(✰) message posté Ven 25 Avr 2014 - 23:10 par Invité
Sofia Prénom Carraway
FT. CANDICE ACCOLA KING
L’histoire de ma petite Sofia est en partie libre, mais je vous demande juste de respecter les quelques points suivants
• Est née dans une ville du Royaume-Uni, à Glastonbury. • Le nom est prénom de sa mère est Abigail Tyler et sa mère a elle-même une soeur jumelle. • A été dans des collèges et écoles privées, a toujours été choyée par ses deux parents, et sa famille maternelle. • Pousse la chansonnette de temps à autre. • A entre 25 et 27 ans. • Est hétérosexuelle. • A vécue avec sa mère (qui est aussi la mère d’Elliana), sa tante (la jumelle de leur mère), sa cousine (Elsa) et un possible père, elle est très proche de ses parents, qui ont toujours été la pour elle. • Sa mère était aimante et s’en est toujours voulue d’avoir abandonnée son ainée (Elliana). • Vient à Londres pour retrouver sa sœur et avoir une relation privilégiée avec elle. • Sofia est comme sa grande sœur, elle n’a pas la langue sa poche, et elle dit tout ce qu’elle pense, même si ça peut blesser. De nature douce, elle blesse rarement les gens mais lorsque cela est nécessaire elle peut se montrer crue et acerbe.
Sofia est : douce — adorable — hyperactive (comme sa sœur) — très intelligente — aimante — attachante — têtue (comme sa sœur) —un peu naïve sur les bords — survoltée — aventurière (comme sa sœur) — audacieuse — compatissante — effronté (comme sa sœur) — extravertie — généreuse — maladroite (comme sa sœur) — soucieuse — impertinente — parfois capricieuse — n’a pas la langue dans sa poche (comme sa sœur) — libre de rajouter les caractéristiques que vous voulez, juste sachez que Sofia n’est pas une séductrice qui va enchaîner les conquêtes et s’enfoncer dans la débauche.
ELLIANA HAWKINS
demi-sœur • ne se sont jamais rencontrés mais connaissent l'existence de l'autre Elliana est une jeune femme de vingt-six ans, élevée par son père, qui n’a jamais connue sa mère car cette dernière l’a abandonnée sur le pas de la porte de son père à l’âge de trois mois et demi. Elle a toujours vécue en fille unique et l’idée d’avoir une sœur ne l’avait jamais effleuré. La rancœur qu’elle maintient suite à l’abandon de sa mère est toujours très fort dans l’esprit et le coeur d’Elliana et apprendre que sa mère a su s’occupait de sa petite sœur et pas d’elle, la rend particulièrement triste et si triste qu’elle en deviendrait presque haineuse. Lors d'un voyage à Copenhague pour rendre visite à son père, Elliana a appris l'existence de Sofia, de celle d'Elsa et du fait que sa mère est tentée de reprendre contact à son adolescence. Ellie ne sait pas comment réagir à cette nouvelle, elle est perdue et n'avait jamais envisagé d'avoir une soeur et encore moins une famille maternelle.
ELSA ST. CLAIRE
cousines proches Elsa est très proche de sa tante Abigail. Elle a grandit en la prenant pour sa meilleure amie, puisque sa mère Martha (la jumelle d’Abigail) est une femme stricte et assez exigeante. Elle s’entend bien avec sa cousine malgré quelques crises de jalousies puériles. Les réunions famille sont très mouvementées, mais Elsa sait qu’elle peut compter sur le soutien de sa cousine et vis versa. Elle ne sait pas encore qu’Elsa est atteinte de la maladie de Parkinson, puisque cette dernière ne voulait pas l’inquiéter impunément. Elle ne veut pas non plus renouer avec Elliana et considère qu’il est trop tard pour effacer le passé, surtout que le courant ne passe pas très bien entre les deux jeunes femmes. Elsa essaie donc de dissuader sa cousine de suivre ses plans par crainte qu’elle ne finisse par se blesser.
