"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici (johnny) razorblade 2979874845 (johnny) razorblade 1973890357
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(johnny) razorblade

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() message posté Dim 13 Avr 2014 - 22:10 par Invité
Johnny Saul Dylan

London calling to the faraway towns
NOM(S) : dylan, et d'après les rumeurs, je serai lié à Bob Dylan par le sang. mon second nom de famille est meziani, provenant du remariage de ma mère avec un clandestin algérien. PRÉNOM(S) : johnny, à cause de la chanson Johnny B. Goode ; saul, car ma mère était une fan de Slash. ÂGE : vingt-quatre ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 27 novembre 1990, dans le comté de Surrey. NATIONALITÉ : britannique. STATUT CIVIL : père célibataire. MÉTIER : guitariste dans le groupe de rock Gaslight. TRAITS DE CARACTÈRE : autodidacte ; possessif ; protecteur ; flemmard ; autonome ; grossier ; honnête ; colérique ; loyal. GROUPE : the tube.



My style, my life, my name

rageux ; je pars souvent au quart de tour, de façon totalement irréfléchie, j’explose de colère instinctivement. pas de demi-mesure avec moi. c’est plus fort que moi, quand ça va à l’encontre de mes principes ou qu’on m’agace, je peux pas me retenir, soit je joue des poings, soit je gueule. c’est aussi pour ça que les gens balisent à cause de ma gueule. ils disent que j’ai une expression trop dure, un regard colérique, une absence de sourire… j’ai plus l’habitude de faire attention à tout ça. je suis pas un type mauvais, ni profondément bon, juste simple, avec un caractère de merde. déterminé ; loin d’être un benêt, encore moins une flèche, j’ai pas la science infuse mais j’ai su forger mon caractère en vivant dans la misère, tout en me cultivant une intelligence fine. mais je suis fier d’être déterminé, profondément ambitieux, je rame peut-être depuis des années mais je suis pas un raté. connard peut-être, bâtard de père peut-être mais pas un raté. débrouillard ; je lis jamais. je lis plutôt très lentement, c’est même un handicap quand je suis obligé de lire face à des gens. et pourtant, je suis foutrement doué pour lire des partitions de musique, car je vis pour la musique. j’ai du mal en langues aussi, je parle couramment l’anglais et l’arabe mais le reste… je douille sévèrement. sociable ; la solitude… ça me dérange. j’adore la compagnie des autres, ça me fout les boules quand je perds une personne proche. je veux une famille, un entourage stables – pas de prises de têtes. dans le fond, je suis pas le genre de types qui se prennent la tête pour des broutilles. père ; j'ai une fille de trois ans et sa présence a tendance à me rendre contradictoire : aussi dur et froid que je semble être, avec elle, ma carapace se fissure en quelques secondes.
     
My style, my life, my name
PSEUDO : sevan. PRENOM : anna. ÂGE : 21 ans. PERSONNAGE : inventé.  AVATAR : josh beech. CREDITS : tumblr + SUGAR SLAUGHTER. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : grâce à cash  :ado: .


     

     
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() message posté Dim 13 Avr 2014 - 22:10 par Invité
At the beginning

