"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici You can't say "no" to me { Devon 2979874845 You can't say "no" to me { Devon 1973890357
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You can't say "no" to me { Devon

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Anonymous
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() message posté Jeu 22 Mai 2014 - 21:48 par Invité

➸ Caly & Devon
Et encore un nouveau jour qui passe, nous étions jeudi matin et cela voulait dire qu'une seule chose, bientôt le week-end, mais d'abord, boulot ! Six heures pile, le réveil qui sonne et moi qui me réveille afin d'affronter cette nouvelle journée. Enfin, ce n'est pas avant les câlins du matin. A peine avais-je bougé la main pour éteindre la radio que Thor sauta sur le lit, s'allongeant tout contre moi pour avoir ses bisous et ses caresses. Bien entendu, Roxie et Pandora suivirent le mouvement. « Bonjour Roxie... » Dis-je avec une petite voix endormie, tout en caressant sa petite tête grise et blanche.

Un pied devant l'autre encore et encore jusqu'à arrivé à la fenêtre de la chambre afin de l'ouvrir en grand. Dehors, le temps n'est pas aussi mauvais que la météo l'avait prononcé, certes, c'était humide, mais le ciel n'était pas si sombre que ça et ne nous menaçait pas de faire tomber la pluie. Commence la routine du matin, d'abord ma douche, sans oublier les quinze minutes que je perds à chaque fois, pour savoir ce que je vais mettre aujourd'hui même si, ma blouse blanche couvrirait tout. J'avais tellement d'habits, tellement de choses que je pouvais porter. Acheter ce que je voulais, était devenu une habitude depuis Phoenix, une habitude que j'embrassais à bras ouvert. Cela avait un côté réconfortant pour moi, peut-être parce qu'en Amérique, je n'avais jamais eu le choix, on me disait quoi faire, quoi porter. Oui, nous n'étions pas les capitaines de nos destins, c'était complètement l'inverse. La seule bonne chose que je garde de mon passé, c'est cette passion qui m'a poussé à devenir ce que je suis aujourd'hui, c'est-à-dire une vétérinaire. Cette passion était ma bouée, mon point d'ancrage, ce qui me permettait de garder ma tête en dehors de l'eau. Ma chère soeur hélas, n'avait pas eu cette chance, elle avait tout fait pour moi, me poussant à réaliser mes rêves, ignorant ses propres besoins. Je secouais la tête pour chasser ces pensées, j'avais autre chose à faire que de me replonger dans cette partie là de ma tête, j'avais mis du temps avant de trouver un moyen d'en garder le contrôle et il n'était pas question de laisser ce cauchemar me hanter à nouveau, tel une ombre derrière mon dos.

Un dernier au revoir à mes trois boules de poils, un petit mot sur le frigo à l'attention de ma soeur et je partis en direction d'Hammersmith, là où se trouvait mon cabinet vétérinaire. Comme à chaque fois, le trajet fut long. Il y avait tellement de trafic dans cette ville qu'il me fallait plus d'une trentaine de minutes pour me retrouver dans le quartier où je travaillais. Et puis, la seconde routine matinale commence. Au bout de cinq ans, je n'étais toujours pas lassée de faire la même chose, j'aimais mon travail, tout ce don il comportait, même les tâches pas très joli-joli. « J'ouvre Calypso ? » Lança ma secrétaire et assistante tout en tirant les rideaux. Je hochais de la tête tout en lui offrant un petit sourire et entrais dans mon bureau. Je scannais une dernière fois la pièce, pour être sûr de n'avoir rien oublié, la table d'examen brillait sous la lumière et toutes les machines étaient en marche. « Let's do this. » Soufflais-je, tout en pausant mes mains sur mes hanches.
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Anonymous
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() message posté Ven 23 Mai 2014 - 10:15 par Invité
You can't say "no" to me
Devon & Calypso



La nuit a été longue, l'inspecteur était de garde et manque de chance un incendie volontaire s'est déclaré dans la nuit. Il a été appelé par le poste dès que les pompier avaient déterminé que l'incendie était volontaire, mais surtout parce qu'ils avaient trouvés un corps parmi ce qui restait du petit immeuble. Arrivé rapidement sur les lieux l'inspecteur a encore du attendre que les sapeurs pompier mettent un terme à l'enquête préliminaire concernant l'incendie qu'ils déclarèrent volontaire, puis ce fut au tour de l'inspecteur et son équipe d'entrer dans le jeu. Ils ont fait tous les prélèvement et pris les témoignages nécessaires, Devon méticuleux comme il est au travail, a suivi tout le parcours avec attention puis il se mit en route vers le poste, c'est à lui désormais de déterminé si la nature du crime est volontaire comme l'incendie ou accidentel.

