Breaking the limit [PV LEWIS]

You make me rise when I fall

LElle avait à peine dormi, mais ce n'était pas comme si ce n'était pas une habitude. Elle avait toujours eut des problème de sommeil...bien que cela c'était arrangé quand elle dormait avec Lewis... Elle ferma les yeux et chassa vite faite bien fait la pensée. Elle voulait l'oublier.... mais comment oublie-t-on l'amour d'une vie ? Comment faire quand on sens la peur vous ronger parce que vous ne savez pas ce qu'il peut lui arriver car il trempe dans de sale affaire ? Elle regarde le tableau une dernière fois avant d'aller dans son dressing. Primrose Hill est un quartier bien tranquille et Raleigh n'allait pas tarder à arriver pour l'emmener au travail. Elle avait son permis... surtout celui moto en faite... elle ne sortait jamais la voiture et le matin elle voulait être tranquille... Raleigh le ferait gracieusement mais son compte en banque peut largement se permettre ce luxe.
Elle regarde les belles étoffes et peau aligné et trié par couleur. L'ordre l’apaisait.. étrange quand on voit le désordre qu'est son bureau... Elle a besoin de ce chaos pou être encore plus productive.
Elle touche un pantalon en cuir burberry, une chemise ralph lauren... Du luxe. Du bon goût.... elle avait envie de se rappeler des souvenir de marlborough college... Elle avait envie de se la jouer preppy mais avec un poil de provocation... Elle prit le pantalon en cuir, une chemise en flanelle Chanel et une veste en velours pourpre balanciaga... à cela elle ajouta une petit ruban noué autour du col, noir.
Elle se maquille à peine, elle a un teint de porcelaine et se focalise sur ses cheveux qu'elle dompte tout les matin.
Elle se regarde, elle les yeux vide, ils sont froid. Elle prend son sac dans lequel elle a mit son porte document ainsi que son violon... comme toujours au lieux de déjeuner elle répète.
Le trajet en voiture se fait en silence, elle avait fait la bise à Raleigh... e matin elle n'est pas communicante, elle a besoin de se réfugie dans son « mind palace », penser, réfléchir, rassembler ses connaissances impressionnantes du à son hypermnésie. Elle revoit tout les dossiers à traiter aujourd’hui et comment obtenir gain de cause. Elle n'était certes pas réputer pour sa compassion, son empathie...  Elle était froide, dans l'incompréhension des sentiment … mais efficace et redoutable. Elle était une prédatrice.
Le black cab s'arrête, Ral lui donne un sachet avec un starbuck et un croissant au chocolat sachant que ça serait tout ce qu'elle consommerait dans la journée à part ses patchs de nicotine. Elle inspire et s'engouffre dans le bâtiment. Elle salut brièvement la secrétaire, martelant le sol de ses louboutins avec sa démarche chaloupée. Elle ne remarque pas Lewis, les yeux fixé sur son dossier urgent qu'un stagiaire viens de lui remettre. Elle entre dans son bureau qu'elle a décorée avec soin et goût, un mélange d'ancien et de nouveau, de symétrie et de désordre organisé.
Elle voit les données surgir sans avoir besoin de les chercher... elle en a mal à la tête de ce flot d'information, elle en a même peur. Focus. Se concentrer. Elle ferme les yeux, respire, et bloque sa mémoire... chaque donné se trouve dans son tiroir et en sortira que si elle le désir.
Elle rouvre les yeux, apaisé, sereine, et rien de son trouble précédent ne se lis sur son visage de porcelaine.  
Elle regarde le bureau de Lewis... Il est beau. Toujours. Rester pro... oui... mais elle voulais savoir... se prouver quelque par qu'il était toujours à elle. Elle l’observe tant qu'il ne la regarde pas et détourne subtilement le regard quand elle ses le regard du jeune homme la fixer.
Ce dossier et complexe... elle voudrait voir ce qu'il pense de ses notes.... non... fausse excuse.. elle savait qu'elle avait tout bon et qu'il ne trouverait rien de plus qu'elle n'a trouvé... la vérité... c'est qu'elle voulait lui parler... se sentir proche de lui... sentir son parfum. Il portait le même... tout comme elle... Elle portait un parfum intime... une odeur d'encens et d'ambre subtilement dosé.
Elle se lève. Démarche féline. Toc a la porte de Lewis et entre en fermant la porte sur elle.