   
La neige tombe. C'est Dieu qui pleure l'histoire du monde. — Enfant sage, aucun problème sauf à la maison. Maison avilie, dans un village appauvri. Village qui comptait plus de moutons que d’habitants. Village dont personne n’en sortait, dont personne n’avait rien à foutre. Même lui ne se rappelle plus du nom. Johnny avait d’autres préoccupations, à l'époque. Sa mère. Il n’était qu’un gamin. Négligé. Mais pas capricieux. Sage, jovial, malgré la misère qui tenait en laisse sa famille entière. Famille de péquenots, tous des cambroussards. Son père est un connard absent. Sa mère est une menteuse. Mais Johnny avait une panne au cœur parce que sa mère ne voulait jamais lui parler de son géniteur. Pourtant, elle pensait souvent à lui. Mais elle refusait à Johnny tout, même son nom. Alors, Johnny fermait les yeux, plaçait ses mains devant son visage, priait en secret pour voir un jour son père. Il croyait en Dieu. Il croyait que Dieu pouvait aider sa mère. En un sens, il l’a aidée. Maman avait trouvé un nouveau compagnon. Malik, qu’il s’appelait. Johnny était méfiant mais à quatre ans, tout ce qu’il réclamait était une présence paternelle. Alors même s’il était beaucoup plus pâle que le nouvel ami de sa mère, Joe l’a rapidement accepté dans sa vie. Malik les avait aidés à déménager à Londres. Ils étaient toujours aussi pauvres et même si Joe continuait à prier, les prières ne remplissaient pas les poches de la famille. Mais Johnny n’était qu’un gamin. Stupide gamin qui croyait dur comme fer que les choses s’arrangeraient. Avec le temps. Foutaises. Le temps filait, les années s’égrenaient et Dieu était toujours un connard. Mais… Dieu lui a fait un cadeau. Comme pour se faire pardonner. Pardonner de quoi ? Il ne savait pas, il ne savait plus, il savait juste qu’il aimait sa sœur à en crever. Son cadeau. Qu’il aimait, chérissait. À la folie, un peu trop peut-être, il lui a fait la promesse de la protéger envers et contre tout. Jazmine était jolie, elle avait le regard pétillant, les yeux couleur noisette, une bouche en cœur. Jazmine avait quatre ans de moins que lui alors Joe prenait son rôle de grand-frère très à cœur. « Qu’est-ce ? » demanda son beau-père, en posant sa main sur son épaule. Johnny se tourne au ralenti, pris en flagrant délit, les  joues rosées. « Euh… un cadeau. Pour Jaz, répondit-il en tendant le petit chaton vers le visage amusé de Malik. Il s’appelle Dieu. » « Mais Jazmine n’est qu’un bébé encore, elle pourra jouer avec le chaton que dans quelques années… » Joe acquiesça, les sourcils froncés. « Alors je m’en occuperai le temps qu’elle grandisse ! » Et Dieu resta avec eux.

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Il y avait un lieu paisible, presque mystique, un lieu de sourires et de rires. Pour Johnny, la cabane de son beau-père Malik était un lieu sacré, il déposait à l’entrée ses chaussures crasseuses ainsi que tous les problèmes qui le préoccupaient pour s’y réfugier lorsque sa mère l’importunait. Il était rarement seul dans ce lieu, sa meilleure amie Hazel était son acolyte d’infortune et d’aventures qui avaient tant bercé leur enfance. Un jour, ils volèrent des pots de confiture aux framboises et semèrent ensemble les adultes pour se réfugier dans la cabane. À cause de l’exiguïté de la cabane, ils s’agenouillèrent par habitude dans leur sanctuaire. Le rire communicatif d’Hazel était le seul son que Johnny voulait entendre même si elle tentait de faire le moins de bruit possible. Pourtant, personne ne les surprit dans leur cachette, ils étaient dans une bulle. « Au nom de la Game Boy Pocket, commença Hazel sur un ton voulu solennel en déposant la console et les confitures entre eux deux, je déclare ouverte la cinquième réunion des… Eh oh, Joe ? » « Tu veux bien me raconter plutôt une histoire ? C’est quoi la mort ? » demanda-t-il après avoir ouvert le pot de confiture. Alors, Hazel l’attira près d’elle, passant un bras autour de ses épaules. La brune afficha un sourire édenté, ayant perdu la plupart de ses dents la semaine dernière mais ce sujet-là, elle le connaissait sur le bout des doigts. Ou faisait semblant de le connaître. Elle fit craquer son cou et alluma la lampe-torche pour les mettre tous les deux dans une ambiance macabre. Les petits bruissements qu’elle fit également exprès donnaient à Johnny la chair de poule. Mais il ne laissait rien paraître, après tout, il n’avait pas le droit d’être plus effrayé qu’une fille. « La Mort… c’est pas très joyeux. Quelqu’un m’a dit que la mort, c’est perdre son âme ou sa rame, je sais plus très bien. Parce qu’en perdant ta rame, tu ne peux plus naviguer avec les autres, tu vois ? Mourir, c’est perdre ta rame, Joe. Mais t’inquiète pas, les enfants, ça ne meurt pas très bien… On est immortels comme des super-héros ! » En terminant son récit, elle tourna son visage vers Johnny, guettant une réaction sur son récit mais au même moment, Johnny renversa le pot de confiture sur son crâne.

