"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici (fb) still rise, just fight it ∞ lou-ann 2979874845 (fb) still rise, just fight it ∞ lou-ann 1973890357
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() message posté Mar 18 Oct 2016 - 18:38 par Invité
Still rise, just fight it
Elizabeth ft. Lou-Ann
Cause When, when the fire's at my feet again, And the vultures all start circling
They're whispering, "you're out of time!!". But still, I rise... This is no mistake, no accident. When you think the final end is near; think again. Don't be surprised, I will still rise

Elizabeth rêvait de rejoindre sa chambre d'hôtel et de tomber sur un lit moelleux aux draps propres tout juste lavés; elle était épuisée après ce voyage en avion Londres et Rio de Janeiro c'était pas vraiment la porte à côté, c'était même carrément de l'autre côté de l'océan. Pour couronner le tout elle avait passé un vol des plus affreux avec à sa gauche un homme absolument terrifié qui lui avait broyé le bras du décollage jusqu'à l’atterrissage tout en pleurnichant sur son épaule qu'ils allaient tous mourir après un piquet de l'avion dans l'océan, de quoi te mettre en confiance pour plusieurs heures. Autant dire que la jeune apprentie styliste était satisfaite de mettre les pieds sur terre après plusieurs heures, elle avait l'habitude des voyages en avion grâce à sa profession mais jusqu'à présent elle n'avait jamais eu le droit à un pot de colle ambulant qui lui griffait le bras pendant tout le voyage, pendant un moment elle le crut même sorti tout droit d'un hôpital psychiatrique. « Louuuu-Aaaaaan t'es passée où ? Faut pas qu'on se perde attends, j'ai jamais mis les pieds ici moi ! » Elle attrapait son amie par le bras bien déterminée à ne pas la laisser s'enfuir, elle se faisait d'ailleurs penser au type dans l'avion, relevant légèrement sa manche elle remarqua que son bras adoptait une vilaine teinte rouge, elle poussa un soupir avant d'agiter ce dernier devant le nez de Lou-Ann « Mais regarde moi cette horreur, non mais heureusement que je me pointe pas au boulot comme ça ils vont nous faire des malaises chez Gucci c'est moi qui te le dis ! » Elle leva les yeux au ciel en poussant un soupir, elle connaissait bien Lou-Ann maintenant après deux ans à partager la même salle de boxe et parfois elle se demandait comment cette dernière pouvait supporter le moulin à paroles qu'était Elizabeth. En même temps la Lempicka avait confiance en elle, et n'était pas du tout du genre timide alors parler, parler et parler ça ne lui posait pas problème ça risquait juste de causer des problèmes aux oreilles de ses interlocuteurs. Après avoir ramené sa valise près de ses jambes, elle posa sa main libre sur sa hanche - son autre bras étant fermement lié à celui de son amie pour ne pas la perdre dans la foule - elle laissa son regard se promener sur l'aéroport. Elle n'était pas mécontente d'avoir embarqué en débardeur et short vu la chaleur qu'il faisait à Rio, le soleil était haut dans le ciel et elle ressentait déjà le besoin de s'hydrater. « Woooow j'espère que notre hôtel a une piscine hein, t'as vu la chaleur qu'il fait ? »
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() message posté Mar 18 Oct 2016 - 23:16 par Invité
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plus de sept milliards de personnes ont appris le deux octobre deux mille neuf que le comité international olympique qui se tenait à copenhague au danemark à l’époque a choisi pour la première fois un pays d’amérique du sud. ainsi, ils ont eu lieu à rio de janeiro du cinq au vingt et un août deux milles seize. la deuxième plus grande ville du pays a alors accueillie plus de onze mille athlètes et deux cent quatre comités nationaux olympiques. ces derniers représentant vingt huit disciplines dont certaines se déclinant en sous catégories. vous me direz : the culture sportive ! yeah. ou, une grande lectrice de la presse écrite. hum. ou encore, une fidèle téléspectatrice. hum, non. ou alors, une journaliste sportive qui s'est rendue aux jeux olympiques d'été à rio de janeiro durant les seize jours complets. bingo. mais outre le fait que sur place il y avait beaucoup de mes confrères journalistes je n'ai pas fait les plus de onze de voyage en avion entre la capitale