"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici  - Allez au Diable ! - Non, je le quitte au contraire !  (lawrence) 2979874845  - Allez au Diable ! - Non, je le quitte au contraire !  (lawrence) 1973890357
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- Allez au Diable ! - Non, je le quitte au contraire ! (lawrence)

Anonymous
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() message posté Sam 27 Sep 2014 - 18:37 par Invité

Lawrence Junior Mcquillan-Rhett

London calling to the faraway towns
NOM(S) : MCQUILAN-RHETT. Soldat McQuillan-Rhett, à votre service ! À croire qu'il reste un peu d'honneur dans ce nom qui a été salit par l'homme qui ne m'a pas élevé.PRÉNOM(S) : LAWRENCE JUNIOR. J'en ai honte, je déteste ce prénom. Il s'agit du même de mon père, ce salaud dont je n'ai plus peur maintenant. Il a réussi à trouver une façon de me suivre partout où j'irai, de suivre chacun de mes mouvements et ce, simplement en me donnant le même prénom. ÂGE : VINGT-CINQ ANS. J'ai toujours eu l'impression d'être plus âgé. Même jeune, je me sentais plus vieux : il faut bien un homme dans la maison quand celui qui devrait porter son rôle ne l'honore pas. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : VINGT-CINQ DÉCEMBRE À LONDRES. À croire que tout ce qui arrive le 25 décembre n'est pas un cadeau et reçu de la même façon par tous. NATIONALITÉ : ANGLAIS. Ça, aucun doute : il est un anglais fier qui défend son pays. STATUT CIVIL : CÉLIBATAIRE. Et ce, depuis toujours. MÉTIER  : SOLDAT. Enfin, il est au repos forcé pour une durée indéterminée suite à une blessure par balle tout près du cœur.  TRAITS DE CARACTÈRE : PROTECTEUR - IMPULSIF - CHARMANT - POLI - SOLITAIRE - SÉRIEUX - ANCIEN CONSOMMATEUR - HONORABLE - BRAVE GROUPE : Walk on a Line



My style, my life, my name

Lawrence, c'était l'enfant dans la rue qui arborait des marques douteuses sous ses gros pulls. C'était l'enfant qui se faisait battre par son père et sans cesse rabaisser et ce, depuis qu'il avait appris à marcher. Ses pas étaient trop courts, ses mots étaient mal prononcés, c'était un imbécile et il avait finit par croire tout ce que son père lui disait. Par la suite, c'est devenu l'adolescent dépressif et impulsif. Bagarreur, la direction faisait venir ses parents à cause des nombreux problèmes qu'il causait aux autres élèves. C'était celui qu'on voyait avec un joint au bout des lèvres, entre deux cours. Après tout cela, ce fut le garçon qu'on ne voyait plus. Il avait disparu, comme s'il était allé dans une autre dimension. Tout le monde le cherchait, personne ne le trouvait. Puis finalement, ce fut l'homme qu'on reconnut. Celui qui n'avait plus de marques douteuses sur son corps, sauf celle sur sa poitrine. C'était l'homme qui avait descendu la tête haute de l'avion, vêtu de son uniforme de militaire. C'était devenu l'homme exemplaire, celui que personne n'avait vu en lui : brave, honorable, beau, grand et militaire. Il a tellement changé qu'on ne le reconnait plus : c'est devenu l'homme qui ère dans les rues, la nuit, comme à la recherche de quelque chose. C'est devenu l'homme que tout le monde trouve bizarre et c'est devenu l'homme le plus convoité, puisque tous ses proches veulent avoir une discussion avec lui. C'est devenu un vrai homme, contrairement à ce que plusieurs lui réservaient. C'est devenu Lawrence Mcquillan-Rhett, l'homme qui défend ceux qu'il aime et son pays.
 
