(✰) message posté Dim 12 Avr 2015 - 22:28 par Invité
MateaAyanna Jana Alvarez
London calling to the faraway towns
NOM(S) : Alvarez. PRÉNOM(S) : Matea Ayanna Janai. ÂGE : 26 printemps. DATE ET LIEU DE NAISSANCE :17 mars 1989 à Barcelone (España). NATIONALITÉ : Franco-espagnole. Exilée en Angleterre. Et d'origines diverses et variées. STATUT CIVIL : célibataire avec enfant MÉTIER : Educatrice spécialisée TRAITS DE CARACTÈRE : Dévouée ✖ Joyeuse ✖ Hyper-protectrice ✖ Hyper-tolérante ✖ Polyglotte ✖ Patiente avec les autres ✖ Perfectionniste ✖ Naturelle ✖ Proche de la nature ✖ Très attachée à sa famille, en particulier à son jumeau et à sa fille ✖ Maniaque ✖ Fidèle ✖ Généreuse ✖ Volcanique ✖ Hyperactive ✖ Extravertie. GROUPE : on my bicycle.
My style, my life, my name
Si Rafael a longtemps été le rasta de notre gémellité, je suis toujours la gothique de notre duo. Ma penderie comporte pratiquement uniquement des vêtements noirs et les quelques traces de couleur que l’on peut trouver sont des empiècements de bustiers dont la base est noire. Cela ne m’empêche de vêtir ma fille avec des couleurs pastelles qui, je trouve, lui vont très bien. En même temps, je n’imposerais mon style à personne, et encore moins à mon enfant qui va bientôt avoir 3 ans et qui est la prunelle de mes yeux. Cela ne m’a cependant jamais empêché de taquiner mon frère avec son look rasta. Pas tant à cause des vêtements, mais à cause de la coiffure. Les dreads, non, ce n’était vraiment pas possible. J’avais beau savoir que mon frère avait une très bonne hygiène de vie, je trouvais ça sale. A plusieurs reprises, j’avais fantasmé sur le fait de m’armer d’une paire de ciseaux pour lui couper ses dreads… Fort heureusement, il avait ENFIN décidé de les couper. Je ne pouvais que l’en remercier et le trouvais bien mieux comme ça. Bref. Je n’impose rien à personne, même quand je n’aime pas. Comme mon double masculin, je suis polyglotte. La plus grande différence avec lui, c’est que je n’ai pas de soucis avec l’orthographe. Comme lui, je parle le français et l’espagnol, nos deux langues maternelles. Ma troisième langue est l’anglais, même s’il m’arrive parfois de ne pas en saisir toutes les subtilités, et dans une moindre mesure l’indien que Rafael maîtrise mieux que moi à l’oral. Proche de l’espagnol, j’ai également appris le portugais, et en ce moment, j’apprends l’italien. J’aime apprendre de nouvelles choses, m’occuper l’esprit. Et le corps, aussi… D’ailleurs, lorsque je n’apprends pas, je m’occupe des plantes. Il y en a partout dans la maison. J’ai toujours aimé les plantes, et mon frère pourra vous le dire. Ou je m’occupe d’animaux, aussi : la biquette naine dans notre carré de jardin, qu’il m’arrive de promener dans les rues de Londres. Ce que les passants en pensent m’importe peu : le chat – seul pour l’instant, mais je ne désespère pas d’en avoir d’autres, ou, pourquoi pas, un chien mais en appartement, ce n’est pas simple. Et puis, dès que je peux, je vais faire du cheval, aussi. Et quand j’ai quelqu’un pour garder ma fille, je prends des cours de danse, ou je vais danser. Je suis plutôt du genre extravertie. J’aime faire la fête. C’est comme ça que j’ai rencontré mon ex, d’ailleurs, le père de Lucia. Avec le recul, et même si je refuse toujours de l’admettre devant Rafael, je suis contente qu’il soit sorti de ma vie. Néanmoins, il m’a fait le plus beau des cadeaux : notre fille. Mon frère ne le sait pas, mais il me relance régulièrement pour essayer de voir Lucia. Cependant, pour l’instant, je tiens bon. Ma fille n’a pas besoin de faire sa connaissance. Si ? On ne peut pas dire qu’il était du genre aimant avec moi, ou alors, il avait une drôle de façon de le montrer. Nous étions plus du genre : je t’aime moi non plus, je te suis tu me fuis et inversement qu’un couple fusionnel. Aussi, quand je suis tombée enceinte m’a-t-il abandonnée lâchement – même si c’était un accident. Toutefois, je ne regrette pas d’avoir eu ma fille. Elle est une des plus belles choses de ma vie, même si c’est vrai que, maintenant, j’ai plus de mal à faire confiance à un homme, et que je répugne à en laisser entrer dans la vie de