(✰) message posté Jeu 10 Avr 2014 - 11:57 par Margot Bernstein-Woolf
Swana Mira Alexandrina Douglas
London calling to the faraway towns
NOM(S) : Douglas, patronyme reconnu dans toute l'Ecosse et que son grand-père lui reproche de porter PRÉNOM(S) : Swana Mira Alexandrina, ne lui demandez pas d'où vient l'excentricité de ceux ci, elle est dans l'incapacité de vous répondre, mais elle avoue en être plutôt fière ÂGE : 22 ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE : seize juin mille neuf cent quatre vingt onze, en écosse. NATIONALITÉ : anglaise STATUT CIVIL : célibataire, et purement vierge. MÉTIER : elle est étudiante en économie, dans le but de bosser dans la finance bien évidemment, et de devenir un requin de La City. TRAITS DE CARACTÈRE : Protectrice – complexe - impulsive - irréfléchie - sérieuse - bornée - brute et dure - douce et attentionnée - déboussolée et fragilisée - Fière - charismatique - distinguée - cultivée - investie - leadeuse - joviale quand l'envie lui prend GROUPE : Black Cabs
My style, my life, my name
Swana est née quelques minutes avec sa soeur jumelle Annathéa, bien qu'elles ne se parlent plus pour une raison stupide, celle-ci reste la personne la plus importante aux yeux de Swana ☆ elle a toujours essayer de faire son maximum pour plaire à ses grands parents et n'a jamais -et n'aura sûrement jamais- fais de crise d'adolescence. Swana s'est toujours appliquée à respecter tous les principes de ces grands parents ☆ elle a été élevée par ses grands parents suite à la disparition tragique de ses parents ☆ Elle est pour ainsi dire, la petite anglaise modèle ☆ bien qu'elle affiche une image forte d'elle, il lui arrive de craquer. Pour décompresser, c'est une grande adepte du scotch et de la cigarette, voir le cigare ☆ Swana n'écoute que très rarement des musiques modernes. Elle se dit née dans la mauvaise époque. Sa bibliothèque musical se compose de classique du siècle dernier : Rolling Stones, Beattles, AC/DC et autre. Son dernier coup de coeur musical n'est autre que les Arctic Monkeys. ☆ Elle ne peut pas marcher en ville sans ses écouteurs ☆ bien qu'elle se dise née dans la mauvaise période, elle est accro à son iPhone 5S et ses autres bijoux technologiques qu'elle n'échangerait pour rien au monde ☆ Swana est née dans une famille prestigieuse, à quelques branches de la famille royale anglaise. Les conflits entre son père -décédé- et son grand-père vienne du fait que la mère de Swana et Annathéa, Alienna Fridge, soit tout sauf de ce rang social. ☆ Swana et sa jumelle ont fait voeu de chasteté jusqu'au mariage. Elles portent d'ailleurs toutes les deux une bague de chasteté portant l'inscription "Swannathéa" ☆ Leur famille est catholique pratiquante, et elles ont du aller, jusqu'à leur majorité, à l'église tous les dimanches matins. ☆ Swana a toujours considéré que leur grand-père s'était débarrassée d'elles lorsqu'ils les avaient envoyée en pensionnat. ☆ Bien que Swana et Annathéa soient de vraies jumelles et qu'elles aient longtemps voulu entretenir le mythe du copier/coller, Swana s'est depuis quelques années différencier de sa soeur sur le plan physique : plus particulièrement sur le plan capillaire ☆ Elle a du mal à ne pas porter de rouge à lèvres ☆ Elle passe tous les jours chez Starbucks. ☆ Elle s'est fait percer le cartilage de l'oreille gauche pour ses seize ans. Pour ses dix-huit ans, elle s'est tatouée sur le poignet gauche une couronne au dessus d'un coeur ailé -en référence à son "statut social"- et pour ses vingt et un ans, elle s'est fait tatoué "Love, Always and Forever", qui est bien évidemment destiné à Annathéa ☆ Elle est une grande sportive, qui entretient assidûment sa taille fine. Course à pied, sport de combat, yoga, sport de raquettes : si Swana ne fait pas de sport pendant une