| ( ✰) message posté Ven 28 Nov 2014 - 13:43 par Invité image.noelshack.com/fichiers |
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| ( ✰) message posté Ven 28 Nov 2014 - 14:48 par Invité If she ever tries to fucking leave again Im'a tie her to the bed and set this house on fire I'm just gonna |
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| ( ✰) message posté Ven 28 Nov 2014 - 19:22 par Invité - Je vous épargne le sollloque :
Bonjour à toutes et à tous, C'était évidemment trop espérer qu'un groupe de première année parfaitement catastrophique, d'un niveau faible (ce qui en soi n'est pas très grave) mais surtout d'une grossièreté inqualifiable, puisse en deux ans, progresser à cent pour cent et avoir un comportement de (possiblement) licencié. Remarquez qu'il y a quand même du progrès. Dès le premier cours d'il y a trois ans, l'une de vos camarades enregistrait une personne à son insu, ce qui est un délit. Un autre agressait physiquement l'un de ses camarades et me traitait de "fils de pute". Délit. J'aurais pu, si j'étais vindicatif, les faire condamner par les tribunaux. Je n'ai même pas demandé de mesure d'exclusion administrative. Bien sûr, je dois dire avant de poursuivre cette mise à point qui devra avoir des résultats efficaces pour nos dernières séances, que le comportement et le travail d'une grande majorité d'étudiants de L3 ne posent pas problème et donne même toute satisfaction. Chacun sait parfaitement où il en est sur ce point. La vie est courte, vous pouvez éventuellement vous dispenser de lire ce qui suit. Pour les autres : Vous ne devez pas bavarder en cours, le seul bavardage est susceptible de vous faire exclure de séance à juste titre ! Vous devez être ponctuel et respecter les horaires. Je tolère une ou deux sorties discrètes par cours, car il peut y avoir à cela des raisons médicales et je n'en dirai pas plus. Pour autant cette tolérance ne doit pas se traduire par des allées et venues continuelles. Vous devez respecter le travail de vos camarades et ne pas consulter égoïstement et puérilement vos propres textes alors que toute la communauté est censée travailler sur un texte en particulier. Ce comportement est infantile et déplorable. Vous avez pu remarquer à quel point nous étions efficaces lorsque tout le monde a fait un effort de réflexion collective sur le projet de Camille. Le secrétaire n'intervient pas en cours, il est trop occupé à noter. Il est absurde de déranger le travail pour demander l'orthographe d'un nom. Vous le notez en phonétique. Si l'écrivant est intéressé par la référence, il vient me consulter à la fin de la séance. Enfin, et surtout : la censure est proscrite en cours et je considère que c'est un acte grave. En tant que futurs cadres du secteur culturel, vous devrez lutter contre la censure, qui est un mal rampant, opérant jusque dans les instances qui en sembleraient le mieux protégées. Le domaine de la fiction est le domaine de toutes les libertés, pour la bonne raison que tout ce qui se passe sur scène, tout ce qui se dit sur scène, est FAUX. Les personnes qui ne distingueraient pas la réalité de la fiction ont intérêt à faire un sérieux travail sur eux-mêmes pour avancer. Nous sommes susceptibles de faire en cours des exercices de fiction mettant en jeu toutes sortes de sujets, de l'énucléation à l'amour fleur bleue, du roi Lear à Roméo et Juliette. Il est inacceptable qu'un étudiant, immature à un point quasi inacceptable en L3, s'avise de sortir en fanfare avant la fin du cours, dérangeant NOTRE TRAVAIL, et laissant à penser, par ses proclamations infantiles et tonitruantes, qu'un exercice mettant en jeu la pédophilie puisse avoir un fondement vériste ou, plus absurde encore, faire l'apologie de la pédophilie ! Vous êtes victimes, pour ceux qui seraient solidaires de ce point de vue, de vos préjugés sociaux. Le pédophile est un criminel à emprisonner. Certains sont jugés irresponsables et doivent être incarcérés en structure hospitalière fermée, jusqu'à la fin de leurs jours car le pronostic de guérison est improbable. D'autres sont jugés responsables et sont passibles de la perpétuité. Sachez que beaucoup d'entre eux ont été victimes d'actes de pédophilie et retournent contre l'autre la violence inouïe qu'ils ont subie. La société occidentale confond la figure du pédophile avec celle du diable parce qu'elle est en train de décliner, que les taux de fécondité sont négatifs ( en Allemagne et en Italie) et que l'enfant est devenue une denrée sociologiquement si précieuse que celui qui l'agresse est le parangon du crime. A l'époque de Shakespeare, ce qui était scandaleux, c'était de maltraiter un vieillard, car Lear est rare tandis que les bébés élisabéthains pullulent... Connaissez votre histoire, celle de l'occident. Sachez que l'histoire du théâtre britannique, parmi les plus importants d'Europe, est jalonné d'infanticides. Que la lapidation d'un bébé dans Sauvés ( aux dernières nouvelles, cet acte n'a pas fait de victime) est à l'origine de l'abolition de la censure en Angleterre, qu'après la consommation d'un bébé sur scène ( aux dernières nouvelles il n'a fini dans l'estomac de personne) dans anéantis, Sarah Kane est