Petit problème

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<div class="NML2">Avalon <NL>Judy</NL> Logan</div><div class="LFP">
<div style="background-image:url(http://nsa14.casimages.com/img/2010/05/19/100519112000832934.png);" class="FGP2"></div><div class="ST">London calling to the faraway towns</div><div class="ITC"><IC>NOM(S)</IC> : Logan. <ID>PRÉNOM(S)</ID> : Avalon Judy. <IC>ÂGE</IC> : Vingt-trois ans. <ID>DATE ET LIEU DE NAISSANCE</ID> : 9 janvier 1992 à Londres. <IC>NATIONALITÉ</IC> : Anglaise. <ID>STATUT CIVIL</ID> : Célibataire. <IC>MÉTIER</IC>  : Etudiante. Tu travailles de temps en temps pour éviter que tes parents n'aient à te donner trop d'argent, même s'ils peuvent se le permettre. Tu n'aimes pas trop être dépéndante d'eux. <ID>TRAITS DE CARACTÈRE</ID> : Gentille, à l'écoute, se livre difficilement, sensible malgré les apparances, pudique quand il s'agit de montrer ses émotions, calme, mature, maladroite parfois, un peu impulsive lorsque tu dois prendre une décision. <IC>GROUPE</IC> : the tube. </div>
<table><tr><td><img src="http://img4.hostingpics.net/pics/329290BrittanyIc9.png" class="LGF">

<img src="http://img4.hostingpics.net/pics/973454BrittanyIc13.png" class="LGF2"></td><td><div class="TYP">My style, my life, my name</div>
<div class="IDP">Tu es une personne plutôt altruiste. Tu aimes aider et tu le feras dès que tu en as l’occasion. C’est pour ça que tu profites du fait de ne pas nécessairement besoin de travailler à côté de tes études pour t’investir dans des associations en tout genre. Tu t’impliques pas mal pour la cause animale, parce que tu penses que si personne ne le fait, les choses ne changeront jamais. Tu as d’ailleurs adopté un petit chien que tu as trouvé dans la rue. Tu te bats pour qu’il soit propre, mais à part ça il est adorable. Il n’a pas de nom pour l’instant, tu n’arrives pas à lui en trouver un.

Tu n’as jamais fait de connerie lorsque tu étais ado. La seule, c’est de t’être mise à fumer. Ta famille n’est pas au courant et tu te gardes bien de le leur dire pour le moment. Ce ne serait pas très apprécié. Seul Dylan le sait, mais il fume aussi donc à part te dire en haussant les épaules que c’était nul, il n’a pas pu faire grand-chose. Tu sais que ça te bousilles la santé ceci dit, donc tu ne fumes pas plus de trois cigarettes par jour. Une le midi, une le soir et une avant d’aller te coucher. C’est tout bête, mais ça te détend.

Ton grand père est malade et bien que tu essaies de ne le montrer à personne tu en souffres beaucoup. C’est un peu comme un deuxième papa pour toi tellement tu en es proche et aujourd’hui, selon les périodes et les moments de la journée où tu vas le voir, il ne se souvient même pas de toi, celle qu’il appelait sa petite fille chérie. Tu détestes l’Alzheimer pour ce qu’il lui fait mais objectivement, tu te dis qu’au moins lui ne souffre pas. Il n’y a que vous, sa famille, qui souffraient de le voir comme ça. Tu vas le voir dès que tu peux et tu fais bonne figure. Tu peux passer des heures auprès de lui, même quand il ne se souvient même pas de qui tu es. Tu lui demandes de te parler d’Histoire et il le fait, parce que ça, il n’a pas oublié.

Tu es une personne plutôt sportive et active malgré tes apparences de petite citadine parfaite. Jusqu’à il y a quelques jours à peine, tu faisais tous les jours presque une heure de vélo pour te rendre à tes cours. Parfois, lorsque tu en avais le courage, tu revenais même à pieds. Cependant, même si cela ne te dérangeait pas nécessairement, tu dois avouer que prendre le métro est vraiment plus pratique. Tu perds moins de temps. Mais tu vas tout de même courir ou faire des balades presque tous les weekends.

