"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Lazerian-senpai... Tadaima! - Lazalfie. 2979874845 Lazerian-senpai... Tadaima! - Lazalfie. 1973890357
Le Deal du moment : -45%
Harman Kardon Citation One MK3 – Enceinte ...
Voir le deal
99 €


Lazerian-senpai... Tadaima! - Lazalfie.

 :: It's over :: Corbeille :: Anciens RP
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Sam 14 Mar 2015 - 17:39 par Invité
Lazerian i'm come back (for you)...
Lazerian & Alfie.

Les choix sont ce qu'il a de plus douteux dans la vie, on peut créer tellement de monde parrallèles grace aux choix qu'on fait... Moi fan de Back to the futur? On vois les connaisseurs ✻✻✻ C'était du genre perdu d'avance, mais ce fut l'un des plus beaux jours de ma vie, ce jour où j'ai brulé ma blouse d'hôpital. Cela faisait déjà trois mois que je travaillais au GOS Hospital, au départ je n’étais pas tellement heureux d’y travaillé. Je devais prendre un contrat temps plein pour éviter d’y passer l’année. Donc de ce faite, je devais mettre en pause mon avancement dans ma carrière de scénariste débutant à la BBC. Ce fut le dernier jour j'étais enfin en règle je pouvais reprendre ma vie d'avant, même si cela devait comporter forcement le choix, si je voulais revenir ou non à la BBC. Lazerian m'attendais ayant déjà travaillé quelques mois pour lui j'ai dû m'absenter pendant trois mois pour justifier mes heures pour ne pas perdre mon droit d'exercer la médecine, ma roue de secours si je n'arrive pas à décoller dans le monde de l'écriture. J'avais traversé Bloomsbury pour atteindre le plus rapidement possible la city, je pouvais observer le Building qui renfermer en son centre, les bureaux de la BBC. Arriver au 27ème étages, me voilà au ressources humaines... Je salue la grosse Bertha, une jeune femme qui sortait tout droit des studios Pixar, voyait genre la grosse Alien violette dans Monster and Cie. Mais elle semblait gentille au fond un peu flippante mais gentille, je lui parlai de mon retour que j'avais appelle pour récupérer mon accréditation. Mais il semblerait qu'il y a un petit problème sur mon retour. Lazerian n'aurait pas signé m'a demandé d'accréditation. Je fus étonné d'un homme tel que lui, je devais le voir au plus pour régulariser ma situation au plus vite. Je décide alors de descendre de mon nuage pour descendre d'un étage et arrivé au bureau que je connaissais bien. Je saluai quelques collègues de voir leur visage me rappela mon premier jour ici il y a six mois bientôt. Je pouvais voir cet homme assis sur son fauteuil. Il avait une de ses allures j'avais l'impression de ne jamais être partis, je m'approche de la porte de son bureau tapant trois coups bien distinct. Habiller d'un jeans et d'une chemise estivale, j’ouvris quelques secondes après la porte : « Lazerian ? » disais-je d’un ton plutôt calme je ne savais pas si je le dérangeais finalement. J’entrouvris un peu plus la porte prête à vouloir faire des courbettes pour qu’il signe le papier que j’avais dans les mains. « J’espère que je ne te dérange pas. » Je rentrai dans le bureau et puis je continuai laissant mes pensées diverses et variés m’envahir : « Je suis désolé j’ai oublié de te prévenir que je revenais aujourd’hui. Mais du coup la ‘Grosse Bertha’ ne pouvais pas donner mon badge d’accès… Il me manque ta signature… »
✻✻✻
CODES © LITTLE WOLF.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Sam 14 Mar 2015 - 20:00 par Invité