semaine elle ne se sentira pas dans son assiette ☆ Le sport lui fait oublier tous les petits tracas de la vie quotidienne ☆ Elle ne le montre pas mais le fait que sa soeur jumelle et elle ne se parlent plus l'affecte énormément ☆ Son mètre soixante cinq la dérange fortement ☆ Bien que ses grands parents l'aient souvent qualifié d'erreur de la nature et de frein à leur arbre généalogique quasi monarchique, ils ont légué une somme suffisante à leurs petites filles pour qu'elles puissent chacune vivre longtemps sans avoir besoin de travailler ou pour faire leurs études et vivre. ☆ elle a une voix qui part souvent dans les aigus. ☆ Elle tient une liste d'actrice pour lesquelles elle se ferait lesbienne, bien que pour l'instant on peut dire que son orientation ne soit pas définie ☆ ça est une fan inconditionnelle de Game Of Thrones, House of Cards et autre ☆ Elle lit toujours cinq livres à la fois ☆ Swana mâche constamment du chewing-gum ☆ Son œil droit se ferme souvent lorsqu'elle est fatiguée ou sous pression
My style, my life, my name
PSEUDO : lions' tears. PRENOM : morgane ÂGE : dix sept ans, trois mois, vingt neuf jours PERSONNAGE : inventé recyclé juste pour vos beaux yeux . AVATAR : Lily Jane Collins :chou: CREDITS : gif ; adoringlilycollins @tumblr + icon ; adoringlilycollins @LJ. COMMENT ES-TU TOMBÉ(e) SUR LC ? : bitch please
Margot Bernstein-Woolf
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(✰) message posté Jeu 10 Avr 2014 - 11:58 par Margot Bernstein-Woolf
you're not
a sad story
« - Je ne garderai pas ces gamines Dawson. Le père Douglas tourne alors les talons et se dirige vers son imposant bureau. Les cheveux grisonnants, ce grand homme de la société britannique ne daigne même pas regarder son fils, presque dégouté par celui-ci. Une fille de bas étage. Il a fallu que son idiot de fils unique dans lequel il fondait tous ces espoirs tombe sous le charme d’une moins que rien. Qui y avait-il de plus horrible pour cet émanent homme appartenant presque à la monarchie anglaise ? Qui y avait-il de pire que de savoir son idiot de fils, qui, en plus d’être marié à une madame tout le monde, avait engendré deux petites qui ne seront pas la descendance parfaite de leur famille ? Lui qui ne jurait que par le statut du social et la transmission de ce caractère par le sang, était servie. - Ce sont vos petites filles père. - Je n’ai pas de petites filles Dawson, je te le répète. Comment peux-tu oser dire de ces enfants qu’elles sont ma descendance. Comment peux-tu avoir osé leur avoir donné mon nom ? Dawson Douglas, l’unique fils et descendant légitime de cette famille d’Ecosse, cogna des poings sur le bureau de son père. Et lui, comment pouvait-il parler ainsi de ces filles, qui, a preuve du contraire, restaient des êtres humains. L’amour, l’amour : Annathéa et Swana étaient le fruit de l’amour qu’il partageait avec sa femme, Alienna. Mais ça, son père ne pouvait pas comprendre, il le savait. Il ne pourrait jamais comprendre ce sentiment indescriptible qui traversait le corps de Dawson de long en large quand il voyait Alienna, il ne pourrait jamais comprendre cette impression de bonheur qui l’emplissait en se disant qu’elle était sienne. Jamais. Parce que son père était un adepte de mariage arrangé pour préserver le statut de son sang qu’il aimait tant. Il ne vivait que pour cela, et l’honneur de sa famille que Dawson avait quelque peu brisé depuis son mariage. - Elles sont vos petites filles, à mère et à vous, que vous le vouliez ou non. Elles portent votre nom parce que c’est le mien aussi. Il y a du sang Douglas qui coulent dans leurs veines à toutes les deux, que vous le vouliez ou non encore une fois. Apprenez que si je vous demande de garder mes enfants c’est bien parce que cela s’avère être la seule solution à notre