extrait de ma fiche de présentation:
Décembre 1989 + Bristol, sud-ouest de l'Angleterre Les babillements d’un petit nourrisson dans un berceau, le pas d’une porte, une nuit fraiche dans le sud-ouest de l’Angleterre et une jeune femme blonde. La jeune femme ne semblait pas avoir plus de vingt ans, elle avait des poches sous les yeux et des cheveux blonds comme les blés en bataille trahissant son manque évident de sommeil. Devant elle, se dressait une grande porte rouge bordeaux avec le nom « Hawkins » noté en dessous de la sonnette. La jeune femme, répondant au prénom de Gaile, diminutif d’Abigail, connaissait cette porte, pour l’avoir franchie des centaines de fois au cours de ces dernières années. Elle poussa un soupir et plongea son regard dans celui bleue du nourrisson qui la regardait avec un grand sourire, en agitant ses petits poings serrés. Gaile était lasse et à bout de nerfs, elle pensait pouvoir assumer, elle pensait pouvoir y arriver, elle pensait pouvoir se débrouiller toute seule mais après neuf mois de grossesse, trois mois de nuits d’insomnies sans parler des réflexions incessantes et regards accusateurs des passants dans la rue, elle baissait les bras. Elle ne pouvait décemment pas élevé cette petite fille toute seule. La jeune femme avait donc décidé de dire la vérité au père et à la famille paternelle de sa petite fille. Au départ, Gaile voulait le laisser en dehors de tout ça, après tout il était jeune lui aussi, à peine vingt-et-un ans et toute la vie devant lui, comment pouvait-elle le forcer à s’occuper d’un bébé qu’ils n’avaient tout les deux pas désiré. Elle lui avait donc caché sa grossesse et son accouchement, même si ils avaient passé plus de trois ans ensemble. Malgré tout l’amour qu’elle portait à sa fille, elle était trop faible mentalement et ses pauvres moyens ne lui permettaient plus de subvenir aux besoins de son enfant. En la laissant chez les parents de Gabriel, le père de sa fille, Gaile savait que sa fille serait bien traitée, nourrie, aimée comme la huitième merveille du monde. Aussi, la jeune femme savait que c’était lâche de sa part de laisser son nouveau-née à quatre heures du matin sur le pas d’une porte avec un mot épinglée sur une couverture, mais elle ne voulait pas affronter le regard des parents de Gabriel ou celui de Gabriel lui-même. C’est donc sur le pas de cette porte, emmitouflée dans deux couvertures en laine rose, que Gaile laissa Elliana, qu’elle avait nommée après sa défunte mère, sa fille de trois mois et demi, sa chair, son sang. Elle sonna à la porte plusieurs petits coups afin de se faire entendre et quitta le perron rapidement pour ne pas tomber nez à nez avec sa « belle-famille ». Gaile quitta la rue sans se retourner car elle savait qu’elle allait pleurer et regretter son choix. Alors qu’elle venait de tourner dans la prochaine rue, la porte bordeau des Hawkins s’ouvrit sur un jeune homme brun mal réveiller qui écarquilla les yeux en voyant la petite fille dans le berceau avec ces quelques mots : « Mon Gabriel, je te présente ta fille Elliana, elle est née il y a trois mois. Je sais que tu t’en occuperas très bien et mieux que moi. Je suis désolée de te l’annoncer ainsi mais je ne pouvais affronter ton regard, comme je peux affronter le sien, elle a tes yeux. J’espère que tu me pardonneras mon geste et qu’elle aussi. Raconte lui notre histoire, raconte lui comme je l’aime. Et combien je t’aime aussi, pour le restant de ma vie. A toi, à Elliana pour toujours. Abigail. » La jeune mère avait tourné les talons, tournant le dos à sa fille, à l'homme qu'elle aimait, sans un regard en arrière les larmes coulant à flot sur son visage, souhaitant tout le bonheur du monde au bout de chou qu'elle venait de lâchement abandonnée.