londonienne et la ville organisatrice des jeux olympiques, seule. et non. en débarquant il y a presque deux ans dans un club de boxe pas très loin de mon appartement ou alors à un temps de trajet le plus court possible, une des personnes présentes ce jour là m'appris les premières bases de ce sport inconnu à mes yeux. enfin. je ne le connaissais pas en pratique mais d'une manière générale en théorie il n'y a aucune questions auxquelles je ne peux pas répondre. ahah. maintenant même si chacune d'entre nous avons des obligations au niveau du travail principalement,  nous, nous retrouvons plusieurs fois par semaine là bas. vous me direz ça ne répond pas au, pourquoi elle ? et bien. c'est un peu en guise de remerciement que j'ai pris la décision de l'inviter à venir aux jeux olympiques en ma compagnie. du coup. notre aventure commence ainsi deux jours avant le lancement de ces derniers avec le voyage dans l'avion. comment le décrire en quelques mots : une « franche rigolade. » enfin. pour ma part. ahah. parce que mon amie eu le droit à un voisin de voyage quelques peu en panique. et ça pendant plus de onze heures. heureusement, ce ne fut pas mon cas. ouf. parce que n'oublions pas que je devais me rendre sur place pour le travail avant tout et le plaisir d'y être venant après. pfiou. donc, je devais être prête. mais le sketch des deux là m'a permis de me distraire. ceci en m'offrant les opportunités nécessaires pour envoyer à mon amie des regards compatissants ou des sourires cachant une envie de rire à « gorge déployée » ou encore lui de faire des signes négatifs de la tête tout en montrant mes papiers, m'en servant ainsi comme excuses pour ne pas pouvoir changer de place avec elle.  je l'avoue. mais à un moment l'avion finit par se poser sur le sol brésilien. youpi. il y a avait un nombre incalculable de personnes qui se trouvaient dans l'enceinte de l'aéroport. pfiou. si bien qu'à un moment  un la voix de mon amie parvint à mes oreilles avec un « louuuu-aaaaaan t'es passée où ? faut pas qu'on se perde attends, j'ai jamais mis les pieds ici moi ! » alors que son bras vînt attraper le mien presque en même temps. je tourne la tête vers elle un quart de seconde, un sourire aux lèvres. je la rassure avec un « je suis là. t'inquiètes pas. » avant que ma deuxième main vienne se poser sur la partie du bras de mon amie qui ne faisait plus qu'un avec le mien.  et du coup, avoir le bras faisant une pression sur ma poitrine me permis de bloquer l'anse de mon sac de voyage. pas mal. en tout cas si la foule de l'aéroport engendrait chez elizabeth une légère peur de se perdre, elle ne lui fit pas disparaître le goût pour la discussion. en levant les yeux au ciel et dans un soupir, elle lanche un « mais regarde moi cette horreur, non mais heureusement que je me pointe pas au boulot comme ça ils vont nous faire des malaises chez gucci c'est moi qui te le dis ! » ralala. je lève à mon tour les yeux au ciel avant de la taquiner avec un  « non mais tu exagères. je suis sûre qu'il a fait exprès. tu avais une touche et tu n'as pas su la détecter. » en riant légèrement. enfin. quelques minutes après, les londoniennes que nous sommes réussirent à s'extirper de l'enceinte de l'aéroport. alléluia. sans plus attendre je me dirigeais vers l'un des nombreux taxis arrêtés à l'entrée afin de rejoindre au plus vite notre lieu d'habitation pour ces seize jours. soit, l'hôtel. ceci alors qu'à la vue de la météo de rio de janeiro à cette période de l'année,  mon amie ne s'intéressait qu'aux options de l'hôtel en question : « woooow j'espère que notre hôtel a une piscine hein, t'as vu la chaleur qu'il fait ? » je lève à nouveau les yeux au ciel en lachant un, « oui, oui. je vois ça. » d'un ton rempli d'amusement. rolala. je me baisse légèrement afin d'être à la la  hauteur de la fenêtre ouverte de l'homme assit derrière le volant de son véhicule. je me (re)dresse après quelques échanges avant de me tourner vers elizabeth. « allez madame la touriste, en route. tu pourras bientôt vérifier par toi même s'il y a une de piscine. » je laisse échapper un léger rire de ma bouche avant de me diriger vers le coffre de la voiture afin d'y déposer mon sac de voyage. je monte ensuite à l'arrière de la voiture. le taxi pris la route quelques instants plus tard.