« Je pense qu'on peut exploiter des faiblesses du dossier si on creuse d'avantage les preuves... j'ai bien envie d'aller interroger le défendant.... » dit-elle en se mettant à quelque centimètre de lui... relevant lentement ses yeux vers les siens....

« Tu n'y vois pas d'inconvénient... Arsène ? » dit-elle en esquissant un léger sourire en coin.

Elle se sentait si froide... elle se haïssait ainsi... et elle se sentait aussi si fébrile quand il était si près d'elle bien qu'elle n'en montrait rien depuis trois ans... Nerveusement... elle mordilla sa lèvre inférieur et s'arrêta en s'en rendant compte. Elle se trouvait bête, et elle le trouvait terriblement séduisant. Elle maudissait avec toute la hargne de son cœur gelé ceux qui partageait sa couche... elle voudrait le tuer de ses mains.... Elle voudrait s'arracher le cœur et le réduire en cendre... elle ne voulait plus souffrir... Elle n'en montrait rien... mais pour combien de temps serait-elle encore aussi forte ?

Breaking The Limit

Lewis avait toujours eu du mal à trouver le sommeil lui aussi, beaucoup trop perdu a essayer de rendre sa vie quelque palpitante, assis à une table il a passé sa nuit avec Alfie, le jeune homme l'aida dans ses coups c'était le réseau de Lewis sans Alfie il ne pourrait pas faire ce qu'il fait. C'est un peu lui qui lui a tout appris... Alors que le jeune toqué est parti, Lewis se retrouva seul dans son grand Loft. Il eu un sourire en pensant au remarque de Malcolm ' C'est trop... C'est pas un appartement de mec... Avec tous ses bibelots on se croirait chez ma grand mère', Lewis se leva un peu nostalgique en regardant ses bibelot. Chaque bibelot avait une valeur sentimentale. Que se soit de sa vie de Don Quichotte avec Eira ou bien sa double vie, il ouvrit la baie vitré qui donna sur une grand terrasse, la vue de Londres était magnifique... Hammersmith, le quartier ouest de Londres était un quartier des plus tranquilles... Dire qu'il a réussit a avoir cette appartement avec son sourire alors qu'il n'avait rien depuis sa rupture avec Eira. Il a passé la nuit a regarder cette vue ne trouvant pas le sommeil. Après cette affaire de chantage avec l'agent de Malcolm, Lewis se demandait ce qui valait vraiment la peine. Le soleil se leva, le réveil grinça tel une vieille chevrolet au bord du suicide affectif. Le Roi du Train Fantôme était comme zombi fié dans son lit, a regarder le plafond : « Bon... Faut y aller. » Il se leva retirant ses vêtement, il ne portait qu'un simple t-shirt marron et un pantalon de costume, il mis le t-shirt dans une bannette et le pantalon il le mis sur une table. Il alla sous la douche. Espérant que cela lui donne une mine moins grisante et surtout qu'on ne remarque pas son manque de fatigue. En sortant il entendit son téléphone, Malcolm venait d'apeller. Genre il ne dors pas lui, Lewis décidera de l'appeler au bureau. Il s'habilla toujours d'un costume, du style italien une coup centré ainsi qu'un cravate dans les tons bleu, il prit alors son chapeau un vieux classique qu'on utiliser dans les années 40 aux état unis. Il regarda sa table qui fut en désordre il rassembla ses quelques dossiers et décida alors de prendre le Tube. L’arrêt se trouver juste en bas de chez lui et ce fut la ligne direct pour son cabinet encore heureux. Arriver au cabinet, il croisa Alfie qui semblait dans un pire état que lui, mais comme d'habitude il ne fit pas le savoir, il arriva a mon bureau avant Eira, il s'installa a son bureau allumant alors son écran d'ordinateur pour lire ses mails. Il resta debout entrain de lire une de ses plaidoirie ayant rendez vous au tribunal à 11 heures. Il fut interrompu par le son de chaussures, des talons... Il reconnaîtrait cette démarche entre mille, il leva les yeux voyant alors Eira aller jusqu'à son bureau, il eu un sourire cacher derrière ses feuilles. Il continua sa lecture, ne pouvant s’empêcher de jeter quelques regards sur elle... et détourna les yeux quand il sentit son regard sur lui. Il posa son dossier en entendant quelqu'un frapper : « Oui ? » elle entra refermant la porte derrière elle... « Je pense qu'on peut exploiter des faiblesses du dossier si on creuse d'avantage les preuves... j'ai bien envie d'aller interroger le défendant.... »  Il se retourna croisant les bras reflechissant alors a son hypothèses, il lui dit alors : «  Hum... Oui c'est une bonne idée, tu devrais demander à Alfie de voir ce qu'il peut trouver sur la défense. » J'eu alors un sourire, j'aimais bien la voir ainsi... Si bosseuse et battante... « Tu n'y vois pas d'inconvénient... Arsène ? »  Il se mit a rire, il hocha la tête pour signifier que non en lui repondant : «  Biensur que non, je te fais confiance... Et arrète de m'apeller Arsène... J'aime pas ce surnom... » dit il alors qu'il alla chercha une tasse pour se faire un café il était restais dans son bureau : « Ce dossier a l'air si terrible que ça pour que tu viennes me demander conseils ? » disait il en souriant jetant un regard vers elle.