lettre à abigail:
Tuesday, march 30th 2015
Abigail,
Cette lettre peut te paraître incongrue après tant d’années de silence. Je ne sais pas comment t’appeler ; maman, mère, madame… Alors je t’appelai simplement par ton prénom. J’ai toujours rêvé de ce moment, toute ma vie j’ai voulu avoir une mère, quelqu’un qui me fait des tresses le mati, me berce le soir et me câline lorsque je pleure. J’ai toujours idéalisé l’image que j’avais de ma mère, toujours avec cette pointe d’amertume et ces questions qui me brulent les lèvres. Loin de moi l’idée de venir vers toi pour me plaindre. Au contraire, à l’heure où j’écris cette lettre j’ignore si elle te sera délivrée, c’est pour moi, mettre sur papier mon lourd fardeau de remords et de regrets. Pourquoi partir ? Je n’avais que quelques mois et tu es partie, me laissant sur le pas d’une porte sans un regard, sans prévenir. Tu étais jeune et mon père m’avait dit que tu n’avais pas eu assez de courage pour t’occuper de moi préférant me laisser avec lui et mes grands-parents. Soyons clairs, je n’ai jamais manqué de rien, j’ai été choyée comme une parfaite petite fille et mes grands-parents ont joué un rôle décisifs dans ma vie, ils m’ont tout appris, et même à papa à s’occuper de moi. Ils lui ont donné du courage, je lui ai donné du courage. J’aurai pu t’en donner aussi, je suis la chair de ta chair, tu m’as portés pendant neuf mois et abandonnée au bout de trois. Je ne demande pas de te justifier.. Je n’en n’ai plus besoin, je me suis faite une raison depuis le temps, mais mon esprit ne cesse de se demander pourquoi tu ne t’es pas plus battue pour moi, pour nous, pour notre bonheur. Tu as miss six longues années avant de revenir vers moi, six ans où j’avais pris l’habitude de crier « papa » lorsque l’orage me terrifiait. Six ans où j’avais appris à marcher, parler, et même commencer à lire. Six ans à expliquer aux entre enfants que je n’avais qu’à papa. « Et elle est où ta maman ? T’en a pas ? » j’hochai toujours la tête pour dire non, et je changeai de sujet pour parler des nouvelles chaussures brillantes. Mais je ne peux le blâmer de t’avoir refuser de me parler.. il tenté seulement de me protéger, ce que je comprend. Je me suis toujours demandé pourquoi tu n’avais pas essayé de nouveau de me recontacter. Plus tard lorsque j’étais adolescente ou après mon diplôme, que sais-je. Tu as toujours su où j’habitais et à ce que papa m’a dit tu avais toujours vécu dans les environs de Londres.. et que tu avais eu des enfants. Je me suis sentie trahie lorsqu’il me l’a dit. Envers tout les deux… Pourquoi lui avait-il eu des nouvelles de toi et moi non. Je suis ta fille et tu ne m’as jamais considéré comme telle, tu avais refait ta vie en dépit de moi et de mon besoin d’avoir une mère sur qui compter ou sur qui crier dans mon cas, je n’ai pas été une adolescente facile loin de là. Contrairement à toi, mon père n’avait jamais laissé les bras. Au fil du temps, j’ai développé une haine, un manque envers toi je ne comprenais pas ton choix, je ne le comprends toujours pas pourquoi tu m’as laissé. Je ne te demandait pas d’être la mère de l’année, juste d’être là.. de me serrer dans tes bras quand ça n’allait pas. Et tu ne l’étais pas, tu ne l’as jamais été, maintenant c’est trop tard. Je ne blâme pas non plus mon père pour avoir refuser que tu prennes contact avec moi, il a eu raison. Si tu avais pu m’abandonner une fois, rien de prévenait que tu allais le refaire de nouveau. Il a eu raison, mais je lui en veut aussi. J’aurai voulu prendre cette décision moi-même apprendre à te connaître moi-même faire mes propres choix. Aujourd’hui, je suis à l’aube de ma vie et j’apprendre seulement aujourd’hui qu’une personne qui m’a rejetée toute ma vie n’était peut-être pas si mauvaise que je l’avais imaginé. Malgré tout, je ne t’envoi pas cette lettre dans l’espoir de créer une relation avec toi, si ça avait du se faire ça se serait fait il y a longtemps. Je tenais simplement à te dire que j’étais toujours là.. Que tu gardes le souvenir de ta première fille, celle qui tu avais laissé dans la nature pendant plus de vingt-six ans.. Tu as refait ta vie d’après mon père, ce que je tente de comprendre, je sais que tu as d’autre enfants et une autre famille.. Très bien. Je le comprends. Enfin j’essaye. Nous aurions pu avoir une belle vie, à deux mais ce n’est pas moi que tu as choisi comme famille. Et j’ai la mienne, mes amis sont ma famille, ils m’ont aidé à devenir ce que je suis, aider à devenir ce que j’avais envie d’être. Aujourd’hui je vis ma vie comme je l’entends et je sais que mon père soutiendra mes choix autant que possible. Je ne demande pas ton approbation, je tenais simplement à t’écrire cette lettre pour.. je ne sais pas. Simplement naïvement me rattacher à quelque chose de fictif et d’impossible.
