Even the devil was once an angel (cameron)

Rosemary&Cameron
This is not a date is it ?
Cameron regarda le message qui venait d'arriver. Il s'agissait d'un sms de Rose qui devait probablement lui dire qu'elle avait décellée une pathologie psychiatrique comme à son habitude. Elle savait très bien que la jeune femme ne croyait pas aux possessions, aux esprits et encore moins aux fantômes à la grande différence de la blondinette. Cameron croyait en tout ça et c'était d'ailleurs bien pour ça qu'elle était intervenue lorsque Rosemary avait commencé à s'en prendre à un prêtre. Elle ne comptait pas laisser une femme se montrer méchante ou violente devant un membre d'un clergé. Non mais pour qui se prenait elle ? C'était un homme de foi qui apparemment croyait aux mêmes choses qu'elle. Toujours était il que bien que Cameron ait décidé de rester en dehors des problèmes et d'éviter de se faire remarquer depuis son arrivée à Londres, elle n'avait pas pu s'en empêcher. Son côté héroïne lui faisait parfois défault. Elle fini par lire le message de son amie. Inconscienmment, elle sourit, contente de sa victoire. Elle savait qu'elle avait raison, c'était comme ça, rien ne pouvait la contredire. De l'autre côté, elle avait déjà peur et elle eu la chair de poule. Elle avait beau savoir que le surnaturel existait, ce n'était pas pour autant qu'elle aimait ça et encore moins qu'elle était prête à l'affronter. Elle hésitait à laisser Rosemary se débrouiller toute seule en lui faisant croire qu'elle n'avait pas vu son message ou à le supprimer pour lui dire que « Non, Regarde, je n'ai rien reçu. » Cependant, elle se dit que ce ne serait surement pas très gentil pour elle et que pour une fois qu'elle avait besoin d'elle, il ne fallait pas qu'elle rate l'occasion et puis elle pourrait se moquer d'elle comme ça.

Elle regarda alors l'adresse qui lui était inconnue sur son téléphone. Ce n'était pas tout près et elle ne doutait pas qu'il lui faudrait bien une heure passée pour arriver. Surtout que la jeune femme n'avait pas de voiture. A quoi cela lui aurait il bien servit lorsqu'elle était à Londres. Il y avait assez de transport en commun sans qu'elle n'ait à se soucier d'avoir un véhicule pour elle bien qu'elle trouvait ça embêtan pour pouvoir voyager dans l'Angleterre même. Elle envoya un rapide sms à son amie, lui disant qu'elle allait venir mais vue l'adresse, elle ne serait pas là tout de suite et qu'elle devrait patienter quelque peu.

Cameron ne savait pas très bien comment elle pourrait aider son amie. Si elle s'y connaissait un petit peu en surnaturel pour chercher à en savoir plus, elle n'avait jamais été à proprement parler en contact directe avec une telle manifestation. Du coup, bien qu'elle ait quelques idées, elle ne serait probablement pas très utile. Elle connaissait les bases et quelques théories mais ça s'arrêtait plus ou moins là. Elle regardait le paysage défiler depuis près d'une heure. Le chauffeur avait arrêté de lui parler depuis peu voyant qu'elle tentait de se consacrer sur autre chose. Et puis surtout, elle n'était pas d'humeur à parler, se demandant devant quoi elle allait se retrouver par la suite. A peine arrivée, elle paya la course en le remerciant poliement. Elle s'arrêta quelques instants devant la maison. Cela ne lui indiquait vraiment rien de bon. Elle se sentait dans un film d'horeur et elle qui n'aimait pas ça se retrouvait bien servit dit donc. Elle tenta d'oublier le tout malgré qu'elle soit là pour des choses qui ne lui fasse que peu plaisir et sonna à la porte. Il lui sembla entendre des bruits très bizarre, comme si une bagarre avait commencé mais lorsque la mère de l'enfant ouvrit la porte, tout lui sembla se calmer comme pour ne pas lui faire peur. « Bonjour, je suis une amie de Rosemary, la psychiatre qui est venue voir votre fils? » La mère de famille regarda la jeune fille, pensant qu'elle avait l'air en bonne santé et qu'elle donnerait tout pour pouvoir se sentir aussi bien qu'elle sans se douter que Cameron était fausse. Elle paraissait bien mais ne l'était pas vraiment. Elle suivit la femme dans une deuxième pièce y trouant alors la brunette. « Je t'avais bien dit qu'il ne fallait pas se moquer des possessions. Et tu me dois 120£ pour le taxi d'ailleurs. » Cameron sourit mais elle vit bien que ce n'était pas du goût de son amie qui avait vraiment l'air d'avoir peur. Elle n'aurait jamais pensé voir Rosemary dans un tel état, elle qui semblait si sûre d'elle avait l'air d'avoir perdu sa confidence. Elle s'assit à côté d'elle. « Qu'est ce qu'il s'est passé ? » Cameron voulait en savoir un peu plus avant de pouvoir donner des idées. Elle ne voulait pas donner de faux espoirs à cette famille. Après tout, ce n'était pas son métier.

