"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici ash (+) My S.O.S on radio, The only chance to let you know What I fear. Can you hear? 2979874845 ash (+) My S.O.S on radio, The only chance to let you know What I fear. Can you hear? 1973890357
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() message posté Lun 26 Mai 2014 - 21:59 par Invité

Ashford Edward Tennyson

London calling to the faraway towns
NOM(S) : Tennyson. Oui, comme Lord Tennyson, le poète. PRÉNOM(S) : Ashford est son premier prénom, mais il préfère généralement le raccourcir en « Ash », juste parce que c’est plus pratique. Son deuxième prénom est Edward, mais il ne l’utilise pratiquement que pour ses petites activités téléphoniques, anonymat oblige. Et puis, il n’était pas inventif ce jour-là, pour être honnête, alors son deuxième prénom lui a paru un assez bon pseudo. ÂGE : dix-huit ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Londres, 19 août 1995. NATIONALITÉ : britannique. STATUT CIVIL : célibataire. MÉTIER  : étudiant en journalisme, animateur radiophonique pour l’université, pigiste au magazine Vogue et officieusement hôte de téléphone rose. TRAITS DE CARACTÈRE : studieux, ambitieux, déterminé, détendu, blagueur, ouvert, responsable, précoce, communicatif. GROUPE : On my bicycle.