En vérité, j’ignore si cette lettre te parviendra mais je tente quand même ma chance. Le point positif est que j’ai enfin pu dire tout ce que j’avais envie et qui me pesait depuis bien longtemps. Elliana Jasmine Cameron Hawkins
(au dos de la lettre : si cette lettre ne trouve pas sa destinatrice, merci de la renvoyer à l’adresse suivante :
Elliana Hawkins 421 bevenden street, shoreditch London UK
extrait de la fiche d'Elsa:
Glastonbury, UK. (2015) – ‘‘Abigail, cette lettre peut te paraître incongrue après tant d’années de silence. Je ne sais pas comment t’appeler ; maman, mère, madame… Alors je t’appellerais simplement par ton prénom. J’ai toujours rêvé de ce moment, toute ma vie j’ai voulu avoir une mère, quelqu’un pour me faire des tresses le matin, pour me bercer le soir et me câliner lorsque je pleure. J’ai toujours idéalisé l’image que j’avais de ma mère, tout en gardant une pointe d’amertume au bout de la langue. Loin de moi l’idée de venir vers toi pour me plaindre. Au contraire, à l’heure où j’écris cette lettre j’ignore si elle te sera délivrée… Pourquoi partir ? Je n’avais que quelques mois et tu es partie, me laissant sur le pas d’une porte sans un regard, sans prévenir. Tu étais jeune et mon père m’avait dit que tu n’avais pas eu assez de courage pour t’occuper de moi … Soyons clairs, je n’ai jamais manqué de rien, j’ai été choyée comme une parfaite petite fille et mes grands-parents ont joué un rôle décisif dans ma vie, ils m’ont tout appris, et même à papa à s’occuper de moi. Ils lui ont donné du courage, je lui ai donné du courage. J’aurai pu t’en donner aussi, je suis la chair de ta chair, tu m’as porté pendant neuf mois et abandonnée au bout de trois…’’ ( Lettre écrite par Elliana Hawkins - Lea ) Je m’arrêtai, redressai légèrement les épaules, soulevai la tête et je pus enfin apercevoir l’écriture dansante de ma cousine. Mon esprit oscillait de gauche à droite, m’empêchant de déchiffrer les sens cachés de ses mots. Je ne la connaissais pas et pourtant son prénom avait hanté mon enfance comme un spectre maléfique. Elliana Hawkins par-ci. Elliana Hawkins par-là. Je déglutis avant de serrer les dents. Je me cramponnai au rebord de la table du salon avant de me lever d’un bond. « Mais j’en ai rien à foutre de sa lettre à la con, c’est pas la peine de me la lire !» Mon regard indigné se posa sur le visage de ma mère. Elle hocha vaguement tête afin de m’intimer le silence avant plier le bout de papier. Machinalement, elle tendit sa main vers le plateau afin de servir une tasse de thé fumante à ma tante ; Abigail Tyler - mais cette dernière demeurait immobile. Elle semblait agitée par une vague de tristesse profonde et insurmontable. Chaque être humain avait des signes distinctifs de son caractère. Chaque être humain avait ses vices et ses vertus, ses valeurs et ses déceptions. Personne n’était parfait et je la regardais sombrer dans la culpabilité depuis trop longtemps. Je m’approchai lentement de sa silhouette fragile afin d’effleurer son épaule du bout des doigts. Les larmes envahissaient ses yeux perçants au fur et à mesure qu’elle survolait les quelques lignes qui se dressaient devant elle. Son expression était pâle alors qu’elle faisait naître dans son esprit la conviction que tout allait bien. C’était une battante, une femme honorable et chaleureuse. Un modèle pour moi. Ce n’était pas la première fois qu’elle se sentait aussi affligée par la perte de sa fille aînée. Ce n’était pas non la première fois qu’elle se réfugiait chez mes parents, les joues maculées de larmes et les lèvres gercées par le froid. Ce n’était pas non plus