"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici take me to new-york (dario) 2979874845 take me to new-york (dario) 1973890357
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take me to new-york (dario)

 :: It's over :: Corbeille :: Anciens RP
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() message posté Jeu 22 Déc 2016 - 13:41 par Invité
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Dario & Elizabeth

There is no place like it, no place with an atom of its glory, pride, and exultancy. It lays its hand upon a man’s bowels; he grows drunk with ecstasy; he grows young and full of glory, he feels that he can never die.. ✻✻✻ Le jour J était enfin arrivé, celui de son départ pour la magnifique ville de New-York et Elizabeth devait s’avouer pressée de fouler une énième fois le territoire américain. Pour l’heure elle finalisait ses derniers préparatifs dans son appartement : elle avait pris soin de confier ses deux lapines à sa voisine du dessus et sa valise attendait dans le salon d’être empoignée puis engouffrée dans le coffre d’un taxi. Elle avait visité New-York une bonne dizaine de fois et pourtant elle ne s’était jamais lassée de cette ville, pour dire la vérité elle en était même tombée littéralement amoureuse et s’y voyait déjà passer sa vie une fois son apprentissage chez gucci terminé. La ville de New-York c’était un petit peu la ville où tous les rêves pouvaient devenir possible alors elle s’imaginait à la tête de sa propre marque ou elle ne-savait-trop-quoi, en tout cas elle était prête pour le grand départ et pressée de grimper dans l’avion. En plus de ça le nouvel an à nyc était incroyable avec toutes les guirlandes de noël illuminées, la neige qui tombait du ciel, les sourires sur les lèvres des gentils new-yorkais et le magnifique feu d’artifice de central park. La jeune italienne enfila son manteau, ses gants et déposa sur sa chevelure son splendide bonnet père noël aux lettres clignotantes qui ne passait pas inaperçu mais qu’elle adorait porter. Sortie de son appartement le froid la frappa de plein fouet, lui arrachant un long frisson, alors qu’elle commençait à sentir un légèrement picotement autour de ses doigts ; elle se dépêcha de héler un taxi pour entrer à l’intérieur direction l’aéroport. En cette période de l’année où les gens se dépêchaient de faire leurs derniers achats de noël la circulation était particulièrement dense, elle avait donc tout prévu pour partir à l’avance quitte à attendre une heure ou deux à l’aéroport. En tout cas elle n’avait pas lésiné sur les vêtements à emporter et qui étaient soigneusement repliés dans sa valise, elle connaissait suffisamment nyc pour savoir que là-bas les saisons se vivaient à fond et que le froid risquait d’être fort glacial, peut-être même plus qu’à Londres et très certainement plus qu’à Venise. Arrivée à destination la jeune femme s’extirpa du taxi, paya sa note et se dirigea hâtivement vers l’aéroport en resserrant son écharpe autour de son cou pour éviter que les quelques flocons qui tombaient ne viennent s’insinuer dans le col de son manteau. Arrivée au guichet elle apprit que son vol aurait une trentaine de minutes de retard ce qui lui restait exactement une heure et une vingtaine de minutes avant d’embarquer pour sa ville fétiche. La jeune femme se dirigea vers l’une des nombreuses boutiques de l’aéroport pour commander « un latte caramel s’il-vous-plaît. » parce qu’elle devait bien admettre que le froid extérieur excellait pour s’engouffrer entre les portes coulissantes de l’aéroport. Boisson en main elle la porta à ses lèvres pour en boire une gorgée, le liquide chaud lui brûlait la gorge mais elle en avait bien besoin pour résister aux températures hivernales.  Ce n’était certainement pas l’équivalent d’un strabucks mais ça ferait l’affaire dans l’immédiat, aussi elle repartit s’installer sur l’un des bancs libres en attendant de pouvoir embarquer. Sans faire plus attention aux gens qui se pressaient aux alentours, elle tenait d'une main son latte caramel brûlant et de l'autre son portable, perdue dans l'une de ces applications addictives mais qui faisaient malgré tout passer le temps et la privait durant plusieurs minutes du monde extérieur.

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() message posté Jeu 22 Déc 2016 - 23:57 par Invité
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Dario & Elizabeth

It had to be you, it had to be you, I wandered around, and finally found, the somebody who could make me be true, and could make me be blue. It had to be you.   ✻✻✻ En retard. Il était tout simplement en retard. Il s’était trop laissé prendre dans son travail et il n’avait pas vu le temps passer. Et dire qu’il avait un vol pour Rome dans même pas deux heures. En vue de cette période estivale, arriver dans les temps à l’aéroport allait relever du miracle ! Il n’avait même plus le temps de rentrer chez lui pour prendre une douche et se changer. Quel abruti inconscient il pouvait être parfois. Assit derrière son imposant bureau, Dario attrapa son Iphone dernier cri et composa le numéro de son chauffeur privé en qui il avait une confiance aveugle. Il le payait plus que bien et il savait parfaitement qu’il pouvait compter sur lui. Lorsqu’il décrocha après seulement une seule sonnerie, Dario lui demanda de passer chez lui récupérer la petite mallette qu’il avait prévue d’emporter avec lui. Il n’avait besoin de rien d’autre, se rendant directement dans son appartement italien. Il avait prévu de passer le réveillon seul sans personne, à signer un contrat de plus d’un million de dollars avec des investisseurs aussi requins que lui dans le monde des affaires. Kyle viendrait ensuite le chercher à son bureau et l’emmènerait directement à l’aéroport. Mais le temps paressait jouer contre lui tout à coup. Il n’avait pas du tout été prévoyant. (…) C’était plus de huit heures de vol qui l’attendait et il n’avait rien prévu pour tuer le temps. Même s’il était en classe bisness, il craignait fort de ne pas pouvoir s’endormir. Il était arrivé avec une demi-heure d’avance, ce qui lui laissait amplement le temps à son avis de se diriger vers les bornes pour s’enregistrer et enfin monter tranquillement dans l’avion. Kyle avait parfaitement géré le trajet et grâce à lui son contrat et sa signature était sauvée. Enfin c’était ce qu’il pensait. Tel un homme d’affaires pressé, il déambulait dans les couloirs bondés de boutiques, dépassant et évitant de nombreuses personnes, qui se montraient probablement d’humeur joyeuse en cette période de fêtes. Mais lui ressentait tout autre chose. Il n’aimait pas la foule et encore moins se sentir en retard. Il frôla une femme et en dépassa une autre de justesse, ayant été sur le point de la renverser. Ce ne fut que lorsqu’il se rendit compte que la silhouette qu’il avait frôlée lui rappelait vaguement quelque chose qu’il se stoppa net sur place. S’attirant les foudres de quelques passants qui ne s’étaient pas attendu à le voir s’arrêter si soudainement, il les ignora et retroussa son chemin…Si subitement que son cœur s’arrêta dans sa poitrine. « Eliza..beth ? » chuchota-t-il en se postant derrière la personne qu’il avait cru reconnaître. Inaudible pour ladite femme, il sut instantanément qu’ll aurait pu reconnaître ce profil entre mille. De par ses jambes interminables à cette sublime chevelure blonde foncée. Il avait encore des souvenirs plein la tête et n’avait pas oublié leurs précieux moments sous la couette. « J’espère que ce café est aussi savoureux que je ne savais l’être… » lui murmura-t-il alors après cette rapproché d'elle, le coeur battant à mille, totalement secoué de la trouver ici, tel un miracle de Noël....