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() message posté Mer 19 Oct 2016 - 13:31 par Invité
Se glisser parmi la foule de touristes n'était pas une mince affaire, Elizabeth était toujours cramponnée au bras de son amie pour ne pas la perdre, parce que même si elle ne se séparait jamais de son portable elle n'avait pas envie de hurler dans l'aéroport pour se faire entendre au téléphone, et elle jetait des regards partout autour d'elle histoire de repérer quelques touristes dont les bagages s'étaient perdus et de se moquer un petit peu. Après cet affreux voyage elle devait bien se détendre un peu, non ? Et puis c'était la première fois qu'elle venait à Rio, qu'elle venait en Amérique du Sud tout court en fait. C'était plutôt New-York sa ville de prédilection, d'ailleurs elle connaissait la ville aussi bien qu'elle connaissait Venise - et bizarrement on pouvait pas en dire autant pour Londres puisqu'elle trouvait encore le moyen de se perdre dans le métro, la joie ! Elle attrapait rapidement sa bouteille d'eau pour en boire une gorgée avant d'avoir la bouche asséchée tout en continuant de marcher, heureusement que son boulot lui avait donné l'habitude de faire trente-six choses en même temps parce que vu la foule ce n'était pas envisageable de s'arrêter pour s'abreuver. Elle évitait un homme de justesse, le genre de touriste avec quatre valises et six sacs à se demander si il venait passer des vacances ou y habiter, puis manquait de se cogner contre une femme qui hurlait au téléphone en prenant des notes « Mais je te jure ces touristes là, ils peuvent pas regarder où ils mettent les pieds c'est dingue quand même ! » Bon elle était elle-même touriste mais c'était pas vraiment important, si ? Elle avait quand même le droit de râler, en tout cas elle se l'octroyait ce droit. Habituée de voyager aux quatre coin du globe elle s'acclimatait très rapidement aux aéroport, aux gares et aux ports. Alors les touristes incapables d'éviter les autres ça lui courrait rapidement sur le haricot. Eli manqua de s'étouffer lorsque son amie brisa le silence, pardon ? une touche ? était-elle sérieuse là ? Vu la sauvagerie dont faisait preuve le type dans un satané avion elle n'osait imaginer ce que cela pouvait donner dans des lieux plus intimes, très peu pour elle. Son pauvre corps n'y survivrait certainement pas et sa place d'apprentie styliste non plus. Un simple griffure sur le bras pouvait saigner à n'importe quel moment, vous imaginez une goutte de sang sur la dernière jupe gucci ? ou pire encore si quelqu'un apercevait les marques sur les bras d'Elizabeth ? Le scandale. Un sourire étirait quand même ses lèvres devant la plaisanterie de son amie même si elle en était quand même un peu effrayée « Les fauves très peu pour moi, j'ai déjà deux lapins assez timbrés pour me griffer les bras quand ils jouent j'ai pas besoin d'un homme en plus. Et puis c'était pas mon style, trop jeune. » Parce que oui, fallait bien qu'elle fasse la difficile. Autant niveau femme elle était pas très difficile tant qu'elle était jolie mais pour les hommes c'était une toute autre histoire, l'âge d'écart minimum devait être de cinq ou six ans, et en plus vieux évidemment. Bon peut-être y aurait-il exception à la règle un jour mais pour l'instant elle ne s'intéressait ni aux hommes de son âge ni aux plus jeunes. Ah, le taxi. Lou-Ann prenait les choses en mains en adressant quelques mots au chauffeur pendant que Eli hissait sa valise dans le coffre de la voiture, puis en avant direction l'hôtel. « Si y'a pas de piscine j'espère au moins qu'il est pas trop loin de la plage, j'ai un nouveau maillot de bain à tester. » Puis bon si Lou-Ann était là pour son travail, Eli elle avait été gracieusement invitée par son amie et elle pouvait se comporter comme la parfaite petite touriste à savoir visiter la ville + passer son temps à la plage. Bon certainement pas pour bronzer parce qu'elle refusait catégoriquement d'exposer sa peau aussi longtemps au soleil et aussi parce qu'elle ne tenait de toute façon pas en place mais pour surfer et faire de la plongée. Bon l'hôtel, elles étaient arrivées à destination. Il était pas mal, pas mal du tout même. Et jackpot, il y avait visiblement une piscine ! «Je prends la suite royale. » Elle adressa un clin d’œil à son amie avant d'éclater de rire, elle n'était évidemment pas sérieuse et se dirigeait déjà vers le guichet pour régler les dernières finalités.
