Il était environ dix neuf heures quand son avion s’échoua sur le tarmac de Londres, où un temps pluvieux et maussade l’attendait de pied ferme. Un sacré changement de temps. Effectivement, Jordan c’était envolée le temps de deux semaines sur la cote ouest des États-Unis, plus précisément en Californie dans le cadre de son travail. La brunette avait effectuée des photos pour une marque de bikini. Elle en avait également profité pour se distraire en se rendant régulièrement dans des boites de nuits branchées là où elle avait fait de nouvelles rencontres, sans lendemain. Forcément, la jeune femme prônait la liberté. Toutefois, malgré elle, le destin en avait décidée autrement. Par manque de chance, Jo’ était tombée nez à nez avec son ex-mari et sa nouvelle pimbêche sortie tout droit d’un magazine de Playboy. C’était une femme blonde et pulpeuse avec une plastique de rêve. Une personne refaite de la tête aux pieds. Les hommes aimaient les belles voitures dotées d’une carrosserie flambant neuve, c‘était connu. Cependant, contrairement à cette poupée Barbie, les automobiles étaient splendides à l’état naturel, sans chichi, ni retouche. Les mâles pouvaient se montrer, parfois, contradictoire. Enfin bref, le jeune homme n’avait pas daigner lui adresser un seul regard contrairement à sa proie qui s’en était mêlée, apportant sa petite réflexion qui avait eu le don d’agacer Jordan. De nature impulsive, la brunette ne c’était guère gênée de lui indiquer le chemin inverse si elle ne souhaitait pas se recevoir un généreux coup de poing bien placé. Bien évidement, cette histoire pris subitement d’énorme proportion. Des éclats de voix fusèrent tels des échos à travers le boulevard de Hollywood, avant que la jeune mannequin ne s’empare de son visage entre ses frêles doigts et d’apporter le minois de cette dernière à même le sol. Sa plastique jonchait inévitablement sur le trottoir, là où les touristes prenaient le temps de contempler cette scène en adoptant un air interrogé et, limite apeuré. Son pitoyable ex-mari tentait en vain de la retenir, mais tel un chien enragé cette dernière n’était guère domptable. Toutefois, soudainement, un agent de police vint à sa rencontre, l’immobilisant à l’aide de menotte. Les mains liés contrairement à sa bouche, la demoiselle enchérissait d’insultes en tout genre. Ce soir-là, elle terminait sa soirée au poste de police, pour ne pas changer à vrai dire. Depuis son divorce, Jo’ enchainait les arrestations et son casier judiciaire ne cessait de prendre de l’ampleur. Inconsciente, elle s’amusait des policiers, rendant leur travail ardu. Puisqu’en effet, Jordan, têtue, menait une résistance au moment de la prise des empreintes en sabotant volontairement le geste à effectuer pour prendre une empreinte digne de se nom. Et, les photos n’en parlons pas. Elle adoptait la pose qui l’arrangeait, prenant les officiers pour des photographes de modes. En son actif, la protagoniste avait plus d’une dizaine de chef d’accusation dans l’attente d’un procès. Elle savait pertinemment qu’elle encourait une peine de prison si elle s’acharnait à continuer dans ce sens là, qui, peu à peu devenait un sens uniquement, voire une impasse. Pour le moment, elle en avait que très peu faire de toute cette autorité qui planait sur sa tête. C’était comme si, la brunette se baladait en permanence avec un nuage orageux au dessus de son minois, prêt à s’abattre sur elle, l’emmenant dans un vaste gouffre néfaste. Qu’importe, à l’heure actuelle, Jordan atterrissait donc à Londres. Une