"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici - memories turn to dust, please don't bury us. 2979874845 - memories turn to dust, please don't bury us. 1973890357
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() message posté Mar 29 Déc 2015 - 23:17 par Invité

Neal Jagger Abernathy

London calling to the faraway towns
NOM(S) : Abernathy, comme le nom d'un colonel côté de l'armée qui fut impliqué dans un scandale d'adultère. Si au départ, Neal vivait difficilement le fait de devoir porter le nom de son père, aujourd'hui, il a finalement compris que l'on ne choisissait pas sa famille. PRÉNOM(S) : Neal, Jagger. ÂGE : Trente-deux ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Il est né le deux décembre à Londres. NATIONALITÉ : Britannique de pure souche. STATUT CIVIL : Célibataire. Depuis la rupture de ses fiançailles il y a quelques mois, il n'a connu que quelques flirts et relations d'un soir qui n'ont jamais donné suite. MÉTIER  : Ancien pilote de drones à la Royal Air Force, aujourd'hui en rémission. TRAITS DE CARACTÈRE : angoissé, distant, avenant, protecteur, pas assez démonstratif, grognon, audacieux, impulsif, solitaire, je-m'en-foutiste, débrouillard, franc, calculateur, sans attaches, discret, entêté, bagarreur, loyal, fier, introverti, rancunier, dévoué, impatient, pessimiste, fonceur, ingénieux, fidèle, nerveux, observateur, secret, généreux, trop sanguin, rebelle, indépendant, direct. GROUPE : Fast in my car.



My style, my life, my name

Neal avait quinze ans quand il a appris que son père, colonel dans la Royal Air Force, trompait sa mère depuis des années. L'affaire s'est ébruitée et quelques mois plus tard, le scandale a éclaté, sonnant alors le divorce de ses parents. Neal n'a jamais pardonné à son père cette trahison et depuis, il a uniquement grandi avec sa mère. ▪️ En dépit du mépris qu'il a envers son paternel et peut-être pour justement combler cette séparation qui l'a profondément marqué, le jeune homme s'est lui aussi engagé dans l'armée, dans une unité spéciale qui pilotait des drones en Afghanistan. Après plus de cinq ans de services, la réalité de l'horreur de la guerre l'a rattrapé et il a fait un burn-out sévère, décidant alors de quitter son unité. Depuis, il tente progressivement de reconstruire sa vie. ▪️ Il a une petite soeur. C'est la prunelle de ses yeux, il la surprotège, la fait passer avant tout le monde et pourrait absolument tout faire pour elle. Il la couve tellement qu'ils se disputent régulièrement. Neal n'en a d'ailleurs rien à faire si elle le trouve étouffant: il ne veut que son bonheur et est persuadé que personne n'est assez bien pour elle. ▪️ Si ses crises d'angoisse se sont dissipées grâce aux traitements et aux thérapies qu'il suit, il fait encore souvent des cauchemars le soir. C'est sans cesse le même rêve, la même image en infrarouge qui le hante. ▪️ Il ne s'attache pas facilement aux gens, il lui faut un intervalle de temps conséquent avant qu'il n'arrive à accorder sa confiance à quelqu'un. En revanche, quand il s'engage dans une relation amoureuse, c'est qu'il y a des réels sentiments en jeu, une vraie confiance installée et pas seulement une attirance physique. Il est très sérieux lorsqu'il est en couple. ▪️ Il y a quelques mois, il était encore fiancé. Il aimait de tout son coeur sa fiancée, sincèrement, mais leur couple battait de l'aile à cause du boulot de Neal qui commençait à influer sur son comportement. Elle a fini par ne plus supporter et a préféré tout arrêter. ▪️ S'il a toujours été un peu renfermé sur lui-même, il a perdu contact avec un nombre conséquent de ses amis depuis son burn-out, période où il ne souhaitait voir personne mis à part sa famille et quelques proches. Il ne sortait plus, ne répondait plus à leurs messages. Cet épisode l'a quelque peu changé, il est plus solitaire qu'à l'accoutumée. ▪️ Passionné d'Histoire, il a une collection impressionnante de bouquins et de films sur la guerre froide, sa période préférée. ▪️ Sa mère vit dans un confortable appartement situé dans les beaux quartiers de Londres, offert par son ex-mari en dédommagement pour toutes les infidélités qu'il lui a faites. Neal quant à lui n'a jamais accepté quelconque aide venant de la part de son père, il ne veut en aucun cas lui être redevable. D'ailleurs, il vit dans un studio en chantier qu'il retape lui-même, voyant cela comme un moyen de se détendre. ▪️ Pour une raison qu'il ignore, on le confond souvent avec Calvin Harris dans la rue. Si au début ça le faisait marrer et qu'il s'amusait à prendre des photos avec les naïfs qui osaient l'aborder, aujourd'hui, il les envoie directement bouler. ▪️ Pas compliqué pour un sou, il n'estime pas avoir besoin de beaucoup pour être heureux. D'ailleurs, il préfère passer une soirée devant un match de foot, une bière et une pizza sur la table plutôt que d'aller au restaurant habillé en pingouin.