disposition. Le père de Dawson Douglas soupira. Il croisa le regard de sa femme, qui écoutait la conversation derrière la porte entrouverte. Elle non plus ne semblait pas enchantée par cette proposition. Bien qu’elle soit plus maternelle et plus douce que son mari, Camelia Douglas n’avait pas vu au monde des jumelles de son fils d’un bon œil. Elle avait tout de même insisté pour envoyer une carte de remerciement et de félicitations : mais elle ne voulait pas les voir, mais même pas pour un million de Livres. - Pourquoi Diable as-tu besoin de nous les laisser ? Soupira encore une fois le patriarche de la famille. Avait-il finit par céder ? Avait-il fini par accepter le fait qu’il devrait garder et élever un petit moment les filles de son propre fils avec cette moins que rien ? Dawson ne pouvait pas lui répondre. Pour la simple et bonne raison qu’il ne comprendrait pas, qu’il ne pourrait jamais comprendre. Ses filles, c’était la prunelle de ses yeux. Sa femme aussi. Mais ils avaient tous les deux besoin de se retrouver, un petit peu, ensemble, de faire leur tour du monde, de laisser leurs amours quelque temps en Ecosse. - Nous en avons besoin Alienna et moi. Vous les prenez oui, ou non ? Dawson n’avait pas d’autre solution si ses parents disaient non. A l’évocation du prénom de la femme du fils Douglas, le grand père eut un petit rictus de dégout. - Oui, nous les prendrons. Intervint alors la mère de Dawson. Non, elle ne sait pas ce qu’il vient de lui prendre, mais bon : malgré qu’il ait épousé Alienna envers et contre tous, il restait son fils et elle l’aimait de tout son être. Elle lui devait bien ça. »
☆☆☆
« Swana et Annathéa ne faisaient que se balader, innocemment, dans le grand manoir de leurs grands-parents. Jouer ensemble, c’était tout ce qu’elles pouvaient faire. Tenter d’être heureuse et attendre avec impatience le retour de leurs parents, prendre sur elles en écoutant leur grand-père leur dire qu’elles n’étaient pas si Douglas que ça. Les jumelles en avaient tout simplement assez de ne recevoir que des cartes postales de leurs parents, de recevoir une roche porte-bonheur d’on-ne-sait-quel-pays. Ce qu’elles voulaient, c’était partir de ce manoir qui sentait le renfermé, ne plus voir ces tableaux qui ne faisaient que, d’une certaine façon, leur répéter qu’elles étaient ignobles elles et qu’elles n’étaient pas comme elles auraient du. Elles étaient fatiguées d’entendre que leur mère était une ratée. Fa-ti-guée. Les jumelles s’arrêtèrent devant la porte du bureau de leur grand-père, écoutant attentivement, comme des petites fouines, ce qu’il se tramait là. - Comment ça, qu’est-ce que vous voulez dire par « ils sont disparus » ? - Votre fils nous a envoyé un signal de détresse et puis nous n’avons pas su retrouver leur trace. - Un signal de détresse ? Dans la détresse, cet idiot a réussi à vous envoyer un signal ?! - Oui monsieur. - Et donc ? - Ils sont aujourd’hui considérer comme portés disparus, lui et sa femme et Les deux gamines poussèrent la porte et se prirent par la main. Du haut de leurs six ans, elles avaient compris. Swana Mira Alexandrina & Annathéa Merida Douglas, avaient compris que leur rêve de retourner vivre avec leurs parents venaient de s’effondrer. Pouf. Plus jamais. L’employé de police se retourna et observa attentivement les jumelles. Orphelines. Un stupide voyage de leurs parents les avaient rendus orphelines. - Et au vue de vos liens de parenté… Continua l’employé. Il se tourna alors vers le grand-père Douglas et se retint de lâcher une larme. L’histoire de ces petites lui brisait presque le cœur. - … Avec leurs enfants il serait, comme dire… - Elles iront dans un orphelinat si je ne m’en occupe pas, c’est cela ? »
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«