fois qu’elle avait récupérée ses valises, la jeune femme c’était emparée d’un taxi qui la conduisait sur un ring de boxe. Elle ressentait le besoin de frapper dans quelque chose. Un sac où elle se permettra librement d’affliger des coups assimilant cet objet à une personne. D’ailleurs, on l’avait récemment initié à la boxe suite à une arrestation afin qu’elle se défoule librement et légalement. Jordan était un sacré numéro. Une fois arrivée à destination, la protagoniste pris place dans les vestiaires où elle adopta un leggings de course noir et un débardeur relativement court qui laissait entrevoir son nombril, le tout assorti. Un fois vêtue, elle s’empara d’un sac. JORDAN -- « Qu’est-ce que j’aimerai que ce sac soit ta tête ! ». S’exclama-t-elle nerveusement avant d’adresser un crochet du droit et de poursuivre une lignée de coups de poings de plus en plus violent, avant de s’échouer au sol, vidée d’énergie. Puis, elle leva subtilement son regard avide de sentiment et le poser sur une jeune femme, un agent des forces de l’ordre qui l’avait arrêtée en état d’ivresse avant de l’avoir prise sur son aile et de lui avoir fait découvrir la boxe. Silencieusement, la protagoniste se redressa. Le visage immaculé de transpiration, elle adressa un léger sourire à Rebekah avant d’entrouvrir la bouche et d’émettre un sons étouffé sous les battements de cœurs. JORDAN -- « J’me suis fais de nouveau encore arrêtée en Californie … J’ai agressée la femme de mon ex-mari sauvagement au point de lui bouger ses prothèses faciales ! ». Répliqua-t-elle en introduisant un subtile humour noir pour désigner sa victime.
rising up to the challenge of our rival ✻ Jordan et Rebekah
Il était dix-neuf heures trente quand je relevais enfin le nez des affaires en cours. Normalement, j’aurais dû quitter le poste de police il y a déjà plus d’une heure, mais au lieu de ça, j’avais été absorbée par la pile de dossier qui ne cessait de se remplir à mesure qu’on classait des affaires. De toute façon, personne ne t’attend à la maison ! J’ignorais ma conscience qui pourtant, n’avait pas tort. Personne n’était en train de s’inquiéter à l’heure actuelle parce que j’étais en retard. D’ailleurs, je n’avais plus personne de suffisamment proche pour s’inquiéter pour ma personne. La seule personne qui était susceptible de se faire du souci pour moi était morte il y a de cela presque quatre ans. Passant mon pouce sur la date tatoué sur mon poignet gauche, je me lève d’un bon avant de tomber une fois de plus dans la nostalgie. Rangeant deux ou trois dossiers dans la salle des archives du poste, je tombe nez à nez avec un dossier. Le dossier n°654894, un dossier que je ne connaissais que trop bien. J’étais d’ailleurs l’un des principaux témoins dans cette enquête. L’enquête révélant le nom de l’assassin de mon frère et qui s’avérait être également mon ex-fiancé. Mon poing vint s’abattre violemment sur la table. « Rebekah ? Tout va bien ? » Un sourire forcé plaqué sur les lèvres, je relève la tête en direction de mon collègue m’interpellant. « Oui oui, tout va bien. » Dis-je simplement. Ce n’est pas bien de mentir. Je gifle ma conscience qui me toise de la tête au pied. Ce n’était pas le bon moment pour rappeler à tout le monde que même si j’avais réussis à faire tomber cet enfoiré, je m’en voulais toujours de ne pas lui avoir enfoncé mon poing en plein visage. « Bon, je rentre. A demain Jessy. » Dis-je une fois revenu en tenue de civil avant d’attraper mon sac de sport et de quitter mon lieu de travail.