(en vrac) fan de vieux groupes de rock anglais, détient même une collection de vinyles — physiquement, son type de femme idéale s'apparenterait à Mila Kunis — se noie dans le scotch quand tout va mal — a plusieurs tatouages significatifs — déteste les réseaux sociaux — a considérablement augmenté sa consommation de cigarettes dernièrement — est déjà allé voir cinq fois au cinéma le dernier Star Wars — il ne faut pas compter sur lui pour répondre rapidement aux textos, avec lui, c'est quand il veut — trouve Youtube absolument fantastique, il a appris à tout faire en regardant des vidéos: cuisiner, réparer sa voiture et même faire des tours de magie pour ses petits cousins.
PSEUDO : Ruthless. PRÉNOM : Chloé. ÂGE : Who cares?  PERSONNAGE : inventé.  AVATAR : Dan Stevens. CRÉDITS : gifs @galorail on tumblr ~ avatar @Crick. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : Je suis faible. - memories turn to dust, please don't bury us. 2493048482  CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE?: Nope.



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() message posté Mar 29 Déc 2015 - 23:17 par Invité
At the beginning



hopeless people, midnight dreams, the only one
you left floating down a one way street.

• • •

« Assis-toi Neal, il faut que je te dise quelque chose. » Le jeune homme arqua un sourcil. Il n’avait pas l’habitude d’entendre sa sœur vouloir se confier à lui. Enfin, pas de cette façon. Ils étaient proches mais s’avouer des choses sérieuses, ce n’était pas dans leur routine. S’attendant au pire, il tira la chaise située en face et s’y installa, les bras croisés. Son regard bleu était relevé vers le visage empli de candeur de sa petite sœur. Il l’observait, guettant sa réaction tandis qu’elle se pinçait les lèvres, semblant hésiter un instant. « J’ai rencontré un mec. » La réaction naturelle aurait été que Neal se détende, soulagé de ne pas avoir affaire à un problème majeur et pourtant, il ne montra aucun signe de relâchement. Ses muscles étaient toujours aussi tendus, sa mâchoire était serrée. Certes, il n’avait pas affaire à un souci de taille, mais la situation ne lui plaisait pas pour autant. « D’accord. » fut le seul mot qu’il finit par lâcher, après quelques secondes de silence. Il n’avait dit qu’un seul mot, deux syllabes, mais le jeune homme savait que sa sœur comprenait le sens caché de cet unique terme. Ils se connaissent par cœur. « Ce que je veux dire par là, c’est que je ne veux pas que tu t’en mêles. Je l’aime bien. Vraiment bien. » Il soupira, à la fois exaspéré par tant de naïveté et vexé qu’elle ait pensé à le lui avouer uniquement pour ne pas qu’il vienne faire capoter cette idylle d’adolescents. S’il l’avait fait avec ses anciens petits copains, c’était pour son bien, en avait-elle seulement conscience? Et puis, au final, il avait la plupart du temps eu raison, ces petits cons auraient fini par lui briser le cœur.  « Merci pour la confiance, j’apprécie. Entendu, je ne ferai rien. Mais je ne veux pas te retrouver comme maman. » C’était un avertissement, un autre parmi toutes les mises en garde qu’il lui faisait à chaque fois qu’ils parlaient des relations amoureuses qu’elle pouvait entretenir. Un demi-mensonge, aussi. Neal ne ferait rien, mais il comptait quand même surveiller de près celui qui fréquentait sa sœur. C’était ça, ce qu’ils faisaient. Ils se protégeaient. « Tous les hommes ne sont pas comme Papa, Neal. La preuve, tu n’es pas comme lui. » Sa lèvre inférieure frétilla légèrement lorsqu’elle évoqua leur père. Il se détestait pour toujours réagir de la même façon dès que la conversation revenait vers cet homme, cette figure paternelle qui n’avait aujourd’hui plus aucun sens à ses yeux. En boucle, la même image se métamorphosait dans son esprit quand le Papa retentissait ; leur photo de famille, déchirée en mille morceaux.  « Et je refuse d’être comme lui. Je ne serai jamais comme lui. » Et instinctivement, il tripota la chaine en argent qui pendait à son poignet, comme pour l’éloigner de sa peau car elle lui brûlait les tissus. Bon sang, pourquoi portait-il encore ce bracelet? C’était complètement contradictoire avec ce qu’il disait, mais il n’avait jamais réussi s’en séparer. Il était faible, tout simplement. « C’est la chaîne de Papa, n’est-ce pas ? » demanda-t-elle d’une voix douce, la désignant d’un mouvement de tête. Après quelques instants, Neal la retira, la lançant négligemment sur la table avant de se lever brusquement.  « Ne me parle pas de lui, c'est pas mon père. »