You make me rise when I fall

LIl la rendait fébrile.Pourquoi s'expose-t-elle ainsi alors que chaque instant passé avec lui la renvoie à son humanité ? Parce qu'elle ne peut vivre sans lui... rester éloigner de lui la déchire... elle l'avait bien sentie quand après leur rupture elle est partie en mission humanitaire. Oublier... l'oublier... Le pourrait-elle un jour ? Rien n'est moins sur... Eira a un cœur fidèle... un cœur assez froid pour ne fondre que pour une personne. Elle devait l'accepter....
Femme de raison, elle avait choisit de le quitter en apprenant sa double vie... et pourtant... son cœur palpitait de savoir le danger si grand... le danger.... pulsion de Thanatos... de mort... cette folle envie de vivre si proche du gouffre.... elle savait qu'elle ne pouvait se contenter d'une vie aussi banale... il lui fallait plus... des sensations forte... elle avait toujours eut ça avec Lewis... et même aujourd'hui encore... en continuant ses enquêtes discrète sur le réseau....
Elle le regardait... et elle sentait cette peur latente au creux de son ventre.... s'il lui arrivait quelque chose... Mon dieu.... peut-on seulement vivre avec son âme dans la tombe.... dans le fond elle s'en fiche qu'ils ne soit pas ensemble tant qu'il est envie …. tant qu'il fait parti de ce monde elle survivra... Tant qu'il est là.... elle aura beau être à terre, elle se relèvera toujours.
Il observait son visage, et elle voyait les signe de fatigue que personne ne remarquait. Elle imaginait bien aisément les nuit sans sommeil qu'il devait avoir.... elle se rappelait.... leur appartement... ses nuit passé ensemble.. sa peau... son odeur... ses gestes.. lui à son chevalet et elle à sa harpe.... son violon.... ou son piano.... avec juste un draps autour d'elle.... Elle se rappelait ses regards... ses sourire... ses lèvres et leur saveurs addictive.
Elle ferma un instant les yeux. Calme, zen... elle devait fermer son esprits à ces souvenirs si vivaces qu'elle en sentait encore les lèvres du jeune homme sur les siennes. Trois ans...
Elle manqua de s’étouffer quand il parla de demander de l'aide à Alfie... plutôt crever. Elle n'avait pas besoin de lui et pouvait se débrouiller seule. Ce n'était pas comme si elle n'avait pas ses entrer à la police... elle pouvait se faire si discrète quand elle le voulait....

« Merci bien sweety mais... je pense pouvoir me débrouiller seule. Il est hors de question que j'ai recours à lui.  » dit elle d'une voix suave et un rien provocatrice.

Lewis avait toujours été protecteur avec elle.... mais elle avait toujours eut le goût du risque.... et elle en avait besoin plus qu'avant afin d'oublier le vide du manque de lui.
Alors qu'il exprime sa confiance en elle et le dégoût du surnom qu'elle lui avait donné au moment ou elle l'avait quitté. Avait-il eut mal ? En avait-il souffert ? Est-ce que ça le hantait aujourd'hui encore la nuit ? Elle ne pouvait jurer de rien. Les sentiments sont pour elle une source de mystère... elle serait bien mal aviser des interpréter. Elle savait jouer des faits et leur tirer toute leur substance, l'âme humaine c'était autre chose....