Tu es claustrophobe, du genre vraiment. Cela a d’ailleurs tendance à te poser des soucis quand tu prends le métro. Parce que monter dans une rame pleine à craquer avec l’impression que tu pourrais t’étouffer à tout moment, très peu pour toi. Si tu peux arriver en retard à la fac, c’est souvent à cause de ça. Parce que tu attends que l’heure de pointe passe pour pouvoir monter dans le métro. Tu sais que tu ferais une crise d’angoisse si tu ne prenais pas cette précaution et c’est juste hors de question. Ça t’es déjà arrivé et tu as honte lorsque tu y repenses aujourd’hui.

L’un de tes plus grand secret est le carnet à dessin que tu gardes presque toujours sur toi, juste au cas où. Tu ne te trouves pas nécessairement très douée, mais tu aimes ça, dessiner, esquisser des croquis. Parfois tu t’installes face à la fenêtre de ta chambre et tu dessines le paysage. Ou alors tu fais des portraits de personne que tu peux côtoyer, de mémoire ou à partir d’une photo trouvé sur les réseaux sociaux par exemple. Personne n’a connaissance de tes dessins à ce jour.

Tu fais ce truc super agaçant et adorable à la fois lorsque tu es pensive : tu enroules une de tes mèches de cheveux autour de tes doigts, encore et encore. Tu te trouves ridicule quand tu fais ça, mais c’est plus fort que toi. Tout comme le fait de te mordre la lèvre lorsque tu es stressée ou contrariée.

Tu es une de ces personnes incapable d’exprimer ses émotions correctement. Tu ne sais pas dire quand ça ne va pas, ce qui fait qu’on croit tout le temps que tout va bien, que tu es heureuse. Jusqu’au jour où le vase est plein et explose pour un rien. Dans ces moment-là tu te met rarement en colère, tu vas plutôt t’isoler pour pleurer un bon coup en général. Pour te mettre hors de toi, il faut vraiment en vouloir parce que tu n’es pas du tout du genre à t’énerver pour n’importe quoi, loin de là. Tu es plutôt d’un calme olympien qui a tendance à étonner tout le monde.

Bien que tu en parles très peu, tu rêves de voyager et d’explorer le monde pour voir un peu de nouveaux horizons. Ce que tu souhaiterais réellement, ce serait de partir en mission humanitaire pour aider ceux qui en ont le plus besoin, sortir un peu de ton confort et de ta petite vie bien tranquille pour te rendre compte de ce que s’est vraiment d’être dans une situation des plus précaires. En dehors de cela, l’un des premiers endroits où tu souhaiterais te rendre serait Paris. Cette ville t’as toujours fait rêver.

Tu adores lire. L’immense quantité de livre que tu as emportée avec toi en partant de chez tes parents en est d’ailleurs la preuve. Depuis que tu es adolescente, l’argent de poche qu’ils te donnent passe plus facilement dans l’achat de bouquin que dans les vêtements par exemple. Tu n’es pas tellement une accro du shopping. Tu prends soin de toi, te maquilles et t’habilles de manière plutôt féminine mais faire les magasins t’angoisse plus qu’autre chose. Si tu entres dans un magasin, c’est que tu sais ce que tu es venu y chercher et que tu comptes en ressortir quelques minutes plus tard. Lorsque tu cherches quelque chose mais que tu ne sais pas réellement quoi, tu commandes sur internet.
</div></td></tr></table><div class="ITC2"><IC>PSEUDO :</IC> Evolia. <ID>PRÉNOM :</ID> Laura. <IC>ÂGE :</IC> 18 ans. <ID> PERSONNAGE :</ID> scénario.  <IC>AVATAR :</IC> Britt Robertson. <ID>CRÉDITS :</ID> freckles sloth & gentle heart. <IC>COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? :</IC> Une annonce sur facebook pour ce scena   . <ID>CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE?</ID>: nope.</div>

