour poser sa main sur celle de Dario « tu vas faire comment pour ton contrat ? ils ne vont pas être contents. », parce que ne pas se présenter de toute une matinée c'était une chose mais louper carrément la signature d'un contrat pour une escapade romantique à new-york c'en était une bien différente.

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() message posté Mer 18 Jan 2017 - 23:40 par Invité
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Dario & Elizabeth

It had to be you, it had to be you, I wandered around, and finally found, the somebody who could make me be true, and could make me be blue. It had to be you.   ✻✻✻ Le voyage n’avait pas duré aussi longtemps qu’il l’avait pensé et après tout, aussi bien accompagné, comment aurait-il pu espérer quelque chose de pénible ? Il adorait passer du temps avec Elizabeth et c’est principalement pour cela qu’il avait modifié ses plans à la dernière minute. Comme ça de Rome, il passait à New-York, sans change ni endroit où loger. Heureusement qu’elle était prévoyante et qu’elle venait de lui rappeler qu’il n’avait pas d’hôtel. A vrai dire, il n’y avait pas du tout songé, et c’est ainsi qu’il lui demanda si elle accepterait de partager sa chambre avec lui si l’hôtel en question n’en avait plus de disponible. Après tout, c’était quelques jours avant le réveillon du nouvel an, les demandes pouvaient fuser comme jamais. « déposez ses affaires dans ma chambre, s'il-vous-plaît. » Intrigué mais ravi, il l’observa la jeune femme comme si c’était la première fois qu’il la voyait. Elle était courageuse et aimait prendre des risques c’était clair. Mais il déchanta bien vite. « tu dormiras sur le tapis. » Il arqua un sourcil. « Pardon ? Je viendrai me faufiler dans ton lit quand tu seras endormie oui. » Lâchant un mi-soupire mi-rire, ils s’aventurèrent dans une rue bondée. Evidemment comme il n’avait rien à se faire, le trentenaire demanda à la jeune femme s’ils pouvaient faire du shopping. Question bête vu que c’était une femme. « évidemment, je te rappelle que la mode c'est mon domaine, chaton. » Chaton ? Intrigué, il la suivait à la trace déambuler dans les rues, ne ratant pas une miette du spectacle qu’elle offrait de dos. Mais mu par une envie irrésistible de tout lui avouer, il l’attrapa par le bras et lui avoua toute la vérité : qu’il n’était pas vraiment là pour un contrat, qu’il l’avait suivie et qu’il voulait passer du temps avec elle. Et sans lui laisser le temps de répondre quoique ce soit, il l’embrassa. Ils venaient à peine de se retrouver et c’était comme s’ils ne s’étaient jamais quittés. Lorsqu’il se détacha d’elle pour observer sa réaction, craignant un tant soit peur de la voir lui demander de s’en aller, il redouta durant de brefs instants la suite de l’histoire. « je le savais déjà, Dario. » Choqué, il se redressa rapidement. « Comment ? » Bon évidemment elle l’avait cramé prendre un vol sur son téléphone mais son excuse avait été plutôt plausible selon lui… Ok, elle avait été nulle et de toute évidence elle n’était pas dupe. « Allons à ce restaurant. » Souriant, il l’attrapa par la main et la conduisit à travers la foule avant de rentrer dans un restaurant, un lieu charmant de ceux semblables aux films New-Yorkais. Ils prirent place à une table et le regard de la belle jeune femme croisa le sien, faisant rater un battement à son cœur. « quel est ton nom de famille ? » Intrigante comme première question mais Dario réalisa une petite moue charmeuse. « Davenport. » Il marqua une pause. « Et toi ? Des seconds prénoms peut-être ? » Puisqu’ils en étaient aux confidences… Ils s’observèrent durant de longues minutes jusqu’à ce que la jeune femme ne décide de poser sa main sur la sienne. Ce geste pourtant anodin et si intime lui fit prendre