A propos de moi

Moins résigné, tu meurs. Il s’en est pris, des tuiles sur la tête, Ash, depuis la mort de son père il y a trois ans, mais ce qu’on peut dire, c’est qu’il ne s’est certainement pas laissé abattre ! Au contraire, il a pris sa vie en main et peut-être, peut-être que tout arrive pour une raison et que tout ça est pour le mieux. Pourrait être politicien, mais est trop franc pour ça. Une chose qu’on peut dire sur Ashford, c’est qu’il est doué quand on en vient à parler de communication. Sa grande gueule, c’est toute sa vie, et le contact avec les autres, c’est sa came. Il n’éprouve jamais plus grand plaisir que quand il s’assoit à la régie avec son casque sur ses oreilles et son micro en face de lui, près à passer deux heures de folie avec ses auditeurs, et même son choix discutable de petit boulot a été un aiguillage décisif. Il aurait pu mettre son bagout au service d’une carrière d’orateur public, étudier le droit comme c’était le plan initial, mais au final, il aime beaucoup plus dénoncer que rouler dans la farine. Fait ce qu’il faut quand il le faut. Ash ne vit plus sur un petit nuage, et il sait désormais comment fonctionne le monde. On n’a rien sans rien, et il faut manger si on ne veut pas être mangé. Alors Ashford croque à pleines dents, merci beaucoup. Il sait quand mettre son éthique personnelle de côté et faire les choses quand c’est nécessaire. Est prêt à faire des sacrifices pour sa carrière. Si vous croyez que ça l’amuse d’écrire des articles pour un célèbre magazine féminin, vous vous trompez. Mais si Ashford sait une chose, c’est qu’il faut mettre ses dons à contribution, et après quinze ans de vie dans l’opulence, la jet-set, le bling-bling, la haute-couture, toutes ces conneries, ça le connaît. Et si ça ne met pas autant de beurre dans les épinards que son job d’hôte téléphonique pour adultes, ça lui permet au moins de rajouter une ligne significative dans son CV, et ça, Ashford sait qu’on ne crache pas dessus. Doué pour le sexe, tant que c’est que du baratin. Hôte de téléphone rose ; on vous a dit plus haut que Ash savait faire les choix qui s’imposaient. Evidence numéro un : il avait besoin d’un petit boulot, et d’un qui paie bien. Evidence numéro deux : ouvert et communicatif, il peut faire mieux que du démarchage par téléphone, rémunéré une misère. Le téléphone rose, c’est à la fois libérateur et routinier. Désormais, Ashford peut prendre des appels et se mettre en pilote automatique ; pour débiter des cochoncetés, même pas besoin d’être concentré, à présent, il le fait en regardant des dessins animés et en piochant dans un bol de céréales. N’allez pas croire qu’il n’y prenne jamais plaisir, cependant. Si tous les fantasmes qu’on lui demande de décrire ne sont pas à son goût, il lui arrive de temps à autre de tomber sur quelqu’un avec une voix plaisante et des appétences sexuelles plutôt en accord avec les siennes. Vierge. Ca vous surprend, hein ? Ash n’est pas coincé pour un sou, vous vous en doutez, et pourtant, monsieur n’a jamais dépassé la limite du caleçon quand on vient à ses interactions avec la gente masculine qui, désolé mesdames, a sa préférence depuis toujours. Ca vous étonne, vous ? L’emploi du temps du garçon est tellement chargé que c’est tout juste s’il arrive à coincer deux séances de masturbation dans sa journée, sous la douche le matin et le soir en allant se coucher. Où voulez-vous qu’il trouve le