"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici EVELYN V. COLLINS  I   success is the best revenge 2979874845 EVELYN V. COLLINS  I   success is the best revenge 1973890357
-21%
Le deal à ne pas rater :
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, Collection Botanique
39.59 € 49.99 €
Voir le deal


EVELYN V. COLLINS I success is the best revenge

Anonymous
Invité
Invité
() message posté Dim 7 Sep 2014 - 20:01 par Invité

Evelyn Victoria Collins

London calling to the faraway towns
NOM(S) : Collins PRÉNOM(S) : Evelyn Victoria . ÂGE : 29 ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 31 mars 1985 NATIONALITÉ : Anglaise STATUT CIVIL : Célibataire MÉTIER  : Galériste en art contemporain TRAITS DE CARACTÈRE : Discrète, curieuse, créative, douce, spontanée, bienveillante, affirmée, sérieuse, loyale GROUPE : The tube



My style, my life, my name

+ Je mesure 168cm et je fais 55 kilos.
+ Je parle couramment anglais et français. J’ai également quelques notions d’espagnol.
+ J’ai eu plusieurs petits copains, mais je n’ai jamais connu le grand amour. 
+ J’ai toujours un livre et un carnet sur moi.
+ Je suis timide aux premiers abords, mais quand je commence à bien connaître quelqu’un, je suis un vrai moulin à paroles. 
+ J’ai le vertige assez facilement.
+ J’adore l’eau. Je suis capable de me baigner même quand la température n’est pas très haute.
+ Je ne me dispute jamais avec mes amis, et même très peu avec les gens en général car j’ai horreur des conflits.
+ Je pourrais manger du popcorn indéfiniment.
+ J’ai un petit chien, un Carlin, nommé Gaspard.
 
PSEUDO : "marinette" ? PRÉNOM : Marina ÂGE : 20 ans PERSONNAGE : inventé!  AVATAR : Natalie Dormer CRÉDITS : écrire ici. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : Par une pub sur un topsite, je ne sais plus lequel exatement :/


 

 

At the beginning


Ma vie commence assez banalement. Je suis née pendant la nuit du 31 mars 1985, au St Mary’s Hospital. Etant enfant unique, j’étais très attendue par mes parents. Ma naissance fût donc un heureux événement. A vrai dire, toute mon enfance l’a été, plus ou moins. J’ai grandi paisiblement dans un petit appartement au centre de Londres, près de Leicester Square. Ma famille était très aimante, mais les sentiments étaient rarement exprimés à haute voix. Ils se manifestaient par des gestes et des sourires. Il y a toujours eu cette certaine pudeur chez nous, mais cela ne nous a jamais dérangé. C’était comme ça, c’est tout.
Mes parents faisaient partie de ce que l’on peut appeler la « classe moyenne ». Mon père, professeur d’histoire à l’université, est un anglais de « pure souche » comme on dit. Ma mère quant a elle est parisienne. Ils se sont rencontrés quand ils avaient 25 ans, alors que ma mère venait d’accepter une mutation à Londres. Elle travaillait pour une multinationale. Entre eux, ce fut le coup de foudre. A la suite de cette idylle, ma mère décidai de rester vivre avec mon père dans la capitale anglaise. J’ai donc eu la chance d’apprendre le français et l’anglais dès ma naissance.
Mon enfance fut heureuse et paisible. Ma famille n’était peut être pas riche, mais je n’ai jamais manqué de rien. Je n’étais pas une enfant capricieuse alors je me suis toujours contentée de ce que la vie m’apportait. J’aimais écouter les histoires de mon père sur le passé de la Grande Bretagne, et les récits de ma mère sur son enfance dans la banlieue parisienne. J’ai eu la chance de visiter plusieurs fois la France afin d’aller rendre visite à ma famille maternelle. Grâce à mes parents, je pense donc avoir développé une certaine culture et ouverture d’esprit. J’aimais apprendre, découvrir, et j’aime toujours ça.

