(✰) message posté Lun 22 Juin 2015 - 23:49 par Invité
Walter-James Alexander Stanford
W-J. grandit à Manhattan, au sein d'une famille aisée dont il est l'aîné et, par extension, l'héritier. Il a un frère de trois ans son cadet, de qui il est très proche. Bien que son père soit très souvent en voyage d'affaires, loin de la maison, W-J. ne manque de rien, élevé avec son frère par sa mère et sa nourrice, et son géniteur ne manque jamais une occasion de passer du temps avec ses fils lorsqu'il rentre à la maison. Il passe une enfance princière et une adolescence royale, sans soucis particulier. Le jour de ses dix-huit ans, ses parents meurent tragiquement dans un accident, alors qu'ils rentraient de leur voyage en Europe afin de fêter l'anniversaire de leur fils, laissant ce-dernier hériter d'une immense fortune, d'un certain nombre de résidences éparpillées dans les quatre coins du globe, d'un hôtel de luxe et d'un country club dont les Stanford sont les propriétaires.
Il est âgé de vingt ans lorsqu'il croise pour la première fois le regard de Grace de Valois, d'un an sa cadette, la fille d'un français de sang noble avec qui il devait signer un contrat, à Paris. Les deux jeunes gens tombèrent vite sous le charme l'un de l'autre et, après avoir essuyé quelques refus, n'étant pas de sang noble, le père de Grace voulut bien accorder à W-J. la main de sa fille. Ils eurent leur premier enfant, Junior, un garçon, à l'âge de vingt-trois et vingt-deux ans. Le père de Grace voulait que ce premier enfant reçoive une éducation digne de son rang, et c'est contre leur gré que les jeunes parents envoyèrent leur fils, âgé de deux ans, loin d'eux, suivre une éducation stricte à Londres. Ils n'apprirent jamais à vraiment connaître ce fils, mais comblèrent le manque de leur aîné en choyant et couvant les deux cadets, des jumeaux, un garçon et une fille, qu'ils eurent cinq ans après la naissance du premier.
Il y a cinq ans, W-J. a appris la perte de son frère cadet et de sa belle-sœur, artistes de cirque, dans un incendie qui a ravagé le chapiteau, une partie des animaux et des employés. Son neveu, Oliver, alors âgé de huit ans, fait partie des quelques survivants. W-J. et sa femme ont alors décidé d'accepter la garde de l'enfant et de l'élever comme leur propre fils.
Les enfants Stanford ▶ W-J. et son épouse furent des parents exemplaires, très présents dans la vie des jumeaux, bien que parfois un peu niais ou trop couveurs. Ils n'ont jamais su leur dire « non » et n'ont jamais cessé de les couvrir de cadeaux et de bisous. Encore aujourd'hui, les deux jeunes gens sont le « petit caneton d'amour » et la « petite princesse chérie » de leurs parents, et n'en ont pas honte, malgré la vingtaine passée. Les jumeaux, qui naviguaient entre leurs résidences aux États-Unis sans jamais sortir du continent, furent envoyés à Londres, afin de poursuivre leurs années de collège, puis de lycée, dans un des établissements privés londoniens les plus réputés. Depuis que leurs cadets sont au lycée, W-J. et son épouse voyagent beaucoup plus, laissant souvent leurs enfants, désormais adultes, seuls à la maison, bien qu'ils les emmènent parfois avec eux lorsque les jumeaux sont en vacances.
Depuis qu'il a accepté la garde de son neveu, son épouse et lui le considèrent comme leur propre fils. Bien qu'ils sachent pertinemment qu'ils ne remplaceront jamais ses parents, ils sont parvenus à lui remonter le moral en le couvrant d'amour au quotidien, et en lui offrant une place dans la famille. Quant à Junior, W-J. a toujours eu beaucoup de mal à le regarder dans les yeux. Être contraint d'instaurer une telle distance entre son fils aîné et lui l'a toujours rendu très malheureux. Junior est un peu le vilain petit canard de la famille, et W-J. aimerait pouvoir le prendre familièrement dans ses bras au lieu de lui serrer cordialement la main comme il a toujours dû le faire.