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() message posté Ven 21 Oct 2016 - 20:58 par Invité
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si nous, nous trouvons dans un lieu où se trouve un nombre incalculable de personnes les minutes s'écoulant entre le moment où nous y avons mis les « pieds » et le moment où nous en sortons peuvent paraître extrêmement longues et pénibles. pour quelle(s) raison(s). facile. des odeurs de transpirations. des gens qui parlent à un volume de voix très haut lors d'une conversation téléphonique. des personnes qui bousculent les autres. des enfants qui crient. des gens qui marchent lentement. des personnes qui s'arrêtent en plein milieu du chemin. des gens qui donnent des coups sans le faire exprès parce qu'ils ne font pas attention, même un peu à leurs faits et gestes. des personnes  avec un nombre impensable de bagages. pff. avec l'habitude des voyages dans de nombreux pays à des périodes diverses de l'année et surtout lors d'événements sportifs pouvant entraîner de nombreux sportifs animateurs ou des « fans » de sport(s) les traversées de foule(s) ne sont plus un problème. quelles sont les astuces. facile. ne pas faire de voyages avec plusieurs valises. ne pas prendre une grande valise. ne pas prendre une valise avec des roulettes. prendre un sac de voyage qu'il est possible de prendre en main. faire l'effort de ne pas sortir n'importe quel objet de son sac à main et encore moins de son sac de voyage. ne pas faire d'arrêts en plein milieu de la « foule » d'individus. avoir de bon(s) réflexe(s) afin d'éviter les personnes qui ne font attention avec leur(s) sac(s) et donc, aux « coups perdus. » yeah. après être seule et être deux ce n'est pas la même « chose. » hum. et en l’occurrence là, au milieu de l’aéroport de rio de janeiro se trouve tous les embarras et nous sommes, deux. et plus que deux. nous ne faisons pas la marche jusqu'à la sortie de l'enceinte de l'aéroport séparément mais l'une se tenant à l'autre. alors. mon amie elizabeth en a fait les frais. elle s'exclame avec un, « mais je te jure ces touristes là, ils peuvent pas regarder où ils mettent les pieds c'est dingue quand même ! » qui me fit rire légèrement. un sketch. en prenant l'avion nous pouvons être assit un nombre d'heures incalculables auprès de tous les types d'individus possibles. outre le fait qu'ils peuvent être des hommes, des femmes ou des enfants. ou qu'ils soient d'origines « x, z ou y. » ça peut être : des personnes qui racontent tous les détails de ce qu'ils vivent au quotidien ou au travail tout le long du voyage. des personnes qui prennent l'épaule du voisin de siège comme coussin. des gens qui ne causent aucun soucis particuliers. ou encore des gens pour lesquels les voyages en avion ressemblent plus à un cauchemars qu'autre chose. malheureusement même si j'ai l'habitude de prendre les transports en commun et notamment l'avion,  il n'y a pas de solutions miraculeuses. zut. c'est le hasard de l'attribution des places. et en l’occurrence là dans l'avion, elizabeth n'a pas eu de « bol. » si bien que maintenant elle s'inquiète des griffures qu'elle a sur le bras. ahah. une blague de ma part qui après coup fit apparaître une légère grimace sur mon visage. alors sa réaction, « les fauves très peu pour moi, j'ai déjà deux lapins assez timbrés pour me griffer les bras quand ils jouent j'ai pas besoin d'un homme en plus. et puis c'était pas mon style, trop jeune. » me fit sourire de soulagement. mais sa remarque sur l'âge du jeune homme en question me fit faire les yeux ronds. oh. je tourne la tête vers mon amie en fronçant légèrement les sourcils. je réponds en cherchant mes mots un « quoi .. euh .. je ne veux pas plus de détails. » en l'accompagnant d'un signe négatif de la tête avant de faire comme si un frisson me traversait le corps en ajoutant un « beurk des vieux. » en grimaçant. eurk. heureusement l'heure de prendre un taxi est venu mettre fin à ce début de conversation. mais. nous y reviendrons sûrement. ahah. l'hôtel ne se trouvait pas top loin de l'aéroport. et pas trop loin du lieu de l'évènement sportif. pratique, n'est ce pas. mais ça c'est