temps de sortir et de séduire quelqu’un ? A noter aussi qu’être hôte de téléphone rose ne signifie pas que son goût pour la romance est mort, et qu’il a comme beaucoup envie d’une première fois qui vaudra la peine de s’en souvenir. Faux rebelle. Donnons-lui une excuse, avec un drame familial à tout juste quinze ans et les péripéties qui ont suivi, on ne peut pas vraiment lui reprocher d’être passé par une petite période de rébellion, et même si ses yeux d’un bleu de bébé et sa houppette blonde cassent un peu l’effet général, il conserve de cette période un piercing à la lèvre qui aurait fait hurler sa mère si elle y avait prêté une attention quelconque, et un faible pour les T-shirts à imprimés et pour les pantalons si moulants qu’on devrait appeler ça des leggings plutôt que des jeans. Au placard. Les amis d’Ashford pensent sans doute que celui-ci est asexuel et qu’il n’éprouve en fait d’attirance pour rien ni personne. Eh, ça arrive ! Il y a des personnes qui n’ont pas de libido, et ils vivent très bien comme ça ! Mais non, Ashford a une libido. Il s’efforce juste de la contenir, parce que mine de rien, il n’a pas encore osé faire son coming-out pour l’instant. Il a donc adopté une attitude neutre vis à vis des filles comme des garçons jusqu’au jour où il osera enfin hurler sur tous les toits « J’aime les mecs et c’est très bien comme ça ! » C’est l’un des rares défis que notre bavard de service n’a pas encore relevé, et bien le dernier secret qu’il est incapable de confier à la terre entière. Loyal même quand il ne faudrait pas. Il devrait haïr son père, dont la faiblesse pour le jeu les a laissés, lui et sa mère, dans une panade noire quand il est mort dans un accident de voiture. Il devrait mépriser sa mère, qui se noie dans ses illusions à coups de fausses prescriptions et mène un train de vie au-dessus de ses moyens en arnaquant le système de sécurité sociale. Mais voilà, son père était un père aimant, bien que lâche, et l’amertume de leur situation difficile n’a pas terni les souvenirs que Ashford garde de leur temps passé ensemble ; si son père revenait à la vie, il lui pardonnerait sans doute tous ses travers, tout simplement parce qu’il est son père et qu’il lui manque. Quant à sa mère, bien que ses principes lui interdisent de toucher à l’argent que sa mère ponctionne régulièrement dans les finances de la sécurité sociale britannique, Ashford ne l’a pas dénoncée aux autorités, et il lui envoie même régulièrement tout l’argent dont il peut se permettre de se séparer dans l’espoir qu’elle aura moins recours à ces dangereuses escroqueries. Profondément londonien. Même si Ashford aurait intérêt à quitter Londres, trop grande, trop chère pour lui, il ne peut s’y résoudre, car il reste très attaché à la ville, à ses excentricités, au palais de Buckingham devant lequel il passe régulièrement, à la pluie battante qui le mouille jusqu’aux os quand il pédale de son appartement jusqu’à l’université, à l’accent cockney, à ses grands magasins, à ses boutiques de disques, à ses touristes et à ses bus à deux étages. Bref, il aime Londres, et tant qu’il n’y sera pas forcé, il y restera aussi longtemps que possible.
PSEUDO : ArmedVenus. PRÉNOM : What did you expect ? Schweppes. ÂGE : 22 ans. PERSONNAGE : inventé.  AVATAR : Luke Hemmings. CRÉDITS : anaëlle. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : en cherchant ? depuis PRD, il me semble.





