(✰) message posté Ven 2 Déc 2016 - 22:53 par Invité
Aoife Alexi Ashby
London calling to the faraway towns
NOM(S) : Ashby PRÉNOM(S) : Aoife Alexi ÂGE : 29 ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 22 février 1987 à Belfast NATIONALITÉ : Irlandaise STATUT CIVIL : Célibataire MÉTIER : Infirmière TRAITS DE CARACTÈRE : Courageuse. Paranoïaque. Drôle. Têtue. Aimante. Gourmande. Débrouillarde. Menteuse. Généreuse. Ne fais confiance à personne. Secrète. GROUPE : On my bicycle
My style, my life, my name
Ici vous écrirez au moins 10 caractéristiques de votre personnage. Ses habitudes, ses goûts, tout ce qui vous passe par la tête qui fait de votre personnage ce qu'il est. ☆ Aujourd'hui, je m'appelle Alexi ou Alex. Aoife est un prénom trop difficile à prononcer, je ne me présente plus ainsi. C'est comme ça qu'on m'appelait à Belfast, et je ne suis plus cette personne. ☆ Je ne vis que pour ma fille, Mara. C'est nous deux contre la terre entière maintenant et tout ce que je fais, c'est pour la protéger. ☆ Cela fait un peu plus de deux ans que je vis à Londres, je m'y sens à l'aise, en sécurité. C'est une capitale, une ville surpeuplée, j'ai l'espoir que personne ne me retrouve jamais ici. ☆ Je n'ai pas beaucoup d'amis, personne ne me connaît vraiment et sait d'où je viens. Je ne fais confiance à personne et ne me dévoile pas. ☆ Je ne sors donc pas beaucoup, les quelques personnes que je fréquente sont des collègues mais je ne les vois que très rarement en dehors du travail, les soirs où j'ai besoin de me changer les idées. ☆ Je n'ai été qu'avec une seule personne, Aiden, le père de Mara. Je ne cherche pas à retomber amoureuse, tout ce qui m'importe est ma sécurité et celle de ma fille qu'il ne connaît pas. ☆ Depuis quelques années je suis diabétique, je me pique quatre fois par jour, c'est une habitude que j'ai dû prendre mais qui je ne me gâche pas la vie, je ne m'empêche pas de faire ce que je veux à cause de cela. ☆ Mara et moi vivons une vie simple dans un tout petit appartement. Nous n'avons pas beaucoup de moyens mais nous sommes heureuses dans notre petite bulle, rien que toutes les deux. ☆ Je suis toujours armée. On ne perd pas les bonnes habitudes me direz vous. Je ne déplace pas sans être sûr d'avoir mon arme dans mon sac. ☆ Plus rien ne me lie à ma vie passée, je vis au jour le jour et si pour le moment c'est une organisation qui me convient, je ne sais pas combien de temps je vais pouvoir continuer. Ce n'est pas le genre de vie que je souhaitais pour Mara.
PSEUDO : J'en ai beaucoup des différents... PRÉNOM : Sophie ÂGE : 19 ans PERSONNAGE :Scénario AVATAR : Emma Stone CRÉDITS : Angel Dust COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : Elizabeth/Rosemary m'en a parlé CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE ?: Non
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(✰) message posté Ven 2 Déc 2016 - 22:54 par Invité
At the beginning
Nous vous demandons un minimum de 500 mots pour votre histoire. Vous pouvez la présenter de la forme que vous le désirez (extrait de journal intime, RP, rendez-vous chez un psychologue, interview, ect...).