conscience qu’il adorait passer du temps avec elle. Et dire que c’était juste la deuxième fois qu’ils se voyaient. Trop intriguant tout ça. Il se prenait même au jeu du petit couple parfait. « tu vas faire comment pour ton contrat ? ils ne vont pas être contents. » Se penchant par-dessus la table comme s’il s’apprêtait à lui chuchoter quelque chose, il eut soudain une idée. « Eh bien si tu peux, je t’invite à venir à Rome avec moi après le nouvel an. J’y ai mon appartement… Retrouver nos origines ensemble, ce ne serait pas mal ? J’irai le signer à ce moment-là. » Allait-elle accepter, refuser ? « Je t’ai parlé de shopping car je n’ai rien à me mettre sur le dos du coup… Tu devras me supporter avec les mêmes fringues ou alors nu. » Il lui adressa un clin d’œil avant de se redresser et attrapa la carte des boissons. « Plutôt vins où une autre boisson ? » Il ne serait pas contre un cru. Un bon verre de vin rouge. En attendant, il la dévorait du regard. « Tu ne t’attendais pas à tomber sur moi, avoues tout… »

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() message posté Lun 23 Jan 2017 - 16:30 par Invité
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Dario & Elizabeth

There is no place like it, no place with an atom of its glory, pride, and exultancy. It lays its hand upon a man’s bowels; he grows drunk with ecstasy; he grows young and full of glory, he feels that he can never die.. ✻✻✻ La situation était aussi agréable que gênante, elle n'était pas sûre que s'abandonner aux bras de Dario était vraiment une bonne idée mais elle se laissait guider par ses envies à ses risques et périls et en gardant en tête que cette situation pouvait tôt ou tard lui porter préjudice. Sans réussir à vraiment se l'expliquer, elle était inexorablement attirée par son interlocuteur et ce sentiment semblait d'autant plus réciproque que ce dernier l'avait suivit à new-york city au dernier moment. Elle avait parfaitement conscience que plusieurs femmes rêvaient d'un moment aussi romantique et sans doute ne le vivraient-elles jamais, mais elle gardait un arrière goût amer en bouche; elle était ravie de partager sa semaine avec Dario pour apprendre à le connaître, à le découvrir encore plus mais elle ressentait cette peur irrationnelle de s'attacher à lui. Elizabeth avait toujours été attirée par les hommes plus âgés, et maintenant qu'elle avait la possibilité de succomber à cette tentation elle se freinait par peur de l'abandon et de ne pas pouvoir lui apporter ce qu'il souhaitait. Elle ne voulait pas de mariage, ni d'enfants mais à trente-cinq ans il y avait fort à parier que lui y songeait. Peut-être même en avait-il déjà, c'était une question à poser. « Pardon ? Je viendrai me faufiler dans ton lit quand tu seras endormie oui. », un sourire distrait glissait sur ses lèvres alors qu'elle relevait le visage vers Dario, plongeant son regard dans le sien, elle était perdue dans ses pensées afin de lui apporter une réponse. C'était simple pourtant, mais elle ne savait définitivement pas comment se comporter, changeant de comportement d'une seconde à l'autre, glissant d'un aspect défensif à un autre plus joviale « tu n'as pas besoin que je sois endormie. », appuyant ses propos elle se hissa sur la pointe des pieds pour coller ses lèvres sur sa joue. « Et c'est pas sympa d'accuser ta pauvre secrétaire. »