Lucia. Celui qui la rencontrera sera celui qui aura le rôle d’un père pour elle. Sinon, dans la vie, je suis éducatrice spécialisée. C’est un métier qui réclame beaucoup de patience et, moi qui ne l’étais au départ pas du tout, j’ai appris à le devenir pour le bien de ces enfants tous aussi différents les uns que les autres. On parle, souvent, de personnes « handicapées », ou « malades ». Elles sont différentes, en fait. Elles ne comprennent pas tout comme nous, elles ont leurs propres codes. Bien sûr, il y a des handicapés, physiques. Mais, pour moi, le handicap mental, c’est péjoratif. Même pour les paraplégiques, ou hémiplégiques, je trouve ça péjoratif. Ce sont, avant tout, des personnes comme les autres, avec des sentiments, et des aptitudes. J’aime énormément travailler auprès de ces enfants – et parfois adultes – qui nous apprennent tellement à nous autres gens dits « normaux ». J’aime surtout, avec eux, travailler la médiation animale. C’est enrichissant pour nous, et tellement utile pour eux. J’ai pu le constater, c’est un moment où beaucoup se libèrent, où ils peuvent s’exprimer et être compris.
PSEUDO : Isis. PRÉNOM : Sara. ÂGE : une bougie de trop. PERSONNAGE : semi-inventé AVATAR : Ksenia Solo. CRÉDITS : moi. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : Rika. CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE?:nope! this is the one and only.
Invité
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(✰) message posté Dim 12 Avr 2015 - 22:28 par Invité
At the beginning
Nous vous demandons un minimum de 500 mots pour votre histoire. Vous pouvez la présenter de la forme que vous le désirez (extrait de journal intime, RP, rendez-vous chez un psychologue, interview, ect...). Des frères, des sœurs, j’en ai plusieurs. Certains attendus, d’autres qui sont arrivés comme par surprise. Nous sommes une famille nombreuse, et nous sommes relativement proches les uns des autres. Mais je pense que Rika a déjà dû vous parler de tout le monde. Je ne vais donc pas en remettre une couche. Mais c’est vrai qu’il est malgré tout le plus proche de moi, lien gemellaire oblige. A tel point que, depuis que je suis enceinte et que mon ex s’est barré, ne supportant pas l’idée d’avoir un enfant, nous habitons ensemble. Si, au départ, j’ai reproché à Rafael de se mêler de ce qui ne le regardait pas lorsqu’il m’a avoué lui avoir collé son poing dans la figure lorsqu’il a appris, je suis bien heureuse aujourd’hui qu’il l’ait fait – même si j’aurais parfaitement pu défendre notre honneur, à moi et à mon bébé toute seule. Je me demande, néanmoins, comment il réagirait si je lui apprenais que, depuis, le père de ma Lucia tente de revenir dans notre vie pour essayer d’être un père pour elle. Je dois dire que cela me fait beaucoup rire – sa demande – et que mon imagination fertile me fait imaginer tout un tas de réactions pour mon frère :
« Nan mais ça va pas la tête ? Tu ne vas pas le laisser faire ? » ou encore : « Ah ? Il s’est laissé pousser un cerveau ? » ou bien : « Et tu comptes le laisser faire ? »
D’une façon générale, le ton employé dans mes pensées est plus ou moins le même : énervé, ironique, clairement pas prêt à me laisser faire si je décide d’accepter sa demande. Mais comme je n’ai pas le moindre doute sur ce que je dois choisir… Je ne lui ai, d’ailleurs, toujours pas répondu. D’autant que je ne sais pas comment il a pu me retrouver sur facebook, étant donné qu’il est bloqué et que j’ai coupé les ponts avec tous nos anciens amis communs. Je voulais prendre un nouveau départ, élever mon enfant dans les meilleures conditions qui soient. D’ailleurs, c’est Rika qui m’a accompagnée aux échographies de contrôle qui, avec moi, a appris le sexe de l’enfant, qui m’a aidée à préparer la chambre et m’a tenu la main lors de l’accouchement. Il a toujours été là pour nous, et le sera toujours. Il est la figure paternelle pour Lucia. J’espère qu’il s’en rend compte, d’ailleurs. Je ne suis pas très démonstrative, enfin, pas toujours, mais je parle beaucoup. Parfois trop… Beaucoup plus que lui, en tout cas. Plus que nécessaire, parfois, mais dire certaines choses m’est impossible.
