"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici " J'ai une sainte horreur de ta face de Troll  " w/ MrSnickers 2979874845 " J'ai une sainte horreur de ta face de Troll  " w/ MrSnickers 1973890357
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" J'ai une sainte horreur de ta face de Troll " w/ MrSnickers

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Anonymous
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() message posté Dim 25 Oct 2015 - 1:36 par Invité
« J’ai une sainte horreur de voir ta face de Troll
   
But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
« On pouvait voir à l’époque du fin dix-neuvième en France, une véritable révolution en terme de Sociologie, les philosophes… lumières… Condorcet… Mouvement… Catholique… » Non… Il ne faut pas que je dorme ! Encore une occasion de m’assoupir à un cours franchement ! j’en avais marre de ce traitement qui me donnait envie de dormir. Mon rêve était d’autant plus bizarre et chiant que le cours du Professeur Callaghan. Elsa était dans ce rêve, elle hante mes rêves ces temps-ci c’est très perturbant. Elle court comme une canard boiteuse prêt à échapper au premier poney venu… Un invasion d’Alien et POUF on me toque l’épaule me réveillant de mon rêve surréaliste. « What the ... Fuck ! » Je me réveille en sursaut et je me rend compte que c'est juste l'un de mes camarades qui me réveille, je vois le professeur foldingue me dévisage du regard dans l'espoir de me tuer un jour sans doutes étant donner que je faisait manque de respect à m'endormir pendant son cours. « Gabriel viens! On a le cours de Litté dans 5 minutes! » Même pas le temps de fumer un joint, j'allais deprimer, je sentais mon estomac faire un tango avec mon foie cela me donna envie de vomir. Je quitte l'amphi dans l'espoir de prendre une bouffée d'air frais sans trop faire attention aux hallucinations qui deviennent plus forte après le réveil. « Pourquoi tu t'es fais blond... Tu ressemble à ce mec là le Xmen... Quicksilver... Ou un vieu pervers... » Je l'aimais bien mais c'est Allusions je préferais bien m'en passer : « C'est pour Halloween... Après je me coupe les cheveux... j'ai juste une voisine très entreprenante sur ma capilosié cranienne... » On arrive Dans la salle de Thomas, Je tente de me cacher au fond de la salle. Je ne voulais pas subir le sarcasme de Thomas une fois de plus pas là. Je viens juste de me reveiller cela me semblait trop dur à subir et pourtant je ne suis jamais contre une joute verbal et Snickers était le meilleur dans ce domaine. Alors que l’heure passe, je bug sur le professeur… On se fait un Bingo ? Je regarde bizzarement mon ami : Un Bingo ? Mon pote soupire alors qu’on tente de ne pas eveiller les soupçons sur nous au près de Thomas : Mais si tu sais… Tu choisis quinze mots que Knicker’ serait prêt a dire durant son cours s’il a dit les quinze le perdant paye la tournée au bar. J’accepte et on note les quinze mots de notre choix et puis l’heure vient et je me rend compte que Thomas ne sourit jamais cela m’enervait j’avais envie de lui crier ‘MEC SORS TOI LE PONEY QUE TA DANS L’ANUS !’ mais bon cela n’aurait rien changé, une fois que le cours soit finit, il nous parle d’un devoir qu’on devait rendre pour aujourd’hui. Sur Rousseau, mais ce fut une prise de lucidité : « PUTAIN DE MERDE ! » Oui j’avais oublié de faire ce devoir, il vas falloir que je demande un délai. Alors qu’il rejoint son bureau, je me lève m’approchant de mon ami en lui disant : « Il faut que j’aille voir Snickers m’attend pas… Je vais finir dans la Tamise, mais tu me dois une tournée ! » Je m’approche du bureau il faut que je reprenne confiance… Je regagne mon arrogance de Parkinsonien. Et je frappe à la porte rentrant directement : « Monsieur ! Il me faudrait un Délai s’il vous plait… Vous savez mon chien est mort ma grand-mère fait le trottoir et ma sœur sort de desintox… » Pitié souris ! Montre tes jolis quenottes ! Fais quelques choses, tu me donnes envie de me pendre... Heureusement que mon traitement marche ! Je serais surement déjà entrain de me pendre avec la corde du Wifi, je garde une main dans la poche alors que l'autre tenait la laniere de mon sac en bandouilliere... Je redresse a peine mes cheveux devenu blond depuis peu. Mais cela dit j'evite de pensé... Il fallait que je me concentre sinon je suis foutu.  
