Darcy I. Roy-Harrington -don't try, just do it.

Nous vous demandons un minimum de 500 mots pour votre histoire. Vous pouvez la présenter de la forme que vous le désirez (extrait de journal intime, RP, rendez-vous chez un psychologue, interview, ect...).
Je suis née à Paris, le 6 mai 1990. Je ne me souviens pas vraiment des années que j'ai passé là-bas, pour tout dire je n'ai aucun souvenir de mon père et ma mère vivant ensemble, ils ont divorcés quand j'avais quatre ans. Je n'ai jamais posé la question mais je me suis longtemps demandé comment en 4 petites années les choses pouvaient changer autant. Je veux dire mes parents avaient du vouloir un second enfant, et 4 ans plus tard ils deviennent incapable de rester ensemble. Je suis curieuse et c'est vrai que j'aurais bien aimé savoir ce qui c'était passé mais en grandissant j'ai laissé tomber. Apparemment quelque fois le passer et mieux là où il est. Toujours est il que suite au divorce de mes parents nous avons déménager, c'est ma mère qui a obtenu la garde de Noa, mon grand frère, et moi et on est tout les trois parti vivre à Londres. Noa était plus vieux de trois ans, et déjà on s'entendait bien, on passait le plus claire de notre temps ensemble, et à bien y repenser je dois dire que c'est moi qui lui courrait après. C'était mon grand frère et j'avais une espèce d'admiration pour lui, il me semblait plus fort, plus courageux, et je le prenais souvent comme modèle, reprenant même parfois ses expressions.
Pendant un temps tout est resté telle quel puis notre mère à rencontré un homme et elle c'est remariée. J'ai volontiers pris le nom de cette homme qui était devenu mon beau père tandis que Noa lui, avait du mal à se faire à l'idée. Les années ont passées et notre famille n'a jamais cessé de s'agrandir, deux enfants sont nés de cette nouvelle union, puis ma mère et Alan ont décidé d'adopter, d'abord une petite fille, puis un garçon. Noa avait plus de souvenirs que moi avec notre père et il n'était pas prêt à accepter que quelqu'un d'autre prenne sa place. Pour lui c'était comme si il avait deux famille, la vrai composée de nos parents et moi, et la nouvelle avec notre beau père et nos demi frères et sœurs. De mon côté j'étais ravie à l'idée d'avoir de nouveau frère et sœur, je n'étais plus la cadette et je me prenais à penser que peut-être eux aussi aurait la même attitude que j'avais avec mon grand frère mais avec moi.J'étais maintenant, après Noa, la plus grande de cette famille et j'aimais l'idée d'avoir quelqu'un à m'occuper, d'aider, d'être là pour eux tout simplement ; j'aimais cette nouvelle sorte de responsabilités. J'ai alors découverts que cette famille nombreuse m'allait parfaitement je m'y sentais bien, et heureuse.
J'ai toujours était quelqu'un de passionnée et de touche à tout, ce qui m'a permis de développer plusieurs compétences dans des domaines variés. Tout d'abord j'ai voulu faire de la danse, puis prendre des cours de pianos, j'ai fais du théâtre, de la peinture, de la photographie, je me suis intéressée à la littérature, l'écriture, la mode. Étant une personne sensible, j'ai toujours trouvée toute forme d'art intéressante. Si je n'ai plus le temps de me consacrer à toute ces choses, j'ai cependant continué le piano et décidé dès la fin du secondaire le métier que je voulais faire : journaliste de mode. Je ne sais pas exactement à quel moment j'ai décidé de faire de mon intérêt pour la mode et l'écriture mon métier mais je sais que c'était il y a déjà un long moment. J'avais toujours aimé écrire et je passais des heures à ne faire que ça. De la même façon je m'étais intéressée très jeune à la mode, je regardais les défillés, avais prit un abonnement à Vogue, et parcourais des blogs sur le même thème. Après le lycée j'ai intégré une école de stylisme d'où je suis sortie diplômée, maintenant je suis étudiante de dernière année à St Martin's School, en bonne voix pour obtenir aussi ce diplôme.Saint Martin's School est une des composantes de l'université des Arts de Londres, la scolarité dure 4 ans et elle propose 6 cursus différents dont le journalisme de mode qui est le cursus que j'ai choisi et qui n'est proposé que dans cette école en Europe. Le prestige de cette école ne tient pas de ses frais de scolarités qui reste abordable, mais plutôt du concours très sélectif d'entrée. Je crois ne jamais avoir été aussi fière de moi que le jour où j'ai reçu cette lettre m'annonçant que j'avais été acceptée. Depuis grâce au job que je prends en plus de mes cours et de l'aide de mes parents je vie aujourd'hui dans mon propre appartement depuis une année seulement, cependant je passe encore beaucoup de temps chez mes parents où j'aime revenir passer du temps avec ma famille.