Elle avait l'impression de jouer au couple parfait avec Dario, malgré leur différence d'âge elle était presque certaine d'attiser les convoitises des jeunes américaines qui lorgnaient allègrement sur le physique d’Apollon du chef d'entreprise italien; ils s'embrassaient tendrement, se tenaient la main et se préparaient même un tête à tête romantique au restaurant, elle avait même passé sa main sur la sienne dans un geste intime et romantique, laissant une nouvelle fois penser qu'ils étaient en couple et non de simples amants. L'apprentie styliste posa son regard sur le visage de son interlocuteur, l'observant avec une toute nouvelle et particulière attention, comme si elle ne l'avait jamais vu auparavant. « Davenport. », non ça ne lui disait rien, mais peut-être que ses parents le connaissait, elle n'en savait rien « Et toi ? Des seconds prénoms peut-être ? », la jeune femme laissa un petit silence planer au dessus de leur tête, alors qu'elle fixait les yeux de Dario, elle n'avait pas pour habituer de donner son entière identité à ses amants « elizabeth charlie lempicka », se retenant de rajouter l'habituel non aucun lien de parenté avec la parfumeuse, dont il ne s'agissait pas du vrai nom, puisque c'était la question la plus fréquente qu'on lui posait lorsqu'elle déclinait son identité. Cette pensée lui arracha néanmoins un sourire, visiblement ce nom octroyait le titre de styliste puisque après lolita, elizabeth reprenait les rennes de la mode. Elizabeth arqua un sourcil en voyant l'homme se pencher au dessus de la table comme pour lui faire une confidence, elle espérait qu'il n'allait pas se lever et se mettre à genoux pour une demande en mariage - après le coup de l'aéroport elle s'attendait à tout de sa part - mais visiblement sa demande était bien différente, bien que tout de même très perturbante « Eh bien si tu peux, je t’invite à venir à Rome avec moi après le nouvel an. J’y ai mon appartement… Retrouver nos origines ensemble, ce ne serait pas mal ? J’irai le signer à ce moment-là. », trop rapide, c'était beaucoup trop rapide. Elle papillonna des yeux pendant quelques secondes, la bouche légèrement ouverte alors qu'aucun son n'en sortait. Il brûlait un peu trop les étapes, ils n'étaient certainement pas ensemble et elle mourrait d'envie de lui servir une excuse telle que je vais aux toilettes, je reviens pour échapper à la conversation « je ... non. », c'était cash. et bizarrement elle n'avait plus du tout envie d'ouvrir la bouche « Plutôt vins ou une autre boisson ? », peu lui importait, elle n'avait pas envie de s'attarder sur des choses aussi futiles maintenant « vin. », elle était redevenue aussi froide que dans l'aéroport, visiblement bloquée par les propos de son amant « Tu ne t’attendais pas à tomber sur moi, avoues tout… », un sourire crispé sur les lèvres, voilà la seule chose qu'elle était capable de lui répondre. Non elle ne s'était pas attendue à le revoir, et encore moins à ce qu'il la suive jusqu'à new-york et maintenant qu'il l'invite chez lui à rome. Non, elle ne s'était attendue à rien de tout ça et commençait à comprendre que c'était peut-être une erreur « qu'est-ce que tu me veux, au juste ? », sourcils froncés elle fixait son interlocuteur avec un air légèrement agacé sur le visage « on a couché ensemble une seule fois, Dario. » elle marqua une légère pause « et ça ne se reproduira pas. », la panique avait prit le dessus sur son bon sens « alors fous moi la paix avec ton romantisme à deux balle, t'es rien pour moi, et tu ne seras jamais rien de plus qu'un trentenaire qui se tape des minettes de vingt-trois ans parce qu'il est incapable de trouver l'amour. »


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() message posté Jeu 26 Jan 2017 - 11:56 par Invité