« C'est censée me faire de l'effet que tu ne l'aimes pas ? Laisse moi réfléchir... Non. Aucun. J'en ai que faire.... tu le mérite... » dit elle en s'avançant vers lui pour prendre son menton entre ses doigts «Gueule d'ange et belles manières pour un faussaire... n'oublie pas à qui te dois le fait de respirer encore l'air libre mon chou. »

Elle esquisse un sourire mauvais et s'éloigne de lui... elle lui tourne le dos. Ca lui fait mal.... putain pourquoi ça lui fait si mal. Elle se détourne de lui comme elle le faisait toujours quand elle sentait son cœur exploser. Une douleur sourde, silencieuse mais criarde dans le creux de sa poitrine. Elle avait besoin de ses bras mais ne pouvait plus y prétendre. Elle se tien à l'un des fauteuil. Fatiguée, épuisée d'être forte. Comment lui dire que ce n'est pas le dossier qui l'amène ici mais le fait qu'elle a besoin de lui pour avoir de l’énergie ? Que c'est uniquement quand elle est proche de lui qu'elle puise sa force ? Elle ne le pouvait pas, elle n'avait jamais pu lui dire même s'il savait ce que ça signifiait à chaque fois qu'elle lui tournait le dos.

Breaking The Limit

« Merci bien sweety mais... je pense pouvoir me débrouiller seule. Il est hors de question que j'ai recours à lui.  » Sherlock en action, cela lui fit sourire. Lewis aimait bien voir que la jeune femme s'impliquait durement dans ses affaires. Il apprecia la vue la jeune femme sur ses louboutin qui semblait avoir le torse bombé, une vrai lionne cette Eira faut bien l'avoué, mais cela dit ça l'inquiéta. Il se mit doucement à sourire en lui disant : «  Si tu veux jouer les Sherlock... Fais juste attention à toi... » Et puis elle me donna ce surnom, surnom que je n'aimais pas car j'avais l'impression d'être un autre. Je me demarquais pas dans ce que je faisais pourqu'on apelle simplement Arsène. Cela me rebuttait, j'était surement trop égoiste pour penser une chose pareil... Arsène était different de moi et agissait autrement, Il faisait ça pour l'argent et la gloire d'être reconnu, mais pas moi. Je faisais ça, pour la passion, l'envie et surtout une chose qui était essantiel et qui anime tout ceux de mon espèce, le défie... De savoir que nous pouvons le faire... Elle me fit sourire alors qu'elle continua de jouer de ses grandes flammes a talons : « C'est censée me faire de l'effet que tu ne l'aimes pas ? Laisse moi réfléchir... Non. Aucun. J'en ai que faire.... tu le mérite... »  Je m'approcherai trop d'elle que je m'en brulerai surement, ses air d'arbre en fleu aussi petoyant que submergeant ne pouvait que me faire sourire, sentant sa main sur ma machoire. J'en sentis mon échine vibrer tel un diapason desaccorder. «Gueule d'ange et belles manières pour un faussaire... n'oublie pas à qui te dois le fait de respirer encore l'air libre mon chou. » Elle était cruelle, vicérale... Cette facette me plaisait... j'aimais la voir ne pas m'aimer, cela changeait et elle me donnait envie de me transformer en chien l'espace d'un instant rien que pour ce coter dominatrice qui la donne encore plus enviable au sein de la gente masculine. Mais de la voir avec un autre me rebutait et pourtant elle avait le droit... Nous étions plus ensemble et cela était au passer... Je la regardais, mon air joueur ce sourire en coin... le regard malicieux cet air amusé qui meritrait des baffes je ne pouvais m'empecher de lui dire : « Tu joues dans le Chantage affectif maintenant ? » C'était bien vrai après tout elle était sans aucun doute, la femme la plus frigide que j'ai pu voir ses six derniers moi et encore l'ex femme de Malcolm en tenait un rayon dans ce domain. Alors qu'elle tourna les talons je sentis son atmosphère glaciale quitter mon espace vitale avec elle je lui dit alors tentant de la retenir : « Attend... »
« Toi qui a l'impression d'avoir toutes les cartes en mains... Pose toi cette question : «  Pourquoi je suis encore là à ton avis ? » » Après tout je voulais la destabiliser, elle m'enervait a jouer ses femmes rigides. Cela ne lui ressemble tellement pas bien que ce metier demande de la discipline et de l'education... Cela me faisait quand même mal de la voir ainsi !

