NOM(S) : Hollins. PRÉNOM(S) : James et Nathaniel. Il préfère qu'on l'appelle Jamie. ÂGE : Vingt-quatre ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 14 Juin, à Chicago. NATIONALITÉ : Américaine. STATUT CIVIL : Célibataire. MÉTIER : à définir. TRAITS DE CARACTÈRE : à définir. GROUPE : à définir.
My style, my life, my name
01. En apparence, James a tout du genre idéal, une belle gueule, du charisme, de l'intelligence, un gros compte en banque, de la courtoisie. Bref, il est bien sous tout rapport et il est généralement adoré des parents de son entourage. 02. En réalité, il est bien plus complexe que cela, c'est une sorte de masque qu'il porte afin de montrer qu'il est bien élevé et qu'il se montre toujours fort, qu'il ne craque jamais sous la pression. James ne veut pas montrer de faiblesses et s'efforce donc de paraître le plus parfait possible. 03. Au-delà de ceci, il est quelqu'un de très orgueilleux et rancunier qui n'hésite pas à faire des coups en douce pour obtenir une vengeance. 04. Son père est un des plus gros industriels de Chicago. James a donc grandi dans l'opulence, mais aussi parmi les nombreux secrets de famille. 05. James a notamment été victime d'un des secrets de son père. Des membres de la pègre locale s'en sont pris à James comme représailles. Il a pris trois balles dans l'abdomen, et aurait dû y rester, selon les diagnostics des médecins. 06. Il s'en est finalement sorti et a par la suite décidé de quitter Chicago pour Londres, pour se sentir en sécurité. 07. Il déteste - et encore, le mot est faible - la manière anglo-saxonne de séduire. Un premier rendez-vous en tête à tête dans un restaurant avec une fille qu'il connait à peine, à se regarder dans le blanc des yeux pendant une heure, ce n'est définitivement pas sa définition de ce qu'il attend d'une potentielle petite amie, il trouve cela tellement glauque. Le dating n'est pas pour lui, il préfère la spontanéité. Pour autant, il n'est pas fan des conquêtes d'un soir à la sortie des boîtes de nuit. Bien qu'il lui soit déjà arrivé de temps à autres de terminer la soirée avec une fille, il se respecte trop pour finir sous les draps de la première venue à chaque soirée. 08. C'est un fan inconditionnel de basketball et notamment des Chicago Bulls. Lorsqu'il y vivait, il ne ratait jamais un match à domicile. 09.10.
PSEUDO : sohigh. PRÉNOM : clément. ÂGE : vingt-trois ans. PERSONNAGE : inventé. AVATAR : ryan cooper. CRÉDITS : moi-même. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : connaissances. CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE?: non.
Euphorique, je sortais de l’United Center. Les Bulls avaient battu les Sixers de plus de vingt points lors de ce premier match de play-offs. Derrick Rose avait été une fois de plus énorme et avait été un grand artisan de cette victoire. Je la sentais bien cette année, on avait les qualités pour aller au bout et récupérer ce trophée qui nous fuyait depuis le dernier titre que Jordan avait apporté à Windy City. Pour le coup, j’étais encore plus motivé à sortir et faire la fête jusqu’au petit matin. Mais avant de rejoindre la fête que Jackson, mon meilleur ami, avait organisé pour son anniversaire – conviant plus de cent personnes – je me devais de faire un petit détour chez mes parents afin de récupérer son cadeau. Une fois arrivé dans la rue du domicile familial, je resserrai mon blouson. On avait beau être en plein printemps, le temps de Chicago n’était toujours pas suffisamment doux pour s’en rendre compte. Une entrée éclair dans l’appartement et je m’en allais déjà. Je n’avais pas envie de m’éterniser pour être le témoin d’une énième dispute de mes parents, pour devoir consoler encore une fois ma mère avant qu’elle ne prenne ses somnifères pour faire de beaux rêves. De mémoire, leur relation n’avait jamais été aussi tendue qu’à l’heure actuelle entre eux, mais je ne voulais plus m’en mêler, je n’en pouvais plus d’être en porte-à-faux, d’être pris à partie à chaque fois que j’essayais de les calmer. C’était leur problème s’il ne pouvait plus se supporter, plus le mien. Après tout, ils étaient assez grands pour régler ça d’eux-mêmes, comme des grands adultes qu’ils étaient. Une fois sorti, j’en profitai pour fumer une cigarette dans ce froid glacial. C’est dans ce genre de moments-là que j’avais envie de déménager pour la Californie, où le climat était toujours agréable. Soudain, j’entendis des bruits de pas rapides derrière moi. J’eus à peine le temps de me retourner et d’apercevoir un visage masqué que trois détonations assourdissantes résonnaient dans la rue. Et tout à coup, je me retrouvais projeté en arrière, lâché par mes jambes. Je ne comprenais pas vraiment ce qu’il s’était passé jusqu’à ce que le froid s’empare de moi et que la douleur se fasse ressentir. J’avais mal oui, mais j’avais surtout des difficultés à respirer, comme si j’étais en train de me noyer. La dernière chose dont je me souviens, c’était l’image de mes mains ensanglantées, avant de fermer les yeux, sans pouvoir y résister. Contrairement à ce que l’on peut voir dans les films ou dans les bouquins, je n’avais pas vu toute ma vie défiler devant mes yeux, ni ça, ni une lumière blanche au bout d’un couloir. Non, rien de ça, il n’y avait que le noir et ce vide infini. Les docteurs étaient unanimes, j’aurai dû y rester ce soir d’avril. La quantité de sang que j’avais perdu suite à l’explosion de la rate ne me donnait que d’infimes chances de survie. Et pourtant, trois jours plus tard, après plusieurs opérations, je sortais finalement du coma. J’étais ce qu’on appelle un miraculé. Je me considérais plutôt comme un guerrier, je n’étais pas du genre à lâcher prise, comme mon père, et je m’étais accroché à ce que j’avais de plus cher, la vie. Du moins, c’est ce que je racontais désormais pour séduire une fille lorsque je racontais l’histoire. La vérité, c’est que je n’en savais foutrement rien de la manière dont je m’en étais sorti, j’étais juste reconnaissant à quiconque m’avait aidé de ne pas y être resté. J’appris par la suite que l’homme qui avait voulu me descendre était un homme de main d’un des patrons de la pègre locale. J’avais été la nouvelle victime des nombreux secrets de mon père. Il avait fait appel à ces hommes dans le cadre d’une affaire pour effrayer un concurrent et gagner un appel d’offres. Seulement ça ne s’était pas arrêté là, ces hommes avaient par la suite tenté de faire chanter mon père qui lui, refusait de rentrer dans leur jeu. Mon exécution avait été planifié en guise de représailles. Je ne savais pas trop quoi penser de mon père. Plus j’en apprenais sur ces petits secrets, plus il me dégoutait, mais il restait tout de même mon père, celui qui avait été un modèle pour moi pendant des années… La seule certitude que j’avais à ce moment là était que je ne pouvais pas rester à Chicago, je ne voulais pas prendre le risque de me faire tirer dessus une seconde fois, je devais partir. C’est à ce moment précis, deux semaines après ma sortie d’hôpital, que je décidais de partir vivre de l’autre côté de l’Atlantique, à Londres.
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