reconnue comme l'un des plus grands auteurs britannique, et la boucle se boucle avec la pièce de Tim Crouch, L'auteur, qui s'achève sur un acte de pédophilie en trompe l'oeil. Vous pouvez raconter toute l'histoire du théâtre britannique au travers de cet acte tabou. Enfin, et surtout, suite : votre vie privée est protégée dans le cadre de l'atelier. En aucun cas je n'admettrai qu'un de vos camarades enquête, à partir d'un de vos textes, sur votre vie privée et/ou votre sexualité. Le "je" de vos écrits, s'il comporte un "je" est un personnage de l'écriture. Sachez que lorsque je travaille sur vos textes, il ne me vient même pas à l'esprit de me demander si c'est un épisode réel. L'une des vos camarades, alors que nous travaillions sur le thème de la transexualité, ou encore du passage d'un sexe à l'autre, ce qui est, sachez-le, un thème très banal que vous trouvez déjà dans Ovide, m'a interrogé sur mes orientations sexuelles. Qu'elle présente cela comme une plaisanterie n'excuse en rien son attitude grossière et inacceptable. Vous n'avez pas à plaisanter avec la vie privée des gens, sauf si vous êtes au café avec vos copains. En cours, vous êtes dans un espace de travail que je dirige et vous respectez ( à minima !) une autorité. La grossièreté de ces propos est bien sûr aggravée du fait qu'elle est d'étudiant à professeur mais je préviens que je ne la tolèrerai pas d'étudiant à étudiant. J'ai fait répéter ces propos à votre camarade pour être bien sûr de ce que j'avais entendu. Elle l'a répété. Par égard pour elle et pour son travail antérieur, je ne l'ai pas exclue de cours séance tenante et l'ai avisée par mail. Si elle s'est présentée sans avoir pris connaissance de mon mail, elle est en tort envers moi et envers vous ! Je ne l'ai pas exclue du COURS, mais du contrôle continu, son travail du semestre peut être évalué. Elle prétend ne pas avoir pris connaissance de ce mail, ce que je juge peu vraisemblable. J'ai donc dû lui dire de partir à la séance suivante devant témoins et n'ai pas été en mesure de préserver sa dignité, ce que je déplore mais je n'en suis en rien responsable. Elle a fini par "prendre conscience" de l'énormité de ses propos et m'a présenté, à mon sens pas dans le but de s'excuser véritablement, mais seulement dans celui de se faire réadmettre en cours, des excuses en trompe l'oeil, prétendant que c'était une simple "blague", je cite : " Je comprends que vous faites allusion aux propos que j'ai tenu lors du dernier cours et j'en suis navrée. En aucun cas je n'ai cherché a porter atteinte à votre dignité ni à votre personne et je suis sincèrement désolée de la façon dont vous avez reçu ces propos qui n'étaient en réalité qu'une blague née d'une tournure de phrase dans un contexte qui portait à l'ambiguïté. " C'est vrai, ma phrase portait à l'ambiguïté ! " Je suis en plein dans cette thématique, j'étudie les films de François Ozon avec vos camarades de deuxième année". Cela ressemble vraiment à une émission de Mireille Dumas, je vais changer de métier et me reconvertir dans la télé-réalité. Quelle mauvaise foi écoeurante ! "Une blague légère et que tout le monde a déjà oubliée" C'est vrai, particulièrement légère, subtile et aérienne ! Et en plus ce n'est pas à moi d'apprécier l'offense, c'est à vous ! Vous, étudiants, êtes seuls juges de l'humour particulièrement fin de Mademoiselle Marie Beauvois. Car cette demoiselle n'est pas en cours au moment où elle profère ces insanités. Dans sa tête, elle est au café avec ses copains. En L3 ! Cerise sur le gâteau, cette demoiselle est allée déranger les responsables de licence en prétendant qu'elle ne comprenait pas pourquoi elle était "exclue", ce qui vous le noterez bien est en contradiction avec les (fausses) excuses qu'elle présente. Vous comparerez mon attitude à celle que j'ai adoptée face au canular que Pierre Julien a inventé et dont j'ai pris connaissance avec un bienveillant sourire, car contrairement à ce que vous imaginez j'ai le sens de l'humour, dès lors qu'il ne vise pas ma vie privée. Et il arrive fréquemment que vous riiez en cours, ce qui est du à la qualité des prestations de certains et je n'interdis jamais de rire. Pour conclure, les opération de boycott puéril auquel il est infiniment probable que se livrent certains sont déplorables. Vous connaissez les règles. Notez bien que j'estime à la fois ridicule et infondée l'indignation morale au fondement de votre attitude, et que vos absences seront comptabilisées selon les règles de travail. J'espère avoir deux séances de travail normales avant de terminer ce semestre et de vous laisser à vos travaux, que j'espère réussis et fructueux. Avec mes sentiments cordiaux Jean-Marc LANTERI"
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| ( ✰) message posté Ven 28 Nov 2014 - 22:10 par Invité |
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Gabrielle Rowena i’m only afraid of what i want » Date d'inscription : 18/05/2014
» Pseudo : margaux ; stardust
» Schizophrénie : alycia & jamie
| ( ✰) message posté Ven 28 Nov 2014 - 23:58 par Gabrielle Rowena - Citation :
- [23:55:19] Ewan R.I. MacKinnon : Margaux: LE MEILLEUR COUPLE ! Putain mon Colin était tellement bien !