Le chemin en bus jusqu’à la salle de sport fut trop long à mon goût. J’avais besoin de frapper quelqu’un ou quelque chose pour faire évacuer toute la pression que je m’infligeais pour être irréprochable afin de rendre mon frère fier de moi. J’étais persuadé que – de là où il était – il pouvait encore me voir et veiller sur moi. Une fois passé les portes de la salle de sport, je me dirige rapidement vers le vestiaire afin d’enfiler un jogging noir ainsi qu’une brassière de la même couleur. Mes gants attachés à mes mains, j’étais fin prête à me défouler. Plusieurs sacs suspendus au plafond étaient libres, c’est donc tout naturellement que j’en choisis un éloigné de tout le monde avant de commencer à le frapper. Imaginant avoir l’homme qui avait détruit ma vie en face de moi, je tapais de toutes mes forces, enchaînant les crochets du droit et du gauche, les coups de pieds circulaires et directs. Je mettais toute ma puissance pour détruire celui qui m’avait infligé tant de souffrance. Après une vingtaine de minute sans laisser de répits à ce pauvre sac de frappe se trouvant torturé par mes coups, je m’éloigne légèrement pour reprendre mon souffle. Mon cœur bat à la chamade, faisant raisonner son rythme acharné dans mes tympans. Une serviette sur les épaules, j’essuie la transpiration fuyant mon corps par tous les pores de ma peau. De grosse gouttes de sueur coulent le long de mon visage tandis que je me dirige vers l’entrée de la salle de boxe afin d’aller chercher la bouteille d’eau que j’avais oublié dans mon sac de sport. Au sol se trouvait une jolie blonde dont il ne me fallut pas plus d’une demi-seconde pour reconnaitre l’identité. « J’me suis fait de nouveau encore arrêtée en Californie … J’ai agressée la femme de mon ex-mari sauvagement au point de lui bouger ses prothèses faciales ! » Dit-elle après s’être relevé légèrement. Je lui adresse un sourire pour répondre au sien avant de lui tendre la main pour l’aider à se relever afin qu'elle puisse me faire face. « T’en as pas marre de faire des conneries Jordan ? » La dernière fois que j’avais emmené la blonde au poste pour état d’ivresse sur la voie publique et refus d’obtempérer, j’étais parvenu à classer l’affaire et à lui éviter les poursuites judiciaires même si ça, la jeune femme ne le savait pas. « Je vais pas pouvoir te sauver la mise à chaque fois ! » Autant à Londres je pouvais faire quelque chose, mais en Californie, c’était bien au-delà de mon pouvoir d’action. Après avoir liquidé ma bouteille d’eau d’une traite, je retourne auprès de la jeune femme. « Pourquoi tu l’as frappé cette fois ? »
La boxe, une technique d’auto-défense, mais également une activité échappatoire. Effectivement, celle-ci permettait de se défendre vis-à-vis d’une agresseur, mais elle permettait également, pour une personne telle comme Jordan, de se défouler librement et aisément, sans aucune retenue. Beaucoup de médecin préconisait de telles activités pour des êtres atteints d’hyperactivités, mais aussi pour ceux qui souffraient d’impulsivités. Jo’ était en permanence une tellière posée à même sur un bruleur à vif, que l’on laissait bouillir jusqu’au moment de l’implosion. Dans sa petite tête de linotte c’était tout comme. Il lui manquait seulement la fumée telle une bande dessinée. Toutefois, âgée de vingt deux ans, cette dernière peinait difficilement à faire l’amalgame entre la réalité et la fiction. Elle se sentait au dessus de tout. Une personne invincible. C’est pourquoi, la jeune femme enchaînait depuis peu les arrestations. Elle les cumulaient, malgré elle. Son comportement était quasiment maladif. Pourtant, de nombreuses personnes n’ont jamais cesser de lui rétorquer que les personnes intelligentes