You make me rise when I fall

LÇa la submerge, ça l'embrase. Fier et altière elle avait le cœur aussi gelé que la nuit ou elle était née, renforcé par l’indifférence parental. Pourtant, se tenait devant elle celui qui avait fait fondre les neige éternel. Il l'avait vu comme aucun autre ne l'avait vu. Elle avait fondu, comme une glace sous la chaleur de l'été, elle avait fondue et avait disparut. La traîtrise avait sonné le glas de leur relation. Triste jour.... Triste nuit.
Inlassablement elle revenait vers lui la louve prédatrice, elle se délectait de ses effets, de son verbe acerbe, tranchant, incisif, elle voulait le blesser, lire la souffrance lui. Elle voulait qu'il ressente sa peine, qu'il paie. Elle voyait son sourire, elle se voyait le lui arracher, le dévorer de sa bouche et le porter fièrement sur ses lèvre. Non... sublime tentation céleste.... elle en aurait épousé la lune.
Il s'inquiétait pour elle... douce nouveauté qui se heurtait à l'incompréhension de son cœur. Il avait fondue pour mieux se glacer à nouveau. Pourquoi s'inquiéter alors qu'il l'a brisé par son silence ? Il s’inquiète de ce qui pouvait lui arrivé alors qu'il ne s'était pas soucié de ma qu'il lui avait fait. Sublime douleur lancinante.... douleur qu'elle entretenait pour encore ressentir quelque chose, pour sentir cette douleur poignante qui maintenait son cœur faiblement dans le champs émotionnel.... Vraiment ? Non Elle avait juste froid, et si ses yeux se mettait à pleurer, il en tomberait des perle de glace... les perles de son âme.
Non. Froide et le regard vide elle s'était saisit de son menton, fier de son effet. Elle se sentait puissante et dominante elle pourrait le briser.... à la place elle le touchait... elle l'analysait.... un faible frisson au effet dévastateur, il ne lui était pas insensible.... elle le voyait le lisait dans les ridule de son œil, dans la dilatation de ses pupilles.
Il était provoquant et indolent, il avait la force et la maladresse de l'albatros, sublime oiseau des mers et empereur des cieux. Le contacte avec lui la lui rappelait à quel point elle était sienne en sa chair.
Elle se haïssait se sentir lui appartenir à ce point. Oublier, enfermer, les émotions ne filtrait pas de ses yeux froid.
« Le chantage affectif ? Honnêtement trésors.... j'en ai que faire.... tu ne me fais rien.... » susurra-t-elle  en rapprochant ses lèvre des sienne pour que son souffle les percutes « rien... rien.... du tout. »
Elle ne l'embrassa pas... ses lèvres à quelque millimètres des sienne s'étirèrent en un sourire vicieux, mauvais et glorieux. Si elle voulait jouer avec lui.... elle avait bien d'autre chose que l'affectif pour lui faire du chantage.
Elle s'éloignait de lui et se sentait fébrile... le mythe d'Aristophane se concrétise.... elle se déchire de le quitter lui... Elle voulait rester, se fondre en lui pour n'être qu'une seule et même âme. En vérité elle ne s'était jamais sentie aussi bien qu'entre ses bras. Elle se tenait à un de ses fauteuil, dos à lui, figée. Elle allait sortir mais ne le pouvait... elle mourait du masque qu'elle portait et qui lui allait si mal. Il lui demandait d'attendre... douce supplique à son oreille qui ferait résonner le carillon des cieux. Son cœur venait de manquer un battement... elle n'avait plus eut ça depuis longtemps.
Pourquoi il était encore là ? Elle sentie un frisson la parcourir, sublime sensation de son intellect en action, dans son palais mental... elle revivait tout. Tant de donné, qu'elle se sentait faiblir.... sa respiration se faisant saccadé, voir même sifflante et douloureuse. STOP.
Elle se fige... se redresse et se retourne vers lui. Sous les yeux du jeune homme les trait de la rouquine se détendaient, se faisaient plus doux, le regard plus tendre. Étrange transformation, comme si son âme avait propulsé en avant celle qu'elle avait été avec lui jusqu'à il y a trois ans... Elle avança vers lui, souriant faiblement, mais un sourire, doux, paisible, angélique. Elle s'arrêtat à quelque centimètre de lui et posa avec tendresse sa main sur sa joue.

« Je le sais Lewis. »,dit-elle simplement. Doucement. Comme pour ne pas briser l'instant.