Il se trouve sur la voie rapide lorsqu'il voit une masse sombre derrière la rambarde de sécurité et ça bougea, il actionne les warning de sa voiture puis s'arrête sur le bas côté en écoutant la voiture derrière lui klaxonner pour exprimer son mécontentement. Les inspecteurs ont l'avantage de posséder des voitures de fonction banalisé contrairement aux agents, le conducteur derrière lui n'aurait pas pris la peine de klaxonner ainsi s'il avait su que lui était un agent des forces de l'ordre, Devon ne prend pas la peine de se préoccuper du conducteur plus préoccuper par la chose derrière la rambarde. Il s'en approche et parvient à déterminé qu'il s'agit là d'un chien, dans un triste état, son poil est séché par son propre sang, son abdomen se soulève à peine et seul ses yeux bougent lorsqu'il remarque la présence de Devon. Celui-ci agit avant même d'avoir réfléchis, il saute par dessus la rambarde et s'approche de la bête en retirant la ceinture de son pantalon, il n'est pas fou au point de croire que dans son état le chien ne le mordrait pas s'il se sent menacer. Avec prudence il entoure la gueule de l'animal de sa ceinture et en fait une muselière improvisé, après quoi il cherche la meilleure manière de soulever la bête sans aggraver ses blessures. Contre toute attente c'est grâce à un autre conducteur, témoin de la scène, qu'ils parviennent à transporter l'animal jusqu'à la voiture de l'inspecteur, il y a encore des gens doté de conscience en ce monde songe-t-il en le remerciant. Sur la route il appel le secrétariat du poste pour obtenir l'adresse du vétérinaire le plus proche. Certes il aurait pu appeler la fourrière, mais Devon ne fait pas les choses à moitié et il n'est pas dupe au point de croire qu'ils feraient le nécessaire pour sauver l'animal, ils se seraient contenter de l'euthanasier, au moins un vétérinaire fera son possible pour le remettre sur ses pattes. En moins de vingt minutes il se gare devant un cabinet vétérinaire, sans cesse il avait regarder dans son rétroviseur pour vérifier que le chien respirait encore, son regard n'exprime rien, en même temps il ne s'y connaît absolument pas en animal pour savoir comment la bête vivait la situation. L'inspecteur a à peine tourner la clé de son contact qu'il se précipite vers la porte du cabinet et tombe sur une jeune femme, l'assistante ou la vétérinaire il l'ignore « J'ai un chien là, son état est trop critique pour que je le porte tout seul. Pouvez-vous m'aider? » Pas de formule de politesse, il s'en excusera plus tard pour l'heure seul l'animal sur sa banquette arrière le préoccupe.

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() message posté Lun 26 Mai 2014 - 14:18 par Invité

➸ Caly & Devon
« Il faut qu'il se repose Linda, mon assistante vous donnera les médicaments nécessaires. » Lançais-je, tout en sortant de mon bureau, accompagné d'une de mes clientes et de son chien. Je m'accroupis doucement devant ce vieux Labrador, caressant tendrement sa grosse tête beige tout en lui souriant. « A la diète, big boy. » Lançais-je, tout en déposant un bisou sur son front. Je me relevais tranquillement, avant de sourire une dernière fois à Miss Lewis. Cette femme était l'une de mes premières clientes et elle avait tout de suite su me faire confiance. C'était vraiment une des choses que j'aimais dans mon boulot, suivre les mêmes bêtes, leur donner les soins nécessaires pour qu'ils puissent vivre longtemps et heureux. Oui, je respectais mon travail et me donnais à cent pourcent là-dedans. Peut-être que cela était de trop, peut-être que je devrais suivre le conseil de ma chère soeur jumelle et ralentir un peu. C'est vrai, je me donnais à fond dans mon métier, au point d'y donner plus d'une partie de mon temps libre, mais j'avais mes raisons et seule Circé les connaissait. J'avais peur de l'amour, peur des relations, peur de me retrouver toute seule avec un homme. Je n'étais pas douée pour ces choses-là et c'était pour cela que je me plongeais dans mon travail.

Je retournais dans mon bureau, prenant le temps de nettoyer la table d'examen et de préparer les affaires pour le prochain patient sur la liste. Je faisais tout cela silencieusement, à vrai dire, je n'étais pas vraiment du genre à parler à moi-même, pour remplir le vide, non je laissais ce travail aux sons qui m'entouraient ou à la musique. Une fois prête, je rajustais ma robe et fis une nouvelle apparition dans la salle d'attente. J'étais prête à accueillir mon nouveau patient qui si je me souvenais bien était là pour mettre à jour ses vaccins. « Hello, Lady » Lançais-je doucement au chat dans la cage, passant un mes doigts dans l'une des petites fenêtres pour caresser sa petite tête. Et puis, au même moment, un homme fit son entrée de façon précipitée et part l'humeur qui se lisait sur son visage, j'avais tout de suite compris que cela annonçait rien de bon. « J'ai un chien là, son état est trop critique pour que je le porte tout seul. Pouvez-vous m'aider ? » A peine avait-il dit sa phrase qu'il était tout de suite repartis dehors. Je m'étais levée d'un bon, faisant signe à mon assistante de m'attendre dans mon bureau, car je savais, que j'aurais sûrement besoin d'elle. D'un pas rapide, je sortis de mon cabinet et rattrapant l'inconnu. Sans attendre et surtout sans demander, j'ouvris la porte arrière et me faufilais à l'intérieur. Je remarquais tout de suite, le sang qui ressortait d'une vilaine blessure surement produite dans un accident de voiture. Cette boule de poil devait à peine avoir deux ans, si ce n'était pas moins. « Hey, ça va aller » Lançais-je doucement à l'animal, tout en glissant ma main sur son front. Il tremblait de peur et couinait à cause de la douleur. Je pris juste une seconde pour analyser son état, détectant une patte cassée et surement plus d'une côte fracturée. « Ok, sortons le d'ici, il faut garder sa colonne bien droite. » Lançais-je à cet inconnu, tout en passant doucement mes mains sous le corps de l'animal. J'attendis que l'homme fasse de même et lui fis un signe de tête, pour lui dire que c'était bon « Prêt ? Levez. » Ajoutais-je, en portant l'animal. En faisant le plus attention possible, nous sortîmes la pauvre bête de la voiture. Certains passants s'arrêtaient en nous voyant faire, je les entendais discuter, mais j'étais bien trop concentrée sur le chien pour savoir ce qu'il pouvait dire. « Voilà, doucement. On y est presque. » Une fois arrivés dans mon bureau, nous installâmes l'animal sur la table. Sans attendre, je passais des gants en latex et me mis à la tâche de le tranquilliser. « Où l'avez-vous trouvé ? » Demandais-je tout en préparant la dose.
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