Bien que la famille ne soit pas des plus unies, W-J. est très fier de ses fils, de sa fille, et de son adorable neveu.
Proposition d'avatars ▶ Iain Glen, George Clooney, Russel Crowe.
Invité
Invité
(✰) message posté Lun 22 Juin 2015 - 23:50 par Invité
Grace Margaret-Louise (de Valois-)Stanford
Grace grandit à Paris, au sein d'une famille de la noblesse française, entre une sœur aînée et un frère benjamin. Son enfance, puis son adolescence, se déroulent sans encombre, bien que ses parents aient toujours été très strictes et distants avec elle et sa fratrie. Elle comble le manque de ses géniteurs en étant très proche de sa sœur aînée et de son petit frère, autiste, bien que les disputes entre elle et le plus jeune de la fratrie soient très fréquentes, Grace ayant du mal à accepter le handicap de son frère. Elle est âgée d'à peine douze ans lorsque sa mère décède d'une maladie pulmonaire. Après la mort de sa femme, son père, très stricte, décide de fiancer sa fille aînée et de faire interner son jeune fils, dont l'état mental a tendance à s'aggraver. Séparée de son frère et de sa sœur, Grace se retrouve seule, son père la destine au couvent.
Elle est âgée de dix-neuf ans lorsqu'elle croise pour la première fois le regard de Walter-James Stanford, d'un an son aîné, fils de riches millionnaires américains qui devait signer un contrat avec son père. Les deux jeunes gens tombèrent vite sous le charme l'un de l'autre et, après avoir essuyé quelques refus, n'étant pas de sang noble, le père de Grace voulut bien accorder à W-J. la main de sa fille. Ils eurent leur premier enfant, Junior, un garçon, à l'âge de vingt-trois et vingt-deux ans. Le père de Grace voulait que ce premier enfant reçoive une éducation digne de son rang, et c'est contre leur gré que les jeunes parents envoyèrent leur fils, âgé de deux ans, loin d'eux, suivre une éducation stricte à Londres. Ils n'apprirent jamais à vraiment connaître ce fils, mais comblèrent le manque de leur aîné en choyant et couvant les deux cadets, des jumeaux, un garçon et une fille, qu'ils eurent cinq ans après la naissance du premier.
Il y a cinq ans, W-J. a appris la perte de son frère cadet et de sa belle-sœur, artistes de cirque, dans un incendie qui a ravagé le chapiteau, une partie des animaux et des employés. Son neveu, Oliver, alors âgé de huit ans, fait partie des quelques survivants. W-J. et sa femme ont alors décidé d'accepter la garde de l'enfant et de l'élever comme leur propre fils.
Les enfants Stanford ▶ Grace et son époux furent des parents exemplaires, très présents dans la vie des jumeaux, bien que parfois un peu niais ou trop couveurs. Ils n'ont jamais su leur dire « non » et n'ont jamais cessé de les couvrir de cadeaux et de bisous. Encore aujourd'hui, les deux jeunes gens sont le « petit caneton d'amour » et la « petite princesse chérie » de leurs parents, et n'en ont pas honte, malgré la vingtaine passée. Les jumeaux, qui naviguaient entre leurs résidences aux États-Unis sans jamais sortir du continent, furent envoyés à Londres, afin de poursuivre leurs années de collège, puis de lycée, dans un des établissements privés londoniens les plus réputés. Depuis que leurs cadets sont au lycée, Grace et son mari voyagent beaucoup plus, laissant souvent leurs enfants, désormais adultes, seuls à la maison, bien qu'ils les emmènent parfois avec eux lorsque les jumeaux sont en vacances.
Depuis que son époux a accepté la garde de son neveu, Grace et lui le considèrent comme leur propre fils. Bien qu'ils sachent pertinemment qu'ils ne remplaceront jamais ses parents, ils sont parvenus à lui remonter le moral en le couvrant d'amour au quotidien, et en lui offrant une place dans la famille. Quant à Junior, Grace a toujours eu beaucoup de mal à le regarder dans les yeux. Être contrainte d'instaurer une telle distance entre son fils aîné et elle l'a toujours rendue très malheureuse. Junior est un peu le vilain petit canard de la famille, et Grace aimerait pouvoir le prendre familièrement dans ses bras au lieu de lui serrer cordialement la main comme elle a toujours dû le faire.