acidbrain
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() message posté Sam 31 Oct 2015 - 22:30 par Invité
Je soupirai lentement avant d’entrer dans l’amphi. L’heure et demi allait être longue et j’étais de mauvaise humeur. Je savais d’avance que les bruits parasites me gêneraient, que les bâillements impolis des étudiants qui n’avaient pas leur place dans mon cours m’agaceraient et que j’allais parler vite sans reprendre en prétextant qu’ils n’avaient qu’à comprendre plus vite. Je posai mon sac sur la table et me tournai vers la foule d’élèves qui commençaient seulement à voir qu’il fallait se taire. Je fusillai du regard ceux du fond qui chuchotaient entre eux et riaient, moqueur. Je levai les yeux au ciel. Parfois, je me demandais pourquoi j’étais devenu prof alors que j’avais méprisé les miens lorsque j’étais étudiant. Puis la logique opérait et je comprenais : le petit con était devenu le vieux con. C’était assez normal, quand on y pensait. Néanmoins, j’avais si longtemps considéré cette profession avec dédain que j’étais encore dans un perpétuel déni lorsque je traversais les portes de l’université ou que je rentrais dans une salle de classe. Ces murs m’horripilaient et me ressemblaient. Ces rangs alignés avaient des airs d’armée de mercenaires. Ces visages pâles du petit matin, éveillés pour un sombre cours de littérature qui ne leur apprendraient rien de bien concret et qui, pour la plupart, sortirait de leur esprit à l’instant même où nos chemins se sépareraient. J’avais des envies de meurtre rien que d’y penser.

Nouveau soupir à la fin du cours. On devait me rendre un devoir sur Rousseau et trente-six pairs de mains se ruèrent vers moi pour le poser. J’attendis de longues secondes que tout le monde se décide à me laisser de la place pour respirer avant de les ranger et de m’éclipser comme une ombre. Je devais passer en salle des profs, j’avais quelques minutes avant d’enchaîner et je n’attendais qu’une chose : pouvoir fumer ma cigarette, pouvoir m’asphyxier un peu plus pour accuser ensuite les étudiants et l’atmosphère austère du bâtiment de m’étouffer. J’étais sans vergogne et on m’appréciait quand même. Tout un personnage. Je longeai le couloir, mon épaule rasant le mur avec nonchalance et gagnai finalement la salle convoitée. A l’intérieur, personne. Il y avait une étrangeté propre à l’absence de professeur en ces lieux. C’était trop grand, on ressentait encore la sueur des précédents, leur acharnement à lire l’écriture minuscule de leurs élèves, leur résignation lorsqu’ils se décidaient à mettre une note basse. J’entendais toujours leurs soupirs et je pouvais humer l’odeur du vieux café qui traînait dans les tasses ou les gobelets abandonnés. Je m’installai à une chaise et passai une main à mes cheveux avant d’ouvrir mon agenda : j’avais le temps mais il m’était toujours précieux. Je voulais profiter du calme relatif de la pièce avant de retrouver le faux silence des amphis, brisés par ces pauvres cons qui n’étaient pas capables de rester sérieux deux minutes. Vous êtes en master, un peu de sérieux. Non, ça ne leur venait pas à l’esprit. Pour eux, ça semblait aberrant. Je n’avais pas été paré de cette stupidité lorsque j’étais étudiant. J’avais méprisé les professeurs pour des raisons plus personnelles, qui ne tenaient qu’à ma propre philosophie, ma propre vision des choses. Aujourd’hui, on aimait simplement l’opposition puérile. Le fait d’être un emmerdeur, parce qu’on croyait que c’était tout aussi élégant qu’être un cynique. Quelle erreur.

On ouvrit la porte et je me tournai avec désinvolture pour me retrouver face à un de mes élèves. L’un de ceux que j’avais l’habitude d’ignorer au fond de l’amphi tant leur bêtise n’égalait que leur air de bellâtre tout droit sorti d’un cabinet enfumé, les yeux rougis par la drogue et la connerie. Il n’avait même pas attendu de savoir s’il pouvait rentrer que déjà il affichait une mine arrogante à laquelle je répondis par une absence totale de réaction. J’avais oublié son nom, de toute évidence. « Monsieur ! Il me faudrait un délai s’il vous plait … Vous savez mon chien est mort ma grand-mère fait le trottoir et ma sœur sort de désintox … » Je me redressai pour finalement me lever alors qu’il perdait toute trace de fierté sur son visage. Mais le mal était fait. « Mais vous êtes en bonne santé, vous. Capable d’écrire un malheureux devoir. » Je m’approchai et le dépassai sans un regard, m’engageant dans le couloir. Je savais d’avance qu’il me suivrait et c’était ce qui m’emmerdait le plus. « Rentrez chez vous. J’ai une règle simple : je ne prends pas les devoirs en retard. » Je haussai les épaules en cherchant mes cigarettes. « Si vous ne comprenez pas ça, je ne vois pas ce que vous foutez à l’université. » Etait-il du genre à s’acharner ? Je m’en moquais. J’étais bien meilleur que lui pour argumenter. Et il ne pouvait pas me forcer à accepter sa foutue dissertation.