étaient celles qui se défendaient avec les mots, car une blessure psychologique était plus douloureuse qu’une blessure physique. Soit. La protagoniste n’en avait que très peu faire des recommandations ou du moins, elle y repensait sur le tard après avoir infligée le coup de grâce. Seulement, la brunette n’émettait jamais de remords. Au grand jamais. La jeune femme s’obstinait à tenir tête face à une assemblée de juriste. Têtue, elle n’avait jamais tord, ses actions étaient souvent justifiées. Tout cela avait le don d’agacer les forces de l’ordre. Cependant, Jordan n’a pas toujours été ainsi. C’était une jeune femme de bonne famille qui favorisait la conservations des valeurs américaines. Jamais de comportement déplacé, ni même de mot plus haut que l’autre. Ces années-là sont vraisemblablement révolues. Envolés par la même occasion que son mariage. La haine prit part de son caractère telle une personne envoutée par un être suprême et plus qu’irrationnel. Qu’importe, ce soir-là, la protagoniste ressentait donc le besoin de cogner brutalement un objet qui lui permettrait de faire le vide dans son esprit plus que torturé. Elle avait donc fait le rapprochement entre ce sac et son ex-mari afin de se libérer d’autant plus. JORDAN -- « Qu’est-ce que j’aimerai que ce sac soit ta tête ! ». C’était donc exprimée la jeune femme avant de frapper, sentant les sanglots monter comme un shoot d’héroïne. Jordan, malgré elle, vint à repenser à sa rencontre avec Maxime, à leurs engueulades, leurs moments de chamailleries comme deux enfants qui joueraient innocemment entres eux. Un trop plein d’images. Son cerveau, l’espace d’un instant c’était transformer en une boite d’image qu’il diffusait à travers ses yeux représentant un rétroprojecteur. Assez, c’était-elle écroulée au sol, avant de croiser le regard de Bekah qui lui tendit la main afin de l’aider à se relever.
Sarcastique, la brunette c’était presque vantée d’avoir terminée au poste durant son voyage d’affaire en Californie. Le sarcasme était l’une de ses plus grandes carapaces. Elle préférait se cacher derrière un masque que d’assumer les faits, tels qu’ils sont. Elle se voilait pertinemment la face, en somme. BEKAH -- « T’en a pas marre de faire des conneries Jordan ? ». Rétorqua-t-elle, face à une Jordan déphasée qui n’appréciait guère se soumettre à une once d’autorité. JORDAN -- « Je ne contrôle pas mon impulsivité, c’est en moi, ça fait partie de moi, malgré mes efforts. ». Lança-t-elle sèchement, machinalement, comme si elle avait déjà programmée le court de la discussion. Qui plus est, la brunette n’était guère honnête à travers ses dires. De quels efforts parlait-elle ? La baston il n’y avait que ça dans son quotidien comme si elle trouvait cela jouissif tel un drogué qui ressentait le besoin de taper de la dope pour être bien. Oui, elle avait besoin de cogner pour être zen. BEKAH -- « Je vais pas pouvoir te sauver la mise à chaque fois ! ». Argumenta-t-elle avant d’enchainer. « Pourquoi tu l’as frappée cette fois ? ». Clôtura-t-elle. Si seulement Jordan savait, tout était encore confus dans son esprit. Elle n’avait vraiment pas réfléchie à la question avant de lui en parler. JORDAN -- « C’est des gamineries, j’en suis consciente. Je l’ai croisée accompagnée de mon ex, qui lui n’a pas daigner m’adresser un seul regard, mais cette dernière est littéralement montée sur ses grands chevaux ! ». Ajouta-t-elle en donnant de l’entrain à ses dires et d’accompagner ses mots avec des gestes, avant de poursuivre. « Du coup … Je l’ai embrouillée et dans une colère noire, j’ai saisie son visage pour l’aplatir sur le sol ! ». Clôtura-t-elle, prenant brièvement conscience des suites pénales que cela pourrait engendrer.
