(✰) message posté Mer 29 Juil 2015 - 0:00 par Invité
Il fallait que tu te calmes Logan... Voilà la pensée majeure qui m'habitait tandis que le taxi qui me conduisait poursuivait sa route vers le Nord de Londres. Plus précisément le parc d'Hampstead Heath. Inconsciemment je tripotais un petit étui noir, je l'ouvrais et le refermais, il était vide aujourd'hui. C'était étrange, mais j'avais le même trac en ce moment même que le jour où cet étui renfermait encore une bague de fiançailles en or blanc serti d'un diamant rose d'Inde. Cet instant s'était déroulé il y a plusieurs années à présent. Je m'étais rendu en personne à Bombay pour choisir par moi même, à la Bourse aux Diamants, une pierre magnifique qui pourrait même impressionner une femme experte du monde de la bijouterie : Ariel Huxley. Cela peut paraître étonnant, et je ne m'en vante pas trop, mais je suis toujours officiellement fiancé à la jeune milliardaire. Notre relation pourrait être issue d'une histoire s'étant déroulée au XIXème siècle. A la sortie de l'adolescence, nos familles respectives ont décidé, pour Ariel et moi, de conclure nos fiançailles. Nous étions destinés à former un mariage arrangé, scellant ainsi une union entre deux familles influentes du pays. La relation entre Ariel et moi fut d'abord placée sous le signe de la haine, frustrés que nous étions de savoir que l'on contrôlait rien de nos existences. Mais on avait su se donner une chance, nous avions joué le jeu, et finalement une relation assez forte avait pu s'installer. Nous n'avions pas à rougir de nos efforts, mais l'amour n'avait jamais vraiment été au rendez-vous. Si je devais qualifier la relation entre la jeune femme et moi, ce serait plus un lien fraternel. Ariel était la petite sœur que je n'avais jamais eu. Pourquoi étions-nous encore fiancés dans ce cas ? Peut-être par nostalgie d'une époque où nous étions plus insouciants... Rester fiancés avait aussi contribué à l'essor de nos carrières respectives. Nous étions un couple en vue, et l'exposition médiatique qui en avait découlé m'a permis d'attirer des sponsors pour lancer durablement ma carrière dans le polo. Quant à Ariel, sa collection de bijoux sur le thème de l'amour avait été un coup de maître pour les bijouteries Huxley et la supercherie avait donné un coup de boost à leurs ventes. Il avait fallu mentir à tous, montrer que nous formions un couple parfait. Je ne pouvais plus supporter le mensonge à présent. J'avais donné rendez-vous aujourd'hui à Ariel pour un pique-nique dans ce splendide parc du Nord de Londres, qui offrait une vue grandiose sur le centre ville. Il fallait que nous résolvions cette situation entre nous, d'une manière ou d'une autre. Je ne savais pas ce que penserait Ariel à ce sujet, nous ne nous étions pas parlés depuis longtemps et j'ignorais même si elle avait des sentiments pour moi ou non. Cette occasion serait propice pour parler à cœur ouvert.
Le taxi arriva bientôt à destination et je pris place sur la pelouse pour préparer le pique-nique. Il n'y aurait que des choses raffinées mais simples. Ariel avait l'habitude des plus beaux restaurants, je voulais lui proposer autre chose de plus authentique. Le cadre était bucolique, tous les mets étaient déposés sur une grande couverture à carreaux à même le sol. L'attente fébrile commença, Ariel viendrait-elle avec la bague que je lui avait offerte au tout début de notre relation ?
Je l’aperçus bientôt, elle était belle comme toujours. Je l’accueillis non pas par un baiser sur la bouche, qui aurait signifié que je voulais un rancart, mais par un baiser sur le front. Je souhaitais montrer mon affection mais d'une manière différente. Je lui pris doucement la main pour l'accompagner sur la couverture du pique-nique. Montrant ma joie de la voir, je la gratifiais d'un sourire radieux.
« Je te remercie d'avoir accepté que l'on se parle. Je sais que tu es très occupée avec ton entreprise. J'aime me rendre ici, on est en pleine ville, mais l'on se croirait à la campagne... Tu vas bien ? »
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(✰) message posté Mar 11 Aoû 2015 - 17:50 par Invité
Ariel ne savait pas trop quoi penser de cette invitation de Logan. Fut un temps, elle aurait penser à un rendez-vous pour parler de leur couple, mais il lui semblait bien loin ce temps-là. Ariel avait été prise dans le tourbillon des bijouteries Huxley. Elle avait l'impression qu'elle n'avait pas levée la tête de ses feuilles, et chiffres depuis des mois durant. Enfin, elle n'avait pas eu le temps de voir quiconque. Comme d'habitude cela la peinait un peu, mais elle s'y faisait assez tristement. Enfin, elle avait été surprise par le petit rendez-vous, sans ambiguïté de Logan. Elle avait presque hésité à accepter, mais elle adorait Logan. Avec lui, elle pouvait parler sans avoir à mentir, car lui aussi profitait d'un compte en banque moelleux. C'est d'ailleurs ce qui avait rapproché Logan et Ariel avant même qu'ils ne surent prononcer un mot. En effet, si Logan et Ariel se côtoyaient, ce n'était pas à cause du polo ou de la passion pour les bijoux, non c'était à cause de leur rang. Evidemment, ni Logan ou Ariel n'était intéressé par cela, mais leurs parents oui. Ils l'avaient été. C'est ainsi qu'au milieu du 21ème siècle, Ariel s'était vu attribué un fiancé sans avoir son mot à dire.