PSEUDO :  VALOU   - Allez au Diable ! - Non, je le quitte au contraire !  (lawrence) 1973890357 Et oui, me voilà ! J'ai finalement craqué pour mon soldat plutôt que mon joli napolitain, mais qui sait, un jour ... (a) PRÉNOM : Valérie. ÂGE : 16 ans et toutes mes dents   - Allez au Diable ! - Non, je le quitte au contraire !  (lawrence) 902495459   PERSONNAGE : inventé, parce que j'ai une imagination de zouf   - Allez au Diable ! - Non, je le quitte au contraire !  (lawrence) 2313394760   AVATAR : Nul autre que le sexy Dave Franco   - Allez au Diable ! - Non, je le quitte au contraire !  (lawrence) 1942225346  CRÉDITS : bazzart, tumblr & google. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : un partenariat m'a amené ici.  I love you


 

 
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Anonymous
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() message posté Sam 27 Sep 2014 - 18:39 par Invité
At the beginning

« Where it all begins.△ PREMIER ACTE »
'' Where it all begins '' ... Oui, là où tout a commencé, car ce calvaire a commencé dès ma naissance. Je suis l'enfant de l'union d'une femme douce et d'un salopard qui buvait plus qu'il ne pensait. Je n'étais qu'un bébé, mais je pouvais sentir dans le regard de mon père que quelque chose brûlait en lui, une sensation que je ne connaissais pas encore. Il m'arrivait souvent, alors que j'étais dans mon berceau, que mon père battait ma mère devant mes yeux. Il la frappait, la bousculait et lui lançait des insultes par-dessus la tête. Je n'étais qu'un bébé de quelques mois et je voyais déjà toutes ces horreurs, sans ne pouvoir rien faire. Alors, la plupart du temps, j'hurlais. Je me tenais debout dans mon berceau et j'hurlais du plus fort que je pouvais. Cela durait quelques minutes et puis mon père, exaspéré, quittait la pièce pour aller vider une autre bouteille dans son bureau. Je n'étais qu'un bébé, mais c'était ma mère. Et souvent, lorsqu'elle était allongée devant mon berceau, je passais mes petites mains à travers les barreaux pour lui caresser la tête. J'avais toujours cette peur qu'elle ne se relève pas. Heureusement pour moi, elle l'a toujours fait. Les années passèrent et plus je grandissais, plus je m'imposais entre ma mère et mon père. Je le cognais avec mes petits poings de toutes mes forces en hurlant. « Allez lâche ma mère ! Tu vois bien qu'elle ne bouge plus ! » « Dégage morveux, ça te regarde pas ! » Et puis il m'envoyait valser dans le mur. Je détestais cet homme et je détestais le fait que je ne pouvais rien y faire. J'étais encore un enfant, j'étais trop faible. Mon corps était couvert d'ecchymoses et chaque matin, afin d'aller à l'école, ma mère prenait bien soin de tout camoufler sous un gros pull et avec une tonne de fond de teint qu'elle étalait sur mon visage. Elle disait que c'était pour nous protéger, parce que sinon des inconnus s'en mêleraient et je ne pourrais plus les revoir. Cette simple idée de ne plus la revoir et l'abandonner avec mon père me faisait garder le silence, chaque jour. J'aurais dû comprendre que ce fut probablement l'une des pires choses que je ne pouvais faire, garder le silence. Cependant, un jour, j'ai cessé de garder le silence. Malgré moi, par erreur, j'ai parlé dans mon silence. Nous étions en art plastique, j'avais 13 ans et ma mère m'avait encore enfilé un de ses vieux pull overs, ''parce qu'il fait très froid dehors mon canard, je ne veux pas que tu sois malade''. J'étais donc partie pour l'école vêtu de la sorte et à la deuxième période, j'étais assis dans le local d'art plastique et nous faisions de la peinture. Machinalement, j'ai relevé mes manches. Sans penser aux ecchymoses qui couvraient mes bras. Mon enseignante, qui s'approchait pour regarder mon oeuvre, me questionna aussitôt, presque agressivement. Je croyais avoir fait quelque chose de mal. « Mais qu'est-ce que c'est ?! » Je baissai les yeux vers mon dessin, croyant avoir fait une erreur, pour ensuite réaliser que mes bras étaient à découverts. Le soir même, le proviseur avisa mes parents qu'une rencontre entre eux s'impliquait, ainsi que la protection de l'enfant. Inutile de préciser que le soir-même, lorsque mon père raccrocha le combiné, je senti sa main écraser mon bras. Il serrait si fort que le sang ne passait plus. Je me retournai vers ma mère, qui se contenta de me jeter un regard de déception. Comme si je l'avais déçue.