Bien que la famille ne soit pas des plus unies, Grace est très fière de ses fils, de sa fille, et de son adorable neveu.
(✰) message posté Lun 22 Juin 2015 - 23:51 par Invité
Walter-James « Junior » Stanford
FT. CHRIS HEMSWORTH
Né de l'union d'un américain millionnaire et d'une fille de la noblesse française, Junior est arraché des bras de ses parents à l'âge de deux ans, par son grand-père maternel, le père de sa mère, qui n'a accepté l'union de sa fille avec un homme sans titre qu'à condition que leur fils aîné suive une éducation stricte. Il est donc élevé par des nourrices et par un précepteur, dans une des résidence de son père, à Londres, loin de ses parents et étroitement surveillé par son grand-père. Il subit une éducation très stricte et sévère, étant supposé hériter d'une grande partie de la fortune des Stanford et de celle de son grand-père maternel. Une énorme pression pèse sur ses épaules depuis tout petit. Courtois, droit, bon orateur et diplomate, il apprend l'économie et la politique dès son plus jeune âge, n'a jamais joué et a toujours passé ses après-midis à étudier et à lire des livres ennuyeux. Dès le collège, il étudie en internat dans un des établissements privés les plus prestigieux de Londres. Stricte et sévère, presque bourru, il a très peu d'amis car rares sont les enfants et les adolescents à oser l'approcher.
Il est âgé de seize ans lorsque son petit frère et sa petite sœur, de cinq ans ses cadets, emménagent à Londres, dans leur résidence. Très vite jaloux des jumeaux, qui ont grandit choyés par leurs parents, Junior n'adresse la parole à son frère qu'une seule fois, pour l'envoyer balader, et ne leur a plus adressé le moindre regard depuis ce jour-ci. Après huit ans d'université, il vient d'obtenir un doctorat en sciences politiques.
Junior est l'archétype du fils héritier de famille aisée. Droit, stricte, sévère, presque bourru, il laisse difficilement transparaître ses émotions et semble faire preuve d'un self-control impressionnant. Charismatique et imposant, ses longues études de politique l'ont rendu bon orateur et capable de persuader même les plus sceptiques. Impressionnant, presque effrayant, rares sont ceux qui osent le provoquer. Sa carrure et son charisme dissuadent rapidement les petits malins qui tenteraient de le taquiner. Élevé très durement, il est lui-même parfois involontairement trop stricte ou exigeant avec son entourage. Il ne sait pas s'amuser, c'est quelqu'un de sérieux et réfléchi qui agit avec logique, et non par impulsion. Il ne connait pas le hasard ou l'instinct, et prend toujours le temps d'analyser avant d'agir. Junior est néanmoins quelqu'un de très intelligent, extrêmement cultivé, diplomate et, bien qu'un peu distant, très aimable lorsqu'il est de bonne humeur. Il n'est pas très démonstratif, ni très émotif, mais il sait fait preuve de beaucoup d'empathie, voire de douceur avec la gente féminine. Il est souvent beaucoup moins sûr de lui qu'il n'en a l'air.
FAMILLE STANFORD
Distance, rancœur & jalousie Junior est en quelque sorte le vilain petit canard de la famille Stanford. Élevé loin de ses parents contre le gré de ceux-ci, ils sont, à ses yeux, de parfaits inconnus et leurs rares contacts furent simplement quelques paroles échangées de manière distante et quelques poignées de main cordiales. Bien qu'il ait souvent reçu des cadeaux de leur part, Junior n'a toujours eu qu'une seule envie : pouvoir briser cette distance instaurée entre eux, pouvoir rire et pleurer dans les bras de ses parents, et pouvoir embrasser leurs joues sans honte. N'ayant pas assez de recul pour rejeter la faute sur son grand-père, il blâme son frère et sa sœur, qu'il a toujours ignoré, malgré la tentative de son petit frère de faire sa connaissance. Bien qu'il vive désormais sous le même toit que les jumeaux, il fait de son mieux pour les éviter et ne leur adresse jamais le moindre regard lorsqu'ils se trouvent dans la même pièce. Il ignore de la même façon son jeune cousin, Oliver, bien qu'il ne le rejetterait pas si l'enfant venait lui parler.