Elle se rappelait encore avec détails, qu'elle avait eu de la haine, de la rage, de la colère. Elle avait prié pour que son père fasse faillite et ne soit plus d'une utilité à la famille de Logan. Ca avait été une dure période. Car Ariel, bridée dans ses choix depuis son enfance, pensait que plus âgée elle pourrait enfin faire ses propres choix. Elle avait essayé d'en vouloir à son père, mais avec la mort de sa mère, elle ne pouvait pas non plus couper le contact avec son père. C'était tendu certes, mais cela l'avait toujours été. Ariel avait peu à peu accepté la situation, lorsqu'elle se rendit compte que Logan ressentait la même chose. Si elle devait parler de lui, elle n'aurait que des belles choses à dire. Il avait été droit, et très correct. Ils avaient fini par former une alliance, et tirer des choses de cette union forcé. Evidemment, Ariel n'avait jamais réussi à tomber amoureuse de Logan. Même si ils avaient passé beaucoup de temps ensemble, elle ne pouvait pas oublier, qu'il avait été oublié de passer du temps avec elle avant de l'apprécier pour sa juste valeur. Ils n'avaient jamais réellement parler des potentiels sentiments qu'ils auraient pu avoir. Logan ne savait pas ce que ressentait Ariel vis-à-vis de lui, et l'inverse était applicable aussi.
Après le décès de son père, Ariel et Logan auraient pu mettre officiellement un terme à toute cette mascarade, qui faisait surtout plaisir aux médias. Ils ne l'avaient pas fait clairement. Ils s'étaient peu à peu éloignés l'un de l'autre. Ariel avait plus pensé que c'était à cause de son emploi du temps cahrgé, et Logan était tout de même un sportif de haut niveau, il n'avait pas autant de temps à lui consacrer. De temps à autre, elle avait quelques nouvelles de lui par un simple message, ou un coup de fil de deux minutes. Elle ne pouvait pas mentir en disant qu'elle en souffrait. Car au fond, elle sait qu'elle peut toujours compter sur lui, comme lui sur elle. C'était naturel de s'éloigner de temps à autre. C'était à cause de cette absence de nouvelles qu'Ariel avait été étonnée d'avoir un appel de Logan lui demandant si elle était libre pour venir déjeuner avec lui. Elle avait volontiers accepté, après tout, ça serait l'occasion de pouvoir parler un moment. Elle était cependant curieuse de savoir pourquoi Logan voulait la voir... Elle se doutait que cela n'était pas innocent. Elle espèrait juste qu'il ne faudrait pas encore jouer le faux couple, cela l'agaçait franchement ces derniers temps.
Lorsqu'elle arriva, Logan était déjà là. Elle lui adressa un grand sourire en s'approchant de lui. Il lui déposa un baiser sur le front. De suite, Ariel se sentit à l'aise, comme elle aurait pu l'être avec son frère ou son meilleur ami. Elle passa un bras autour de sa hanche pour le serrer très rapidement dans ses bras. C'était justement pour montrer sa joie de le revoir. Elle se laissa guider par Logan, avant de prendre place sur la couverture prévue. Je te remercie d'avoir accepté que l'on se parle. Je sais que tu es très occupée avec ton entreprise. J'aime me rendre ici, on est en pleine ville, mais l'on se croirait à la campagne... Tu vas bien ? L'entreprise peut tourner sans moi ! Ca fait du bien de quitter les immeubles ! Ca va plutôt bien, on travaille sur une nouvelle collection donc je suis un peu fatiguée. Je rêve d'un week-end incognito coupé du monde. Et toi alors ? Je n'ai pas vraiment eu le temps de suivre ton actualité...