—▲—
Les miaulements de Dieu le réveillèrent en pleine nuit et instinctivement, Johnny posa sa main sur le côté gauche de son lit : vide. Les sourcils froncés, le gamin de huit ans enfila rapidement son pantalon et dévala les escaliers. Son beau-père ronflait tellement fort que personne n’entendit les bruits qu’il faisait. Johnny espérait surtout ne pas avoir réveillé Jazmine. Mais il était préoccupé par l’absence de Cash à ses côtés, il ne l’avait même pas prévenu d’un éventuel départ… Sauf que John savait très bien où son ami s’était rendu. Mine de rien, depuis bientôt deux ans que Hazel et Johnny le côtoyaient, ils avaient l’impression de l’avoir toujours connu, de ne former qu’un tous les trois. Et quand l’un allait mal, les deux autres n’avaient pas non plus le moral. Depuis hier, le parrain de Cash avait été hospitalisé à cause d’une mission dangereuse et son état critique avait démoli l’optimiste habituel du gamin. Et John savait très bien à quel point Cash était attaché à son parrain… comme lui était attaché à son beau-père. En contournant la petite cour de la maison, John tomba finalement sur Cash près des grilles, immobile. Le gamin avala les quelques mètres qui les séparaient et posa une main sur l’épaule de son double. « Cash… viens. » Celui-ci se retourna doucement et Johnny remarqua les tremblements de tout son corps. Son ami était en piteux état et Johnny n’hésita pas une seconde à l’attirer contre lui. Après tout, il n’était pas très doué avec les mots, les gestes parlaient pour lui. Si les câlins étaient un « truc de filles », pour eux, même s’ils étaient rares, ils valaient tous les mots du monde. « Je vais bien, James peut crever, je m'en fous. » Et si ses mots semblaient durs, Cash s’accrochait à John comme à une bouée de secours, et ils restèrent enlacés de longues secondes avant d’être interrompus par les miaulements de Dieu. Mais Joe savait mieux que quiconque que Cash souffrait de cette situation, que ses mots étaient en opposition totale face à ses maux. « Viens, on va rentrer. » Son bras toujours sur les épaules de Cash, Johnny l’entraîna dans la maison, suivis rapidement par Dieu. « Dors avec Dieu ce soir, il exauce toutes les prières, ajouta-t-il, avec un sourire mi-figue mi-raisin. « Ça va s’arranger, ça va s’arranger… »

Pas de licorne dans ma vie. Sauf celles qui vont avec l'acide. À l'aube. Au feu. Au fond. Du cendrier. — La réalité un peu trouble l’engloutit, l’empêchant de dire réellement dans quelle direction il avait ordonné à ses yeux de regarder. La fumée l‘engloba de tout son être, des faisceaux lumineux apparaissaient dans son champ de vision et il crut… déceler une lueur argentée sur la lampe. Il ne savait pas, il ne savait pas ce qui l’attirait subitement mais c’était merveilleux. Zut, il venait de mettre de la cendre sur son clavier. Il avait conscience d’en avoir mis mais il continuait à regarder sa lampe. Les beats violents de la musique se répercutèrent à ses oreilles, rythmant les images psychédéliques qui peuplaient dans son esprit. Une autre taffe, peut-être la dernière, qui encrassait ses poumons comme à l’accoutumée. Pas d’images colorées, simplement des nuances de gris. Ce n’était qu’un joint quotidien, rien d’inquiétant.
Et puis il se mit à rire, sans aucune raison. La lampe, face à lui, son joint en place entre ses doigts, il rit. Les péripéties habituelles d’un junkie en manque. La fumée expulsée, le regard voilé, il crut même voir son reflet sur l’écran derrière la lampe. Il inspira un coup et souffla sur sa treizième bougie. La fumée se dissipa rapidement, dévoilant un cupcake raté mais Johnny n’avait pas faim. Il se leva et brancha sa guitare pour jouer quelques morceaux.
L’insouciance de l’enfance, les rêveries presque innocentes avaient laissé la place à l’amertume d’une soirée d’anniversaire en solitaire. Sa famille était en vacances en Algérie. Et dans ses moments de solitude, Johnny avait, en guise de compagnie, qu’un joint.