Et puis un jour, mes parents se sont séparés. Sans grosses disputes ni rien. J’avais 15 ans à l’époque. Je ne me suis presque pas rendue compte qu’ils avaient l’intention de divorcer. C’est arrivé comme ça, je pense que tout les deux ont compris au même moment qu’ils devaient à partir de ce moment là prendre des chemins différents. Je ne dis pas que cela ne m’ait pas affectée, bien au contraire. Voir mon modèle de couple idéal se séparer a été très difficile, car c’était un de mes repères dans la vie. Cependant, j’ai compris assez vite qu’il valait mieux que les choses se passent ainsi, dans la bonne entente, et que chacun poursuive sa vie comme il le souhaite. Je souhaitais tout simplement le bonheur de mes parents.
Ma mère souhaitait retourner en France. Paris et ses habitants lui manquaient. Elle avait besoin de se ressourcer et de réfléchir auprès de sa famille. Je l’ai donc suivie, un peu sous la contrainte. Je ne voulais pas quitter Londres, une ville qui était si chère a mon coeur. Cette ville qui abritait tout mes souvenirs, mes amis et mes petites habitudes. De plus, j’étais en pleine adolescence, ce qui n’a pas facilité les choses. J’aurais pu rester avec mon père, mais à ce moment là, je sentais qu’il était plus raisonnable de partir avec ma mère. Je retournai voir mon père pendant les vacances et certains week-ends.

On m’inscrivit donc dans un lycée français. Heureusement pour moi, je maitrisais bien la langue. Je suis donc entrée en seconde, dans une ville dans laquelle je me sentais totalement étrangère. Mon caractère timide et discret n’arrangea rien : je me renfermai encore plus dans cet environnement inconnu. J’eu du mal à m’intégrer, surtout dans ma classe de 30 élèves. Les filles s’examinaient entre elles de la tête aux pieds, se jugeant sans cesse les unes les autres. A cette époque, je me souciais assez peu de mon physique, privilégiant plutôt le confortable à l’esthétique. Je n’étais pas particulièrement jolie non plus : les garçons ne se retournaient pas sur moi, j’étais du style passe partout. Je passais donc mon temps libre à dessiner ou a lire, ce qui n’aidait pas vraiment à faire des rencontres. Je vous mentirais si je disais que je n’ai fait aucune rencontre pendant cette première année : je me suis tout de même bien entendue avec certaines filles de ma classe. Au moins, j’avais quelqu’un avec qui m’assoir en classe ou manger le midi. J’aurais même presque pu les qualifier d’amies. A la fin de la seconde, j’avais même réussi à m’intégrer dans un petit groupe de filles, nous étions cinq au total.

C’est en première que les choses ont changé. J’entrai alors en section économique et sociale. Les filles paraissaient alors plus hautaines, plus snobs. Les garçons tout aussi immatures. Je ne retrouvai aucune des filles avec qui j’avais pu sympathisé l’année précédente. J’étais seule, et bizarrement, j’en souffrais plus que normalement. Le regard des filles était plus dur, plus accusateur.
Et puis un jour, sans réelle explication, des rumeurs circulèrent sur moi. On disait que je me droguais, que j’avais de mauvaises fréquentations. « Bah oui, pourquoi elle serait si seule si elle avait pas un problème cette fille ? ». Il y avait surement une raison derrière cet acharnement, mais je n’en avais aucune idée. Plus tard, j’eus droit aux petites humiliations en public. Une bousculade, une remarque blessante. Malgré ce mal-être, je n’en parlais pas autour de moi. Je ne voulais pas faire de la peine à ma mère, qui avait du mal à se remettre de son divorce et qui bizarrement, semblait ne plus tellement se plaire dans cette vie à la française. Mon père était loin de moi et je ne voulait pas trop l’inquiétait, de peur que la distance n’aggrave les choses. Mes amies de seconde et moi semblions avoir coupés les ponts. Peut être que je n’avais jamais réussi à tisser de vrais liens avec elles. Et puis ne parlons pas du personnel du lycée, qui soit fermait les yeux, soit ne remarquait rien. J’entrais et je sortais de l’établissement avec une boule au ventre quotidienne.
J’avoue que cette période fut assez noire pour moi, car je pensais plusieurs fois au pire. Il faut dire que je me sentais loin de mon pays, loin de mes habitudes, loin de mes proches.
En terminale, ce fut à peu près pareil. La classe ne changea pas beaucoup, et puis les grandes gueules du lycée m’avaient déjà fait une réputation. Plus je me renfermai, plus l’on m’accusait de me renfermer. Alors je finis par accepter cette situation. Pire, je me disais que si tout le monde agissait comme ça avec moi, c’était que j’avais réellement un problème. Certes, certaines personnes tentèrent de s’approcher de moi, mais par peur d’être embêtées à leur tour, elle ne devinrent jamais de vrais amis.