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Encore un joyeux anniversaire take me to new-york (dario) 1975938187
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() message posté Ven 23 Déc 2016 - 13:12 par Invité
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There is no place like it, no place with an atom of its glory, pride, and exultancy. It lays its hand upon a man’s bowels; he grows drunk with ecstasy; he grows young and full of glory, he feels that he can never die.. ✻✻✻ Perdue sur cette application la jeune femme s'était complètement déconnectée du monde alentour, trop occupé à faire avancer ce petit bonhomme qui courrait après son bus tout en essayant de lui faire éviter les obstacles et autant dire les choses : ce jeu était particulièrement rageant, il faisait bien ce job en lui faisant passer le temps mais il était réellement rageant et elle grommelait silencieusement en se crispant lorsqu'elle reprenait le même niveau pour la cinquième fois consécutive. Par prudence la jeune femme jeta un nouveau coup d’œil à l'heure, vingt minutes s'étaient écoulées depuis son arrivée à l'aéroport et il lui restait donc une heure pour se préparer mentalement au décollage et pour calmer son excitation de mettre les pieds à New-York, malgré toutes ces escapades dans la magnifique ville elle ressentait toujours la même excitation que la première fois où elle y avait mit les pieds. Une voix la tira de ses pensées mais elle ne releva pas la tête dans un premier temps trop occupé à terminer ce fichu niveau « vous devez vous tromper de personne. », non parce que vu la phrase il fallait être quand même particulièrement intimes et elle ne se souvenait pas de l'avoir été à ce point avec quelqu'un sauf avec ce bel italien chef d'entreprise dont elle n'avait pas recroisé la route. La jeune femme poussa un petit cri d'exclamation une fois son niveau terminé - et gagné ! - et daigna enfin relever la tête vers l'inconnu qui lui avait adressé la parole et n'avait pas bougé depuis, la voix de ce dernier n'avait pas fait tilt dans sa tête mais un simple coup d’œil  sur les vêtements chics de l'homme lui suffisait pour qu'elle se remémore foule de souvenirs en tête : un café brûlant renversé sur une chemise blanche, un appartement luxueux, des caresses, des baisers, des mots doux, de la tendresse, une douche ... Très lentement elle déposa son regard sur le visage de Dario, le fameux bel italien chef d'entreprise dont elle avait partagé le lit par le passé. « Dario ! », elle était partagée entre l'envie de lui sauter au cou - parce qu'elle devait bien admettre qu'elle avait apprécié sa compagnie autant pour leur discussion que pour leur relation sexuelle - et le fait de garder ses distances parce qu'elle ne savait pas ce qui s'était déroulé dans la vie de l'homme depuis leur dernière rencontre, peut-être avait-il rencontré quelqu'un, réalisé que coucher avec une minette de la vingtaine c'était une erreur pour lui, pas mal de scénarios qui l'obligeait à simplement se lever en fixant le regard de l'homme. « Tu pars en voyage ? », muni simplement d'une mallette elle se doutait bien qu'il n'allait pas prendre un avion direction les maldives mais peut-être plus pour rejoindre sa ville natale ou alors il attendait simplement quelqu'un qui n'allait pas tarder à atterrir à l'aéroport londonien, mais tout cela ne la regardait pas. Comme pour répondre à ses interrogations silencieuse l'une des hôtesse s'était approchée du duo improbable pour informer Elizabeth que « votre vol pour new-york a rattrapé son retard et sera là dans une trentaine de minutes, nous nous excusons du dérangement » que la jeune italienne accueillit par un large sourire à l'adresse de la femme. La jeune femme but la dernière gorgée de son café avant de jeter le gobelet dans la poubelle la plus proche et de reprendre la parole d'un ton amusé « aucun risque que je ne te le renverses dessus comme ça », faire une seconde fois preuve de maladresse aurait été particulièrement inquiétant, même si elle trouvait l'homme ô combien charmant elle n'était plus une adolescence qui devait s'éventer en voyant le beau et musclé joueur de basket pendant son entraînement. Lors de leur première - et ce qui avait été pour elle la dernière jusque là - entrevue, il lui avait confié qu'ils n'étaient peut-être pas destinés à être des amants d'une seule et unique nuit, dans leur cas matinée en réalité - et alors qu'elle se retrouvait miraculeusement en sa présence dans cet aéroport elle commençait presque à approuver silencieusement ces propos. « Tu pars où ? », elle faisait sa curieuse mais elle ne voulait pas que la discussion s'épuise, discuter avec lui était bien plus agréable que se prendre la tête sur catch the bus, en fait. Mêlant son rire au brouhaha ambiant elle ne put s'empêcher de le taquiner légèrement en se rapprochant de son oreille pour lui murmurer quelques mots « si je peux me permettre, je te conseilles Venise, c'est quand même la plus belle ville d'Italie. », ce rapprochement lui permettait de sentir son parfum, le même dont elle avait tant profité lors de leurs caresses et elle sentait de nouveau une légère boule se former dans son estomac, l'obligeant à se reculer précipitamment pour reprendre ses distances.