Il faisait froid, très froid. Le mois de février touchait à sa fin et pour la première fois de ma vie, j'étais en retard. Il y avait déjà une semaine que j'aurai dû voir le jour mais je restais au chaud, comme si je sentais déjà qu'il fallait profiter de la présence de ma mère avant qu'il ne soit trop tard. Mais c'est finalement dans la matinée du 22 février 1987 que je naissais, petite, frêle et rousse. Pour être honnête, je ne me souviens que très mal des premiers mois et des premières années, on m'a dit ensuite que j'étais une petite fille assez drôle, qui riait beaucoup, mangeait beaucoup et qui ne tenait pas en place. C'est toujours vrai aujourd'hui, en grande partie. J'ai vécu une enfance comme les autres, entourée de mes parents, qui m'aimaient comme la prunelle de leurs yeux. J'étais fille unique, et on peut dire que je ne manquais pas d'attention. Autour de ma petite famille, il y avait beaucoup d'autres personnes, surtout des hommes, et tous me traitait comme une petite princesse. Avant que je me rende compte de la réalité dans laquelle je vivais, j'avais vraiment une vie merveilleuse. J'étais inscrite dans une école publique de Belfast et là aussi j'étais plutôt chanceuse. J'avais un groupe d'amis soudé, que je voyais aussi en dehors de l'école puisqu'ils étaient les enfants des amis de la famille. Sans trop savoir pourquoi, nous dirigions l'école, les autres élèves nous respectaient et faisaient tout ce que nous voulions. En fait, ils nous craignaient surtout à cause de nos parents, mais j'étais bien trop jeune pour m'en rendre compte. Mafia n'était qu'un mot comme les autres pour moi, ça ne voulait rien dire de concret. C'était une communauté, et j'en faisais partie. C'était comme être un chat ou un chien, être chrétien ou juif. Ma famille faisait partie de la Mafia, c'était aussi simple que cela. Lorsque je n'étais pas à l'école ou en train de jouer avec d'autres enfants, je passais mon temps avec ma mère. Mon père lui, travaillait beaucoup, il passait son temps avec les autres hommes et pour être franche, leurs discussions m'ennuyaient. Non, je préférais de loin être avec Maman, elle était douce, elle me tressait mes cheveux roux pour qu'ils soient bouclés comme les siens et elle me faisait les meilleurs gâteaux du monde.
Mon adolescence s'est déroulée comme mon enfance, paisible et drôle. J'étais toujours entourée, et j'adorais ça. Plus je grandissais, plus je passais du temps avec Papa, j'étais heureuse d'apprendre des choses avec lui. D'après Maman, je n'avais pas besoin de savoir tout cela, j'étais encore trop jeune, mais il répliquait qu'il n'y avait pas d'âge pour savoir se défendre, que c'était important. Et alors très vite, j'ai appris à tirer, comme dans les films. Des cibles étaient disposées dans le jardin, je devais les viser et tirer. Puis tout changea un soir, je n'avais que quinze ans.. J'étais restée à la maison pour faire mes devoirs, Papa et Maman étaient allés se promener. Je crois qu'ils devaient rencontrer des gens, mais dans leurs paroles à demi-mots, je n'avais pas vraiment compris. Il était tard, je commençais à avoir faim, et je n'avais toujours aucune nouvelle d'eux. Je commençais mes fouilles dans la cuisine pour trouver quelque chose à me mettre sous la dent quand j'entendis une voiture arriver rapidement dans la cour de la maison. Je sortais, un sourire aux lèvres pour voir la voiture aux vitres cassées, maculées de sang. Je me souviens d'avoir froid dans tout mon corps en voyant cela, mon cœur s'était accéléré et j'étais pétrifiée. Je ne comprenais pas, ne voulais pas comprendre. Papa était sorti de la voiture, sa chemise qui était blanche en partant, était presque entièrement rouge. Il m'avait pris dans ses bras, me disant de ne pas regarder et qu'il était désolé. Mon père avait toujours été un homme dur et fort, qui ne laissait pas ses sentiments l'arrêter de faire tout ce qu'il devait faire. Mais il nous aimait, ma mère et moi, ça, j'en étais persuadée. A partir de ce soir là, il était différent. Moins joyeux, moins heureux, il ne riait plus que très rarement et était concentré sur le travail. La vengeance le rongeait de l'intérieur et c'était quelque chose qui m'effrayait un peu, même à l'époque. Quelque jour plus tard, j'avais dû mettre une robe noire, nous avions été jusqu'au cimetière. Beaucoup de monde était là, ils m'ont presque tous pris dans leurs bras, me disant qu'il fallait être forte, et que ma mère était une bonne personne. Tout ça je le savais déjà. La vie avant et après sa mort étaient complètement différentes, mais j'avais toujours une famille, et c'était le plus important. Il y avait toujours des gens chez nous, principalement des hommes mais les quelques femmes présentes assumaient leur position avec force. Papa se chargeait maintenant de mon éducation en dehors de l'école, il m'avait donné une arme et je devais toujours l'avoir avec moi. Je ne comprenais pas vraiment pourquoi, mais je l'écoutais.