ma préoccupation. pas celle de mon amie elizabeth. la présence de la piscine ou de la plage pas loin de l'hôtel est la sienne. « si y'a pas de piscine j'espère au moins qu'il est pas trop loin de la plage, j'ai un nouveau maillot de bain à tester. » je lève les yeux au ciel en riant légèrement tandis que nous entamons les quelques minutes de trajet en voiture. tadam. assez vite l'homme qui se trouve au volant de son véhicule s'arrête le long d'un trottoir devant la devanture de l'hôtel dans lequel nous séjournerons pendant ces nombreux jours consacrés aux jeux olympiques. après y avoir mis les pieds elizabeth lance un  « je prends la suite royale. » avant de se diriger vers le guichet afin de finaliser notre réservation. je ris légèrement. « mais bien sûr très chère. » je la suis de près. une fois que les clefs de la chambre en main, nous prîmes le chemin de l’ascenseur suivi de celui de la chambre en question. en ouvrant la porte la première impression fut : pas mal. même plus. pas une suite royale. mais quand même. yeah. je fis un tour sur moi même afin d'avoir un aperçu complet de la chambre avant de poser mon sac de voyage sur l'un des deux grands lits mis à notre disposition. je lance d'un ton plein d'amusement un « pas trop déçu de mon choix j'espère. » tout en souriant. je me dirige ensuite vers la fenêtre de la chambre qui done sur : une piscine ! youpi. je me tourne vers elizabeth. « je crois qu'il est l'heure de mettre le maillot de bain. » après onze heures de voyage et le travail ne commençant pas toute de suite un peu de détente au bord de la piscine ne peut pas faire de mal. je me dirige alors vers mon sac de voyage dont j'en extirpe mon maillot de bain, une robe et une serviette avant de me diriger vers la salle de bains. j'en ressort quelques instants plus tard.  « prête. à toi. » je lui laisse la place. et pendant qu'elle se prépare je sors tout le matériel nécessaire soit : crème solaire. chapeau. lunette de soleil. vite. vite.


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() message posté Lun 24 Oct 2016 - 13:36 par Invité
C'était de la joie et du pur bonheur de sortir de l'aéroport, heureusement qu'elle s'était fermement cramponnée au bras de son amie sinon elle était sûre d'être emportée par la foule de touriste et d'employés du lieu. Bon par contre elle semblait avoir choqué son amie avec cette histoire de gars qui n'était pas assez âgé pour elle, ce qui la fit sourire. Non elle n'était pas attirée par les hommes de soixante-dix ans loin de là, mais plutôt par les trentenaires et les quarantenaires ce qui n'était absolument pas vieux, mais elle avait tendance à oublier que son amie avait quelques années de plus qu'elle et que, par conséquent, si elle se calait à son âge vingt années de plus montait jusqu'à cinquante ans et ça commençait à faire un poil trop vieux en effet. Mais c'était plutôt amusant de la voir tenter de trouver ses mots tout en grimaçant, d'ailleurs Elizabeth ne mit pas longtemps avant de rentrer dans son jeu pour la faire mariner un petit peu et lui lança un « Tu ne peux pas nier que les hommes de cinquante ans ont de l'expérience. Attends, t'aimerai pas avoir Clooney dans ton lit ? » avec un sourire en coin. Elle prenait un malin plaisir à taquiner les gens et son amie lui tendait le bâton pour se faire battre. Et puis elle était bien en droit de se venger après ce qu'elle avait subit pendant le trajet; même si ce n'était absolument pas la faute de Lou-Ann mais cette dernière avait refusé de partager son calvaire en prenant sa place. Oui, c'est le genre de détails dont elle allait se souvenir pendant des mois.  