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() message posté Dim 25 Déc 2016 - 23:06 par Invité
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Dario & Elizabeth

It had to be you, it had to be you, I wandered around, and finally found, the somebody who could make me be true, and could make me be blue. It had to be you.   ✻✻✻ Incroyable. Il en était tout simplement émerveillé. Combien de chances et de probabilités il existait sur une planète pour qu’il puisse tomber nez à nez avec la jeune femme qui n’avait pas vraiment quitté son esprit depuis qu’il avait eu le plaisir de passer une journée en sa compagnie, un mois auparavant ? C’était comme si le destin lui envoyait un message, il ne savait pas vraiment. Dans tous les cas, c’était tout simplement hors du commun qu’il arrive à la retrouver parmi une foule aussi immense dans un aéroport aussi bondé durant les fêtes. Tandis qu’il s’apprêtait à se rendre aux bornes d’enregistrement pour pouvoir avoir son vol direction Rome à l’heure, il s’était aperçu d’une silhouette qu’il avait appris à savourer sous toutes ses coutures lors d’un moment plus que charnel… Il s’était donc rapproché de la jeune femme sans réellement avoir la certitude qu’il s’agissait d’Elizabeth et lui avait susurré quelque chose d’assez cocasse. Plongée sur son téléphone et café en mains, il se figea sur place lorsqu’il l’entendit prononcer ses quelques paroles. « vous devez vous tromper de personne. » Fronçant les sourcils, il se rapprocha un peu plus avant de sourire, la reconnaissant cette fois-ci à la perfection, d’autant plus qu’elle était de profil ce qui était plus que troublant. « Vraiment ? » D’une voix sensuelle, il attendait simplement à ce qu’elle ne daigne relever son visage vers le sien et qu’elle le reconnaisse à son tour, ce qui ne tarda pas. « Dario ! » Un sourire se dessina sur le visage du milliardaire lorsqu’il constata l’illumination présente chez la jeune femme. Elle garda cependant ses distances et il remarqua une pointe de déception en son for intérieur. Il aurait bien aimé la serrer dans ses bras mais, comment se comporter avec une femme qui n’avait partager qu’une journée de votre vie ? Bien qu’il lui semblait la connaître à présent. « Tu pars en voyage ? » l’observant le détailler, il haussa simplement les épaules. « Effectivement, sinon je ne serai pas ici. J’imagine que toi non plus… » Mais où pouvait-elle bien aller ? Sans trop savoir pourquoi, à présent son contrat lui semblait bien loin et il avait juste envie de passer du temps avec elle. Une annonce pour l’enregistrement du vol en direction de New-York retentit et il lui sembla que l’attention de la jeune femme se captiva rapidement pour celui-ci. Il l’observa ensuite jeter son café dans un poubelle et ria face à ses paroles. « Si c’est pour finir comme la dernière fois, j’aurai été ravi que tu ne le renverse sur moi… » C’était tout lui ça, toujours prêt à montrer qu’il était d’humeur joueuse. Il la trouvait de plus très ravissante. Il observa ses alentours, se demandant si elle était seule et ce qu’elle pouvait bien faire ici. Peut-être attendait-elle quelqu’un ou était-elle venue chercher quelqu’un ? « Tu pars où ? » Décidément, elle lui coupait l’herbe sous le pied. « Là où le vent m’emmène et toi ? » Il lui décrocha le sourire le plus charmeur qu’il avait en réserve, la dévorant littéralement du regard. Se rapprochant alors de lui, elle le figea littéralement sur place « si je peux me permettre, je te conseilles Venise, c'est quand même la plus belle ville d'Italie. » Elle était décidément pleine de ressources cette jeune femme vu qu’elle avait bien retenu qu’il venait d’Italie, mais elle n’avait pas mentionné la bonne ville. « Je veux bien te croire mais ce n’est pas là où je me rends… Une prochaine fois peut-être… » Il s’approcha alors d’elle tout en sentant étrangement comme son cœur s’accélérait dans sa poitrine et frôla une de ses joues à l’aide de ses lèvres. « Quelle drôle de coïncidence de te trouver ici.. n’est-ce pas ? Je prends ça comme un signe de Noël, personnellement. » Se reculant, il ria doucement tout en jetant un regard aux alentours. A présent, il ne devait plus que lui rester que vingt-cinq minutes pour attraper son vol…

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() message posté Mar 27 Déc 2016 - 14:16 par Invité
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Dario & Elizabeth