Et puis était venue le jour de mes dix-sept ans, on m'avait organisé une grande fête où presque toutes les personnes que je connaissais étaient présentes. Cette sensation d'être une princesse m'était revenue et j'étais heureuse d'être au centre de l'attention. Mais ce soir là, ce qui a vraiment changé ma vie, c'était lui. Aiden. J'avais posé mes yeux sur lui et ça m'avait suffit. Il était plus âgé que moi, mais peu importait. Il m'avait fait danser, il m'avait fait rêver. Et à la fin de la soirée, il m'avait embrassé. C'était rapide, nous nous connaissions à peine, mais ce baiser là, il me l'avait donné car il avait compris que c'était mon anniversaire que l'on célébrait ce soir là. Confus, il s'était excusé de ne m'avoir rien offert. Et alors que je tentais de lui expliquer que ce n'était pas grave, il m'a donné le plus beau cadeau de la soirée. Mon premier baiser. Comme toute adolescente, j'avais eu des papillons dans le ventre et un sourire béat. J'avais pensé à lui toute la nuit, puis les jours qui avaient suivi. En fait je n'avais pas pu penser à autre chose jusqu'à ce qu'on se revoit. A partir de ce moment là, il commença à travailler souvent avec mon père, ils s'entendaient bien et j'étais heureuse de le voir régulièrement chez moi. Je chérissais les quelques instants que l'on partageait seul à seul, qui était d'abord rares jusqu'à ce qu'Aiden me propose qu'on sorte un soir, rien que tous les deux. Je ne peux pas vraiment décrire ce qu'il me faisait ressentir, j'avais l'impression d'être en vie quand j'étais avec lui, de profiter de chaque seconde qui venait sans me poser de questions. Lorsque Papa a su quel genre de relation nous liait, il a fait semblant de ne pas être d'accord. En réalité, il aimait déjà Aiden comme un fils, et je crois qu'il n'aurait pas pu imaginer meilleur prétendant pour moi. Grâce à Aiden, je commençais à être un peu plus impliquée dans les histoires, on me parlait plus, parce que je n'étais plus qu'une fille, j'étais aussi une compagne. J'en apprenais plus sur leur "travail" et sur le meurtre de ma mère. Je restais en dehors de tout cela, évidemment, mais j'étais au courant. Après avoir fini le lycée, je commençais des études d'infirmière. Depuis cette vision d'horreur, je ne supportait pas de voir des gens blessé sans pouvoir agir. Alors je prenais les choses en main. Tout le monde me soutenait dans cette affaire, peut-être que ça les rassurait de savoir que quelqu'un pourrait les empêcher de mourir s'il revenait à la maison blessés ; je me disais qu'ils tenaient trop à moi pour me voir impliquer dans leurs affaires. Lorsque j'ai eu dix-neuf ans, Aiden m'a demandé de vivre avec lui. Ce à quoi je disais oui, évidemment. C'était l'homme de ma vie. Une routine s'installait entre nous, et j'aimais ça, j'avais l'impression d'avoir une famille à moi. Et puis il se fit arrêter pour la première fois. Je l'aimais aveuglement, je me fichais totalement de ce qu'il avait fait, s'il était en tord ou non. Je lui rendais visite en prison, lui téléphonais. A chaque fois qu'il était enfermé, il me manquait éperdument, mais ça ne rendait que les retrouvailles meilleures. Au fils des années, ils se faisaient emprisonner de plus en plus souvent, pour de plus en plus longtemps. Combien de fois l'ai-je supplié d'arrêter, de rester avec moi ? Mais il n'écoutait pas, il était bien trop perdu dans une course de puissance.
J'avais vingt-six ans, je travaillais dans un hôpital à Belfast quand j'ai vu un patient être admis dans un salle état. J'avais rarement vu quelqu'un aussi amoché. Comme dans tous les cas semblables, la police arriva assez rapidement pour suivre son état et savoir ce qu'il s'était passé. Il fit un portrait assez précis de la personne qui lui avait fait subir un tel sort et je dois bien avouer que j'étais soulagée que ce ne soit ni Aiden ni mon père qui avait fait cela. En rentrant chez moi, je racontais ma journée et cette histoire à Aiden, qui n'en avait pas l'air surpris. En continuant la conversation, j'appris que si ce n'était pas lui qui avait agressé cet homme, il avait tout de même été présent sur la scène. J'allais me coucher en regardant les choses d'un autre point de vue, et en me posant des questions sur l'homme qui dormait à côté de moi. A partir de ce moment là, je devenais de plus en plus méfiante des complots qui s'opéraient autour de moi. J'étais toujours amoureuse d'Aiden, évidemment, je ne pouvais pas imaginer ma vie sans lui. Cela faisait presque dix ans que nous partagions tout, il avait connu mes hauts et mes bas depuis notre rencontre, et il m'avait toujours soutenu. Quand j'avais décidé de poursuivre mes études, quand on avait diagnostiqué ma maladie, quand je m'étais rendue compte que ma mère était morte depuis une décennie... Et c'était la même chose de son