Donc, cet hôtel. Prendre l'ascenseur, bon dieu cette invention du diable. Vous êtes déjà resté coincé dans un ascenseur avec un inconnu ? Bon dans le cas présent Lou-Ann n'était pas une inconnue mais Eli gardait un très mauvais souvenir d'un ascenseur bloqué à Venise où elle s'était retrouvée coincée avec un stagiaire. Un cauchemar. Pire que le trajet d'avion qu'elle venait de faire. Le pauvre stagiaire avait fait une crise d'angoisse et de claustrophobie ... était-elle infirmière, savait-elle gérer tout ça ? Non. Elle, elle était juste une apprentie styliste qui allait se faire réprimander pour son retard et qui avait un gamin de quinze ans sur les bras, rien de réjouissant. Depuis ce jour elle ne portait plus franchement les ascenseurs dans son cœur. « Les escaliers c'était pas une option envisageable, je suppose ? » Lou-Ann l'avait invitée, ses réflexions bougonnes avec. Ça allait de paire, c'était comprit dans le pack Lempicka. Au moins la chambre était sympa et spacieuse, Elizabeth déposait lentement ses bagages sur l'autre lit en tournant sur elle même pour observer la pièce dans son intégralité. Bon, elle devait admettre que son amie avait bien choisi mais juste pour l'embêter, à sa question elle se contenta de hausser les épaules en levant les yeux au ciel. En tout cas les nouvelles paroles de son amie ne tombèrent pas dans l'oreille d'une sourde et pendant que cette dernière se changeait la petite apprentie styliste avait les yeux fixés sur la piscine et les touristes qui se prélassaient autour. Lou-Ann sortit elle l'attrapa par le bras avant de lui montrer une nouvelle fois la piscine :  « Cette bouée flamant rose est pour moi, interdiction d'y toucher Busby. » Et elle se précipitait déjà dans la salle de bain pour enfiler son maillot de bain et poser ses lunettes de soleil sur son nez, allez direction la piscine. Elle se glissa hors de la pièce avant de jeter un regard en coin vers son amie : « La dernière dans l'eau paie le restau ce soir ! » puis de se ruer dans les couloirs de l'hôtel telle une grande gamine.
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() message posté Sam 5 Nov 2016 - 19:33 par Invité
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en tapant sur la barre de recherche internet : « les femmes qui aiment les hommes plus vieux » un certain nombre de résultats fait son apparition sur l'écran de l'ordinateur portable. qu'est ce qu'ils nous apprennent ces résultats derrière lesquels se trouve des informations plus ou moins sérieuses selon les sources ? et bien. ce n'est pas le cas de toutes les femmes mais d'une manière assez générale ces dernières se tournent vers les hommes qui ont quelques années de plus qu'elles. bon. il y a aussi des femmes qui se tournent vers les hommes qui ont au contraire quelques années de moins qu'elles. enfin. mais, pour quelle(s) raison(s) les femmes se tournent vers les hommes qui ont quelques années de plus qu'elles ? alors. n°un : la culture. selon ces dernières, il serait plus agréable d'avoir une conversation avec des hommes plus vieux. ils auraient de bons arguments ; s'intéresseraient à plus de choses et ils stimuleraient leur intelligence. hum. n°deux : la carrière professionnelle. selon les femmes, ils seraient plus stables ; elles apprécieraient l'indépendance financière des hommes. hum. n°trois : l'expérience sexuelle. selon les femmes, les relations intimes avec les hommes plus âgés qu'elles seraient plus enrichissantes et épanouissantes. hum. n°quatre : moins de jugements. selon ces dernières, les hommes formuleraient moins de jugements à leur égard ; accepteraient mieux leurs défauts physiques en autre. hum. enfin, quel est la moyenne d'âge d'écart entre ces femmes et ces hommes ? alors. apparemment dix ou vingt ans de plus est la moyenne. outch. en tout cas : mon amie elizabeth fait partie de ces femmes qui aiment les hommes qui ont quelques années de plus qu'elles. eurk. et sa réponse, « tu ne peux pas nier que les hommes de cinquante ans ont de l'expérience. attends, t'aimerai pas avoir clooney dans ton lit ? » le confirme. pourquoi. pour deux raisons : avec le « cinquante ans », l'écart d'âge est au dessus de la moyenne de l'écart d'âge ; elle évoque la raison de l'expérience sexuelle à travers le mot « lit » et elle prend comme exemple d'homme, « clooney » qui est un homme avec d'importantes ressources financières et d'un certain « pouvoir » dans son domaine. eurk. je fais un mouvement de la tête négatif que j'accompagne d'un « non pas du tout. trop vieux. » suivi d'un fin rire. ah, ah. après tout il n'y a pas que les femmes qui se tournent vers les hommes plus vieux ou les hommes plus jeunes, non ? et non. il y a