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Rosemary&Cameron
This is a dream right ?
Raina avait beau être policière, aller affronter des esprits ou des possessions n’était clairement pas son truc. Déjà, elle n’était pas des plus rassurée dans son métier, chose qu’elle tentait de vaincre au quotidien mais là, il était clair que c’était pire. Elle stressait tellement que si vous lui aviez touchiez l’épaule sans l’en avertir, elle en aurait probablement fait une crise cardiaque ou hurler comme un loup à la mort. Cependant, Rosemary l’avait appelé. Elle ne savait pas très bien pourquoi, peut-être parce qu’elle était policière et qu’elle avait peur que l’enfant ne la blesse ou alors tout simplement parce que c’était à cause de ça qu’elles s’étaient rencontrées et qu’elle la pensait compétente ? Raina n’avait pas pu faire autrement que de se mêler de la conversation de sa nouvelle amie lorsque celle-ci criait sur un prêtre que non, tout le monde « surnaturel » n’existait pas et que jamais au grand jamais, une possession ne pouvait être réelle. Elle, elle y croyait dur comme faire à tout ça. Elle avait regardé des émissions sur des phénomènes inexpliqués. Allez donc lui dire que ce qui s’est passé à Amityville n’était que des illusions paranormales et elle vous enverrait y habiter.