roller coaster
Invité
Invité
(✰) message posté Mer 2 Sep 2015 - 19:57 par Invité
rising up to the challenge of our rival ✻ Jordan et Rebekah
Initialement, j’avais commencé la boxe à mon arrivée à Londres, du haut de mes dix-huit ans. Ezra – mon grand frère un peu trop protecteur – s’en voulait de me laisser seule faire ma vie dans les rues bondées de la capitale et m’avait inscrite dans ce même club afin que je puisse apprendre quelques techniques d’auto-défense en cas de besoin. Techniques qui ne m’auront jamais servi au final. La seule personne qui m’avait fait du mal – autant psychologiquement que physiquement – depuis le début de ma nouvelle vie ici, à Londres, était beaucoup plus vicieux et ne se laissait pas abattre par ces techniques que l’on m’avait enseigné. Qu’importe. Désormais, la boxe n’était plus du tout un sport que je pratiquais pour me protéger. C’était devenu avec les années une échappatoire, qui me permettait de ne pas abattre mon poing dans le visage de la première personne qui me faisait du mal. Il me permettait de faire évacuer tous les sentiments se bousculant sans cesse dans mon pauvre cerveau. La pression du au travail et au fait d’être irréprochable, après des années de débauches. Les remords que j’avais concernant le meurtre de mon frère. La déception face à cet homme que j’avais tant chéri et pour qui j’aurais tout donnée. Le combat que j’avais mené face à l’alcool et la drogue qui m’avait donné encore plus de force aujourd’hui après trois années d’abstinence totale. Je savais que la boxe était un excellent moyen de se défouler.
Seulement, la brunette en face de moi ne semblait pas l’avoir totalement comprit. Je l’avais emmené ici après une arrestation pour état d’ivresse sur la voie publique pour qu’elle ait une chance de se sortir de toute cette merde que j’avais connue quelques années plus tôt. « Je ne contrôle pas mon impulsivité, c’est en moi, ça fait partie de moi, malgré mes efforts. » Je l’écoute attentivement sans réellement quoi savoir répondre pour l’aider. Sa voix est sèche, froide. Durant ma courte carrière en tant qu’officier de police, j’avais souvent eu à faire face à des jeunes comme Jordan, refusant sans cesse de se soumettre à l’autorité et préférant combattre les gens qui l’entourent plutôt que de se battre contre la vie elle-même. Je ne pris pas la peine de répondre à sa remarque digne d’un mauvais film tragique, dégueulant de mensonge. Elle arriverait presque à me faire couler une larme si je ne connaissais pas les gens comme elle. « C’est des gamineries, j’en suis consciente. Je l’ai croisée accompagnée de mon ex, qui lui n’a pas daigné m’adresser un seul regard, mais cette dernière est littéralement montée sur ses grands chevaux ! Du coup … Je l’ai embrouillée et dans une colère noire, j’ai saisi son visage pour l’aplatir sur le sol ! » Je lève les yeux au ciel, involontairement, face aux aveux de la brune. Je n’avais jamais été jalouse des nouvelles poufs de mes exs et je n’arrivais jamais à saisir ce qui pouvait pousser les gens à se battre ou à commettre des crimes passionnels. C’était un phénomène qui dépassait totalement ma petite personne. « Et tu as gagné quoi au final Jordan ? » Dis-je tout simplement, un peu blasée par la tournure de la conversation. J’avais beau essayé de lui apporter mon aide, elle la refusait d’un revers de main et continué ses conneries puériles. « Au final, tu vas avoir des poursuites judiciaires aux États-Unis et tu as donné de l’importance à ton ex. C’est bien, maintenant il va certainement penser que tu as fait ça par jalousie et que tu es encore totalement accroc à lui. » Renchéris-je, sans même laisser à la brune le temps de répondre à ma question, qui d’ailleurs n’en était pas vraiment une. « J’espère au moins que ça t’a fait du bien de lui faire bouffer le sol. » Un rire s’échappe d’entre mes lèvres en imaginant une pimbèche totalement retouché et pleine de plastique – au point de flotter dans les piscines – se faire battre et se plaindre par la suite de son nez casser ou je ne sais quoi. J’aurais donné énormément pour voir ce genre de femme sûre d’elle-même au point d’en devenir insupportable, se faire refaire le portrait par la jeune femme toute menue, se trouvant en face de moi.