❝ Lazerian i'm come back❞
Lazerian & Alfie
Sur la pile des nombreuses demandes, des contrats, des scénarios, était logé cette simple feuille d’accréditation, qui autoriserait Alfie Malcom Terence Archibald à venir remettre les pieds dans leurs bureaux. Lazerian n’était pas d’humeur facile car en ce moment il passait plus de temps assis sur son fauteuil à analyser de l’administratif plutôt qu’à vagabonder sur des tournages ou à travailler sur projets en cours. Cependant cette surprise venait de métamorphoser sa journée, celle-ci venait de lui donner un petit sourire. Il n’avait même pas pris la peine de le prévenir qu’il revenait parmi eux dans la BBC. Il redonna le papier non-signé à sa secrétaire, il n’y avait ni acceptation, ni refus de la demande. Le quarantenaire voulait absolument que le jeune homme passe par son bureau le jour de son retour. Le jour J, il portait un costume haute-couture comme à son habitude, une belle cravate bleue nuit avec une minuscule étoile argentée sur la pointe, elle tombait sur une belle chemise d’un blanc immaculé. Assis à son fauteuil, ses pupilles fixaient chaque minute qui passait, il se demandait à quelle heure Alfie allait se pointer. Trois coups à la porte, il n’eut même pas le temps de répondre que la porte s’ouvrit, le beau visage de cet homme vint passer en premier et le reste de son corps. Une chemise estivale, un joli minois et il était là sur son fauteuil. Ses longs doigts posèrent le stylo sur son bureau, il l’écouta parler sans l’interrompre. Aucuns sourires, aucune émotion sur le visage, il gardait cette distante aussi glaciale qu’un l’ensemble de la banquise. Il avait ce besoin de ferrer sa proie. Cet homme l’intriguait, il appréciait le mettre mal à l’aise juste parce qu’il savait qu’il avait un minimum de pouvoir sur lui. « J’ai demandé expressément à Eloïse de ne délivrer aucun badge d’accès à ton encontre…tant que tu n’étais pas passé par ici me saluer ! » Sa voix était extrêmement calme, c’était sa devise, Lazerian était connu pour cet incroyable self contrôle. Jamais aucune nervosité, aucune pulsion colérique, son ton ne se levait que rarement voire jamais. Sa contrariété pouvait se manifester dans un cynisme si tranchant, qu’il blessait autant qu’une voix forte et agaçante. Il resta un petit instant sans répondre, laissant cet atmosphère pesant s'instaurer dans son espace de travail. "Bonjour Alfie!" Il accompagna cette courte phrase d'un léger hochement de tête, pour de nouveau faire une pause. Il avait envie de prendre son temps.

« Tu te permets de rentrer dans mon bureau sans que je ne t’y invite, tu insultes ma secrétaire, sans omettre que la politesse voudrait que tu me salue lorsque tu te manifeste enfin… sans oublier que tu viens revendiquer un droit que tu n’as pas encore totalement obtenu ! »
Oui Lazerian en voulait à Alfie pour ses mois sans nouvelles, il avait cette rancune dévorante de l’avoir délaissé, ils avaient commencé un joli projet tous les deux, jusqu’à qu’ils doivent partir. Il se leva se mettant à sa hauteur, il le surplombait avec ses un mètre quatre vingt dix. Il referma la porte derrière lui. Cette fois c’était clair, le quarantenaire avait décidé de jouer un peu avec sa victime, à aucun moment il ne se laissera déstabiliser. « Tu désires boire quelque chose ? » Il avait un mini bar dans son propre bureau avec boisson fraiche, il voulait garder les convenances de l’étiquette, il venait de l’aristocratie en n’oubliait pas les coutumes.