There is no place like it, no place with an atom of its glory, pride, and exultancy. It lays its hand upon a man’s bowels; he grows drunk with ecstasy; he grows young and full of glory, he feels that he can never die.. ✻✻✻ Qu'elle coïncidence ! Elle ne pouvait calculer le pourcentage de chance de retrouver son amant d'une matinée en plein cœur d'un aéroport alors qu'elle s'apprêtait à prendre un vol direction New-York mais les faits étaient là et elle devait admettre qu'elle n'était pas mécontente de le retrouver. Une fois sortie de son lit elle avait pendant plusieurs jours songé à lui envoyer un sms pour garder contact et pourquoi pas se revoir mais elle avait souvent commencé un début de sms qu'elle avait ensuite précipitamment effacé. Au fil des jours l'homme avait finalement quitté ses pensées et elle n'avait plus vraiment repensé à lui jusqu'à aujourd'hui où il était venu la rejoindre. Pourquoi, d'ailleurs ? Il aurait certainement pu tracer son chemin sans faire attention à elle, ou quand bien même après l'avoir reconnue ne pas rebrousser chemin pour venir lui parler mais non seulement il l'avait reconnue mais en plus était venu la saluer comme si ils étaient amants de longues dates et s'étaient revus à plusieurs reprises durant le mois. Même si au début elle s'était montrée sur la réserve trop occupée qu'elle était à tenter de passer le niveau sur son smartphone, elle avait finalement relevé sa tête pour reconnaître son interlocuteur mais avait quand même conservé une certaine barrière invisible pour s'empêcher de se blottir dans les bras de Dario « Effectivement, sinon je ne serai pas ici. J’imagine que toi non plus… » La jeune femme acquiesça silencieusement d'un signe de la tête, effectivement elle attendait pour prendre un vol. Pas n'importe lequel qui plus est puisque c'était pour rejoindre sa ville fétiche et qu'elle recommençait à avoir hâte d'y être, elle savait qu'elle y évoluait comme un poisson dans l'eau, elle connaissait quasiment toutes les rues et savait avec précision dans quel endroit se trouver pour le nouvel an. « Si c’est pour finir comme la dernière fois, j’aurai été ravi que tu ne le renverse sur moi… » un léger rire s'échappa de sa gorge avant qu'elle ne reprenne la parole « pas cette fois-ci, je ne prendrais pas le risque de rater mon vol. », elle espérait ne pas le blesser dans ses propos parce que ça n'avait vraiment rien à voir avec lui et elle aurait partagé son lit une seconde fois avec grand plaisir mais elle ne pouvait se résoudre à tirer un trait sur son nouvel an à New-York. Elizabeth continuait de garder une certaine distance et à peine le contact établi avec l'homme elle s'était empressée de reculer, gardant en tête qu'elle n' l'avait pas revu depuis un mois et qu'il était peut-être casé dorénavant même si son sourire charmeur pouvait lui laisser croire le contraire, comme il pouvait laisser sous-entendre qu'il était infidèle. Quoiqu'il en soit elle n'allait certainement pas se jeter autour de son cou et déposer ses lèvres sur les siennes comme elle l'avait fait un mois auparavant, pas dans un aéroport. La voix du chef d'entreprise la tira de ses rêveries « Là où le vent m’emmène et toi ? », dans un premier temps elle fronça les sourcils, pourquoi lui faisait-il des cachotteries en refusant de révéler sa destination ? Elle n'était pas idiote, un homme aussi organisé et surtout chef d'entreprise ne prenait certainement pas l'avion pour une destination choisie au hasard, c'était grotesque. Sans chercher à fouiner plus elle répondit tout de même à sa question « je pars à new-york. », un sourire moqueur s'était installé sur ses lèvres « tu veux venir ? » une proposition en l'air pour le taquiner, elle ne l'invitait pas vraiment à embarquer à ses côtés pour rejoindre nyc. Nouveau contact physique, cette fois-ci par Dario dont les lèvres venaient de frôler ses jours, elle fronça les sourcils en se pinçant les lèvres et recula légèrement alors qu'il en faisait de même pour creuser l'écart entre leurs deux corps, ce ne fut qu'à une distance plus raisonnable qu'elle retrouva un visage un peu plus joviale et moins renfrogné. « Nous vivons tous les deux à Londres et pendant cette période les voyages sont fréquents alors ce n'est qu'une simple coïncidence. » elle croisa les bras en plongeant son regard dans celui du bel italien qui lui créait des papillons dans le ventre et qu'elle s’efforçait pourtant de repousser « et grâce à ton œil de faucon, personnellement je ne t'avais pas remarqué. »

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() message posté Mer 28 Déc 2016 - 19:18 par Invité
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Dario & Elizabeth

It had to be you, it had to be you, I wandered around, and finally found, the somebody who could make me be true, and could make me be blue. It had to be you.   ✻✻✻ Combien de temps avait-il passé à penser à elle au cours de ce dernier mois écoulé ? Des centaines d’heures ? Peut-être même plus ? Lui qui enchaînait les femmes, il n’avait pas pu en toucher une autre de plus depuis qu’il avait tenu Elizabeth entre ses bras. Et bien sûr il avait songé à la rappeler et lui proposé un rendez-vous pour la revoir mais les choses s’étaient enchaînées les unes après les autres et si ce n’était pas l’envie qui lui avait manqué, c’est bien plus le temps, malheureusement. Et bref, la découvrir dans un aéroport bondé, c’était comme si le destin lui faisait une fleur. Elle était tout aussi ravissante que dans ses souvenirs et encore une fois, ce n’était pas l’envie de la serrer dans ses bras qui lui manquait, au contraire. Elle lui demanda s’il partait en voyage, et si en temps normal, il aurait usé de tout le cynisme qu’il avait en réserve pour remballer les gens qui cherchaient trop à en savoir sur lui, il ne lui décrocha qu'un petit sourire suivi d’une phrase bien placée. Tout comme elle, s’il se trouvait là c’était parce qu’il devait partir quelque part. D’ailleurs, il ne lui restait plus beaucoup de temps avant de prendre son vol. Il n’allait pas le rater quand même… Surtout vu ce qu’il y avait à la clé. Quoique… Où allait-elle ? « pas cette fois-ci, je ne prendrais pas le risque de rater mon vol. » Dario forma un « ah? » silencieux avec ses lèvres, laissant une trop grande curiosité prendre le dessus sur lui. Mais plus encore, il se demanda si elle comptait voyager seule. « Ta destination à l’air d’être très importante. » répliqua-t-il alors avec un petit sourire en coin. Il avait envie qu’elle ne lui crache le morceau. Diable, comme elle l’attirait. Il ne put répondre qu’une métaphore sur le vent lorsqu’elle lui posa une question un peu plus poussé car justement, il ne voulait pas lui révéler où il se rendait avant elle. Il attendit alors un peu plus pour découvrir où elle allait. Il devait aussi chercher à savoir si elle s’y rendait seule ou bien allait-elle rejoindre quelqu’un… ? Secouant la tête, il se figea lorsqu’il entendit sa réponse. « je pars à new-york. » Et merde. « tu veux venir ? » Sa proposition lui arracha un plus grand sourire, il s’imaginait déjà assit à côté d’elle dans l’avion. « Vraiment ? Quelle coïncidence en effet, car c’est là que je vais aussi. » Quoi ? Pouce, que venait-il de dire ? Que ne ferait-il pas pour une femme… « Donc oui, je veux bien venir… » C’est comme si une petite voix c’était immiscé en lui et lui demandait ce qu’il comptait bien faire de son contrat en or… Tant pis ! S ‘il vivait pas à trente-cinq ans, quand allait-il le faire ? Il prendrait bien ses huit heures de vol avec elle avec plaisir. Il n’aurait qu’à prendre un jet plus tard pour rentrer en Italie… Il avait trop pensé à elle pour laisser cette occasion disparaître. « Nous vivons tous les deux à Londres et pendant cette période les voyages sont fréquents alors ce n'est qu'une simple coïncidence. » Qu’elle lui jette un seau d’eau en plein visage, c’était exactement pareil. « Ah, je vois. » Il fronça les sourcils en se demandant si elle n’avait pas un peu trop changé en l’espace d’un mois. « et grâce à ton œil de faucon, personnellement je ne t'avais pas remarqué. » Il ria cette fois-ci. Aucun doute, elle avait quelque chose de bien différent. « Normal, je sais me fondre dans la masse. Toi en revanche, tu es trop remarquable. » Réalisant une petite mimique qui disait « désolé mais c’est comme ça », il jeta un regard aux alentours. Trop imprévisible, oui il était capable de changer ses plans en deux secondes. Et vu l’annonce qu’ils venaient d’entendre, ils devaient se dépêcher en espérant qu’il puisse avoir un billet de dernière minute. « Si tu es seule, que dirais-tu de ma compagnie ? Sauf si tu as juste envie de montrer les crocs ? » Sitôt dit, il lui indiqua le chemin alors qu’il se mettait à marcher en direction des enregistrements.