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Le silence. Aucun bruit, sauf peut-être le son de sa respiration. Le son de l’air qui gonfle doucement ses poumons avant d’être expédié dans un très léger murmure. Ils sont deux dans la pièce. Deux, et pourtant, c’est comme s’il n’y avait personne tant ils sont immobiles. L’endroit n’a pas été nettoyé depuis un moment, il y a de la poussière qui tapisse le sol et une odeur forte, désagréable, comme lorsque l’on rentre dans un vestiaire de joueurs de basket. A force, Neal s’est accommodé à cette odeur. Il n’y fait même plus attention et ne sent plus rien tant elle est devenue ancrée dans son quotidien. Il se souvient du moment où il est entré pour la première fois dans ce bunker. Encore tout jeune, intrépide, fasciné, il avait eu l’impression d’être dans un film. Il entrait dans l’histoire. Lui aussi faisait à présent partie des héros anonymes qui défendaient l’honneur de son pays. Qui aspiraient à assurer la sécurité mondiale. Il était militaire. Et il voulait s’assurer d’être un bien meilleur militaire que son père, dont le nom de famille laissait une trace indélébile, aussi bien sur ses papiers d’identité que dans son esprit. Les yeux rivés sur l’écran en face de lui, Neal écoute les voix des autres soldats qui grésillent dans son casque. Si d’un point de vue extérieur, la pièce semble silencieuse, à travers les poches de mousse fourrées sur ses oreilles, on distingue bel et bien du mouvement. Il ne comprend pas tout, à vrai dire, il n’a pas été mis au courant de l’entière mission alors c’est normal qu’il ne saisisse que des brides de conversation. Lui, son rôle, c’est juste d’aider ses co-équipiers au sol à s’infiltrer dans cette maison afghane, apparemment occupée par une cible de l’armée. Il appuie sur une touche de son clavier et ses pupilles bleutées se tournent vers un autre écran, un autre point de vue de son drone. Il fait nuit en Asie centrale mais la technologie a encore réussi à surmonter ce problème en leur fournissant une très bonne qualité d’image sur leurs écrans. Neal surveille l’entrée de la maison, attentif à toutes les nuances de couleurs, tous les mouvements, tout ce qui se passe. Il a la dégaine d’un gamer, vu de loin. Plusieurs claviers, un micro-casque enfoncé sur la tête, pas loin de sept écrans devant les yeux et un joystick, fermement tenu dans sa main droite. Sauf que ce qu’il fait, ce n’est pas un jeu. C’est tout sauf un jeu vidéo. C’est la vie réelle. C’est la vraie guerre. Dans son oreillette, il entend le timbre grave de son supérieur lui ordonner de faire feu sur l’entrée de la maison. Rien n’a été dit, mais son expérience l’aide à deviner qu’il s’agit de créer un effet de surprise pour que les soldats sur place puissent entrer. Avec sa main droite, il appuie sur un bouton faisant apparaitre un point lumineux rouge sur le portail, puis l’homme assis à côté de lui déclenche le missile. Seize secondes avant qu’il n’atteigne sa cible. Seize secondes qui paraissent être une éternité, tant le compte à rebours s’écoule avec une lenteur désespérante. Il ne cligne même pas des yeux, ne tourne pas une seul fois le regard de l’écran. Neuf secondes. Son cœur bat à tout rompre dans sa poitrine, en contraste avec le compteur qui n’en finit plus. Quatre secondes. Soudainement, une silhouette apparait au coin de l’écran. Tout se passe tellement rapidement que Neal ne parvient pas à distinguer la personne, mais sur la fraction de seconde qu’il l’a aperçue, il a vu un adolescent. Et puis, l’explosion. Plus rien, sauf des débris de pierre qui constituaient autrefois le portail de cette maison. L’adolescent n’est plus là, mais les soldats anglais ont pu pénétrer dans la demeure. Neal avale sa salive, douloureusement. Un nœud lui comprime la gorge. Il a chaud tout à coup mais ne laisse rien paraître, contrairement à Ben, son collègue qui a déjà bondi de son siège et retiré son casque pour lui parler. « C’était quoi, ça? Un jeune? On a tué le jeune? » On dirait lui, lors de ses premières missions il y a quelques années. Ben lui rappelle ses premiers instants en tant que pilote de drone, sa fraîcheur, sa détermination, sa conviction d’être là pour faire le bien. Ben était un pilote prometteur, tout le monde s’accordait à le dire. Il semble heureux pour le moment, il effectue les missions destinées à servir son pays, tue des méchants puis il rentre chez lui et raconte ses aventures à sa copine d’un air glorieux. Jusqu’à ce qu’il rende un jour compte de ce qu’il est réellement. « Non, c’était un taliban, il était armé. C’était un ennemi, tracasse pas. » Neal répète comme un automate d’un ton autoritaire, pour que Ben ne pose plus de questions. Parce que c’est ce qu’on lui a dit de faire. De rassurer les nouveaux soldats, de leur faire comprendre que les dommages collatéraux sont parfois nécessaires. De mentir. Au fond, Neal savait ce qui s’était réellement passé. Ils avaient tué un innocent.