Alfie possédait un pouvoir sur lui, c’était certainement celui de lui plaire, mais il n’arrivera pas à passer. Il avait débuté les demandes de financement, le scénario était en écriture, ils y travaillaient, il se souvenait de leur soirée de travail, jusqu’à qu’il mette fin à ce projet par manque de temps. Le producteur refusait de revire un tel affront. « Qu’est ce qui te motive à revenir ? Tu es en manque d’argent ? En manque de travail ? Ou peut-être en manque d’Eloïse ? La BBC n’est pas à ta disposition quand ça te prends…» Il se mit de dos pour se préparer un thé à la bergamote, il ne buvait jamais pendant ses heures au bureau pour se concentrer uniquement sur ce qu’il avait à faire. Lazerian cherchait la petite bête, il faisait exprès de tirer sur les cordes sensibles, faisant bien attention de ne pas le faire fuir. Des scénaristes, il n’aurait pas de mal à en retrouver. Alfie était exceptionnel, il était pour lui. Il c'était toujours demandé jusqu'où il pourrait aller pour lui.



© Pando
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Sam 14 Mar 2015 - 21:51 par Invité
Lazerian i'm come back (for you)...
Lazerian & Alfie.

Les choix sont ce qu'il a de plus douteux dans la vie, on peut créer tellement de monde parrallèles grace aux choix qu'on fait... Moi fan de Back to the futur? On vois les connaisseurs ✻✻✻ Je dois bien avouer que sur le coup, je ne m’attendais pas à cela. Devoir retourner le voir, bien que l’idée m’enchante énormément. Je me souviens encore quand je l’ai rencontré à Tauranga en Nouvelle Zelande c’était comme voir un étranger perdu dans la jungle… Il avait ce côté aventurier sur le coup qui me plaisait, mais ce qui me tiraillait c’était ce Charisme qu’il dégageait. Ce chasseur aux dents donnait la sensation de se faire dévorer tel un requin qui vous pourchasse jour et nuit. Je suis du genre à avoir une imagination débordante ce qui m’a limite poussé à écrire pour extirper mes songes d’adolescent bercer par des œuvres post apocalyptique tel que Lovecraft ou bien encore Isaac Azimov.
J’attendais devant sa porte en attendant une réponse de sa part, mais cela ne dit rien. Mais je décidai d’ouvrir d’une discrétion telle un hobbit dans la caverne de Smaug. Alors que je tentais de m’excuser parmi des paroles sans aucun sens ayant le surnom de la secrétaire des ressources humaines qui sort de ma bouche… Je revenais là comme si je n’étais jamais parti, mais finalement cela se ressentais que je devais a nouveau mérité ma place ici. « J’ai demandé expressément à Eloïse de ne délivrer aucun badge d’accès à ton encontre…tant que tu n’étais pas passé par ici me saluer ! » Sa voix avait un goût de déjà vu, mais je n’aimais pas ce ton… je le connaissais que trop bien, oh oui Alfonse tu connaissais cette voix. Perdu entre les méandres du passait, je me souviens de mon père qui avait ce ton calme et remplit de sous-entendu, l’air devenait plus pesant je sentais une sueur froide me prendre tout à coup, j’eu un léger sourire jaune sur les lèvres, je laissai échapper tout de même un : « Je vois… » Il voulait me voir, bizarrement soit je sentais les représailles en mon encontre. Je dois avouer que je suis parti précipitamment la dernière fois. Quand j’ai reçu un appel de l’ordre des médecins de Londres. Je devais justifier mes heures je n’en faisais pas assez à domicile. Vu que je venais d’arriver en Septembre dans la capitale je devais me régulariser au plus vite. Si je ne voulais pas perdre mon droit d’exercer. Je savais que c’était la seule occasion de travailler dans hôpital, car qui dit début d’année me dit aussi : du temps pour travailler sur le projet que j’ai commencé à écrire avec Laz. Plus jamais une telle tragédie aura lieu, j’en étais persuadé. J’aurais toujours mon droit à exercer et j’offrirai à nouveau mes talents d’écrivain à Laz’ comme je lui ai offert à mon arrivé ici. Quitter une petite boite de production de Wellington pour rejoindre Laz dans une ville inconnue était une épreuve que je devais assumer avec les bons et les mauvais côtés. "Bonjour Alfie!" Je commençais à devenir nerveux, je me doutais que revenir n’était surement pas la bonne idée. Mais bosser pour lui était une des meilleures chances que je pouvais avoir : « Bonjour Lazerian… ». Disais-je d’un ton faible, me sentant soumis face au silence pesant qu’offrait Lazerian.