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() message posté Jeu 29 Déc 2016 - 13:28 par Invité
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There is no place like it, no place with an atom of its glory, pride, and exultancy. It lays its hand upon a man’s bowels; he grows drunk with ecstasy; he grows young and full of glory, he feels that he can never die.. ✻✻✻ Elle était dans le paradoxe le plus total, partagée entre l'envie irrésistible de fondre dans ses bras et de retrouver la sensation de ses lèvres sur les siennes et celle de le fuir comme la peste pour empêcher les papillons de revenir se loger dans le creux de son ventre. Elizabeth n'avait jamais pensé aux conséquences de leur rencontre, ils avaient commencé à flirter de manière anodine avant de finir dans le même lit et pourtant elle n'avait jamais imaginé pouvoir le recroiser un mois plus tard et surtout voir resurgir des souvenirs qu'elle aurait préféré oublier - non pas qu'ils n'étaient pas plaisants mais pour se protéger d'elle-ne-savait-pas-vraiment-quoi. Les faits étaient pourtant bien présents : elle était sur la défensive, reprenant la parole d'une voix sèche comme si elle préférait que l'entrevue se termine et fuyant tout contact physique. La jeune apprentie styliste s'était d'ailleurs replongée dans le silence, acquiesçant à peine aux paroles de l'homme qui lui plaisait tant; parce que oui, elle devait bien admettre que cet homme lui plaisait un peu trop pour ne pas avoir envie de franchir un nouveau cap avec lui mais elle restait persuadée qu'avec son physique et leur différence d'âge il avait certainement d'autres chats à fouetter que se mettre en relation avec une minette de vingt-trois ans. « Vraiment ? Quelle coïncidence en effet, car c’est là que je vais aussi. [...] Donc oui, je veux bien venir… » la jeune femme releva la tête précipitamment pour plonger son regard dans celui de Dario, il venait à new-york ? elle se souvenait très bien de leur rencontre où il lui avait avoué préférer washington et il venait à new-york ? drôle de coïncidence, elle l'imaginait déjà à côté d'elle dans l'avion et peut-être même dans les rues de la célèbre ville américaine « voyage d'affaires ? », elle avait du mal à concevoir qu'un italien chef d'entreprise à londres ait besoin de voyager à nyc pour conclure des affaires mais elle n'y connaissait pas grand chose dans ce domaine, et puis la marque de luxe pour laquelle elle travaillait d'arrache-pied était bien italienne pourtant eli bossait à londres et la marque était exportée aux états-unis, finalement ce n'était peut-être pas si étonnant que ça un voyage d'affaires sur le sol américain. De nouveau, le silence. Elle qui prenait toujours un malin plaisir à déballer sa vie, elle se trouvait bien silencieuse et timide ce jour-là. Elle écoutait ce que son amant avait à lui dire mais elle n'apportait pas de réponse, se contentant de bref "mh" pour donner son avis, qu'il soit positif ou négatif. En tout cas sa nouvelle méthode fut bien brièvement utilisée parce qu'il l'invita à l'accompagner aux enregistrements, si elle ne le suivait pas et qu'elle attendait qu'il soit loin elle prenait le risque de louper son vol, elle devait prendre un peu sur elle « allons-y. » aucun commentaire sur le fait qu'elle montrait les crocs, sa compagnie devait être bien moins agréable qu'un mois auparavant. Avec cet aéroport bondé il était délicat de se frayer un chemin dans la foule et très rapidement elle glissa sa main dans celle de Dario pour éviter de le perdre et d'être entraînée plusieurs mètres loin de lui. Tant pis pour la barrière infranchissable qu'elle s'était imposée, elle n'avait pas envie de louper son avion. Les enregistrements, enfin. Alors qu'elle avait l'intention d'accélérer le pas, elle sentit un choc dans son dos provoqué par une femme qui voulait passer et ne faisait pas attention à ce qui l'entourait, la jeune apprentie styliste se retrouva collée contre le corps de Dario « non mais surtout qu'elle ne s'excuse pas cette ... », sa voix se coupa alors qu'elle relevait son visage vers celui de Dario, sans savoir ce qui se passait dans sa tête à ce moment là elle se hissa sur la pointe de ses pieds pour venir déposer ses lèvres contre celles du chef d'entreprise, dans un doux et agréable baiser. Un doux et agréable baiser ? Une fois l'information à son cerveau, la jeune femme se détacha immédiatement du corps de son interlocuteur « je suis désolée. je suis désolée. je ne sais pas ce qui m'a prit, ne dis rien à ta femme surtout pas si elle est enceinte ... si tu as une femme ... et qu'elle est enceinte ... ou que je suis enceinte ... ou qu'on est mariés ou ... oh ! les enregistrements ! » Lempicka aspira une grande bouffée d'air frais pour tenter de calmer ses nerfs parce qu'elle allait finir par inquiéter le personnel de l'aéroport à ce rythme là.