la première fois que je la voyais ployer face à la douleur et à l’amertume. Elle avait abandonnée sa fille alors qu’elle n’était qu’un nourrisson, mais son cœur n’avait jamais cessé de vibrer pour Elliana. Elle n’était pas là et pourtant son absence était présente partout autour de moi. Je m’assis confortablement au fond de la pièce, attachai mes cheveux et découvris avec surprise et avec un sentiment fulgurant de déception que personne ne rejoignait mon opinion. Ma mère et ma tante étaient jumelles. Elles étaient très indépendantes mais leurs réactions vis-à-vis de la fatalité étaient souvent identiques. Au fond, je savais qu’elles avaient toujours formulé le vœu magique de retisser des liens avec l’enfant perdue. Elles étaient prêtes à la retrouver, à lui faire des cadeaux, à l’inviter dans mon univers et à la choyer avec ardeur. Elles étaient prêtes à me laisser seule maintenant que j’avais grandi. Je détestais ce sentiment. Je n’aimais pas partager et surtout je haïssais cette cousine que je n’avais jamais rencontrée car elle ne m’inspirait rien d’autre qu’une immense antipathie. Je baissais les yeux sur mes avant-bras maigres. Je pouvais facilement apercevoir mes veines violacées battre sous ma peau translucide. Je pouvais aussi deviner tous les poisons qui se déversaient dans mon système depuis qu’on m’avait diagnostiqué ma maladie. J’avais toujours peur. A vrai dire, je me plaisais dans cette crainte insensée et dans l’angoisse perpétuelle de perdre mes réflexes moteurs puisque toutes ces choses constituaient à présent une part indissociable de mon quotidien. Je déglutis en me levant. Je rasais le sol en me dirigeant vers ma chambre. Mes bagages étaient déjà prêts depuis des jours mais je n’osais pas encore réserver mon billet de train. Il faut y aller. J’avas pris la décision d’aller à la rencontre de la fantaisie qui avait bercé mes idéaux lorsque j’étais enfant mais c’était si difficile de m’y tenir. Londres. Thomas était là-bas. Il vivait dans la ville des solitaires, dans une atmosphère que j’imaginais déjà froide, nauséabonde et obscure. Il connaissait l’éloignement et lassitude. Je voulais apprendre à ses côtés et me briser comme un reflet de lumière à la surface de la rivière. Je voulais disparaitre à mon tour dans son incapacité de vivre la vie tout simplement. C’était ça son existence. C’était là ma nouvelle aspiration. Je crispai mes doigts autour de ma trousse de toilettes alors qu’une douleur vive se faufilait entre mes os. « Elsa ? » Je me retournai lentement en reconnaissant le timbre particulier d’Abigail. Elle posta devant moi avec un léger sourire. « Oui ? » Elle devait se sentir si impuissante mais malgré tous mes efforts et ma bonne volonté, je ne parvenais pas à comprendre son acharnement à ressentir encore la souffrance de l’abandon. Elle avait fait un choix. C’était peut-être une erreur mais il était à présent trop tard. « Tu peux la voir pour moi ? » Je m’arrêtai dans mes mouvements afin de la fixer avec une lueur étrange dans les yeux. « Non. Je veux pas. » Elle soupira avant de poser sa main sur la mienne. « Ne sois-pas têtue. Je sais que tu es une jeune fille très gentille … » Mes muscles tremblèrent brusquement avant de se figer sous sa prise. « Tu iras la voir pour moi ? Prend ton temps, mais tu devrais apprendre à la connaitre. Elle fait partie de la famille. » Je restais silencieuse en m’appliquant dans le rangement de mes vêtements. Je ne crois plus miracles, Abigail. Je ne pense pas qu’elle fasse partie d’une famille. Je ne suis même plus sûre d’en faire partie moi-même. Laisse-moi. Laissez-moi, tous.
