Les philosophes imberbes [My Little Gourou]

Mikyella ne savait pas a quoi elle devait s'attendre lorsqu'elle serait arriver a Londres. Une campagne perdu, avec des personnes encore encrer dans leurs traditions, comme figer dans un temps bien lointain. Une population bien en avance sur leurs temps, comme certains quartiers américains avec des tenues très extravagante comme sortie de retour vers le futur. Elle avait entendu parler de leur innovation en art créatif, en décoration, en générosité. Un peuple proche de ses voisins et pourtant ornant a merveille son intérieur pour que celui ci ne s'inquiète pas de son sort. Ils semblaient tous tellement semblable et tellement différents. Londres n'était qu'un bout du reste du monde.

La jeune demoiselle faisait son shopping culturel. Quelques CD-roms remplit d'art oratoires, quelques livres fraichements sorties, un peu de fictions, un peu de romances, pas mal de critiques sur le monde camoufflers en mission héroïques. Puis, son abonnement internet pour sa console. C'est moins visionnaire, mais tout aussi important.

Miss Aldrin attendait a un arrêt de bus, elle ne savait pas réellement lequel prendre, elle voulait avoir un peu un trajet d'aventure, sans savoir ou elle se dirigeait. Elle pensait toutefois qu'il fallait connaître au moins les quartiers ou les ruelles a éviter pour se le permettre. Alors elle regardait défiler les gens, des presser, des lents, des nerveux, des fumeurs, des petits et des grands. Les gens l'épuisaient, elle se fatiguait rien qu'a les voir courir. Ce n'est pas pour rien qu'elle évitait le travail d'équipe ou les postes importants, elle avait un coté hippie, un coté no stress. Comme si, rien n'avait d'importance. Elle était dynamique bien sur … mais pas stresser, pas presser …

Cela faisait maintenant un petit moment qu'une jeune femme dresser a coté d'elle attendait également, comme si elle attendait avec Mikye le bus parfait pour son apres midi. Un moment elle vit des jeunes de treize ou quatorze ans courir vers le véhicule qui était prêt a partir. Les insultes toutes plus vulgaires les unes que les autres sortirent de leurs bouchent. De « connard ! » à « Sale PD » en passant par « Enfoiré ! » . Mikyella n'était pas des plus raffinés, même plutôt extravagante pour une demoiselle, elle ne faisait pas réellement attention a son accoutrement et n'ornait pas ses paroles avec des jolies adjectifs sorties des vieux dictionnaires, mais de tels choses ne pouvaient sortie de sa bouche qu'en cas de très méchante colère...

« Quelle honte … Ça me fait mal au cœur tout ces mots ... » avouai t elle en sifflant des dents mécontente.

Cette remarque était plutôt osée de la part d'une femme vêtu comme elle l'était, avec ses grandes bottes sécurités vertes poisons qui lui montait jusqu'aux genoux, un short salopette turquoises aux bretelles tombant sur ses cuisses et une chemise a carreaux verte grande ouverte sur un bandeau bleu pour seule couverture du torse... Elle devait donner l'image de l’hôpital se moquant de l'infirmerie avec ses cheveux en bataille mal accrocher par son élastique. Quand elle vit son reflet dans le bus, elle sourit, jetant un regard en coins vers le jeune femme qui semblait l'avoir entendu, comme si elle s'attendait a ce qu'elle relève l'ironie de la réflexion ...