aussi les femmes qui se tournent vers les hommes qui ont le même âge qu'elles ou à quelques années près. yep. je fais partie de ces femmes là en ce qui me concerne. bref. [..] il se trouve que mon année sabbatique en deux mille quatre, deux mille cinq m'a permis de me rendre à un nombre incalculable d'évènements sportifs à travers le monde. donc. je me suis rendue dans un nombre tout aussi incalculable d'hôtels lors de ces derniers. et. j'ai pris l'ascenseur à chaque fois. pourtant. je voyage comme aujourd'hui. c'est à dire : un simple sac de voyage. alors, pourquoi les prendre ? tout simplement parce que les chambres que les personnes de l'hôtel me laissent pour les quelques jours où j'y suis se trouvent toujours à plusieurs étages du sol. donc, là. je m'y dirige sans même me dire que prendre les escaliers est une option envisageable. ce que mon amie elizabeth ne manque pas de me signaler avec son « les escaliers c'était pas une option envisageable, je suppose ? » qui fit apparaître une légère grimace sur mon visage tandis que mon corps se tourne vers le sien. je hausse les épaules avec une « moue innocente » en répondant un « promis si tu préfères on abandonne l'ascenseur au profit de l'escalier les prochains coups. » oups [..] depuis deux mille dix je réserve une chambre lors de tous mes déplacements professionnels dans les hôtels ne proposant pas de prestations « haut de gamme. » pour quelle(s) raison(s) ? alors. n°un : mon compte en banque. il est vrai que je gagne bien ma vie.  mes parents qui sont financièrement à l'abris peuvent me venir en aide en cas de soucis importants. mais. ce n'est pas une option envisageable. hum. n°deux : je voyage seule et je n'occupe la chambre qu'à une heure tardive de la nuit pour en (re) partir à une heure matinale le lendemain matin. mais, pour ce déplacement professionnel à rio de janeiro ce n'est pas pareil. pourquoi ? parce que mon amie elizabeth m'accompagne en tant que « touriste » dans le sens où elle n'est pas pour le travail. donc. j'ai fait la réservation d'une chambre dans cet hôtel avec plusieurs étoiles à son actif. et. je n'ai pas fait la réservation d'une chambre premier prix. ahah. mais mon choix ne récolte qu'un haussement d'épaules suivi d'un mouvement des yeux de la jeune femme vers le ciel. oh. enfin. l'annonce de la piscine dans l'enceinte de l'établissement fit apparaître une toute autre réaction chez elizabeth. laquelle ? dès ma sortie de la salle de bains, elle me tire par le bras afin de rejoindre à nouveau la terrasse de la chambre en m'avertissant que « cette bouée flamant rose est pour moi, interdiction d'y toucher busby. » je lance un « oui, chef ! » en riant légèrement tandis que mon amie est déjà partie en courant vers la salle de bains afin de se changer à son tour. et. une fois prête elle lance le défi suivant : « la dernière dans l'eau paie le restau ce soir ! » avant de sortir de la chambre à grande vitesse. j'ouvre la bouche en prononçant deux seuls mots, « je .. eli’ » avant de secouer la tête à deux reprises. et après. hop. je prends mes affaires et la clefs de la chambre avant de sortir de la chambre en courant. ceci en espérant être la première à la piscine. ahah. je m'arrête en arrivant à la hauteur d'une personne qui fait le ménage des chambres dans l'hôtel. hop là. après deux trois échanges j'obtiens un raccourci. ahah. du coup je me retrouve en très peu de temps à la piscine. pas d'elizabeth à l'horizon. j'aperçois pas loin du bord la bouée flamant rose. je met mon sac sur l'une des chaises longues avant de plonger dans l'eau à la température agréable afin de la rejoindre. je me glisse dessus. et là. elizabeth arrive. ouf. je lui fait un signe de la main avec un large sourire sur les lèvres. je commence avec un « et bien mlle lempicka ce n’est que maintenant que vous arrivez. » en rirant légèrement. j'ajoute un « je crois que ce soir je vais prendre ce qu’il y a de plus cher dans ce restaurant ! » en riant toujours autant à ma blague. je termine avec un « oh et désolée, je n’ai pas pu résister à cette bouée. tu m'en veux pas trop ? » en haussant les épaules et avec une moue innocente sur le visage.