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() message posté Mar 10 Nov 2015 - 10:42 par Invité
« J’ai une sainte horreur de voir ta face de Troll
   
But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Il y a de ses envies qu’on a envie d’exprimer par le simple fait de pouvoir coller son gentil petit pain dans la tronche de quelqu’un… C’est comme quelque chose qui me prend et qui me gratte partout tout le temps et pourtant je fais en sorte de ne pas succomber à mes excès de violence. J’étais blasé et totalement défoncé, mais fallait bien cela si je ne voulais pas vomir mon benco du matin. Je vois Snickers qui est dans un état encore plus pathétique que la veille ce sentiment d’indifférence. Je ne savais même plus si je devais le vénérer ou simplement le haïr comme un vulgaire humain bas de gamme. Alors que je tente tout de même d’essayer de me sauver d’une mort certaine, je lui demande un délai pour son devoir sur Rousseau, je n’ai pas pu écrire ni taper sur mon clavier durant ses quelques heures, l’arthrite qui me brule les articulations m’empêchent de continuer… Vu que je n’ai parlé de ma maladie à l’université… peur d’être indiffèrent, on me prenait pour une personne normal, même si je voudrais balancer l’excuse de la maladie pour éviter les trucs chiant tel que les cours de Snickers, pourrais je pas avoir un mot comme quoi je suis allergique à cet homme ? un sourire se glisse sur mon visage avant que je m’approche de lui, mes talents de comédien sont encore à prouver, trop d’excuses et pourtant sa repartie était toujours imparfaite. Bah oui je peux pas dire que ce mec soit parfait, vu l’égo qu’il a déjà… imaginer le melon après il s’envolerai tel une montgolfière… « Mais vous êtes en bonne santé, vous. Capable d’écrire un malheureux devoir. » En bonne santé ? Il en avait de bonne lui… J’aurais aimé être en bonne santé, mais j’aurais aimé lui crier ‘J’ai parkinson connard !’ mais je me retiens. Avoir Parkinson surtout à mon âge n’était pas la meilleure façon de dire que je suis en bonne santé… Même si depuis mon entrée à Bloomsbury j’ai été toujours présent du moins j’ai fais en sorte de l’être, il me passe à coté voulant sortir… Je le suis alors qu’il me dit : « Rentrez chez vous. J’ai une règle simple : je ne prends pas les devoirs en retard. » Je soupire la simple idées de ne pas être en règle justement me donne de l’urticaire : « Vous pouvez faire une exception soyez pas pute ! » Oui, je n’ai pas honte d’être si con, surtout que c’est pas la petite gueule de Snickers qui me faisait peur, même s’il avait de bon avantage pour obtenir l’oscar du plus gros connard de toute la ville. Il sort ses cigarettes il me donne envie, je me prive pas sortant alors mon paquet : « Si vous ne comprenez pas ça, je ne vois pas ce que vous foutez à l’université. » Je me mis a rire, d’un léger accro nerveux… Je sors un peu hors de mes pensées surtout a voix haut : « Ce que je fous à l’université ? Je suis de ce qu’on appel un éternel étudiant, j’aime cette vie là, sans prise de tête a part les partiels… Mais je ne veux pas passer ma satané courte vie dans un bureau… A quoi bon, je préfère étudier, découvrir et critiquer ce que j’apprend… Enfin bon… Pour ce délai ? Laissez moi jusqu’à demain ! Je n’ai pas pu finir, mais j’ai ce devoir dans ma tête… Du moins quand j’ai encore toutes mes facultés… » j’allume ma cigarette prenant une bouffée libératrice, sentant la fumé se propager dans mes poumons me donnant un hoquet brusque qui remua mon squelette comme si on voulait jouer aux osselets avec mes pauvre os. J’avais envie de boire, une bière ou un rhum pour vite m’achever… Mais pour ce qui étais de l’achèvement j’ai assez avec le regard de Snickers qui tuerai le premier démon qui passerait par là. 