Je pouvais supporter cette situation malgré le fait qu’elle me blesse au quotidien. Seulement, un jour, quelque chose de plus grave arriva, et ça, je ne pouvais pas le laisser passer. Un soir, alors que je rentrai chez moi à pied, je senti une main m’attraper et me plaquer contre le mur. Puis des coups, des gloussements, et encore des coups. Ensuite, plus rien, le vide.
Quand ma mère vint me voir à l’hôpital, il fallait que je lui dise. Elle pleura beaucoup, et moi aussi. Mon père prit le premier avion. J’avais peur des représailles. Le personnel du lycée fit comme s’ils n’étaient au courant de rien et me demandèrent même si je n’exagérait pas la situation, voire même si je ne l’avais pas un peu chercher. Mes parents décidèrent donc de me retirer de l’établissement dès la fin de l’année, qui approchait heureusement.
Je passai donc le bac, et je m’envolais à nouveau pour l’Angleterre. Mes parents, apparemment ressoudés au moment de mon agression, se redonnèrent une chance. J’avais du mal à croire à ce « happy end », mais apparemment tout était vrai.

Je m’inscrivis à l’université à Londres, en histoire de l’art. Malgré ma première ES, je compris que l’économie et le commerce n’étaient pas vraiment fait pour moi. L’art avait toujours été une passion pour moi. Les musées de Paris m’étaient familiers, et ceux de Londres aussi. Je rêvais d’avoir un jour une oeuvre exposée dans un de ces bâtiments, mais il fallait que je me rende à l’évidence : mes gribouillages n’étaient pas suffisants.
Mes années de fac se passèrent très bien. Je me disais que c’était l’occasion où jamais de prendre un nouveau départ. J’eu la chance de rencontrer des gens très sympathiques, et de me faire quelques amies. Le temps et la distance ont fait que je ne suis plus beaucoup en contact avec elles, mais elles ont compté pour moi pendant ces années.
Le temps avait également été clément avec moi : je suis devenue plus belle, plus « femme ». Je me suis intéressée davantage à la mode, et j’ai commencé à prendre soin de moi. J’ai vu le regard des gens changer. Les garçons ont commencé à s’intéresser à moi, les filles étaient plus gentilles. Certaines qu’on pourrait qualifier de « populaire » venaient même de parler de temps en temps.
C’est à cette époque que je connus mes premières histoires de coeur, sans jamais trouver mon âme soeur. Malgré tout, cette période m’a aidée à reprendre confiance en moi et à me rendre compte que j’avais droit au bonheur.
Après un cursus de plusieurs années, je devins enfin galériste, dans une galerie d’art contemporain. J’organise désormais des vernissages, des expositions et je communique avec les artistes et les clients. C’est un métier qui a permis de m’ouvrir, de m’exprimer plus facilement. Ma timidité s’est donc peu à peu essoufflée, même si je reste discrète aux premiers abords. Dans ma vie professionnelle, je n’ai pas de problème à aller vers les gens. C’est du côté personnel que j’ai toujours du mal à m’intégrer ou à forger de vraies relations.
Malgré mon envie de rester dans la capitale londonienne, mon premier emploi se trouvait à Manchester. J’ai donc vécu deux ans là-bas, en tant qu’apprenti. Là-bas, j’ai pu apprendre les bases du métier. J’ai tout de suite su que c’était ce que je voulais faire de ma vie.
J’ouvre depuis peu ma propre galerie d’art à Londres, tout près de Trafalgar Square. C’est pour ça que je reviens dans la ville qui est si chère à mon coeur.