Elle savait. Elle savait leur sentiment, elle savait leur déchirement. Elle comprenait sa passion elle comprenait se qui les reliait. Elle voyait le rideau de fer entre-eux et sentait tout comme lui leur corps, leur âme qui s'aimante, s'appelle, se réclame. Elle savait. Elle savait que son but ne fut jamais de la blesser. Elle savait que c'était bien plus compliquer qu'on ne saurait le croire.
Elle caressa quelque instant sa joue, souriant d'un regard triste sur ce qui avait été perdu mais qui demeurait en chacun d'eux.
Elle retira sa main et doucement commença à retrouver son masque de reine des neiges.

Breaking The Limit

« Le chantage affectif ? Honnêtement trésors.... j'en ai que faire.... tu ne me fais rien.... » Menteuse... Douce petite menteuse que tu étais ma chère Eira... Tu pensais que je ne le verrais pas, tel un brouillard où de vant un court metrage de Méliès... nan sérieusement tu n'étais pas si doué... je n'osais le croire, elle me disait cela comme une comedienne ce genre de comedienne qui gifle les gens sans cligner des yeux... Et pourtant un petit battement de cils ferait tellement la difference « rien... rien.... du tout. » Je l'avais bien compris je me suis mis a sourire encore, j'en voulais plus tellement plus... Heurte moi, poignarde moi... Tu me fais sentir vivant un point tellement irresonable que j'en perd l'envie de voler. Mon cœur battait a vive allure j'aimais cette sensation... Elle était doué très doué, j'avais l'impression de m'être pris un seau d'eau sur la gueule avec des glaçons... Me voilà mouiller d'une affection diabolique... Tu es un iceberg... Je n'ai qu'envie de titiller le bout pour te voir te retourner et avoir un tsunami d'emotion en pleine gueule... Pire qu'une bombe d'amour que je recevait en pleine gueule c'était hiroshima dans ma tête et elle savait comment le faire... Après tout plus de 20 ans se cotoyer... On finit par ressembler a l'autre... Pire qu'un vieu couple on en redemendait encore. J'avais envie de plus... Je la titille dans ses airs de grande dame... Cela dit ma phrase avait du sens... j'avais les moyen de m'enfuir... Je pouvais tout quitter ici, aller vivre sur une île paradisiaque tel que le cap vert... Mais pourquoi pensait elle que je restais là... Soudain je la vis revenir vers moi, chacun de ses pas me provocais des haut le cœur... Oh oui Acacia rend moi fou, tu es douée... Tellement douée pour ça, je sentis sa main … je baissa mon regard, mais j'avais l'impression d'être si petit face à elle alors qu'elle était plus petite que moi... Une hobbit. Et soudain j'avais réussit je me sentais si fiere... La reine des glaces se brisa en flaque... Son regard, son visage s'attendrit carrement. J'ai l'impression de la retrouver elle carressa ma joue me disant d'un ton doux et mielleux... « Je le sais Lewis. » J'eu un petit sourire, elle repris alors son caractère... Elle était folle, et doué mais folle surtout ce changement de position aussi vite que l'apparition des pokemons sur le monde ! Un truc de géant... je lui avoua alors : « Tu sais ma chère Miss Acacia... Tu as peut être le cœur remplit d'épines.. tu ne restes que celle qui as réussit a capturer le miens durant vingt ans... » Huuuum Mielleux a souhait j'en redemandait encore, mais je voulais sa réaction la voir changer ainsi tel un clip de Michael Jackson me faisait sourire et me donner envie de jouer et de continuer a jouer comme au jeu que nous jouions quand nous étions enfants.