J'étais toujours très heureux lorsque je passais du temps avec Ariel. C'était une magnifique jeune femme, toujours rayonnante et mordant la vie à pleine dents. Mais plus important je respectais sa maturité, son intelligence et son sens des responsabilités et des affaires. A seulement vingt-trois ans, prenant la suite de feu son père, elle dirigeait désormais l'entreprise familiale avec beaucoup de succès à la clef. Même si l'on avait jamais abordé la discussion au sujet des sentiments que l'on pouvait avoir l'un pour l'autre, pour ma part, et je pense que cette opinion est partagée avec Ariel, on passait toujours du temps ensemble avec grand plaisir. Mais je pensais sincèrement qu'il était à présent temps de jouer cartes sur table, d'enfin parler de nos sentiments et s'il y avait réellement un "nous" ou pas. Nous n'avions pas eu le courage d'aborder le cœur du problème. Certes les fiançailles n'engagent juridiquement à rien, mais l'engagement est ici moral. Il serait injuste pour elle, pour moi mais aussi pour toutes les autres personnes avec qui nous pourrions avoir une relation intime de laisser planer l'incertitude concernant le fond de cette promesse de mariage.
Pour cette occasion j'avais posé le décor pour une discussion sérieuse et au calme. Espérant que le charme authentique de ce modeste pique-nique se prêterais à la confidence. Enfin quand je dis modeste tout est relatif... Ariel était habituée au meilleur, donc je n'avais acheté que des bons produits le tout arrosé de vin français. Suivant un régime du fait de mon activité sportive je ne pouvais pas non plus acheter n'importe quoi.
Je remarquai qu'Ariel se serra légèrement contre moi pour me saluer. C'était étrange, avec le recul, de voir à quel point notre relation avait évolué. Nous nous détestions lorsque nous nous sommes rencontrés, nous en avions fait du chemin depuis. La demoiselle prit place sur la couverture à carreaux. Je m'installai aussi pour commencer à servir les mets et remplir les verres tout en l'écoutant.
« L'entreprise peut tourner sans moi ! Ca fait du bien de quitter les immeubles ! Ca va plutôt bien, on travaille sur une nouvelle collection donc je suis un peu fatiguée. Je rêve d'un week-end incognito coupé du monde. Et toi alors ? Je n'ai pas vraiment eu le temps de suivre ton actualité... »
Tout en continuant l'installation du repas, mes pensées filaient dans mon esprit. Mieux valait ne pas entrer dans le vif du sujet d'entrée de jeu. J'étais peut-être un lâche à cet instant précis, mais mieux valait détendre l'atmosphère et engager une discussion agréable.
« Tiens justement je rêve moi aussi de changer d'air, d'aller dans un endroit dépaysant pour recharger les batteries. Préviens moi un moment où ça te branche et j'organise ça pour nous sur un week-end ! »
Je terminai par un clin d’œil malicieux. J'avais terminé sur le ton de la plaisanterie mais Ariel savait j'en était capable si elle le souhaitait.
« Ecoute pour moi les tournois de polo n'ont pas encore repris donc j'en profite pour aider aux affaires familiales dans l'immobilier. Après tout il faudra que je sache faire quelque chose une fois que ma carrière sportive aura prit fin. Et aussi ce matin j'ai eu un shooting photo pour un sponsor. Voilà voilà. »
Puis comme j'étais stressé, je continuai de parler et bien entendu pour dire quelque chose que j'allais regretter après l'avoir dite. Je fis mes yeux de "petit chat" dans une expression du visage qui se voulait innocente.
« D'ailleurs si un jour tu réalises une montre sport, je suis là si tu ne trouves pas d'égérie. J'espère ne pas faire un trop mauvais mannequin pour mes sponsors... »
Voilà mon syndrome en période de stress, je partais encore et toujours sur la séduction en jouant de mon charme... Même si Ariel me connaissait assez pour savoir cela il allait sérieusement falloir que je me reprenne si je voulais engager un sujet sérieux sur le reste du pique-nique. Je perdais toujours mes moyens quand il fallait parler de mes sentiments...
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(✰) message posté Mer 9 Sep 2015 - 20:18 par Invité
Ariel était vraiment trop heureuse que Logan l'ait conviée ici, au milieu de ce parc. Elle avait l'impression de prendre enfin l'air. Evidemment, elle restait à Londres, mais le parc plus la présence de Logan étaient quelque peu relaxants. Elle fit part de son envie d'évasion à Logan, qui apparemment était sur la même longueur d'ondes qu'elle. Tiens justement je rêve moi aussi de changer d'air, d'aller dans un endroit dépaysant pour recharger les batteries. Préviens moi un moment où ça te branche et j'organise ça pour nous sur un week-end ! , répliqua Logan en souriant. Ariel lui rendit son sourire. Elle s'imaginait très bien, en pleine campagne, dans une maison rustique à : profiter de l'air, et du temps calme, pas d'immeuble à 10 kilomètres à la rue, pas de rue, juste vélos et pourquoi pas des cheveux, utopie pour Ariel. Surtout en ce moment. Ne me dis pas, sinon on partirait dans l'heure à venir !, rit Ariel, en se sachant pertinemment capable de fuir la capitale anglaise dans l'heure à venir. En réalité il ne lui voudrait pas énormément de temps, et d'argent pour organiser un week-end. Tu serais mon héros, si tu arrivais à me faire quitter Londres pour un week-end, ajouta Ariel. En effet, avec la nouvelle collection, Ari' devait même travailler le week-end sur ses croquis de bijoux. Autant dire qu'elle n'avait pas vraiment le temps. Et une fois la collection lancée, il faudrait la promouvoir. Et comme Ari' était aussi une personnalité publique, elle devrait très certainement se rendre à des soirées bourgeoises et même répondre à des interviews pour ELLE ou un quelconque magasine de mode.