Les services sociaux ordonnèrent à mon père de suivre une désintox pour son problème de boisson, qui était la raison de ses crises de violences. Alors, pendant des mois, ma mère et moi sommes restés seuls dans notre maison. Ses traits étaient tirés par la fatigue et ses joues se creusaient. Elle était si mince et c'était la première fois que je remarquai vraiment à quel point elle était malade. Donc, pendant ces longs mois d'absence du tyran, j'ai pris soin d'elle. J'ai pris soin d'elle comme personne ne l'avais jamais fait. J'étais comme cela : le bonheur des autres comblait le mien.

« I don't belong here.△DEUXIÈME ACTE »
J'étais maintenant un adolescent. Mon père avait arrêté de boire depuis quelques années, mais il était toujours agressif verbalement. J'avais 17 ans et il ne manquait jamais de me rappeler chaque jour à quel point je lui faisais honte, à quel point je n'étais pas l'homme qu'il voulait. Ça me déprimait, il me faisait sentir comme une merde et je le détestais. Ce qui me blessait encore plus, c'était de voir que ma mère, après le nombre d'années que je l'avais défendue du mieux que je pouvais, ne faisait rien pour moi. Elle avait peur de lui, peur qu'il recommence. Je m'étais mis de nombreuses fois entre eux afin de les séparer et maintenant, ma mère me poignardait dans le dos. Je consommais de la drogue, je voulais me sentir libre. J'étais un adolescent très malheureux et je rêvais de partir loin. Quitter cette ville, ces gens, puis vivre ma vie, vivre des aventures. J'avais entendu parler de l'armée, mais je ne me croyais pas assez fort pour ça, jusqu'à ce fameux jour. J'étais à la maison, j'avais maintenant 20 ans. J'avais un boulot qui me permettait de mettre de mettre de l'argent dans ma boîte à ''Rêves'', que je refermais toujours avec un profond soupir de tristesse. Justement, je venais de compter l'argent dans ma banque. Ne dépensant pratiquement rien avec mon argent (sauf pour me procurer ma drogue), j'avais amassé près des mille dollars. J'étais fier de moi et cette fois-ci, j'avais refermé ma boîte avec un soupir de soulagement. Cependant, j'entendis des bruits dans la cuisine, puis des cris. Je sortis en trombe de ma chambre, craignant le pire. J'avais bien raison ; mon père était complètement ivre et ma mère était de nouveau au sol, dans l'ancien coin où se trouvait mon berceau. J'étais dans le cadre de porte de la cuisine et je regardais la scène, impuissant. Ma mère hurlait et couvrait sa tête de ses mains, mon père lui donnait de violents coups de pied. Submergé par la rage, je m'élançai vers mon père. « Lâche la putain ! » Je l'attrapai et le colla contre le mur, lui donnant pleins de coups au visage. « T'es qu'une merde ! T'es pas un vrai homme pour battre ta femme sale con ! » Toujours et encore pleins de coups. Mon père m'agrippa par les épaules, mais comme il était saoul, je le poussai au sol et me mis par-dessus lui pour continuer à le ruer de coup. « T'as tout ce que tu mérites ! » Je le frappais si violemment que mes poings étaient peinturés de rouge par son sang. Ma mère m'hurlait de le lâcher et je finis par le laisser lorsqu'elle me saisit par le bras pour me relever. « Lâche-le Skyler ! Ça suffit, il n'a rien fait ! » « Mais qu'est-ce qui te prend ? Ce salopard t'a battu y'a quelques minutes de ça ! » « C'est ton père voyons ! » « Non justement. Loin de l'être même. » Sur ce, je montai dans ma chambre. Ma mère était en larmes, jamais elle ne m'avait vu si violent. Je pris quelques morceaux de linges, ma boite à ''Rêves'' puis sorti de la maison en leur hurlant mes dernières paroles. « On se reverra quand cette merde sera plus dans la maison, maman. » J'avais tenté de l'aider, mais elle avait refusé. Je partis alors ainsi, m'acheter un billet d'autobus pour quitter la ville et c'est ainsi que mon aventure commença.