L'année où j'ai commencé le stylisme j'ai dans le même temps ouvert un blogue où je rédige des critiques sur mon domaine : la mode. Le blog connait un succès tout à fait correct étant donnée que je ne suis pas encore considérée comme une professionnelle. Je sais notamment que certain de mes professeurs apprécient l'initiative, et considère que je tiens un blog de bon niveau.J'y consacre tout les jours quelques heures, encore aujourd'hui, et malgré tout j'ai aussi un job en parallèle de mes études. Je déborde d'énergie, et comme vous pouvez le constater le travail ne m'a jamais fait peur. Je suis une personne ambitieuse, et je me donne les moyens de réussir, je n'ai jamais fais partie de ses gens qui abandonne parce que ça demande trop d’effort, où qui se disent ''ça ne sert à rien je n'y arriverait pas''. L'année prochaine je serais enfin diplômée et je pourrais commencer à me faire un nom dans ce milieu qu'est la mode.
J'ai connu des amourettes dès le collège, mais je considère avoir eu ma première vrai relation à 16 ans.Je me souviens encore parfaitement des circonstances dans lesquelles je l'avais rencontré. C'était un vendredi soir, pendant les vacances scolaire. Noa avait prévu de retrouver quelques amis pour une petite soirée et il m'avait proposé de l'accompagner. Je lui avais en effet parlé du fait que moi aussi j'aimerais sortir un jour,et faire des soirées avec des amis comme lui le faisait souvent maintenant. Après en avoir parlé un long moment avec nos parents j'avais finalement eut le droit de sortir, à la condition bien sur que je rentre pour 1h maximum. J'étais sur que Noa m'avait proposé de venir avec lui pour pouvoir garder un œil sur moi au cas où plutôt que j'y aille toute seule une prochaine fois et que je fasse n'importe quoi, et j'étais sur que ma mère avait acceptée parce qu'elle savait que Noa ne laisserait rien m'arriver. Tout ça pour dire que c'est là que j'avais rencontré ce garçon pour la première fois, il s'appelait Thomas et il avait 2 ans de plus que moi. Nous n'avions fait que discuter ce soir là, et le courant étant passé nous avions décidé de nous revoir plusieurs fois dans des endroits où mon frère ne serait pas là pour lui lancer des coups d’œil. Finalement cette relation n'avait pas duré plus de 5 mois. Depuis Thomas il y avait eu d'autre garçon évidement, mais jamais un avec qui je ne reste plus longtemps qu'un an. J'ai eu pas mal de déception, notamment à cause de ma naïveté, j'ai toujours tendance à croire ce qu'on me dit et à laisser sa chance à quelqu'un en dépit d'une mauvaise réputation. J'essaye aujourd'hui de faire preuve d'un peu plus de prudence dans mes relations, mais mon premier instinct est toujours d'accorder ma confiance.
Je me suis toujours souciée des autres, mais par dessus tout je me suis toujours souciée de mon frère Noa. Si aujourd'hui j'ai grandis et que mon regard sur lui à forcément changé depuis l'époque où j'essayais de le suivre en trébuchant, je garde pour lui cette admiration que j'ai toujours eu, et il reste ma préoccupation première, parce que c'est mon frère et que je l'aime. Bien sur j'aime chacun de mes frères et sœurs, et à mes yeux ils appartiennent tous à ma famille au même titre que Noa. Mais le fait est que Noa n'est pas seulement mon frère. Il est mon meilleur ami, la personne à qui je peux tout confier, celui qui me vient en aide quand je suis dépassée. Alors qu'on soit 4,5 ou 6 enfants ne change rien, Noa restera la personne avec qui je serais la plus proche, la plus fusionnelle. J'ai toujours pu conter sur lui, quand j'avais peur du noir, ou quand je faisais un cauchemars, quand je galérais sur mes devoirs, quand je me plaçais dans des situations périlleuses à cause de ma naïveté, quand on menaçait de s'en prendre à moi et ce sans que je le demande. De la même façon j'avais fais en sorte d'être toujours là pour lui. Je n'arrive pas à imaginer ce qu'aurait été ma vie sans lui. C'est pour toutes ces raisons que je ne le laisserais pas tomber, que je veux l'aider à aller de l'avant, à accepter la situation telle quelle est, ce que je veux le plus au monde c'est ça, que Noa aille bien, qu'il soit heureux, après tout il est le seul homme de ma vie à ne m'avoir jamais laissé tomber.