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<center><div class="THS">At the beginning</div>
   <div class="HST">En toute logique, tu aurais certainement dû finir comme tous ces enfants qui ont eu la chance de naitre du bon côté de la barrière, dans une bonne famille, une famille aimante et ayant plutôt une bonne position dans l’échelle sociale. Tu aurais certainement dû être fière de cela, t’en vanter peut-être, en profiter. Etre un peu trop prétentieuse, un peu trop sûre de toi. Mais ça n’a jamais été le cas. Tu n’as jamais été superficielle ou pourrie gâté, parce que tes parents ont su très tôt t’instaurer le cadre dont tu avais besoin pour grandir et t’épanouir. Ils ont aussi su te rappeler lorsque tu pouvais avoir un regard un peu trop dur sur le monde qui t’entourait que tout le monde n’avait pas ta chance, que tout le monde n’était pas dans ta situation. Ce qui a d’ailleurs fait de toi quelqu’un de très observateur et de très à l’écoute du monde qui t’entoure.

Si on te demandait de raconter un peu ton histoire, tu aurais tendance à dire qu’il n’y a rien de spécial à signaler. Que tu n’es pas une personne particulièrement intéressante, que tu préfères te préoccuper des autres plutôt que de ton petit nombril. Cela n’est certainement pas tout à fait faux et dans un sens ça n’est pas plus mal. Si tu n’as rien à dire, c’est que tout va bien. Tu es née un 9 janvier 1992 dans un beau quartier de Londres et tu n’as jamais quitté cette ville jusqu’à ce jour. Pourtant, ce n’est pas l’envie qui t’en manque, ni les moyens mais tu n’as jamais réellement pu trouver la bonne occasion. Tes parents n’aiment pas nécessairement voyager, et n’en ont franchement pas le temps avec leurs métiers plutôt prenant, avocat pour ton père et médecin pour ta mère, et maintenant que tu vis seule, tu as plus tendance à te concentrer sur tes études qu’à penser à t’évader. Tu as été précédé d’un grand frère, Dylan et suivie de deux petites sœurs dont tu es très proche. Dylan va d’ailleurs très bientôt s’installer avec toi, dans la maison que vos parents ont décidé de vous acheter pour que vous puissiez mener vos études respectives à bien. Toi tu juges ça inutile, mais le fait est que ça te réduit tout de même vraiment le trajet pour aller jusqu’à la fac. Il te suffit juste de prendre le métro pour quelques stations et le tour est joué. Auparavant, lorsque tu te rendais à l’école tu y allais en vélo et tu mettais beaucoup de temps, mais cela ne t’as jamais dérangé, préférant largement l’air libre à la chaleur et à l’étouffement du métro. Pour parler un peu de tes études, tu as d’abord choisi de suivre une filière plutôt généraliste lorsque tu as obtenu ton diplôme, ne sachant pas encore réellement ce que tu voulais faire. Aujourd’hui, tu sais que tu comptes poursuivre en t’orientant plus spécifiquement vers une filière dédiée à l’Histoire, puisque c’est un domaine qui te passionne depuis l’enfance. Cela peut paraitre surprenant, mais dès tes huit ans tu as commencé à lire des livres sur le sujet. C’est ton grand père, dont tu es particulièrement proche et qui est aujourd’hui malade, qui t’as entrainée dans cette voie. Lui-même passionné par le sujet, il se plaisait lorsque tu étais petite à te compter l'Histoire, depuis l'Antiquité, en passant par le Moyen Age jusqu'à nos jours et tu pouvais passer des heures assise à l’écouter, curieuse de savoir, de connaître ces époques lointaines dont tu ne savais rien et qui étaient tellement différente de la tienne. Cela te faisait rêver. Transmettre toutes ces connaissances que tu as aujourd’hui la chance de pouvoir apprendre te plairait réellement. Tu souhaiterais devenir professeur. Tu sais que le chemin est long mais tu as comme une prédestination pour les études, tu aimes lire, travailler tes cours, passer des heures sur un devoir à rendre, cela ne t’ennuie pas le moins du monde. Tu étudie encore toutes les matières pour le moment – dont l’Histoire qui est bien entendu ton cours préféré – mais tu veux te spécialiser à la rentrée prochaine.