« Like toy soldiers.△ TROISIÈME ACTE »
J'avais 21 ans, j'étais sobre, j'avais ma citoyenneté anglaise. Ce fut si simple de m'enrôler dans l'armée que je ne pus le croire. J'étais enfin loin de cet endroit de fou, sans prendre la peine d'avertir ma mère de ce que je comptais faire de ma vie. Les premiers mois, je lui envoyais des lettres afin de lui assurer que j'allais bien, mais je finis par arrêter de lui écrire, ne recevant aucune réponse. Je me doutais bien qu'elle ne voulait rien savoir de moi, après tout j'avais battu son ''mari'' juste avant de partir et je lui avais donné un ultimatum. J'étais maintenant un soldat pour l'armée anglaise et tout ça me donnait enfin l'impression de vivre. J'avais arrêté de consommer de la drogue en quittant la maison familiale, étant donné que je n'en avais plus besoin pour me sentir léger et vivant. Les premières années furent assez calmes. J'avais 23 ans, je voyais dans plusieurs pays avec mon uniforme de militaire et j'en étais fier. Certains trouvaient cela difficile de voir autant de gens mourir, mais pour moi, ce n'était pas aussi pire que de voir ma mère se faire battre. Je gagnais plusieurs pris pour ma bravoure, je prenais des balles pour mes partenaires, je me mettais devant les innocents pour les défendre. On me félicitait pour me courage, mais la plupart ignorait que j'avais déjà vu bien pire. Je défendais maintenant des gens qui étaient heureux que je le fasse et qui ne se relançait pas devant l'ennemi lorsque je ne regardais pas. J'étais fier de moi, je me sentais bien, je sauvais des gens, j'étais heureux. Les premières années, comme dit plus tôt, je ne faisais que de simples missions à l'étranger ou encore même dans mon pays lorsqu'il y avait des catastrophes naturelles. J'avais réussi à oublier mon passé, je vivais une aventure extraordinaire et rien ne pouvait me gâcher cet adrénaline en moi. Cependant, les années passèrent et le pire arriva. On m'envoya en mission dans un pays étranger, tellement étranger que je ne me rappelle plus de son nom. Nous étions plusieurs militaires à nous être liés d'amitié et nous étions ensemble, dans le camp, à jouer aux cartes. J'avais une cigarette dans la bouche, comme la plupart des autres militaires présent, et nous attendions. Il se faisait tard et nous attentions le matin pour continuer notre chemin. J'avais du plaisir et je rigolais, mais subitement, j'arrêtai. J'entendais des bruits à l'extérieur du camp, comme des pas furtifs. Je n'ai pas eu le temps d'avertir personne, pas même le temps de me préparer. Des hommes sont entrés avec des fusils et ont tiré. Cette nuit-là, mon meilleur ami est mort devant mes yeux. Une balle a traversé sa tête, de gauche à droite. Et j'étais devant lui, immobile, à le regarder s'éteindre. La rage m'envahi et aussitôt qu'il tomba, je sortis mon fusil et tira sur l'homme qui l'avait tué. Par la suite, je suis sauté devant mon autre ami et j'ai pris une balle à sa place, dans l'épaule gauche. La dernière image que j'ai de cette nuit est ma vision qui s'embrouillait, puis mon corps penchant vers l'arrière.