« Tu te permets de rentrer dans mon bureau sans que je ne t’y invite, tu insultes ma secrétaire, sans omettre que la politesse voudrait que tu me salue lorsque tu te manifeste enfin… sans oublier que tu viens revendiquer un droit que tu n’as pas encore totalement obtenu ! » Quatre poignards me fit planter en pleine poitrine en entendant son sermon. Je m’en voulais, je n’étais pas du genre malpoli et je comprenais qu’il m’en veuille même si je ne me doutais pas que cela vienne tout de suite que cela vienne du manque de nouvelle, j’ai été tellement prit que j’avais perdu toute vie sociale. J’ai bien eu l’idée de lui envoyer un mail ou un simple texto. Je le vis se lever, il aurait du rester assis. Voici que son importante prestance viens a m’oppresser d’avantage, il s’approcha vers moi et je sentais le stress faire un dératé sur mon rythme cardiaque. Il ferma la porte derrière moi, je me sentais piéger, un petit poisson piégé dans un grand océan parmi le plus féroce des requins. J’étais déstabiliser et je ne me sentais pas à mon aise. J’ai connu situation plus facile avec Laz… Je n’arrivais même plus à parler essayant de ne pas montrer mon gène face à lui, malgré qu’il me propose. « Tu désires boire quelque chose ? » Je sentais ma gorge se déployer prêt à parler quand il me demanda ce que je voulais boire, je ne savais pas quoi répondre. Je lui avouai alors : « Je suis désolé de mon impolitesse… De l’eau suffira si tu as. » Je repensais a la soirée au mois d’Octobre, ce fabuleux whisky qui m’avait donné l’eau à la bouche et ses pensées que j’avais en son égard. Je m’en suis voulu, car je savais qu’il avait mis en Hiatus cette petite production. C’est alors que je le vis ce préparer un thé et qu’il me demanda : « Qu’est ce qui te motive à revenir ? Tu es en manque d’argent ? En manque de travail ? Ou peut-être en manque d’Eloïse ? La BBC n’est pas à ta disposition quand ça te prends…» Je n’avais à peine besoin de réfléchir, finalement je savais bien quoi répondre. Ce n’étais pas le manque d’argent ça non c’est vrai. Ma famille était déjà connue pour sa richesse et les terres qu’ils possédaient. J’avais une part de ce patrimoine que j’évitais de toucher car je savais que je ne le méritais pas. En manque de travail ? Quitter le GOS est une aubaine c’est vrai, plus de temps pour profiter de moi. Eloïse, bien qu’elle était gentille et ressemblait à un monstre ce n’était surement pas la raison première de mon retour… Mais ce qu’il me disait me fit mal sur le coup. Je lui avouai : « Ce qui me motive ? Je ne me suis pas absenter par manque de motivation… Simplement car je tiens à… ce projet… Je m’en veux d’être parti… Et ton silence ne m’aide pas à réfléchir… Je suis de retour, pour de bon… Après que tu ne veuilles plus de moi dans l’équipe, je partirais si tel est ton choix… Je suis sûr qu’il y a de bon scénariste à Londres ce n’est pas ça qui manque. » Je dois bien avouer que j’avais du mal à réfléchir correctement j’avais bien peur de dire n’importe quoi, mais cela dit j’essayais d’être franche, malgré que le stress m’empêchait de pouvoir avec le ton idéal dans ce genre de discours ce qui pourrait fausser le jugement générale. Je ne m’attendais pas à une couronne de fleur ou bien une fête pour mon retour je savais bien qu’il y aurait des embuches cela c’est vrai.