acidbrain
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() message posté Lun 21 Déc 2015 - 13:25 par Invité
« Vous pouvez faire une exception soyez pas pute ! » Je cessai de marcher et me tournai vers lui, un air sérieux logé dans le regard. Je ne supportais pas ce gamin arrogant. Je ne supportais pas ses manières d’être présent physiquement à mes cours sans même prendre la peine de les écouter pour savoir si oui ou non, ils étaient dignes de son intérêt, mais qui pourtant ne pouvait s’empêcher de faire comme s’il était au centre de l’attention. Le pire, c’était que je me moquais éperdument de sa vie, de ses problèmes et de ses besoins : il était chiant. Il était con. Et certes, je pouvais le comprendre pour avoir joué moi-même à l’adolescent rebelle et marginal lorsque j’étais élève, mais j’avais au moins eu le bon sens et l’audace de savoir répondre aux questions de mes professeurs de manière pertinente et de rendre mes devoirs à l’heure. Pourquoi ? Parce que ça m’intéressait. Parce que parfois, je m’en rendais compte maintenant avec le recul, je m’étais plongé des heures durant dans un travail ou une œuvre, et que j’en étais ressorti changé, épanoui, sans le savoir. Gabriel semblait être resté au stade adolescent. Au mieux, il pouffait de rire au fond de l’amphithéâtre. Au pire, il m’emmerdait après le cours parce qu’il n’avait pas rendu un devoir. Et en plus, il m’insultait. Je relevai le menton sans ciller. « Surveillez votre langage. Je ne vous apprécie pas particulièrement, ce n’est certainement pas le moment de mal me parler. » J’avais la flemme. J’avais la flemme de le voir accroché aux semelles de mes chaussures juste pour un malheureux devoir. Et quelque part, j’avais envie de lui dire de se casser et de le mettre dans mon casier à la première heure. Mais son comportement, son allure et ses mots me donnaient l’envie d’être le connard qu’il pensait que j’étais. Le connard que j’étais probablement d’ailleurs.

« Ce que je fous à l’université ? Je suis ce qu’on appelle un éternel étudiant, j’aime cette vie-là, sans prise de tête à part les partiels … Mais je ne veux pas passer ma satanée courte vie dans un bureau … A quoi bon, je préfère étudier, découvrir et critiquer ce que j’apprends … enfin bon … pour ce délai ? Laissez-moi jusqu’à demain ! Je n’a pas pu finir, mais j’ai ce devoir dans ma tête … Du moins quand j’ai encore toutes mes facultés … » Nous arrivâmes à la sortie de l’établissement et il alluma sa cigarette en même temps que moi et je plissai des yeux en recrachant la fumée, sceptique. Il se foutait de moi. Il se foutait littéralement de moi et se faisait passer pour une victime qu’il n’était pas. Je me raclai la gorge et soufflai la fumée de ma cigarette pour retrouver mon calme. « Arrêtez vos conneries. » Oh, puisqu’il s’y était mis aussi, au langage désinvolte, pourquoi pas moi. On était des rebelles, on s’en foutait des règles. Je le toisai quelques secondes, lui demandant implicitement de ne pas couper ma réflexion ou bien simplement ce silence qui nous enveloppait désormais. « La vie d’étudiant n’est pas sans prise de tête. Vous venez d’en avoir la preuve. Je ne suis pas là pour constater votre échec à changer les règles de l’éducation nationale. Je dois juste vous faire noter un cours dont vous avez l’air de vous moquer éperdument, vu la vitesse avec laquelle vous vous êtes jetés sur votre copie pour finir votre devoir dans les temps. » Mon ton était sans appel. Il ne méritait pas que je fasse des efforts. Peut-être que je ne méritais pas ses efforts non plus, peut-être que dans un monde plus juste, on reconnaîtrait plus facilement mes torts. Mais nous n’étions pas dans un monde plus juste. Nous étions dans le mien et j’avais assez vécu pour imposer mes propres règles. Il ne voulait pas les suivre ? Il n’était pas obligé de rester dans les parages. « Vous ne me facilitez pas la tâche, Gabriel. Vous êtes irresponsable et irritant. Vous pourriez avoir l’amabilité d’être agréable, mais même pas. Vous savez, j’ai beaucoup de patience d’habitude. » Je marquai une pause en haussant les épaules. « Mais avec vous, non. Vous, je n’arrive pas à vous plaindre. » Je savais que j’étais à la limite du correct. Néanmoins, il était venu chercher mon discours avec tant de fierté que je lui offrais une parole franche et précise, à la hauteur de celle qu’il espérait.
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