« I'm coming home.△DERNIER ACTE »
Je me suis réveillé sur un lit, devant une magnifique aide soignante. Je n'étais plus dans ce pays étranger, on m'avait ramené au pays. «  Soldat Mcquillan-Rhett ! Vous êtes incroyablement chanceux, un peu plus et la balle touchait votre coeur ! » me dis l'aide soignante. « Qu'est-ce qui s'est passé ? » demandai-je, complètement sonné. « Votre camp a été pris par surprise par un gang de terroristes. Plusieurs sont décédés et vous avez réussi à épargner une vie en prenant cette balle pour le soldat Stromberg. » J'étais sous le choc. Je me rappelais de la mort de mon meilleur ami alors et cette douleur de le savoir parti à jamais était aussi grande que la douleur que j'éprouvais lorsque ma mère était sur le sol, battu par mon père. Ma mère... Cela faisait tellement longtemps que je ne l'avais pas vu. J'avais 25 ans, cela faisait quatre ans, presque cinq, que j'avais quitté la maison familiale après avoir battu de mon père à mort. Ces années passées dans ces pays étrangers avaient réussi à me faire oublier ma douleur d'avoir à quitter ma mère, cependant, maintenant de retour au pays, j'avais envie de la revoir. Elle me manquait, beaucoup trop. « Comme vous avez subi une blessure presque mortelle et que vous devez vous reposer, vous ne pourrez pas retourner à votre service militaire avant au moins cinq mois, d'accord ? » « Parfait, » me contentai-je de dire. Pendant ces cinq mois, j'en aurai des choses à faire. Je devais d'abord retrouver ma mère et j'avais des choses à régler avec mon père. La façon dont je les avais quittés n'était guère cavalière, mais je ne regrettais rien. Je quittai l'hôpital après quelques jours, on me traita en héros pour avoir sauvé la vie au soldat Stromberg et mes partenaires me firent savoir que j'allais leur manquer pendant leur absence. Je leur fis promettre de continuer à me donner des nouvelles pendant leurs missions. J'étais triste de ne pas pouvoir retourner avec eux, mais je ne pouvais faire qu'autrement. Je décidai donc de me payer un billet d'autobus pour retourner à Londres. J'allais rejoindre tous ces gens que j'avais quitté, sans donner aucune nouvelle pendant cinq ans. Je m'apprêtai à me replonger dans mon passé et je savais très bien que ces cinq mois de convalescence ne serait pas de tout repos.
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() message posté Sam 27 Sep 2014 - 18:47 par Invité
Le beau Franco  - Allez au Diable ! - Non, je le quitte au contraire !  (lawrence) 1922099377 Bienvenue I love you
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() message posté Sam 27 Sep 2014 - 18:47 par Invité
Bienvnue parmi nous et bon courage pour ta fiche  - Allez au Diable ! - Non, je le quitte au contraire !  (lawrence) 1973890357
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() message posté Sam 27 Sep 2014 - 18:48 par Invité
Bébé franco.  - Allez au Diable ! - Non, je le quitte au contraire !  (lawrence) 1922099377

Bienvenue parmi nous.  - Allez au Diable ! - Non, je le quitte au contraire !  (lawrence) 1973890357
Si tu as des questions, n'hésite pas à nous contacter.  - Allez au Diable ! - Non, je le quitte au contraire !  (lawrence) 902495459
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() message posté Sam 27 Sep 2014 - 19:32 par Invité
    haaan merci beaucoup à vous trois.  - Allez au Diable ! - Non, je le quitte au contraire !  (lawrence) 955919189  - Allez au Diable ! - Non, je le quitte au contraire !  (lawrence) 955919189
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() message posté Sam 27 Sep 2014 - 19:34 par Invité
bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche  - Allez au Diable ! - Non, je le quitte au contraire !  (lawrence) 3729335241
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() message posté Sam 27 Sep 2014 - 19:41 par Invité
Dave. I love you I love you Bienvenue parmi nous.  - Allez au Diable ! - Non, je le quitte au contraire !  (lawrence) 1922099377
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Alycia Hemsworth
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 - Allez au Diable ! - Non, je le quitte au contraire !  (lawrence) Tumblr_inline_ojuj3bc03m1tw2m0e_250
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() message posté Sam 27 Sep 2014 - 19:49 par Alycia Hemsworth
Oh ton adresse IP indique trois autres comptes  - Allez au Diable ! - Non, je le quitte au contraire !  (lawrence) 2107231163

Bienvenue sur LC & bon courage pour ta fiche :hihi:
Si tu as besoin, n'hésite surtout pas  - Allez au Diable ! - Non, je le quitte au contraire !  (lawrence) 1973890357

En attendant d'être validé tu peux déjà aller faire un tour sur le flood ou venir papoter sur la cb  - Allez au Diable ! - Non, je le quitte au contraire !  (lawrence) 2336905461
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() message posté Sam 27 Sep 2014 - 20:31 par Invité
 - Allez au Diable ! - Non, je le quitte au contraire !  (lawrence) 705448254  - Allez au Diable ! - Non, je le quitte au contraire !  (lawrence) 705448254

DAVE FRANCO  - Allez au Diable ! - Non, je le quitte au contraire !  (lawrence) 705448254

- J'essaie de me reprendre ...

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