« Mademoiselle Swana Mira Alexandrina Douglas, Nous avons le plaisir de vous informer que votre candidature d’admission pour notre pensionnat a été spécialement étudiée et a attiré notre attention. Après mainte réflexion, nous avons décidé de vous inclure dans notre école. La liste de matériel nécessaire au bon déroulement de votre scolarité est jointe à cette lettre. Votre année scolaire débutera ce premier septembre à Londres. Merci de vous présentez dès huit heures du matin. Veuillez croire, chère Miss Douglas, en l'expression de nos sentiments distingués. Madame la directrice adjointe. »
Swana leva les yeux aux ciels. Sa sœur jumelle venait d’ouvrir sa lettre et en un coup d’œil, Swana avait remarqué qu’il y était inscrit exactement la même chose. Seul le nom au début de la lettre et sur l’enveloppe avait changé entre les deux courriers qu’elles avaient reçus. Les seuls courriers qu’elles n’aient jamais reçus depuis la mort de leurs parents. Pas qu’elles soient cachées aux yeux du monde par leurs grands-parents, non, mais elles ne connaissaient qu’eux. Qui pourraient leur envoyer une lettre ? Leurs grands-parents étaient devenus depuis trop longtemps leur seul et unique famille. Ils étaient devenus des parents de substitutions, au grand désarroi des jumelles. Grands-parents qui ne digéraient toujours pas l’ « erreur » que pouvaient représenter leurs petites filles. Chose qu’ils ne digéraient tellement pas que Swana et Annathéa étaient plus présentés comme des dignes descendantes de la famille Douglas, issue d’une union entre deux personnes d’un rang social élevé, que comme les filles d’une ignoble moins que rien qui avait du user de son charme. - Nous irons acheter votre matériel d’ici peu. Les deux filles levèrent la tête de leur lettre en même temps avant de regarder leur grand-père, les yeux ronds, prêtes à boire ses paroles comme elles devaient le faire depuis qu’elles vivaient chez lui, dans ce grand manoir presque sans vie. - Et dès que vous aurez vos livres, vous aurez intérêt à vous mettre au travail. Est-ce clair ? Et vous avez intérêt à vous tenir à carreaux mesdemoiselles. Pour préserver l’honneur de cette famille. Déjà que vous êtes des Il croisa le regard de sa femme, la suppliant, pour une fois, de ne pas leurs rabâcher les oreilles avec toutes ses théories. - Vous avez intérêt à travailler mesdemoiselles. Vous n’êtes pas n’importe qui. Et même si je le regrette, vous êtes des Douglas. Du haut de leurs onze ans, les jumelles avaient déjà entendu ce genre de discours peu valorisant de la part de leur grand-père paternel plus d’une centaine de fois. Elles n’avaient que cela à faire de toute façon. Travailler pour satisfaire les personnes qui les élevaient. Orphelines, voilà ce qu’elles étaient. Forcées à vivre avec des personnes qui avaient du mal à accepter d’où elles venaient. Elles n’étaient certes pas traitées comme des Cendrillons, elles vivaient dans un certain niveau de confort. Mais il leur manquait une chose qu’elles ne trouveraient jamais ici : l’amour de leurs parents disparus. »
☆☆☆
« - Nos parents ont disparus. Il y a eu une enquête de police. Il semblerait qu’ils aient tout simplement disparus, ou qu’ils soient morts dans des circonstances tragiques sans que l’on retrouve leurs corps. Swana écarquilla les yeux lorsqu’elle entendit sa sœur jumelle expliquer à une poignée de leurs camarades du lycée pourquoi elles vivaient chez leurs grands-parents, du moins quand elles voulaient y rentrer. Parce que ce n’était pas cela. Swana le savait, en étant certaines. Elle ne réagit même pas au fait que Annathéa n’ait nullement mentionné que leur mère n’était pas digne d’épouser un Douglas d’après leur grand-père, elle avait pris l’habitude, après tant de temps. Circonstances tragiques. Tu parles. Swana avait son idée toute faite depuis un long