Ma vie en perspective

La vie d’Ashford est parfaite jusqu’à ses quinze ans. Littéralement parfaite. Son père, trader à la City, le centre financier de la ville, garantit à sa femme et à son fils un train de vie confortable. Pendant quinze ans, Ashford vit sur un nuage, entre l’école privée auquel ses parents l’ont inscrit et les vacances à Monaco. Il fréquente son pensionnat huppé avec l’élite du Royaume-Uni, arpente la voie royale qui l’emmènera vers une des plus prestigieuses universités du pays et ensuite vers une belle carrière, à la City, comme son père, ou dans un grand cabinet d’avocats, passe l’été sur la Côte d’Azur, bronze sur les plages de sable doré, nage dans l’eau bleue, s’introduit chaque soir dans des discothèques et des bars branchés dont il négocie l’entrée à l’aide de gros billets, assiste régulièrement aux fashion weeks européennes vêtu à la griffe d’Alexander McQueen de la tête aux pieds. Même le mariage de ses parents est sans nuage, et, tout comme le visage de sa mère, ne prend pas une ride, toujours aussi resplendissant qu’au premier jour, comme une photo sur papier glacé.

Tout se fracasse la gueule le jour où ce taxi grille une priorité et emboutit la voiture de fonction de son père ; James Tennyson meurt sur le coup, laissant son fils et sa femme plus qu’un deuil à accomplir. Le testament que lit le notaire ne lègue à Agatha et Ashford rien du patrimoine qu’ils auraient espéré ; il les couvre de dettes de jeu contractées par James chaque été dans les casinos monégasques, dont le montant final est si astronomique qu’il en est presque comique. La situation, cependant, n’a rien d’amusant. Ashford pourrait encaisser la vente de la maison, du mobilier, des pièces de collection qu’Agatha a acquises avec goût au cours de ventes aux enchères, des voitures que James achetait comme des petits pains ; mais ce n’est pas la seule chose qui fond comme neige au soleil. Le temps d’éponger les dettes de jeu de son père, le compte bancaire soigneusement rempli d’Ashford, censé financer ses trois dernières années au pensionnat et son éducation dans une institution renommée de l’enseignement supérieur britannique, est vidé. Il se retrouve à l’aube de l’adolescence à l’école publique du quartier où Agatha a réussi à louer un duplex dans leur maigre budget. Finie l’insouciance, finies les vacances à la principauté, finis les costumes de créateurs, les soirées hype de la jeunesse dorée de la capitale et rompues les belles relations avec les hautes sphères de la société londonienne.
Ashford s’adapte. Ce n’est pas comme s’il y avait un autre choix. D’aristocrate, ou plutôt de ploutocrate, Ashford se voit désormais obligé de devenir méritocrate, de s’investir, d’arracher ce qu’il veut à la sueur de son front et que l’argent ne peut plus lui garantir.
C’est un électrochoc autant qu’un traumatisme, mais Ashford a ce trait qui va le sauver : il est, à défaut d’être particulièrement intelligent, réaliste. Alors il bosse. Il s’acharne, bûche pourrait-on dire. Il n’est pas le meilleur élève de la classe, mais il n’en est pas loin ; il mûrit, plus vite que ses camarades de classe et beaucoup, beaucoup plus vite que ses anciens partenaires de dortoir, dont la richesse de leurs parents leur assure de pouvoir dormir sur leurs deux oreilles, quoi qu’il arrive. Et Ashford sait que seul un dossier scolaire irréprochable lui permettra d’accéder aux meilleures universités, qui lui auraient déroulé le tapis rouge en dépit de ses notes médiocres de l’internat s’il avait toujours pu présenter le chéquier de son père. Mais sans compte en banque florissant, Ash n’a plus d’autre passe-droit que celui de l’excellence académique.
Il ne veut pas continuer dans la direction toute tracée par son père, cependant. Le plan établi par ses parents subit des modifications ; au diable le droit ou l’économie, au diable la carrière d’avocat ou de trader. Il redessine son avenir un peu comme il l’entend, maintenant qu’il est livré à lui-même s’il veut l’obtenir. Le journalisme lui convient mieux.
Financer l’université est le plus difficile. Ce qu’il subsiste de leurs économies après le passage des usuriers et le travail de sa mère comme secrétaire juridique suffisent certes à leur garantir une vie de classe moyenne décente, mais les frais d’inscription à l’université sont vertigineux, et l’idée de contracter de nouvelles dettes fait grimacer Ashford autant que si on l’avait forcé à mordre dans un citron. Neuf-mille livres l’année, sans compter les dépenses de base en loyer et en nourriture. Sa mère a commencé à utiliser ses fines connaissances du fonctionnement du système de remboursement des dépenses de santé du pays pour exhorter à l’état des petites sommes qui, agglomérées, équivalent à un pactole conséquent, mais Ashford sait désormais que tout finit toujours par se payer.