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(✰) message posté Ven 25 Avr 2014 - 23:12 par Invité
Laissons entrer le soleil, la Terre vous dit hello !
LONDON CALLING TO THE FARAWAY TOWNS
SALUT A TOI MON PETIT MARSHMALLOW EN CHOCOLAT D’AMOUR ! :waaa: Tout d’abord, merci de t’intéresser à mon petit scénario, je suis contente d’avoir attirer ton attention et attiser ta curiosité. Voilà les réponses aux questions que tu pourrais éventuellement te poser :
L’AVATAR : il est négociable, même si j’aime beaucoup l’actrice Candice Accola et que le duo « TEAM BARBIE » qu’elle forme avec Holt me plait énormément. De plus, je trouve qu’elle se ressemble un peu et qu’elle passe assez facilement pour la demi-sœur d’Elliana et dans ma tête, j’ai imaginé ce scénario sous les traits de Candice. (et puis elle est canon, faut pas se mentir
Si vous avez d’autres propositions de jeunes femmes blondes à peu près dans le même style que Candice, je suis toute ouïe.(:
LE PRENOM ET NOM : J’ai écrit le prénom Sofia pour avoir ne pas mettre un X et écrire son histoire en mettant un nom sur un visage, si vous voulez le garder j’en serais heureuse, si vous souhaitez le changer, faites à cotre guise, je ne suis pas très difficile. Pour le nom de famille, étant donné que Sofia est la sœur d’Ellie par sa mère et non pas son père, elles n’ont pas à avoir le même nom de famille. Il est libre aussi, j'ai juste mis Carraway parce que j'aimais bien .
Je veux vraiment que ce personnage vous appartienne autant qu’il m’appartient, et que vous l’aimiez autant que je l’aime dans ma tête c’est pour cela que je vous laisse beaucoup d’éléments de liberté.
L’HISTOIRE : Ce qu’elle a fait avant de s’installer à Londres est entièrement libre, juste je vous demanderai d’être le plus cohérent possible avec ma description du caractère et de l’histoire familliale de Sofia.
LE GROUPE : c’est comme vouz le souhaitez, je verrais bien « Double-Decker » ou « On my Bicycle » ou « Walk On The Line »
LA PRESENCE / LE RP : Je sais mieux très bien qu’on ne peut pas passer sa journée sur un forum, qu’on d’autre obligations, c’est pour cela que je ne demande pas une présence de 24/7, je demande juste un voir deux réponses par semaine. Quant au contenu en lui-même, la première personne du singulier ou la troisième personne du singulier ne me dérange pas. Pour ma part, j’écris à la troisième personne du singulier. Petit bémol, pour ceux ou celles qui écrivent à la seconde personne du singulier, j’ai énormément de mal avec ce style d’écriture, même si, lorsqu’il est bien employé c’est très agréable à lire, j’ai encore un peu de mal à m’y faire. (sorry pour ceux qui écrive ainsi :heuu: ). Quand aux fautes d’orthographe et de conjugaison, je sais que personne n’est parfait mais évitez les grosses fautes, c’est plus agréable pour les yeux.
Il me semble que j’ai tout dit. Ma boîte de MP est évidemment ouverte pour n’importe quelle question relative au scénario. A TRES VITE PETIT SCARABEE. :trio: :elliana: (et j’érigerais un temple en cookies et tablette de chocolat Milka a quiconque prendra ce scénario, voilà, c’est dit.)
Alycia Hemsworth
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(✰) message posté Dim 18 Mai 2014 - 15:56 par Alycia Hemsworth
Scénario pris
Alycia Hemsworth
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(✰) message posté Dim 20 Juil 2014 - 13:45 par Alycia Hemsworth
Scénario remis en jeu
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(✰) message posté Sam 2 Aoû 2014 - 20:23 par Invité
Scénaro pris
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(✰) message posté Sam 20 Sep 2014 - 16:26 par Invité
Scénario remis en jeu.
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(✰) message posté Ven 19 Juin 2015 - 20:36 par Invité
scénario pris
Alycia Hemsworth
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(✰) message posté Sam 8 Aoû 2015 - 15:04 par Alycia Hemsworth