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It had to be you, it had to be you, I wandered around, and finally found, the somebody who could make me be true, and could make me be blue. It had to be you.   ✻✻✻ « Et c'est pas sympa d'accuser ta pauvre secrétaire. » Non c’était vrai, mais le trentenaire n’en avait que faire. Sa secrétaire possédait d’ailleurs un aspect grassouillet et avec ses trois enfants, arrivait parfois le matin avec l’esprit ailleurs. Du coup, il pouvait tout aussi bien s’agir d’une faute que sa secrétaire pouvait commettre. Mais il s’en fichait. Le plus important pour lui était qu’il se retrouvait avec elle. Et de files en aiguilles, ils se retrouvèrent assit dans un restaurant en plein cœur de New-York. Il avait aussi réussi à lui avouer toute la vérité, comme un dans un film à vrai dire. Enfin, c’était ce qu’il avait envie d’imaginer, il était encore bien loin de la réalité dans laquelle il était sur le point de se jeter tête la première. Elle lui demanda son nom et il en profita pour lui retourner la question. Charlie… ça lui donnait du peps. Ca révélait bien son côté fonceur qui n’avait pas froid aux yeux. Quant à son nom, il était vraiment exotique et appelait à fermer les yeux et songer au soleil. Poussé par une force invisible, il en vint à lui demander si elle accepterait de venir avec lui à Rome, juste le temps de deux-trois jours, histoire qu’il puisse signer son contrat et vivre un moment de plus avec elle. Il avait été à des millions de kilomètres de se douter de cette réponse sèche et telle une douche froide qu’elle lui servirait. « Je…non. » Bien… Il se repositionna correctement, s’étant préalablement avancé vers elle pour lui chuchoter cette demande. C’était son choix, il n’allait pas la forcer. Malgré lui, il ressentit une pointe de déception tandis qu’elle lui répondait qu’elle voulait bien du vin. Bizarrement, il n’avait plus envie de boire. Ou si mais quelque chose de bien fort. Que lui arrivait-il ? Il avait tout abandonné en cinq secondes pour cette personne. Que lui avait-elle fait ? « qu'est-ce que tu me veux, au juste ? », Surpris par ce retournement de situation et son ton agressif, il ne répondit pas tout de suite. « on a couché ensemble une seule fois, Dario et ça ne se reproduira pas. » Et du coup, elle l’avait invité dans son lit et lui avait la remarque qu’il n’aurait pas à l’attendre endormie pour s’y glisser dedans. Très logique. « alors fous moi la paix avec ton romantisme à deux balle, t'es rien pour moi, et tu ne seras jamais rien de plus qu'un trentenaire qui se tape des minettes de vingt-trois ans parce qu'il est incapable de trouver l'amour. » Ne s’attendant pas à un tel revirement de situation, Dario s’appuya totalement contre le revers de sa chaise et croisa ses bras sur sa poitrine. Lorsqu’un serveur s’approcha, il ne lui prêta aucune attention, trop occuper à observer la jeune femme face à lui. Venait-il de perdre tout intérêt pour elle ou alors venait-elle de montrer une nouvelle facette de sa personnalité ? Il n’avait certes pas l’habitude qu’on s’adresse à lui de cette façon et pour dire la vérité, les mots l’atteignaient peu. On avait beau l’insulter, il s’en fichait et tout comme elle, il savait bien que ce n’était pas les femmes qui manquaient devant sa porte. Alors pourquoi elle ? Il ne le savait pas. Et elle non plus apparemment. « Si être assise à une table avec moi c’est du romantisme pour, il t’en faut bien peu. A ce que je sache, j’ai pas sorti le bouquet de fleurs ni la fanfare de mariachis. » Il la regardait durement. « Je me suis peut-être trompé sur ton compte. Je pensais avoir affaire à une femme. Non une gamine malapprise. » Il secoua la tête, fin de l’enchantement. Il s’était sûrement trompé oui. « J’ai arrêté de taper dans les bipolaires. » C’était la première fois qu’il avait fréquenter une femme beaucoup plus jeune que lui. « Mais merci, tu viens de me vacciner. » Faisant un bref mouvement, il sorti son portefeuille et laissa un généreux pourboire sur la table, même s’il n’avait rien commandé. Il ne savait pas si elle allait répondre mais dans tous les cas il allait retourner chercher sa mallette à son hôtel. De ça, si qu’il en avait besoin.