You make me rise when I fall

LPart. Quitte-moi. Arrache-toi à moi.
Elle se sentait Scarlett O'hara devant Rhett Butler. Niant jusqu'à l'évidence du feux qui l'anime... Elle qui brûlait de pus de feux qu'elle ne le pouvait. Elle mentait comme un arracheur de dent, comme de ses femme de marbre aux émotions éteinte. Était-elle une psychopathe ? Non.. la douleur latente l'avait ramené à la réalité tirée de se rêve éveillé... où n'en n'était-ce qu'un autre ? Inception.
C'était un théâtre de nature, les éléments se déchaînant entre eux et faisant valoir leur droit. Ils exaltaient leur alchimie. Eira se questionnait. Comment était-ce possible de ressentir ça ? De vivre cette réalité ? Comment ? La compréhension la submergeait autant que l'incompréhension. La solution si évident l'effleura et elle l'absorba. Met délicat et acerbe, il révèle une vérité si intime et réelle qu'on y dirait un bobine.... elle voulait rembobiner le temps et revivre leur histoire, s'y plonger corps et âme pour ne vivre que dans ce qui les représente.
Elle avait fait choir le masque... Non... oui... peut-être. Elle l'avait voulu. A faire d'être glaciale elle en oubliait qui elle était. La véritable Eira à resurgit un instant telle le fantôme des noël passé. Elle le vit fier, satisfait de la retrouver... tout comme elle. Pendant quelque seconde il s'était retrouver pour se quitter encore plus rapidement.
Jack Frost était passé par là, il avait figé son visage dans la glace et gelé à nouveau son cœur.... elle souffrait moins ainsi de ce qu'elle avait perdu. Elle était si petit à coté de lui.... et pourtant elle se sentait si féroce, si vaillante, si désireuse... Elle se sentait si vivante en s'exaltant, elle se sentait vivre à le faire souffrir. Elle sentait de doux frisson la parcourir en le voyant réagir... Elle en avait besoin... son cœur grondait un séisme d'une magnitude dévastatrice.
Il pensait sans doute la souffler avec son ultime réplique, a faire revenir à nouveau... Elle... La vrai elle... cette enfant aux boucle rousse et courte sur pâte, maigrichonne mais si vivante, si avide de vivre. Elle était la vie, elle coulait dans ses veine et se débattait telle un navire emproie à la tempête. Oh oui.... jamais nous ne nous fûmes sentis aussi vivant que si proche de la mort.... si proche de se perdre.... si proche de la rupture mécanique.

« Mon cœur n'est pas rempli d'épines. Il est de cendre. Tu me l'a arraché pour le réduire en miette par tes dissimulations... Tu as brisé ses rouages. » dit-elle en un sourir diaboliquement tentant.

La diablesse aux hanches formées se tourna vers lui, sourire sur les lèvre rosé de tentatrice, le regard de braise ou le feux sadique dansait en un tango endiablé. Elle posa sa main à l'emplacement du cœur du jeune homme. Souriant.... mauvaise créature.... sorcière des rêve déchut, invocatrice d'un passé présent, vivace.

« Tu comprendras donc que si je le possède c'est uniquement pour continuer à vivre. Il est mon dû. » lâcha-t-elle, pinçant ses lèvres vermeille pour mieux les mordiller.

La tension était à son comble au pourrait valser sur les fils du rasoir. Une tension si palpable qu'on pourrait la toucher aussi sûrement qu'elle le touchait en cet instant.... sentant son cœur se débattre dans sa cage thoracique au travers de ses pectoraux... ce cœur qui battait pour elle.

Breaking The Limit

Miss acacia semblait muette l'espace d'un instant, instant qui fut long pour moi, je me demandais bien ce qui l'avais poussé a aller jusqu'à mon bureau et venir me chier litteralement une horloge cassé pour aujourd'hui serais-je devenue le fruit d'un punchin'ball décati... Je me demandais bien... Mon cœur me faisait litteralement mal... mais ma tête était ravis de pouvoir admirer le spectacle de la reine de glace... Elle n'était pas une Elsa... je dirais un Yeti croiser de Mortissia... Ou Vampirella au choix... Croqueuse de sang a mi temps et pietineuse de sol sur ses petits talons haut. « Mon cœur n'est pas rempli d'épines. Il est de cendre. Tu me l'a arraché pour le réduire en miette par tes dissimulations... Tu as brisé ses rouages. »  Elle faisait tellement fureur, elle semblait prendre cela tellement a cœur... Enfin si elle en avait encore un , cela dit de l'entendre me dire ceci , me fit comme une sensation de déjà vu... Ce n'était pas la premiere fois que j'entendais ce genre de mots venant d'elle... Je me souviens encore que trop perdu à l'instant dans mes pensées lointaines elle fut briser en deux quand je sentis le contact de sa main sur mon torse... mon cœur n'en pouvait que battre encore plus fort, je sentis les rouages grincer comme du charbon sur un tableau noir... Il semblait siffler dans ma poitrine comme les funerailles d'un militaire americain... Sonnez les trompettes je sens qu'il vas exploser. « Tu comprendras donc que si je le possède c'est uniquement pour continuer à vivre. Il est mon dû. » Je l'obersevais, elle ne bronchais plus... Nos phrase pleine de metaphores en ferait palir Sigmund, pauvre Sigmund je pense qu'on a ruiner tes recherches avec notre relation... Je la regardais, elle semblait si froide, glacial... neutre... mon sourire s'effaca, je m'approcha de son oreille pour lui susurrer : « Hélas, j'avais jouer la carte du mensonge pour te proteger, mais Sherlock semblait être point d'accord sur ce sujet... » Je me redressa alors... posant ma main sur la sienne l'enlevant alors de mon torse... : « Dit moi comment t'aurais réagis si jt'aurais tout dit dés le depart : «  Oh Cherie ! Aujourd'hui j'ai volé un magnifique rubis dans une gallerie. Pendant l'heure du dejeuner... Et toi, ta journée ? » Ne me parle pas de dissimulation alors que ce n'est pas ça qui ta fait fuir... » Disais je retournant derriere mon bureau... Je me refermait comme une huître, j'ai joué j'ai morflé a mon tour d'être de pierre... Je la regardais alors sans expression je posa mes coudes sur le bureau joignant mes mains posant ma tête attendant alors une reponse de sa part.