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() message posté Dim 6 Nov 2016 - 17:37 par Invité
Cette situation était à mourir de rire; Eli ne comprenait définitivement pas pourquoi son amie était choquée par son attirance pour les hommes plus âgés. Elle devait aussi admettre que se mettre en couple avec quelqu'un de son âge était un pari osé, elle avait une bonne situation familiale de part la fortune de ses parents et travaillait pour gucci elle n'était donc pas à l'abri de tomber sur un garçon souhaitant se mettre en couple avec elle simplement pour connaître la jet-set italienne. Elle courrait également le risque avec un homme plus âgé ne voulant pas assumer son âge et enchaînant les boîtes de nuit pour se rappeler sa jeunesse mais le risque était moins grand, elle avait plus de chance de tomber sur un homme stable. Mais ça il était hors de question qu'elle l'admette, ça serait dévoiler une de ses craintes et il en était hors de question. En tout cas voir son amie faire des recherches sur cette conversation lui arrachait bon nombre de sourires et elle ne put s'empêcher d'en rajouter une couche pour la taquiner un petit peu plus, vengeance pour l'avion « je comprends, toi tu préfères les trouver au lycée, chacun ses goûts » avant d'éclater de rire pour bien lui signifier qu'elle plaisantait, comme on dit on peut rire de tout mais pas avec n'importe qui. Dans tous les cas cette petite discussion lui avait permit de mettre de côté l'embarras éprouvé dans l'avion avec le type pot-de-colle qui avait manqué de lui arracher le bras. Ce n'était d'ailleurs plus la peine d'y penser du tout puisqu'une confortable bouée flamant rose l'attendait patiemment dans la piscine, tout comme son compte en banque attendait patiemment d'être vidé, ou pas en réalité puisqu'elle ne comptait pas se laisser avoir par son amie et s'était déjà élancée dans les couloirs de l'hôtel. Mais ça c'était sans compté la ruse dont faisait preuve Lou-Ann et qui par miracle était arrivée en première au bord de la piscine pour prendre possession de son flamant rose. Noooooon, mon flamant rose, mon beau flamant rose. La traîtresse, elle m'a volé mon flamant rose, ma vengeance sera terrible. Bon sa carte bancaire allait certainement chauffé pas mal au restaurant, d'ailleurs Lou-Ann ne manqua pas de lui rappeler, mais pour l'instant l'opération récupérons le flamant rose était lancée. Elle l'avait réservé ce flamant rose, elle l'avait vu en première et en était tombée amoureuse, elle avait même prévu de l'inviter à son mariage comme invité d'honneur, alors son amie ne pouvait pas poser son fessier dessus comme ça, ce n'était pas envisageable. « Ouais ouais, je ne drague pas les employés de l'hôtel pour connaître les raccourcis moi, Busby. » Elizabeth leva les yeux au ciel avant de se glisser lentement dans l'eau, la température était bonne mais elle préparait déjà mentalement sa vengeance. Le restaurant elle l'avait parié c'était le jeu et comme elle tenait toujours ses paris elle ne rechignait pas mais ce flamant rose c'était impardonnable. Elizabeth se hissait alors sur une bouée donuts juste à côté de son amie et attrapait une frite en mousse pour tenter de déstabiliser son amie et la faire tomber à l'eau. « Ce flamant rose est à moi, voleuse ! » Et voilà qu'elle commençait à s'agripper à la bouée de Lou-Ann pour essayer de la secouer dans tous les sens - c'était un peu compliqué dans une piscine et soi-même posée sur une bouée donuts donc c'était plutôt pathétique à voir - frite en mousse sous le bras prête à l'attaquer avec au moindre mouvement, à ça elle tentait de coupler quelques éclaboussements avec sa main libre, elle était prête à tout pour récupérer sa bouée flamant rose.
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