Ecoute pour moi les tournois de polo n'ont pas encore repris donc j'en profite pour aider aux affaires familiales dans l'immobilier. Après tout il faudra que je sache faire quelque chose une fois que ma carrière sportive aura prit fin. Et aussi ce matin j'ai eu un shooting photo pour un sponsor. Voilà voilà., lui apprit Logan. Elle fut contente d'avoir de ses nouvelles. En temps normal, elle faisait en sorte d'avoir un peu de ses nouvelles par le biais des médias, mais dernièrement elle avait un peu oublié. Et faute de lui avoir envoyé un message, elle était complètement passé à côté de tout cela. Si tu ne savais pas quoi, il fallait venir m'aider à la boutique, plaisanta Ariel. Elle avait toujours ça honorable de la part de Logan de s'intéresser aux affaires familiales malgré sa propre activité professionnelle. En tout cas dès que les tournois reprennent, je serai aux premières loges pour t'admirer !, assura Ariel. Elle était déjà allée à de nombreuses fois. Au début par obligation et pour rendre son faux couple crédible, aujourd’hui c'était par pur envie, elle avait pris goût aux tournois de polo. je suis sûre que tu vas encore être à tomber sur le photoshoot ! Je vais encore devoir te partager avec toutes les filles de Londres, déclara Ariel avec un air faussement dépitée. Bien évidemment, le photoshoot serait une pure merveille, surtout logan, bel homme sans mentir. Et bien évidemment, elle devrait partager Logan avec toute la ville, voire le pays, mais elle n'était pas vraiment jalouse. Elle aimait Logan comme son frère, même si elle se permettait d'être un petit oeil charmé face à l'être qu'était Logan, mais sans plus. D'ailleurs Logan continua dans sa lancée, donnant même des idées à Ari'. Elle lui sourit. D'ailleurs si un jour tu réalises une montre sport, je suis là si tu ne trouves pas d'égérie. J'espère ne pas faire un trop mauvais mannequin pour mes sponsors.. C'est pas une mauvaise idée pour la montré sport, par contre toi comme mannequin ça reste à voir, le charria Ariel en rigolant sans aucune gêne. Tu serais parfait ! J'vais vraiment y penser ! Comme on avance pas vraiment dans les modèles ... Un modèle sport ça serait sympa !, répondit Ariel songeuse, déjà en train de penser à un nouveau modèle dans sa tête. Sa main la démangeait presque pour dessiner un croquis maintenant. Mais pour une fois, elle n'avait ni crayon, ni feuille. Heureusement car Logan aurait fini tout seul. Une fois inspirée, on arrêtait pas Ariel Huxley. Elle pencha sa tête en arrière, pour laisser le soleil inonder sa figure. Ca faisait du bien. Ariel, toujours la tête penchée en arrière remercia Logan de son idée fabuleuse. Tu as eu une idée formidable Logan !. Elle laissa ses pensées divaguer quand d'un coup, une évidence lui vint. Même si cela faisait un moment qu'ils ne s'étaient pas vus, Logan aurait très bien pu lui passer un coup de fil, bien que le pique-nique allait être des plus agréables ! Au fait, tu avais quelque chose à me dire, ou bien tu voulais juste profiter du temps avec moi ?, demanda Ariel un peu suspicieuse.
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Il fallait que tu te calmes Logan... Voilà la pensée majeure qui m'habitait tandis que le taxi qui me conduisait poursuivait sa route vers le Nord de Londres. Plus précisément le parc d'Hampstead Heath. Inconsciemment je tripotais un petit étui noir, je l'ouvrais et le refermais, il était vide aujourd'hui. C'était étrange, mais j'avais le même trac en ce moment même que le jour où cet étui renfermait encore une bague de fiançailles en or blanc serti d'un diamant rose d'Inde. Cet instant s'était déroulé il y a plusieurs années à présent. Je m'étais rendu en personne à Bombay pour choisir par moi même, à la Bourse aux Diamants, une pierre magnifique qui pourrait même impressionner une femme experte du monde de la bijouterie : Ariel Huxley.