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() message posté Ven 30 Déc 2016 - 13:41 par Invité
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Dario & Elizabeth

It had to be you, it had to be you, I wandered around, and finally found, the somebody who could make me be true, and could make me be blue. It had to be you.   ✻✻✻ Et dire que la femme à laquelle il pensait depuis un mois à présent, se trouvait juste en face de lui. Impossible n’allait plus faire partie de son vocabulaire. D’autant plus que la première fois qu’il l’avait rencontrée, cela c’était aussi passé d’une façon totalement inattendue. Mais il adorait ça, les choses imprévues. Surtout lorsqu’elles allaient dans le bon sens. Et rencontrer Elizabeth alors que c’était totalement quelque chose d’inespérée, ne pouvait que lui faire croire en l’esprit de Noël. « voyage d'affaires ? » Dario acquiesça silencieusement. C’était bien pour un voyage d’affaires qu’il partait en voyage. Il allait faire la signature d’un super contrat qui pouvait lui rapporter gros. Une entreprise voulait faire bâtir un nouveau building d’affaires et elle voulait avoir recours à lui pour ses plans modernes. Evidemment, il avait réussi à se faire un nom tout aussi bien à Londres qu’à Rome, d’où cet appel imprévu qu’il avait reçu à la dernière minute. Il avait juste eu le temps de délaisser les rennes à son assistant le plus compétant, et accessoirement bras droit, avant de sauter dans la voiture de son chauffeur pour venir jusqu’ici. « Et toi ? » Peut-être voyageait-elle pour son boulot ? Dans tous les cas, il avait vraiment été surpris d’apprendre qu’elle se rendait à New-York et plus encore lorsque sa propre bouche avait formulé qu’il irait lui aussi là-bas. Mais qu’est-ce qui lui était passé par la tête, punaise ? Et son contrat ? Dans tous les cas, peu importe, il n’allait pas cracher sur le moindre moment qu’il pouvait passer avec elle, d’autant plus qu’il crevait d’envie de l’embrasser et qu’il y résistait comme jamais. Après tout, ils n’avaient été amants qu’une fois, il n’avait aucun droit sur elle. Il lui proposa alors sa compagnie jusqu’au moins l’enregistrement, en espérant qu’il restait encore un billet de libre. « allons-y. » Elle n’avait d’ailleurs pas montré le moindre enthousiasme quant au fait qu’il allait prendre le même vol qu’elle. Avait-elle quelqu’un dans sa vie ? Bizarrement, cette simple pensée lui mit les nerfs à vif. Ils se mirent donc à avancer dans la foule endiablée et Dario se rassura en sentant la main de la jeune femme se glisser dans la sienne, probablement pour ne pas être entraînée en arrière et le perdre. Plus que content malgré la froideur dont elle faisait preuve et surtout parce qu’il était arrivé seul et qu’il repartait en sa compagnie, il resserra sa main sur la sienne pour ne pas la lâcher. Il n’arrêta son rythme que lorsqu’il l’entendit grommeler dans son dos. « non mais surtout qu'elle ne s'excuse pas cette ... » Cela eut le don de le faire sourire et son regard se figea lorsqu’il croisa le sien. Etrangement, son cœur s'accéléra dans son torse et il fut assailli par un doute qu’il ne connaissait pas encore. Il ne se prit qu’une décharge électrique le sortant de sa torpeur lorsque la jeune femme se hissa sur la pointe des pieds pour déposer ses lèvres sur les siennes. Repeat please ? Que venait-il de se passer ? C’était à peine s’il avait eut le temps de fermer les yeux pour savourer ce moment qu’elle se détachait à nouveau de lui. « je suis désolée. je suis désolée. je ne sais pas ce qui m'a prit, ne dis rien à ta femme surtout pas si elle est enceinte ... si tu as une femme ... et qu'elle est enceinte ... ou que je suis enceinte ... ou qu'on est mariés ou ... oh ! les enregistrements ! » Papillonant des yeux, le flot de paroles qui s’échappait de ses lèvres le laissa bouche-bée. Il n’avait eu le temps d’assimiler que « enceinte, il a une femme, être mariés. » Quoi ? –feur. Il eut alors subitement la sensation qu’elle allait s’échapper et entoura son bassin à l’aide de son bras libre pour la plaquer contre lui. « Eh, tout va bien ? » Comment lui dire qu’il venait d’apprécier à fond ce mini – baiser ? Non valait peut-être mieux garder ça pour lui, pour ne pas l’inquiéter. Elle avait l’air dans tous ses états. Il l’entraîna alors derrière la file d’attente pour s’enregistrer en direction de New-York. Il eut alors la brillante idée de sortir son téléphone portable et de se dégoter un vol de dernière minute. Le même que le sien. Il avait beaucoup de chance pour ce coup-ci. Connaissant les chiffres de ses comptes à la perfection, il se l’acheta en un mouvement de clics, retenant son attention que par quelques mots. « Alors ma douce ? Te serais-tu transformé en la reine des glaces au cours de ce dernier mois ? » Une fois son achat fini, il replongea son téléphone dans la poche intérieure de sa veste, s’apprêtant à le sortir à tout moment pour scanner son billet virtuel. Il releva alors son visage et fixa celui de son interlocutrice. Le frapperait-elle si jamais il venait à l’embrasser ? Il en crevait d’envie à vrai dire. Mais il fallait y aller doucement non ? Il se pencha alors en avant aspirant une bonne bouffée de son odeur. « Ne t’ai-je pas encore dit que je te trouvais franchement désirable ? » Ok pour la douceur, il repassera.