De même qu’il m’est impossible de laisser un homme entrer réellement dans ma vie depuis la naissance de ma fille. J’ai eu des aventures, plusieurs, mais jamais rien de sérieux. Bien sûr, Rika a toujours été au courant de tout, mais pas ma fille. Elle est trop jeune, et je ne veux pas faire entrer de provisoire dans sa vie. Rika est un très bon modèle pour elle. Il est mon jumeau, mon propre modèle, d’une certaine façon. C’est lui par exemple, le premier, qui a décidé de rassembler ses prénoms et noms pour se donner un surnom, et je n’ai pas tardé à faire de même. Pour l’embêter, d’abord, et ensuite, parce que j’ai réellement préféré Maja (prononcer Maya) à Matea. Par contre, c’est moi qui ai essayé de le pousser à faire des études, à s’appliquer, à combattre sa dyslexie. J’ai, toujours, pensé qu’il ne devait pas laisser ce problème se mettre en travers de ses rêves. Comme lui a toujours tenté de m’aider à contrôler mon hyperactivité.
Peut-être est-ce grâce à lui que je suis si équilibrée et épanouie aujourd’hui, que je trouve mon bonheur dans les choses simples de la vie, que j’arrive à me poser 30 minutes le soir pour faire un câlin à ma fille et lui raconter une histoire avant qu’elle s’endorme, chose que je n’aurais jamais crue possible il y a quelques années.
D’aussi loin que je me rappelle, j’ai toujours aimé aider les autres. A une période, j’aurais aimé devenir psychologue. Mais… Mais les études n’ont jamais été faites pour moi. C’est mon frère qui m’a suggéré de devenir éducatrice spécialisée. J’ai suivi son conseil, et tout de suite accroché. La formation, intense et relativement rapide, ne m’a pas laissé le temps de souffler. J’ai, immédiatement, su que c’était pour moi, que c’était ce que je voulais faire. Cela me permettait d’être dehors, d’être au contact des gens, de pouvoir être moi-même en toute circonstance, de ne pas avoir à me forcer pour être sérieuse. Et je crois, d’ailleurs, que je ne suis pas une mauvaise éduc’ spé. Les enfants m’apprécient, les parents aiment mes rapports réguliers sur les progrès des enfants. Et ce boulot me permet de voir souvent ma fille et mon artiste de frère – qui a, ENFIN, coupé ses satanées dreadlocks que je n’ai jamais supportées. N’est-il pas nettement plus beau comme ça, mon frère jumeau ?
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(✰) message posté Dim 12 Avr 2015 - 22:30 par Invité
rebienvenue parmi nous & bonne chance pour cette nouvelle fiche.
tu sais comment nous contacter en cas de besoin.
Jake O. Cavendish
i am every word i ever said.
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(✰) message posté Dim 12 Avr 2015 - 22:30 par Jake O. Cavendish
bienvenue officiellement parmi nous et bon courage pour ta fiche
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(✰) message posté Dim 12 Avr 2015 - 22:31 par Invité
re-bienvenue parmi nous
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(✰) message posté Dim 12 Avr 2015 - 22:31 par Invité
bienvenuuuuuuuuuuue Sara et bon courage pour ta fiche contente que tu sois parmi nous
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(✰) message posté Dim 12 Avr 2015 - 22:34 par Invité
(Re)bienvenue parmi nous. On a le même prénom sauf que j'ai un « h »
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(✰) message posté Dim 12 Avr 2015 - 22:34 par Invité
Bienvenue officiellement parmi nous
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(✰) message posté Dim 12 Avr 2015 - 22:34 par Invité
marchi beaucoup, tout le monde!
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(✰) message posté Dim 12 Avr 2015 - 22:45 par Invité
Bienvenue parmi nous ! C'est cool que tu aies craqué ^^