Elle avait donc décidé de venir en aide à son amie, c’était son jour de repos quel aurait bien aimé profiter. Ne pas aller à l’association même si elle adorait ça et juste se vautrer devant la télé en attendant qu’Autumn ne se décide à rentrer. Elle ne voulait pas sortir le moins du monde et si le message de son amie n’avait pas eu l’air si désespéré, elle l’aurait probablement laissé se débrouiller toute seule. Sauf que malgré tout, elle aimait aider les gens et là, c’était encore une des raisons de le faire bien que ce ne soit pas la même que d’habitude. Elle avait mis un peu plus d’une heure pour venir se terrer au fin fond de l’Angleterre ce qui n’était clairement pas rassurant. La maison non plus n’avait rien de rassurant et elle aurait préféré rester sur le pas de la porte plutôt que d’y pénétrer. Elle avait d’ailleurs pris une inspiration avant de sonner puis de rejoindre la psychiatre qui commença son débriefing. Elle lui parla d’un démon qui était complètement inconnu à la jaune femme. Nan mais c’est vrai quoi, elle avait assez à faire avec la vie réelle pour aller se plonger dans de tels films. Rosie lui répondit, lui demandant même si elle ne devrait pas appeler le prêtre qu’elle connaissait. « Est-ce qu’il est exorciste ? » Elle regarda la poignée. « Je préfère jeter un coup d’œil avant pour éviter de le faire déplacer pour rien. C’est une longue route jusqu’ici et ça ne sert à rien de le déplacer si ça ne vaut pas le coup. » Apparemment ça vaudrait le coup mais elle préférer éviter y penser et espérait que Rosemary se trompait. Elle ouvrit la porte doucement non seulement pour éviter de faire peur à l’enfant mais aussi, si quelque chose se passait, pouvoir la fermer rapidement. Elle entra suivit de Rose qui lui montra l’enfant. Certes, elle le voyait très bien toute seule mais elle ne put s’empêcher de sourire. Elle fixa l’enfant un instant. Ses yeux étaient vides, sans vie et l’on aurait pu croire qu’un poupon se tenait devant elle. Excepté que ce poupon était de la taille d’un enfant ce qui faisait quand même peur. Il ne clignait pas le moins du monde les yeux se qui commençait à lui faire peur. Personne ne pouvait tenir si longtemps sans fermer les yeux pour un millième de secondes. Restant sur ses gardes, Raina s’approcha de l’enfant. Elle n’en avait pas vraiment envie mais se dit qu’elle devait le faire. Quoi que si c’était une possession trop mauvaise, elle ne devrait probablement pas le faire, c’était ce qu’elle avait entendu. Parfois les âmes sont tellement noires ou la possession tellement forte que l’être à l’intérieur est violente et le premier habitant est comme prisonnier de ce qui se passe. Ca avait l’air d’être le cas ici mais elle préférait quelque peu l’ignorer ou plutôt, elle allait faire attention mais voulait s’approcher. Ce n’était pas comme si elle avait déjà été présente lors d’un cas de possession et au fond, cela l’intriguait plus qu’elle ne voulait bien l’admettre. « Comment tu t’appelles ? » Elle attendit quelques secondes, tourna même la tête vers Rose avant de la reporter vers le garçon. « Tu peux me le dire, je ne le dirai à personne promis. » Il tourna la tête vers elle, puis vers Rosie, la pointant du doigt. Une voix venue d’autre tombe se dit entendre. « Elle saura elle. Elle est méchante et toi aussi. » Elle se sentit pousser, tombant du lit. Elle resta tétaniser un instant. « Hey, je t’ai rien fait alors tu vas te calmer. » Elle se déplaça pour rejoindre Rosie. Ce n’était pas le moment qu’elles se séparent même dans cette chambre. Elle ne savait pas pourquoi mais elle sentait que ce n’était pas prêt d’être terminé et ne voulait pas que son amie aussi en fasse les frais.

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Rosemary&Cameron
This is a dream right ?
Raina ne savait pas vraiment quoi faire dans ce genre de situation. Elle savait que le surnaturel existait, en tout cas, elle y croyait dur comme fer mais n’avait pas envie d’y être confrontée. Ce n’était clairement pas le genre de personne qui acceptait de faire une table tournante ou de jouer à Ouija. Appeler les esprits n’était clairement pas son truc, surtout que dans tout ce qu’elle avait lu et entendu, les esprits les plus noirs étaient ceux qui correspondaient avec vous en premier. Ce qui lui paraissait logique puis que si tu es un esprit en paix, pourquoi serais-tu le premier en ligne de mire lors d’un appel. Toujours est-il qu’elle avait failli appeler Alexis pour qu’il vienne avec elle. Ils faisaient une bonne équipe et il fallait bien admettre qu’elle se sentait toujours plus sûre d’elle et surtout en sécurité à ses côtés. Ils se protégeaient mutuellement. Cependant, Tulasi l’avait appelé elle et elle ignorait si c’était le genre de chose où un policier serait une efficace qu’un exorciste ou l’inverse. Raina doutait que ce ne soit qu’une simple affaire de schizophrénie ou une maladie de personnalité dont elle ne saurait le nom n’ayant jamais fait d’étude dans le domaine. Si l’indienne pensait réellement que c’était quelque chose d’hors du commun mais qui pouvait quand même s’expliquer par la science, elle ne serait pas là, elle en était certaine.