✻✻✻
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() message posté Sam 31 Déc 2016 - 13:56 par Invité
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Dario & Elizabeth

There is no place like it, no place with an atom of its glory, pride, and exultancy. It lays its hand upon a man’s bowels; he grows drunk with ecstasy; he grows young and full of glory, he feels that he can never die.. ✻✻✻ Elle se retrouvait dans une situation des plus grotesques, elle était venue à l'aéroport dans l'espoir de décoller direction nyc et voilà qu'elle se retrouvait en la charmante compagnie de son amant rencontré le mois dernier. Malgré le peu de temps qu'elle avait eut pour elle ces derniers temps elle avait quand même trouvé du temps libre pour sortir dans les bars et pourtant elle n'avait jamais remit un homme - ou une femme - dans son lit depuis qu'elle avait partagé celui de Dario. Elle ne s'était d'ailleurs jamais vraiment posé de question par rapport à cette décision, mettant ce choix sur sa volonté de changer de comportement mais maintenant qu'elle se retrouvait face au chef d'entreprise elle se demandait si il n'avait pas quelque chose à voir avec tout ça. C'était étrange, ils n'avaient couché ensemble qu'une seule fois et malgré la tendresse du moment elle ne comprenait pas pourquoi elle continuait d'être attirée par lui. Au delà de son physique ravageur il dégageait une prestance et un charisme qui attirait le regard des femmes mais pour la jeune apprentie styliste il y avait autre chose qui se mêlait au tableau et qui la poussait à vouloir fondre dans ses bras, si seulement elle ne maintenait pas la barrière qu'elle s'était imposée. « Et toi ? », elle releva la tête vers son interlocuteur : non pas de voyage d'affaires pour sa part, de simples vacances dans sa ville préférée et surtout un nouvel an majestueux, cette simple pensée lui arracha un sourire et sembla l'adoucir pendant quelques secondes « nouvel an à new-york, je ne manquerai ça pour rien au monde. » ou presque. Évidemment elle adorait le Times Square Ball Drop mais si un problème survenait dans sa famille elle n'allait pas se précipiter à new-york mais bel et bien à venise pour vérifier que tout le monde allait bien. Mais il était évident que cette fois Dario ne pourrait pas la retenir avec des caresses et des baisers, quand bien même il se retrouvait dans le même vol qu'elle « on essaiera de se croiser, si tu veux. », à peine prononcées elle regrettait déjà ces quelques mots qui signifiaient qu'elle avait envie de le revoir. En plein coeur de New-York en plus, ce n'était pas anodin, surtout pour le nouvel an où elle risquait d'être alcoolisée et de l'inviter dans sa chambre d'hôtel. De nombreux scénarios se bousculaient dans sa tête alors qu'elle avançait aux côtés du chef d'entreprise, avant d'être bousculée par une femme pressée. Le reste s'enchaîna si rapidement qu'elle-même ne savait plus où donner de la tête, elle avait déposé ses lèvres sur les siennes dans un doux baiser mais plus que bref avant de frôler la crise de panique. Alors qu'elle s'apprêtait à s'éloigner, la jeune lempicka sentit un bras s'enrouler autour de son bassin et rencontra une nouvelle fois le torse du bel italien contre lequel elle se colla. « Eh, tout va bien ? », elle dodelina de la tête sans vraiment savoir quoi répondre, se contentant de resserrer sa main autour de la poignée de sa valise. Dans quel genre de situation s'était-elle de nouveau fourrée ? Un soupir s'échappa de ses lèvres alors qu'elle relevait de nouveau son visage vers celui de Dario « tu ne m'as jamais rappelé. » au moins c'était clair et net, elle non plus ne l'avait pas fait et ce n'était pas un reproche qu'elle formulait mais une simple constatation. Malgré ce qu'ils avaient partagé ni l'un ni l'autre n'avaient tentés des retrouvailles, ils se retrouvaient en présence de l'un et de l'autre contre leur gré dans un aéroport et même si elle devait admettre que c'était quand même agréable, elle ne partageait pas les pensées de Dario au sujet de la magie de noël. c'était du hasard, un simple hasard. Elizabeth jeta un rapide coup d’œil vers Dario en fronçant les sourcils, sérieusement il ne réservait un billet d'avion pour new-york que maintenant ? Pour un voyage d'affaires c'était quand même un petit limite de réserver son billet pour une destination aussi prisée en cette période et surtout quelques minutes seulement avant le vol  « tu es sûr que tu vas à new-york ? » Elizabeth plissa les yeux en fixant le doux visage du chef d'entreprise, elle ne voulait pas réellement douter de sa parole mais la coïncidence lui paraissait un petit peu trop grosse alors qu'il avait joué le mystère avant qu'elle ne donne elle-même sa destination. Elle se détacha du torse de Dario en jetant des regards autour d'elle, il fallait vraiment commencer à se presser pour ne pas louper le vol « Alors ma douce ? Te serais-tu transformé en la reine des glaces au cours de ce dernier mois ? » ma douce ? ma douce ? D'un mouvement un petit peu trop rapide pour cacher ses doutes, elle tourna la tête vers Dario pour plonger un regard déterminé dans le sien. Elle donnait vraiment l'impression d'être une reine des glaces ? Elle se doutait bien qu'elle ne dissimulait pas sa froideur et qu'elle avait une tendance à lui répondre durement mais elle ne pensait pas être aussi froide qu'il pouvait bien lui laisser paraître « ça fait un mois, Dario. En un mois les choses changent, je ne sais pas ce qui se passe dans ta vie, peut-être que tu as quelqu'un maintenant. » ou peut-être que ce n'était pas le cas mais elle n'en savait rien et regrettait déjà le baiser avec l'idée même que si ce dernier était dorénavant en couple alors il était préférable de ne pas envisager des retrouvailles à nyc. Et pourtant la simple sensation de ses lèvres sur les siennes avait réveillé en elle des souvenirs de leurs caresses et elle avait ressentit immédiatement l'envie de les reprendre entre les siennes dans un baiser un petit peu plus appuyé. De nombreuses pensées se bousculaient dans sa tête dont celle de savoir si il ressentait la même envie, en tout cas si c'était le cas il se retenait avec brio. « Ne t’ai-je pas encore dit que je te trouvais franchement désirable ? », son rire se mêla au brouhaha de l'aéroport, quelle merveilleuse technique de drague elle allait vraiment devoir lui donner des cours parce que ce n'était pas de cette manière qu'il allait faire chavirer son cœur. « tu me trouves désirable ? on dirait pas. », elle faisait référence au fait qu'il n'avait pas levé le petit doigt pour prendre les devants et l'embrasser, certes il avait glissé son bras autour de sa taille pour la plaquer contre lui mais ce n'était pas franchement un signe qui pouvait prouver quoique ce soit. Retrouvant son petit sourire en coin, elle ne put s'empêcher d'adresser un clin d’œil provocateur à Dario « dépêchez-toi, on décolle bientôt. »