Passionnant, n’est-ce pas ? C’est ce que tu te dis bien souvent lorsque tu songes à ta vie. Tu te trouves bien trop sage, bien trop lisse. Tu n’as jamais fait de grosse bêtise, même lorsque tu étais adolescente. Tu n’as pas vraiment eu de crise d’ailleurs, à l’étonnement de tous. Quelques disputes peut-être, quelques cris comme pour évacuer ton trop plein d’hormones mais c’est tout. Depuis que tu es à la fac, tu commences timidement à sortir de temps à autre, au début pour suivre tes amis mais ensuite parce que cela te permet de te détendre un peu et de penser à autre chose. D’oublier tes études, le temps d’une soirée. Tout le monde te trouve beaucoup trop calme et essaie de te permettre un peu de t’amuser. Tes parents t’ont souvent dit que tu étais bien trop mature pour ton âge, et c’est vrai que tu as toujours eu du mal à te lier avec des jeunes de ton âge, n’ayant pas nécessairement les mêmes préoccupations qu’eux. Tu occupes d’ailleurs ton temps libre avec de nombreuses œuvres caritatives et associations que tu aimes aider.

En vérité, la seule distraction, le seul petit truc qui vient te sortir de ta vie bien trop routinière ces temps-ci, c’est ton professeur d’histoire. Etonnant hein ? Tu l’as « rencontré » au début de cette année, à ton entrée dans les études supérieure. Tu ne lui as jamais véritablement parlé, si ce n’est pour lui poser des questions ou pour répondre à une de celles qu’il avait posé mais tu te surprends à souvent penser à lui. Tu le trouve intriguant, différent peut-être. A la base, tu ne faisais pas forcément attention à lui. Il n’était qu’un professeur parmi tant d’autres, un professeur que tu appréciais pour la qualité de ses cours et, comme toutes ses autres élèves ne nous mentons pas, parce qu’il n’était pas désagréable à regarder. Ce qui t’as poussé à plus penser à lui, à plus faire attention à ses attitudes c’est sa manière de se comporter avec toi. Au début, tu pensais que tu halluciné, mais tes camarades t’ont confirmé qu’il semblait bien plus froid avec toi qu’avec n’importe qui. Les premiers temps, cela ne t’as pas plus perturbé que cela. Tu haussais simplement les épaules lorsqu’on te le faisait remarquer, en plaisantant sur le fait que ta tête ne devait simplement pas lui revenir. « [i]Oh, ce sont des choses qui arrivent après tout non ?[/i] ». Mais aujourd’hui, tu ne peux t’empêcher d’y faire plus attention, de te demander sans cesse pourquoi il est comme ça avec toi ? Parfois, tu te sens même presque blessé par cette attitude. Surtout que désormais, et ce à ta plus grande surprise, vous êtes voisin. Tu viens d’emménager il y a quelques jours dans ta nouvelle maison et il aura fallu qu’il habite à côté. C’est presque drôle, lorsque tu y penses. Tu es curieuse de voir comment les choses vont pouvoir évoluer. Tu as appris que Monsieur était fiancé et à ta plus grande surprise, cela ne t’as pas laissé indifférente. Oui, ça t’ennuie un peu et tu ne sais pas pourquoi. Cela a tendance à t’agacer d’ailleurs. Surtout que la fiancée en question est du genre super gentille et super accueillante avec sa nouvelle voisine et que tu ne sais pas encore trop quelle attitude tu es censé adopter avec elle. Tu ne sais pas non plus comment tu es censé te comporter quand tu le croises lui en dehors de la fac. M’enfin, qui vivra verra comme on dit.
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