Invité
Invité
(✰) message posté Lun 22 Juin 2015 - 23:52 par Invité
Oliver Jules Stanford
Oliver est un enfant du cirque. Né à Westbrook, dans le Maine, il a grandit au sein d'un cirque ambulant, et n'a donc jamais eu d'habitation fixe, naviguant de ville en ville en compagnie de sa troupe, des animaux et de ses parents. Baigné dans l'univers du cirque depuis sa naissance, il apprend très tôt les valeurs et les secrets du cirque, et se révèle très bon acrobate, comme ses parents. Dès son plus jeune âge, il commence à participer aux spectacles que donnent sa troupe, prenant un malin plaisir à épater les spectateurs de part son jeune âge. Enfant prodige et surdoué, il se révèle vite très talentueux, non seulement en acrobatie mais également dans différents sports qu'il aime essayer et où il excelle, mais qu'il abandonne vite par lassitude. Un peu « touche à tout » il réussit presque tout ce qu'il entreprend, mais il a beaucoup de mal à se trouver une réelle passion autre que l'acrobatie. N'étant pas sédentaire, il suit des cours au sein même du cirque, donnés par un enseignant privé qui le suit, lui et les autres enfants du cirque.
Il n'est âgé que de huit ans lorsqu'un drame lui enlève cruellement tout ce qu'il aime. Un incendie se déclare, ravageant chapiteau, animaux et employés. Oliver y perd ses parents, ses animaux et un grand nombre de ses amis, dont certains enfants. Bien qu'il ait pu être sauvé, ce traumatisme restera à jamais gravé dans son esprit, développant en lui une peur panique du feu. Il est pris en charge par son oncle paternel, le frère aîné de son père, et sa femme, à Londres, qu'il connaît à peine. Triste, dépaysé, traumatisé, sa capacité d'adaptation hors norme acquise à force de changer de ville tous les mois lui permet cependant de s'adapter à ce nouveau mode de vie, ainsi qu'aux sacrés caractères de ses cousins. Envahi d'amour chaque jour, il se console vite, bien que ses parents lui manqueront à jamais.
Famille Stanford ▶ Après la perte de ses parents, Oliver a été adopté, réconforté et couvert d'amour par son oncle et sa tante et, bien qu'ils ne remplaceront jamais ses parents, il les aime plus que tout au monde et leur en est infiniment reconnaissant. Il n'a jamais rencontré de personnes plus aimables qu'eux, et il aime beaucoup passer du temps avec eux. Parler de son père avec son oncle le soulage souvent, lorsqu'il se sent mal. Oliver est également très complice avec Finnegan, son cousin, qui l'a souvent fait rire en tentant maladroitement de le réconforter. Il sait que Finn n'est pas habitué à faire preuve de compassion et d'empathie, mais ses efforts et ses tentatives de réconforts et de compliments lui vont droit au cœur. Les deux garçons adorent jouer au tennis ou au baseball ensemble, comme deux frères. Bien qu'il ait eu beaucoup de mal au début, la relation entre Oliver et Victoria est plus calme, désormais. Les deux cousins ayant un fort caractère, Oliver a longtemps eu du mal à supporter les caprices et le tempérament arrogant de sa cousine, mais il y est parvenu petit à petit, et a désormais appris à supporter les colères et à céder aux caprices de la princesse de la famille. Quant à W-J. Junior, Oliver ne sait pas vraiment que penser à son sujet, et le jeune homme, sévère, froid et hostile, l'intimide trop pour que l'enfant ait le courage de lui adresser la parole.
Proposition d'avatars ▶ David Mazouz, Nolan Gould, Jared S. Gilmore, Asa Butterfield.
Accueil 