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| ( ✰) message posté Sam 29 Nov 2014 - 11:20 par Invité Adriel E. Keegan : 1 cookie ; 0 organe ; 0 scone. Alexandra Wood-Bower : 7 cookies ; 6 organes ; 9 scones. Annabelle L. Cheshire : 6 cookies ; 4 organes ; 5 scones. Athénaïs Hermès-Deschanel : 3 cookies ; 1 organe ; 0 scone. Caleb G. A. Hyland : 1 cookie ; 1 organe ; 1 scone. Delilah A. Weiss : 0 cookie ; 1 organe ; 1 scone. Elias P. Ioannis-Hanwell : 4 cookies ; 2 organes ; 2 scones. Elliana J. Hawkins : 4 cookies ; 2 organes ; 1 scone. Eugenia B. Lancaster : 6 cookies ; 3 organes ; 5 scones. Galahad A. Rosenbach : 1 cookie ; 0 organe ; 0 scone. Ivana Sexton : 13 cookies ; 5 organes ; 5 scones. James T. Westlake : 4 cookies ; 2 organes ; 0 scone. Jesùs E. Da Silva : 1 cookie ; 0 organe ; 0 scone. Julia E. King : 1 cookies ; 1 organe ; 0 scone. Julian P. Fitzgerald : 2 cookies ; 2 organes ; 0 scone. Jonah E. Roseburry : 2 cookies ; 0 organe ; 0 scone. Junroy A. O'Flahery : 3 cookies ; 0 organe ; 1 scone. Kaspar F. Hansen : 16 cookies ; 6 organes ; 6 scones. Kenzo A. Armanskij : 0 cookie ; 1 organe ; 0 scone. Linaëlle P. Bradshaw : 3 cookies ; 1 organe ; 0 scone. Lizzie R. B. Spencer : 10 cookies ; 12 organes ; 8 scones. Louize L. Dassigny : 2 cookies ; 1 organe ; 2 scones. Mathéa-Andrea Alvarès: 1 cookie; 0 organe; 0 scone. Matteo A. Brown : 1 cookie ; 0 organe ; 0 scone. Maura H. Moriarty : 3 cookies ; 4 organes ; 4 scones. Maya M. Scott : 2 cookies ; 1 organe ; 2 scones. Nathanael E. Keynes : 1 cookie ; 0 organe ; 3 scones. Pia J. Calloway : 1 cookie ; 0 organe ; 0 scone. Pobby J. Hasting : 3 cookies ; 1 organe ; 1 scone. Rachel Hodge : 0 cookie ; 0 organe ; 1 scone. Remy N. Baldwin : 1 cookie ; 1 organe ; 1 scone. Robin T. Lawford : 9 cookies ; 11 organes ; 6 scones. Romeo C. Davenport : 1 cookie ; 0 organe ; 0 scone. Romy L. Khooper : 1 cookie ; 0 organe ; 0 scone. Sam P. Oswald-Bower : 4 cookies ; 4 organes ; 2 scones. Sebastian C. Wilde : 1 cookie ; 1 organes ; 1 scone. Sebastian X. Fray : 1 cookie ; 0 organe ; 0 scone. Sheena A. Murphy : 2 cookies ; 0 organe ; 0 scone. Spencer M. Khan : 1 cookie ; 1 organe ; 1 scone. Tristan S. Newmann : 1 cookie ; 0 organe ; 1 scone. Tyler J. Lewis: 3 cookies ; 2 organes ; 3 scones. Walt Fowler : 2 cookies ; 1 organe ; 3 scones. |
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