You make me rise when I fall

LNe ressens rien... oublie. C'est la promesse de l'éternité.
Folle. Elle avait été folle de croire à ses promesse mensongère. Délectable pouvoir de le rejeter, de le blesser, de lui montrer ce qu'elle était devenue par sa faute.
Un leurre, ce n'était qu'un leurre, un épouvantail de la guerre de sécession qui avait moisie. Elle avait écouté les sirènes, ces sales menteuse qui faisait qu'elle se noyait... s'étouffait maintenant... Elle était au bord de l'implosion avait tout ce qu'elle avait refouler,tout ce qu'elle avait caché aussi... la vérité... à elle-même.
La mains sur son cœur, elle le sentait se débattre, turbiner comme un moteur V12, allait-il exploser ? Comment pouvait-il battre sir vite ? Comment le pouvait-il ?
La vrai question... comment résistait-il à cela ?
Elle savait.... Elle mentait... elle mentait avec le ton de sa voix... si atone, froide, alors qu’elle voulait hurler, qu'elle voulait pleurer elle qui n'avait pas versé de larme. Si son cœur est gelé... verserait-elle des larmes de cristal ? Elle pourrait en faire un collier et le lui offrir, cette parure serait la sienne car ces larmes serait pour lui. Si un conquistador prend possession de la terre qu'il a conquise, il doit prend possession des larmes qu'il a suscité, cristallisation de sa souffrance.
Elle se sentait tremblante de l'entendre susurrer à son oreille... oh doux ange... si tu savais... si tu savais... a quelle point c'est la guerre dans son cœur.

« Me protéger... me pensais-tu si fragile que cela ? » lâcha-t-elle dans un murmure brisé à peine audible.

La sentence tomba. Froide et incisive, elle dégustait son propre buffet froid... polaire. Il enlevé la main de son torse... non... elle voulait garder le contacte... elle ne voulait pas le perdre.... mais elle devait rester forte... elle devait le rester comme cette fameuse nuit. Oui... elle devait ravaler les cavalier lacrymales qui voulaient livrer bataille pour périr sur ses joues... Elle devait tenir... Tenir... Pourquoi ? Parce que toute sa vie on lui à demandé d'être forte ? D'être parfaite ? Tout ça pourquoi ? Pour des parents qui ne savent même pas qui elle est réellement. Lui il le sait.
Il va à son fauteuil... il est à son tour ce qu'elle a été : froid. Elle se sens défaillir... une chute de tension... elle est blanche... qu'est ce qui cloche chez elle ? Elle triture nerveusement sa chemise de soie... mordillant sa lèvre par tic... elle n'ose le regarder. Elle a peur. Peu de le garder... peur de le perdre.
Les minute défilent dans le mutisme... Eira a les yeux fermé... quand elle les rouvre... ses idées son clair... une éclaircit après la tempête... l’œil du cyclone. Les trait de son visage s'apaise... Elle est juste elle. Et elle a peur... peur d'elle. Elle s'avance... contourne le bureau, fait tourner légèrement le fauteuil de Lewis... s'agenouille et pose sa tête sur ses cuisses. Elle est fatiguée... épuisée... son corps est au bout du rouleau...

« C'est parce que j'ai le cœur détraqué.... que je t'aime de travers... » dit-elle faiblement sentant enfin des larmes couler.

Elle ne bouge pas d'un poils... son corps se détend... ses yeux expulse la douleur qu'elle a emmagasinée pendant trois ans.... sachant qu'elle allait devoir encore la ressentir.