côté. Nous étions liés, et j'avais la sensation que rien ne pourrait couper ce lien. Nous étions un soir invité à une soirée, tout le monde était là, tout le monde dansait, buvait, fumait. Aiden en avait un peu trop abusé à mon goût, mais je ne disais rien, c'était sa vie après tout. Je l'avais perdu de vue depuis plusieurs minutes mais je ne m'inquiétais pas, nous étions en famille. Je sortais prendre l'air, ayant trop chaud à l'intérieur. Une veste autour de mes épaules, je regardais les étoiles, réfléchissant à ce que j'attendais de la vie. Ces soirées n'étaient pas ce que je préférais. Depuis qu'on avait découvert mon diabète, je ne pouvais plus manger ou boire comme je le souhaitais, et je me trouvais donc souvent en dehors des conversations et des rires. J'entendais des voix venant d'un côté de la cour et, décidant de me sociabiliser un peu, je m'approchais. Aiden était là, en compagnie d'un petit garçon qui passait un sale quart d'heure. Je ne pouvais pas prétendre savoir de quoi il était question mais lorsque je vis la main d'Aiden s'élever dans les airs, je ne pouvais pas rester en dehors. Je l'interpellais, essayais de saisir son poignet avant qu'il ne frappe l'enfant, mais par pur réflexe, il se tourna vivement et c'est moi qui me retrouvais sur le sol, la joue en feu. Lorsqu'il avait réalisé que c'était moi, il s'était confondu en excuses évidemment. Il ne voulait pas me frapper et je le savais, il n'avait jamais été violent envers moi. Mais il allait frapper un enfant, et je n'arrivais pas à être d'accord avec ça. Quelques semaines passèrent et je réalisais vite que, pour la deuxième fois de ma vie, j'étais en retard. C'était une chose qui m'aurait sûrement fait sauter de joie quelques mois auparavant mais, maintenant, j'angoissais. Après trois tests de grossesse, j'avais ma réponse. Je ne savais pas quoi faire, chaque jour je réalisais un peu plus les horreurs de ma famille et de mes amis. Je ne pouvais pas laisser un enfant grandir dans cette communauté. Et puis je pensais à Aiden. Il aurait sûrement pu faire un père merveilleux, mais après la dernière soirée, je l'imaginais comme le plus horrible des pères. Je refusais de faire subir une telle vie à cet enfant, à mon enfant. Je préparais mes affaires et fuyait au beau milieu de la nuit.
Cela fait maintenant plus de deux ans que je vis à Londres. Je loue un petit appartement au dessus d'un restaurant italien. Ce n'est pas grand chose, mais c'est suffisant. Mara a maintenant dix-huit mois, elle marche, court, et gazouille partout. Elle m'émerveille un peu plus chaque jour et je sais que j'ai pris la bonne décision. J'ai trouvé un poste d'infirmière au Great Osmond Hospital et cela nous suffit pour vivre modestement. Je vais de la maison au travail et du travail à la maison, sans m'arrêter et en ne parlant que lorsque c'est vraiment nécessaire. En partant de Belfast, je n'ai rien laissé. Pas d'adresse, pas de numéro de téléphone, rien. Je me doute qu'ils me cherchent, mais je fais tout ce que je peux pour ne pas être retrouvée. Ici, on m'appelle Alexi, voire Alex pour les gens dont je suis le plus proche. Nous sommes Alex et Mara, sans famille, sans histoire. Rien que le présent. Londres est une grande ville et je prie chaque jour plus fort pour que l'on ne nous retrouve pas. Il suffit de faire attention à ses traces, mais ce n'est pas impossible de vivre dans l'anonymat. La seule question est : pour combien de temps ?
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(✰) message posté Ven 2 Déc 2016 - 22:58 par Invité
ma sophie que j'aime d'amour bienvenue parmi nous
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(✰) message posté Ven 2 Déc 2016 - 23:03 par Invité
Bienvenue une fois de plus sur le fo
Lola Barnett
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(✰) message posté Ven 2 Déc 2016 - 23:05 par Lola Barnett
Bienvenue parmi nous.
Alycia Hemsworth
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(✰) message posté Ven 2 Déc 2016 - 23:09 par Alycia Hemsworth
Excellent choix de scénario. Bienvenue & bon courage pour ta fiche. Si tu as besoin, n'hésite surtout pas.
En attendant d'être validée tu peux venir papoter sur la cb ou faire un tour dans les jeux & le flood pour faire plus ample connaissance avec nous.
Abigail E. Reynolds
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(✰) message posté Ven 2 Déc 2016 - 23:14 par Abigail E. Reynolds
Bienvenue parmi nous :)
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(✰) message posté Ven 2 Déc 2016 - 23:15 par Invité
bienvenue parmi nous
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(✰) message posté Ven 2 Déc 2016 - 23:22 par Invité
Bienvenue parmi nous !
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(✰) message posté Ven 2 Déc 2016 - 23:46 par Invité