J'ai fait de mes inspections autant d'addictions qui me raclent l'os. L'alcool. Ça noie. La drogue, douce, dure, molle, colorée, tripante, flippante, séchante, tuante. — En cognant du pied un caillou sur son chemin, il s’arrêta une seconde pour contempler la bâtisse : toujours aussi petite. Mais étrangement, la maison vieillotte de ses parents irradiait de joie, elle était réellement chaleureuse. Johnny n’eut pas besoin de sonner, il poussa la porte en se baissant légèrement à cause de sa grande taille. Il tomba sur un petit garçon aux yeux marron, portant ses vieux tee-shirts. « Joe ! » L’enfant lui sauta dessus et l’encercla de ses petits bras. « Tu m’avais manqué, grand-frère. » Ledit grand-frère lui ébouriffa les cheveux hirsutes comme il avait l’habitude de le faire mais le souleva également pour le glisser sur ses épaules. « Elle est où maman ? » Le gamin haussa des épaules, plus intéressé par sa sucette que par la conversation. Johnny avança dans la maisonnée à la recherche de sa mère, son petit-frère toujours perché là-haut. Il la trouva dans le jardin, occupée à arroser les Dahlia. « Alors c’est comme ça que tu accueilles ton fils aîné ? » L’instant d’après, sa mère se retourna, la main sur le cœur, complètement effarée mais également heureuse de le trouver là. En quelques enjambées, elle se posta face à lui et arracha son petit garçon pour prendre Johnny dans ses bras – Joe fut obligé de se baisser pour qu’elle puisse encercler son cou, tant sa mère était petite. « Jafar, tu aurais pu me prévenir que Johnny était là ! » disputa-t-elle le gamin à la sucette qui haussa des épaules et alla s’asseoir sur l’herbe. Mais l’attention maternelle se porta à nouveau sur Johnny, dont le sourire ne quittait plus son visage tellement il était heureux de revoir les siens. Deux mois qu’il ne les avait pas vus, deux longs mois. « Dis-donc, t’as encore pris quelques centimètres, non ? » « Un peu… Elle est où ? » Cette question lui taraudait l’esprit depuis la fin de la tournée, il ne pensait qu’à elle. La matriarche, toujours souriante, le guida à l’intérieur de la maison – sa maison, puisqu’il y avait vécu durant de longues années. « Elle est avec Malik, à l’étage. En ce moment, il n’arrête pas de lui acheter de nouveaux jouets, je crois qu’il prend son rôle de grand-père vraiment trop à cœur. » Le sourire de Johnny s’agrandit lorsqu’ils arrivèrent à l’étage, dans une chambre pour enfant où Malik lisait un livre à une petite blonde. Dès que le regard bleuté d’Azalea croisa le sien, le cœur de Johnny rata un battement. Et quand Johnny la prit dans ses bras, il se répéta inlassablement qu’en fin de compte, pour les beaux yeux d’Azalea, il était capable de faire n’importe quoi. Même d'arrêter la drogue, de mettre fin à tous ses vices, d'arrêter les conneries.
Depuis trois ans que le groupe Gaslight était célèbre, il était de plus en plus difficile pour Johnny de trouver du temps et s’occuper de la petite blonde ; mais son cœur se déchirait en lambeaux dès qu’il était obligé de s’en séparer. L'important à ses yeux, c'est qu'il n'était plus une épave et qu'Azalea le considérait comme un héros.
   
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() message posté Dim 13 Avr 2014 - 22:15 par Invité
Josh Beech (johnny) razorblade 3995727071 (johnny) razorblade 3995727071 Bienvenue I love you
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Margot Bernstein-Woolf
Margot Bernstein-Woolf
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» Date d'inscription : 15/02/2014
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» Avatar : alicia vikander
» Âge : vingt-huit ans
» Schizophrénie : none.
() message posté Dim 13 Avr 2014 - 22:15 par Margot Bernstein-Woolf
BEECH (johnny) razorblade 878725457 épouse moi je t'en supplie. Cet homme, c'est... y a même pas de mots (johnny) razorblade 878725457
réserve moi un lien (johnny) razorblade 1942225346 :hinhin:
en tout cas bienvenue sur LC & bonne chance pour ta fiche I love you
si tu as la moindre question, n'hésites pas (johnny) razorblade 3112672494
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() message posté Dim 13 Avr 2014 - 22:17 par Invité
bienvenue par ici I love you
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() message posté Dim 13 Avr 2014 - 22:27 par Invité
Josh (johnny) razorblade 1922099377
Bienvenue parmi nous (johnny) razorblade 1973890357
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() message posté Dim 13 Avr 2014 - 22:32 par Invité
Bienvenue  I love you 
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() message posté Dim 13 Avr 2014 - 22:32 par Invité
cimeeeer tout le monde  (johnny) razorblade 4121408366 

swana ; où tu veux, quand tu veux, toi et moi, je suis radis, femme  :hinhin: -out- (t'inquiète, ça sera avec plaisir le lien héhé  :ado: (johnny) razorblade 1973890357 )
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() message posté Dim 13 Avr 2014 - 23:23 par Invité
Welcome sur LC !!

J'aime beaucoup l'avatar que tu as pris pour ton perso  (johnny) razorblade 1922099377 (J'ai un faible pour les vavas en noir et blanc) et puis, il est plutôt canon le Josh  (johnny) razorblade 705448254 Y'a un truc qui se dégage de ce mec, c'est affolant  (johnny) razorblade 878725457 

Brefouille, bon courage pour ta fiche !
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() message posté Dim 13 Avr 2014 - 23:27 par Invité
Bienvenue I love you
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