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() message posté Mer 4 Jan 2017 - 22:37 par Invité
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It had to be you, it had to be you, I wandered around, and finally found, the somebody who could make me be true, and could make me be blue. It had to be you.   ✻✻✻
Elle était là, juste devant ses yeux, la fille qui avait hanté son esprit durant des semaines. Il avait fallu qu’il ne tombe sur elle qu’en plein milieu d’un aéroport alors qu’il était sur le point de se rendre en Italie. Lui évidemment, il ne savait pas où elle se rendait, mais il savait qu’il avait déjà envie de la suivre, qu’elle ne montre un comportement froid et distant ou pas. Il ne put donc s’empêcher de lui demander où elle allait à une heure aussi proche des fêtes de fin d’année. « nouvel an à new-york, je ne manquerai ça pour rien au monde. » Alors elle avait du goût pour s’amuser cette jeune femme et il ne se cacherait pas pour le lui faire remarquer. Un jour, lorsqu’il aura compris ce qu’il ressentait vis-à-vis d’elle chaque fois qu’il la voyait. C’est incompréhensible pour lui. Pourquoi il se sentait autant attiré par elle d’ailleurs ? C’était d’ailleurs de manière toute aussi incompréhensible pour lui, qu'il lui affirma qu’il partait aussi là-bas. Bon sang, quelle mouche l’avait piqué ? « on essaiera de se croiser, si tu veux. » Pardon ? Il ne voulait pas la croiser lui, il voulait passer du temps avec elle, sinon aucun intérêt de faire semblant qu’il devait avoir la même destination qu’elle. Il leva les yeux au ciel et l’entraîna avec lui dans la cohue avant qu’elle ne se fasse bousculer par quelqu’un ce qui l’embêta profondément. Mais heureusement pour lui, cela déclencha chez Elizabeth une seconde réaction et elle se mit à l’embrasser. Brièvement d’ailleurs, ce qui ne fit que le frustrer un peu plus. Il ne comprenait pas son comportement et c’était troublant. N’avait-elle plus envie de passer du temps avec lui ? Après tout, ce n’était pas si incompréhensible que cela, il n’avait vécu qu’une journée ensemble, qu’un long moment. Elle pouvait tout aussi bien le reconsidérer comme un étranger…Mais ce baiser, diable ce baiser, il en voulait encore plein d’autres ! Lorsqu’il lui demanda si tout allait bien, sa réponse lui arracha une mimique désolée. « tu ne m'as jamais rappelé. » Soudainement mal à l’aise, il se souvint des paroles qu’il avait eut à son égard «  je ne te laisserai pas repartir sans que tu m’aies donné ton numéro.. » Quel goujat ! « Je sais…Et j’en suis vraiment désolé. Mais ce mois-ci a été plus que tendu pour moi avec les fêtes, les demandes ce sont déchaînées. » Il secoua la tête et posa une main sur son bras. « Mais pour t’être totalement honnête, j’ai beaucoup pensé à toi ce dernier mois… » Bah ça alors, il ne l’avait pas retrouvée depuis une heure que s’ayez il en était aux confidences. Une fois posés dans la queue des embarquements, Dario eut l’idée de s’acheter un billet via son téléphone. « tu es sûr que tu vas à new-york ? » Haussant les sourcils avec un faux air étonné, le trentenaire ne put retenir un sourire. « Moi ? Non c’est mon assistante, elle est incompétente et a oublié de faire ma réservation…Rendez-vous de dernière minute, tu comprends ? » Quel grossier mensonge. Mais sitôt dis, il n’avait pu s’empêcher de l’amadouer à sa sauce. Dans tous les cas, pourvue qu’elle ne se doute pas tout de suite de la supercherie. Elle plongea alors son regard dans le sien et Dario retint son souffle. « ça fait un mois, Dario. En un mois les choses changent, je ne sais pas ce qui se passe dans ta vie, peut-être que tu as quelqu'un maintenant. » Quoi ? Où voulait-elle en venir. Il fronça juste les sourcils pour lui montrer son mécontentement. « Je sais bien que les choses changent en un mois mais personnellement, tu me retrouves tel que tu m’as quitté. » Il venait de tout dire en quelques mots là, juste avant de rajouter qu’il la trouvait désirable. Et c’était vrai. Il n’y avait pas des toilettes dans cet aéroport ? Non parce qu’il l’y emmènerait bien. Elle se mit à rire et un sourire naquit sur ses lèvres. « tu me trouves désirable ? on dirait pas. » Sérieux ? Il envoyait tous les signaux pourtant. « Va pas croire. C’est la fiesta en mon for intérieur maintenant que je te vois. » Il ria à son tour alors qu’elle interpellait à nouveau. « dépêchez-toi, on décolle bientôt. » Il secoua la tête. « Ouais ouais, je vais trouver la personne assise à côté de toi dans l’avion et lui demander de bouger ses fesses. Tu pourras constater si je ne te trouve pas désirable. » Souriant, il fit scanner son téléphone et tous les deux s’engagèrent dans un grand couloir qui menait jusqu’à l’avion même. « Et toi alors ? Tu vas rejoindre quelqu’un ? » Il demandait cela innocemment bien qu’il redoutait profondément la réponse. « Attends, je vais t’aider avec ça » lui dit-il alors en prenant sa valise tel un vrai gentlemen.

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