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() message posté Jeu 26 Jan 2017 - 14:10 par Invité
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Dario & Elizabeth

There is no place like it, no place with an atom of its glory, pride, and exultancy. It lays its hand upon a man’s bowels; he grows drunk with ecstasy; he grows young and full of glory, he feels that he can never die.. ✻✻✻ Elizabeth avait l'impression que le monde autour d'elle s'écroulait alors que ses propres paroles résonnaient encore à ses oreilles, elles avaient franchi la barrière de ses lèvres sans qu'elle ne puisse les retenir et dès lors une boule s'était formée dans son ventre, lui faisant très clairement comprendre qu'elle ne pouvait pas revenir en arrière. Elle était incapable de formuler des excuses et au vu de la posture que son interlocuteur avait adoptée, il ne semblait pas apte à les entendre et les accepter et il avait raison. De son côté la jeune styliste était perdue, bien qu'elle appréciait la compagnie de Dario elle avait envie de le frapper de toutes ses forces pour lui faire comprendre qu'il n'aurait jamais du précipiter les choses en lui proposant de le suivre à Rome, ils n'étaient pas en couple et elle avait besoin de son espace. Leur semaine à New-York avait à peine commencée qu'il songeait déjà à l'emmener ailleurs pour passer plus de temps avec elle, c'était angoissant. Dans sa tête elle ne parvenait pas à faire le tri, encore une fois elle semblait avoir oublié qu'ils étaient entourés de personne mais cette fois-ci ce n'était pas pour se plonger dans les yeux du chef d'entreprise mais parce que la colère coulait dans ses veines et qu'elle tentait de ne pas la laisser exploser alors que la voix de Dario la tirait de ses pensées. « Si être assise à une table avec moi c’est du romantisme pour, il t’en faut bien peu. A ce que je sache, j’ai pas sorti le bouquet de fleurs ni la fanfare de mariachis. », foutaises, elle s'en moquait bien ce restaurant, elle faisait référence à son élan de romantisme dans l'aéroport, il l'avait suivi, changeant de destination sur un coup de tête, c'était digne d'un film à l'eau de rose, mais plutôt que répondre la jeune femme avait le regard fixé sur le visage de Dario et attendait la suite calmement « Je me suis peut-être trompé sur ton compte. Je pensais avoir affaire à une femme. Non une gamine malapprise », bien, les réflexions rebondissaient sur elle sans l'atteindre, à croire qu'elle ne l'écoutait que d'une oreille distraite, son regard s'était d'ailleurs tourné vers le serveur gêné qui attendait près de la table et qui ne savait visiblement pas où se mettre à part dans ses petits souliers, lorsque la voix de Dario retentit une nouvelle fois elle ne daigna même pas tourner la tête, préférant observer avec attention les coutures du costume du serveur « J’ai arrêté de taper dans les bipolaires. », elle leva les yeux au ciel, avec une pointe d'exaspération, on ne lui avait jamais diagnostiqué de maladie psychiatrique alors elle n'avait que faire de la psychologie de comptoir de celui qui l'avait suivi à l'autre bout du monde pour elle-ne-savait-qu'elle-raison « Mais merci, tu viens de me vacciner. », elle attendit encore quelques secondes mais rien de plus ne sortait des lèvres du chef d'entreprise, il avait même sortit son porte-feuille pour laisser un pourboire sans n'avoir rien commandé. « C'est bon, tu as fini ? », elle tourna son regard vers certaines personnes près de leur table qui s'étaient tournées vers eux « tu t'es bien donné en spectacle, j'espère que tu es fier de toi, les new-yorkais savent quel goujat tu es, monsieur le chef d'entreprise. », c'était peut-être tout à fait mal venu de sa part puisqu'elle avait lancé les hostilités mais elle aurait préféré qu'il cherche à comprendre le retournement de situation plutôt que l’agresser, c'était comme cela qu'était censé réagir un homme d'âge mûr et à la tête d'une entreprise de surcroît, non ? pas comme un goujat blessé dans son amour propre. Elle se tourna alors vers le serveur « vous devriez lui servir l'alcool le plus fort que vous avez en stock, il semble en avoir besoin. », et, sans demander son reste, elle avait enfilé son manteau et avait quitté le restaurant.
De retour à son hôtel, elle s'était emparée des clés et avait regagné sa chambre dans laquelle ses affaires - et celles de Dario - avaient été déposées. Elle n'allait certainement pas laisser un homme gâcher ses vacances à New-York, et certainement pas un homme avec qui elle avait couché qu'une seule et unique fois et qui lui diagnostiquait des maladies mentales sans s'être au préalable regardé dans un miroir. Cela dit, elle avait besoin de se changer les idées, et à New-York les lieux pour faire la fête ne manquaient certainement pas. Elizabeth s'était donc empressée d'aller prendre une douche brûlante, sortant complètement Dario de ses pensées, en sortant elle avait enfilée un doux peignoir et s'attaquait maintenant à défaire sa valise, la dispute avec son amant bien loin derrière elle.


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