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ESPT. C’était ce que les médecins avaient dit. ESPT. Quatre lettres, quatre mots. ESPT. Etat de stress post traumatique. Quatre mots barbares, insignifiants, pour définir ce qui lui arrivait. Les médecins croyaient toujours tout savoir. Ils le regardaient d’un air grave, lui posaient des questions, lui prescrivaient des médicaments et lui donnaient des conseils bidons censés le guider vers le droit chemin. Mais la blessure, elle, restait la même. Les images étaient toujours aussi claires dans son esprit, toujours aussi frappantes. La sensation du pouce appuyant sur un bouton qui ôterait la vie à des personnes à distance était encore là, toujours aussi brûlante. Dream on d’Aerosmith en fond, une cigarette dans la main droite et accoudé contre la fenêtre de son appartement, Neal fixait un point invisible dehors, le regard vide et cachant pourtant une lueur de présence ardente. Il fut extirpé de ses pensées par le bruit de la porte d’entrée qui s’ouvrit, faisant apparaître une jeune femme qu’il ne connaissait que trop bien. Kat. « Hey. J’ai encore le double des clés, j’avais oublié de te le rendre. » Il la regarda durant de longues secondes, se rappelant à quel point elle était belle. A quel point il avait été chanceux de rencontrer une fille pareille. « Merci. » répondit-il simplement, saisissant le trousseau qu’elle lui tendait. La revoir était douloureux. Elle était l’amour de sa vie, il en était certain, mais parce qu’il l’aimait trop, il se disait qu’elle serait mieux sans lui dans sa vie. « Tu—tu vas bien? » demanda-t-elle d’une voix douce. Une épave, voilà ce qu’était devenu Neal. Lui qui avait toujours été dévoué à la cause de son pays avait échoué. Il avait abandonné. Il avait démissionné. Il avait mis fin à plus de cinq ans d’activité, plus de cinq ans de missions, plus de cinq ans à enchaîner les victoires dans la lutte contre le terrorisme, mais aussi les pertes de co-équipiers et de civils. « Mieux. » débita-t-il machinalement. Grâce aux médicaments et aux thérapies, il allait mieux. Est-ce que cela voulait dire qu’il allait bien pour autant? « J’attendais un signe de ta part, Neal. J’attendais que tu me laisses t’aider, que tu me laisses te sauver. J’aurais pu te sauver. » Il releva son regard vers elle, la fixant intensément. Il se remémorait ses souvenirs de ces instants passés dans ce foutu bunker, sans pouvoir penser à autre chose. Il repensait à sa première mission, aux ordres des supérieurs, aux heures passées à surveiller un bâtiment sans qu’il ne s’y passe quelque chose. Aux fois où il avait dû faire feu via un joystick, encore plus puissant qu’un tir de mitraillette. Il repensait aux bruits des explosions. Aux souffles courts des soldats présents sur place, parfois à leurs voix rauques, parfois à leurs cris de douleur. A ce soldat qui avait été capturé par sa faute. Tout s’enchaînait à une vitesse folle, comme dans les films, au moment où le héros pense que tout est fini. Effectivement, c’était fini. Mais Neal n’était pas un héros. Il n’était qu’un lâche, tout comme son père. Trop faible pour avoir reconnu dès le début qu’il contribuait aux horreurs de la guerre, trop faible pour endosser fièrement ce rôle. Non, Kat n’aurait pas pu le sauver. C’était trop tard.
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() message posté Mar 29 Déc 2015 - 23:18 par Invité