Il a seize ans lorsqu’il ouvre le journal gratuit distribué à la sortie du métro et voit l’annonce pour le téléphone rose ; il est toujours mineur, mais c’est un détail que l’employeur passera sous silence. L’économie souterraine non-déclarée a des avantages, dont celui, pas des moindres, de lui permettre de mettre de côté chaque mois un pécule non négligeable. Le job est facile pour quelqu’un d’aussi causant qu’Ashford, et si les premiers appels sont un peu dérangeants, il apprend vite à oublier ses tabous pour satisfaire le client, et à se détacher à ce point de la conversation qu’il n’en rougit même plus quand il débite propos libertin sur propos libertin, enfermé à double-tour dans sa chambre de l’appartement. C’est un job comme un autre, et il ne jette pas l’argent que cela lui rapporte par les fenêtres ; il achète ses fringues à Primark pour une poignée de livres, s’autorise l’achat de quelques CDs et même, le jour de ses dix-sept ans, un piercing à la lèvre inférieure qu’il ne s’explique pas. Il apprend à vivre avec son kit mains libres, à s’isoler dans un coin de sa chambre où il sait que sa mère ne l’entend pas, et à faire deux choses à la fois, tenir une conversation et faire ses devoirs.

Quand il est accepté à Goldsmiths’ College, University of London, à New Cross dans le sud de Londres, ce n’est ni Oxford, ni Cambridge, ni St Andrews, mais d’après le guide publié chaque année par le Guardian sur les universités du pays, c’est un excellent score pour Ashford, compte-tenu des circonstances.
Il pourrait rester vivre chez sa mère, mais il gagne suffisamment d’argent pour se permettre de louer une studio d’un peu moins de quinze mètres carré, un vrai trou à rats dans un quartier excentré de la capitale, avec une douche qui fuit, une cuisine minuscule et un canapé-lit qui grince un peu, et il en est bien content, surtout quand il obtient l’autorisation de repeindre à ses frais son placard à balai personnel ; il y ruine un de ses T-shirts favoris et l’appartement – sponsorisé Ikea – pue la peinture pendant quinze jours, mais le résultat lui plaît bien, alors tant pis si c’est un peu du bricolage et s’il a tout juste la place de se retourner. L’université lui plaît aussi, et surtout son poste d’animateur sur Wired, la radio étudiante de Goldsmith College.
Il a encore un tas de choses à faire, mais si on prend en compte son faux départ, jusque là, il ne s’en tire pas trop mal.
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() message posté Lun 26 Mai 2014 - 22:00 par Invité
Et hooooooop, terminé !
Si vous voulez des liens, ma boîte à MP est grande ouverte, les cocos !  ash (+) My S.O.S on radio, The only chance to let you know What I fear. Can you hear? 2406027045 
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() message posté Lun 26 Mai 2014 - 22:03 par Invité
well, c'était rapide ! ash (+) My S.O.S on radio, The only chance to let you know What I fear. Can you hear? 3903491763
Bienvenue ! ash (+) My S.O.S on radio, The only chance to let you know What I fear. Can you hear? 1922099377
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() message posté Lun 26 Mai 2014 - 22:07 par Alycia Hemsworth
Bienvenue chez nous ash (+) My S.O.S on radio, The only chance to let you know What I fear. Can you hear? 2723850382 :hihi:
Si tu as besoin, n'hésite surtout pas ash (+) My S.O.S on radio, The only chance to let you know What I fear. Can you hear? 2313394760
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() message posté Lun 26 Mai 2014 - 22:09 par Invité
En fait, c'est moiiiiiiiiiiiii qui avais demandé pour Harry Styles, et du coup, j'étais TROP impatiente (explication du pourquoi du comment ma fiche est déjà postée-terminée : j'ai passé mon après-midi dessus) et j'ai fini par me décider pour Luke Hemmings et me voilà  ash (+) My S.O.S on radio, The only chance to let you know What I fear. Can you hear? 83559717 

Merci à vous deux pour vos messages  ash (+) My S.O.S on radio, The only chance to let you know What I fear. Can you hear? 1973890357 
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() message posté Lun 26 Mai 2014 - 22:13 par Alycia Hemsworth
Oh d'accord, dans ce cas je vais archiver le sujet en invité, je désolée pour la réponse qui c'est faite attendre ash (+) My S.O.S on radio, The only chance to let you know What I fear. Can you hear? 2107231163 En tout cas, ça fait plaisir de voir que tu t'es inscrit ash (+) My S.O.S on radio, The only chance to let you know What I fear. Can you hear? 1973890357
Si t'as fiche est terminée, n'oublie pas de poster ici que l'on ne t'oublie pas  :ballet: 
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() message posté Lun 26 Mai 2014 - 22:14 par Invité
Bienvenue I love you bien mignon ton petit Luke :hinhin:
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() message posté Lun 26 Mai 2014 - 22:14 par Invité
Bienvenue :)
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() message posté Lun 26 Mai 2014 - 22:17 par Margot Bernstein-Woolf
bienvenue parmi nous ash (+) My S.O.S on radio, The only chance to let you know What I fear. Can you hear? 1922099377
même si ce n'est pas harry, c'est un bon choix ash (+) My S.O.S on radio, The only chance to let you know What I fear. Can you hear? 1499450316 ash (+) My S.O.S on radio, The only chance to let you know What I fear. Can you hear? 3112672494
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() message posté Lun 26 Mai 2014 - 22:23 par Invité
Merci à tous ash (+) My S.O.S on radio, The only chance to let you know What I fear. Can you hear? 1973890357

@ DAMIAN. Alexander, je...  ash (+) My S.O.S on radio, The only chance to let you know What I fear. Can you hear? 705448254  ash (+) My S.O.S on radio, The only chance to let you know What I fear. Can you hear? 878725457  ash (+) My S.O.S on radio, The only chance to let you know What I fear. Can you hear? 2507724822 

@ LIZZIE. J'ai posté dans les fiches terminées, j'étais justement en train de chercher le sujet ! Et pas de souci pour la réponse, c'est juste moi qui ai aucune patience (digne d'une gamine capricieuse de dix ans, j'vous juuuure) même quand je sais que c'est une période de partiels :waaa:

@ RORY. Je le trouvais assez à mon goût, ouais  ash (+) My S.O.S on radio, The only chance to let you know What I fear. Can you hear? 2313394760  Même si je devrais avoir honte parce que le loustic n'a que 17 ans...
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