Elle était donc en compagnie de son amie. Elles avaient fini par pénétrer dans la chambre bien que ni l’une ni l’autre ne le désir réellement. Elle s’était alors rapproché pendant que son amie lui faisait part de sa théorie. Elle la regarda sans pour autant lâcher le regard de l’enfant non plus. Il ne fallait quand même pas qu’il la prenne par surprise tout ça parce qu’elle parlait avec Tulasi pendant trente secondes. « Si c’était une schizophrénie, tu ne m’aurais pas appelé. Tu aurais été trop contente d’avoir raison. » Après tout, il fallait quand même avouer que c’était mieux lorsque l’on avait raison que tords non ? Raina était contente au fond d’avoir raison sur le fait que les esprits existent. Elle n’était pas folle d’y croire mais si elle n’y était pas confrontée, c’était encore mieux.

Elle se retourna vers l’enfant, s’asseyant près de lui mais pas trop proche non plus pour ne pas qu’il puisse lui faire mal trop rapidement et qu’elle puisse s’échapper. Bien qu’elle doutât un peu de tout ça étant donné qu’il était très certainement possédé. Elle tenta d’établir la conversation avec le garçon mais il ne semblait pas enclin du tout. Il pensait que les deux jeunes femmes étaient des mauvaises personnes. Au son de la voix, ce n’était clairement pas l’enfant qui lui parlait mais bien ce qui l’habitait. Cela ne pouvait pas être une personnalité différente selon la policière. La voix était plus une voix venue d’ailleurs qu’une voix humaine différente. Et puis le fait que ses pupilles soient entièrement noires n’aidait pas non plus à croire que tout cela puisse être réel. Enfin dû à une maladie. Un humain seul ne pouvait pas avoir des pupilles noires si ? Elle tomba alors du lit et Tulasi vient vers elle, lui demandant si elle allait bien. Aller bien ? Comment pourrait-elle aller bien ? Elle était complètement morte de peur mais se refusa de le dire. Ca ne servait à rien de céder à la panique et encore moins de le montrer à cette créature. Après, physiquement, tout allait bien malgré un cerveau qui tournait très rapidement. Elle préféra se concentrer là-dessus. « Oui je vais bien merci. » La psychologue lui dit parla de nouveau. « Il n'a pas l'air de vouloir rester tranquille, c'est pas pratique pour établir un diagnostic. » [/color] Raina se retourna vers elle, l’air perplexe. Etablir un diagnostic ? Quel diagnostic ? Tulasi ne croyait peut être pas au surnaturel mais là, elle ne pouvait quand même pas dire à Raina qu’elle pensait que tout ça était normal et que c’était dû à une maladie que soit elle ne connaissait pas soit qu’elle avait entendu vaguement lors de ses études parce que les cas étaient plus que rares. Raina se releva alors, emmenant l’indienne, un peu plus loin dans la pièce. « Je crois que le diagnostic est clair Sweety. Il est possédé. » Elle lui dit alors à voix basse pour éviter que l’esprit ne l’entende et décide de les garder enfermer dans la chambre s’il l’entendait. Elle n’était vraiment pas d’accord pour rester avec lui. Le fait qu’elle se soit retrouvée au sol alors qu’il l’avait à peine touché ne l’inspirait pas pour la suite des évènements. « Je te conseille un exorciste. » Elle la regarda, espérant qu’elle allait lui dire qu’elle était d’accord pour qu’elle quitte la pièce bien que cela voulait dire qu’il faudrait parler aux parents de l’enfant et leur dire que c’était plus compliqué que ce que l’on imaginait. « Votre enfant est possédé et pas par un gentil démon mais on va pouvoir le libérer, n’ayant crainte. » Elle imaginait bien la scène où les parents seraient abasourdis, auraient peur et surtout les prendrait pour une folle.