Oh Chloé!!!! - memories turn to dust, please don't bury us. 1922099377 Re-bienvenue parmi nous I love you
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Robin T. Lawford
Robin T. Lawford
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» Âge : trente-et-un ans (7 janvier)
» Schizophrénie : aiden (t. james) & liam (k. harington)
() message posté Mar 29 Déc 2015 - 23:24 par Robin T. Lawford
Chloé - memories turn to dust, please don't bury us. 208687334 (Re)bienvenue parmi nous et bon couraaage pour ta fiche et ce nouveau perso - memories turn to dust, please don't bury us. 1973890357
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() message posté Mar 29 Déc 2015 - 23:25 par Invité
Re-biebervenue à la maison Chloesh - memories turn to dust, please don't bury us. 2741342887 #iknowyourdirtysecret
Dan est un choix - memories turn to dust, please don't bury us. 878725457 Hate de lire l'histoire de ce nouveau bébé qui a l'air mashallah ( - memories turn to dust, please don't bury us. 3903491763 )
Les militaires c'est les plus mieux - memories turn to dust, please don't bury us. 1499450316 ( je reviendrais éditer mon message cheap quand j'aurais la force de fangirliser comme il se doit - memories turn to dust, please don't bury us. 3877719739 )
et ça c'est parce que je veux - memories turn to dust, please don't bury us. 3891992225 ( - memories turn to dust, please don't bury us. 1973890357 )
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() message posté Mar 29 Déc 2015 - 23:29 par Invité
ooomg, chloé. my turtle. - memories turn to dust, please don't bury us. 2979874845 - memories turn to dust, please don't bury us. 878725457 - memories turn to dust, please don't bury us. 1973890357 quel bonheur de te retrouver. - memories turn to dust, please don't bury us. 878725457
je ne connaissais pas ton avatar, mais quel canon et puis le personnage promet tellement. - memories turn to dust, please don't bury us. 2941632856
rebienvenue à la maison. - memories turn to dust, please don't bury us. 2798736487 - memories turn to dust, please don't bury us. 1973890357
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() message posté Mar 29 Déc 2015 - 23:42 par Invité
oh chloé - memories turn to dust, please don't bury us. 1922099377
rebienvenue :coeur;
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() message posté Mar 29 Déc 2015 - 23:42 par Invité
rebienvenue parmi nous - memories turn to dust, please don't bury us. 828680203 je connaissais pas Dan mais il est - memories turn to dust, please don't bury us. 705448254 - memories turn to dust, please don't bury us. 3155621813
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() message posté Mar 29 Déc 2015 - 23:50 par Invité
T'es moche. - memories turn to dust, please don't bury us. 1499450316 - memories turn to dust, please don't bury us. 3891992225
Et je t'ai toujours souhaité la bienvenue comme ça alors je vais pas changer. - memories turn to dust, please don't bury us. 1499450316 Arrow
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() message posté Mer 30 Déc 2015 - 0:01 par Invité
Bienvenue parmi nous - memories turn to dust, please don't bury us. 2878031100 - memories turn to dust, please don't bury us. 1481422717
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