Aujourd’hui, j’ai 29 ans et je repose mes bagages à Londres. Cette ville m’a énormément manqué. Je me sens plus forte, plus confiante que jamais. Mes blessures du passé seront a jamais gravées en moi, mais elles m’ont permises et me permettront d’avancer. J’ai appris à avoir plus de caractère, à dire non, et surtout, à m’assumer telle que je suis.
J’espère ne plus jamais quitter cette ville. London, i’m back !
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Dim 7 Sep 2014 - 20:49 par Invité
NATALIE DORMER, CETTE DEESSE. EVELYN V. COLLINS  I   success is the best revenge 878725457
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche. EVELYN V. COLLINS  I   success is the best revenge 1973890357
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Dim 7 Sep 2014 - 20:57 par Invité
Bienvenue parmi nous, bon courage pour ta fiche EVELYN V. COLLINS  I   success is the best revenge 2894325006 .
Revenir en haut Aller en bas
growing strong
Alycia Hemsworth
Alycia Hemsworth
growing strong
EVELYN V. COLLINS  I   success is the best revenge Tumblr_inline_ojuj3bc03m1tw2m0e_250
» Date d'inscription : 15/02/2014
» Messages : 62617
» Pseudo : margaux ; stardust
» Avatar : zoey deutch
» Âge : 28yo
» Schizophrénie : jamie & gabrielle
() message posté Dim 7 Sep 2014 - 20:58 par Alycia Hemsworth
Bienvenue sur LC EVELYN V. COLLINS  I   success is the best revenge 2723850382 :hihi:
Bon courage pour ta fiche EVELYN V. COLLINS  I   success is the best revenge 1973890357, si tu as besoin, n'hésite surtout pas EVELYN V. COLLINS  I   success is the best revenge 2313394760

En attendant d'être validée tu peux déjà aller faire un tour sur le flood ou venir papoter sur la cb EVELYN V. COLLINS  I   success is the best revenge 2336905461
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Dim 7 Sep 2014 - 21:02 par Invité
Natalie. I love you I love you (par contre, ton avatar ne semble pas être dans la bonne case)
Bienvenue parmi nous.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Dim 7 Sep 2014 - 21:06 par Invité
welcooome bon courage pour ta fiche EVELYN V. COLLINS  I   success is the best revenge 2406027045
Revenir en haut Aller en bas
Hazel J. Chase
Hazel J. Chase
MEMBRE
EVELYN V. COLLINS  I   success is the best revenge Tumblr_pmogy75nSX1ugyuoto1_540
» Date d'inscription : 13/04/2014
» Messages : 7290
» Pseudo : Jean-Jacques
» Avatar : Gal Gadot
» Âge : 30 ans
» Schizophrénie : Kyle A. Rowena et Amanda E. Hemsworth
() message posté Dim 7 Sep 2014 - 21:16 par Hazel J. Chase
Bienvenue !!! Bon courage pour ta fiche !! EVELYN V. COLLINS  I   success is the best revenge 2406027045
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Dim 7 Sep 2014 - 21:20 par Invité
DORMER EVELYN V. COLLINS  I   success is the best revenge 4121408366 EVELYN V. COLLINS  I   success is the best revenge 705448254 Bienvenue parmi nous EVELYN V. COLLINS  I   success is the best revenge 3995727071 EVELYN V. COLLINS  I   success is the best revenge 2237618149
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Dim 7 Sep 2014 - 21:27 par Invité
Bienvenue parmi nous EVELYN V. COLLINS  I   success is the best revenge 1922099377
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Dim 7 Sep 2014 - 21:30 par Invité
Bienvenue I love you
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
() message posté par Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
London Calling. :: It's over :: Corbeille :: Anciennes fiches
Aller à la page : 1, 2, 3, 4  Suivant
» Self-trust is the first secret of success. • Liam J.Knight.
» EVELYN V. COLLINS ; carnet.
» adam • success is the best revenge
» I don’t know the key to success, but the key to failure is trying to please everybody
» Work hard in silence. Let your success be your noise.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
-