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Rosemary&Cameron
This is not a date is it ?
Raina perdait patience. Elle ne sentait pas à l’aise du tout, commençait presque à paniquer. On pourrait se dire qu’en tant que policière, elle serait plus à même de garder son sang-froid mais ce n’était pas le moins du monde le cas. Il était plus facile d’affronter quelqu’un avec une arme qu’un esprit qui s’il fallait était capable de télékinésie. La blondinette ne serait pas pour du tout. « Paniquer pour rien ? Paniquer pour rien ? Soyons réaliste, je déteste tout ce qui se rapporte aux fantômes, aux possessions, les films d’horreur, et pourtant, j’ai l’impression de me retrouver dans un film. Comment peux-tu dire que tu paniques pour rien ? » Le décor n’aidait pas, l’atmosphère non plus et il était clair et net que pour elle, son amie ne paniquait pas pour rien même si elle était épuisée jusqu’à être prête à tomber par terre. Bon ok, sur ce point-là, elle n’était pas super objective mais Tulasi ne lui avait pas l’air trop fatiguée.

Lorsqu’elle lui dit qu’il avait l’air calme parce qu’il n’avait pas encore sauté sur elles malgré qu’elles aient le dos tourné, elle réfléchit un instant. « Pas encore non. Il n’a pas l’air de se sentir en danger plus que ça pour le moment. » Elle était persuadée que c’était d’ailleurs pour ça qu’il n’avait rien fait. Il les pensait inoffensives, craintives aussi très probablement bien qu’il n’ait pas eu assez confiance pour leur dire son prénom. Raina n’avait rien fait pour lui faire penser les choses différemment malgré le fait qu’elle ait une arme à feu avec elle. Si elle ne l’avait pas emmené, elle ne se sentirait pas moins rassurée. C’était peut-être idiot mais c’était pourtant vrai.

Tulasi tenta de la contredire sur son envie de vouloir appeler un homme de foi. Raina répondit presque vexée de la situation. Elle avait l’impression que Tulasi disait que c’était de sa faute si sa suggestion était mauvaise. Ce n’était pas de sa faute si mademoiselle avait décidé de venir faire un diagnostic au fin fond du pays, entourées d’armes et sans personne à qui demander de l’aide. « J’y suis pour rien si tu as choisi de venir te fourrer à une centaine de kilomètres de Londres. » Elle se braqua et parla presque sèchement. Tulasi voulait pas l’écouter alors qu’elle l’avait fait venir parce qu’elle avait eu peur. Elle aurait mieux fait de rester chez elle comme elle l’avait pensé au début.

Raina ne pensait pas le moins du monde que l’enfant pourrait mourir en deux heures. S’il était possédé par le pire esprit possible, il serait déjà dans un autre état, pas celui d’un garçon plutôt sage bien que ses fesses se souviennent encore de sa chute. Il n’avait pas l’air d’être sur le point de se dégrader bien qu’il soit en train de les regarder bizarrement. Enfin si ce n’était que ça, ce n’était pas bien grave. « Soit pas dramatique, ça fait combien de temps qu’il est dans cet état-là ? Je ne suis pas persuadée que ça change grand-chose d’attendre une heure ou une journée de plus. » Elle tourna sa tête vers l’enfant puis son amie. « A moins qu’il nous écoute et dans ces cas-là, oui ça peut changer quelque chose. » Il avait l’air de cogiter certes mais elle ne voyait pas l’esprit se dégager de l’enfant et venir habiter une des deux jeunes femmes. Elles ne s’en rendraient peut être pas compte mais si une seule est possédée, il est certain que l’autre appellerait à ce moment-là un exorciste. Même si c’était Raina qui était possédée. Tulasi le ferait elle en était persuadée.

Raina tira une chaise et s’assis dessus, prenant soit de regarder ce que l’enfant en pensait. « Comme tu veux. » Elle regarda Tulasi. « Je reste au cas où mais si tu ne veux pas m’écouter, tu te débrouilles hein. » En réalité, la jeune femme n’avait qu’une seule envie, celle de partir. Elle aurait vraiment appelé un prêtre pour s’occuper de l’enfant et rentrer chez elle. Certes, l’enfant se sentait peut être seul et perdu à cause de cet étranger en lui ou peut-être même n’était-il même plus conscient et en possession de son corps.

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