moment, un trop long moment. Trop longtemps pour accepter que Théa puisse croire encore aux stupidités qu’on lui racontait depuis qu’elles avaient cinq ans. Même son grand-père n’y croyait pas, Swana en étant convaincu. Pas de la à dire qu’il voulait les protéger, il voulait juste se protéger. La plus âgée des jumelles qu’était Swana Mira se leva de la table de la bibliothèque où elle s’était installée quelques minutes plus tôt avec ces semblants d’amis. En plus d’entendre des idioties de la part de sa sœur, cela lui prenait son temps de travail. Elle ne salua pas ses amis, et garda cet air de dégout qu’elle entretenait depuis qu’elle avait entendu ce que sa sœur avait dit sur leurs parents. D’un pas décidé, elle quitta la bibliothèque. Elle ne mit pas longtemps avant d’entendre sa sœur lui courir après. - Swana ! Elle lui agrippa le bras. - Pourquoi tu es partie comme ça ? - Mais tu as entendu ce que tu as dis sur nos parents et leur mort ? Swana fit un geste brusque pour qu’Annathéa la lâche. Elles étaient comme des opposées, la douceur et la brutalité. Le feu et la glace. Mais elles étaient d’une certaine façon complémentaire. Impossible l’une sans l’autre. Parce qu’à elles deux, elles étaient une famille. C’est tout ce qu’elles avaient, leur amour mutuel. Puisque même si leurs grands-parents les avaient élevé, ils avaient toujours eu du mal à voir grandir sous leur toit des enfants qui ne partageaient pas leur rang, apparemment. - Quoi ? On n’en sait pas réellement plus Swan’ - Tu sais très bien qu’ils ne sont sûrement pas mort ‘Théa, qu’ils nous ont juste laisser. - Ils sont mort, je te le rappelle. Swana lança un regard noir à sa petite sœur. Tout le pensionnat savait qu’elle ferait n’importe quoi pour la protéger. Qu’elle avait l’impression de savoir sa jumelle plus fragile qu’elle et qu’elle se sentait donc légitiment plus responsable d’elle. Mais elle ne pouvait pas la protéger de ce qu’elle croyait être un mensonge. - Nos parents sont partis parce que pour eux, on était des erreurs, qu’ils ne pouvaient plus nous avoir sur le dos. Tu comprends ça Annathéa ? Maman était une moins que rien, une femme de bas étage, qui n’avait rien à faire avec quelqu’un comme papa. RIEN. Abso-lu-ment rien. Imagine, si elle n’avait pas été notre mère. Si on avait eu la famille qu’on aurait du avoir. Si nous étions issues de deux parents de bonnes familles. Imagine ce qu’on aurait évité Anna. Imagine ce qu’on aurait été Anna. Des vraies Douglas. On aurait été aimés. Pour de bons. Par tout le monde. - Swana… N’importe qui aurait été choquée par les paroles de la brune, sa jumelle était bien évidemment la première. Mais c’était ce qu’elle pensait. Swana Douglas en voulait à sa génitrice, de laquelle elle ne gardait que de vagues souvenirs, souvenirs qui ne combleraient jamais le manque qu’elle avait pu ressentir enfant de ne pas avoir de mère. Elle regarda sa sœur dans les yeux, avant de tourner les talons et de tracer sa route. Personne ne pourrait changer ce qu’elle pensait. Ou du moins ce qu’elle essayait de se convaincre de penser. Parce qu’après tout, Swana n’était que déboussolée, tentant de se rassurer. Parce que oui, elle en voulait à sa mère de l’avoir laissé. Elle lui en voulait : à cause d’elle, Swana n’avait pas eu tout l’amour qu’elle aurait voulu. »
et je sais pas si je fais un dernier paragraphe sur l'engueulade
Alycia Hemsworth
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(✰) message posté Jeu 10 Avr 2014 - 12:27 par Alycia Hemsworth
Mo' & son super choix d'avatar Je peux même pas te souhaiter bon courage pour ta fiche, t'as déjà tout fait toi aussi :luve:
Invité
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(✰) message posté Jeu 10 Avr 2014 - 13:08 par Invité
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