✻✻✻
CODES © LITTLE WOLF.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Sam 14 Mar 2015 - 23:37 par Invité


❝ Lazerian i'm come back❞
Lazerian & Alfie
Alfie était arrivé dans son bureau comme sur un territoire conquis, fier d’être revenu sur ses terres. Certes il lui avait un peu gâché son plaisir mais intérieurement il avait cette satisfaction personnelle de le voir en face de lui. Le producteur se demande combien de temps aurait passé dans leurs locaux avant qu’il ne daigne se pointer dans son bureau. De façon extrêmement polis il le salua, ne laissant pas le choix à cet homme de lui répondre aussi. Lazerian aimait garder l’avantage, surtout si sa proie était aussi ravissante qu’Alfie. Bien entendu il allait faire une belle touche, après ce petit discours introductif, le malaise était évident. Tout était calculé, le fait qu’il ne lui ait pas répondu quand il a frappé, le refus de signé ce papier qui légalement donnerait son accréditation et accès à la BBC, non à la place, il préférait le torturer un peu comme pour le punir de l’avoir délaissé au profit d’un autre travail. Chaque parole était bien évidemment réfléchie, jamais il ne parlerait sous le coup de l’impulsivité, il ne laisserait jamais aucune émotion le submerger, les émotions étaient la faiblesse de l’homme. Première victoire, il c’était excusé, il avait le droit à son verre d’eau. Lazerian versa de l’eau minérale dans un grand verre alors que lui-même se préparer un thé. C’était un véritable régal de le regarder et de le voir ainsi asticoter relevait du divertissement. Aucune réponse pour le moment car il continuait son petit numéro. Cette fois il entendit les raisons de son retour. Le quarantenaire à la place d’Alfie n’aurait jamais cherché à se justifier, ne laissant aucun choix à la personne qui le démonterait ainsi. Il se plaça derrière lui, posa ses deux larges mains sur ses épaules, pouvoir le toucher était délectable, il usait de cette situation, usurpant son rôle pour pouvoir le toucher. D’un geste ferme et non équivoque, il l’amena jusqu’à la chaise en face de son bureau pour le faire s’assoir. « Je t’ai connu beaucoup plus combattif Alfie ! Je préfère lorsque tu ne me laisse pas le choix ! » Il posa le verre d’eau juste en face de cet homme qui l’intriguait énormément depuis qu’il l’avait rencontré, il avait bouleversé tellement dans sa vie à l’époque. « Je ne te savais pas timide avec moi ! Qu’est ce qu’on t’a fait depuis ces derniers mois ? »

Le revoir assis dans son bureau était plaisant, sa compagnie le comblait toujours autant, il lui suffisait d’être là et de l’écouter partager ses idées. Cette petite série aurait bien rapporté à l’époque, il avait même commencé à miser dessus. Il ne souriait toujours pas pour autant, car Alfie avait quand même à se faire pardonner, ça serait beaucoup trop aisé qu’il lui accorde un pardon accessoire. « Je n’interdis pas ton retour à la BBC comme scénariste je vais juste y apposer quelques conditions… » Il n’allait pas le laisser partir cette fois, il avait provoqué cette rencontre car les idées de cet homme étaient à la fois réalisable, créatives, innovantes et qu’il y avait matière à travailler. Laz’ n’avait jamais beaucoup apprécié les branleurs et Alfie était loin d’en être un. Il avait très envie de travailler avec et peut-être pas seulement mettre la main à la pâte.

« Tu vas signer un nouveau contrat qui ira avec cette nouvelle accréditation ! Le contrat comprends l’aboutissement de deux projets de série pour la BBC avant d’envisager de le rompre, si des fois tu demandes à partir, toute production débuté sera terminé, ton choix de partir sera considéré comme un abandon de droit d’auteur…de plus tu devras rembourser les frais engendrés pour chacune de tes créations ! » La dernière fois il avait réussis à sauver les meubles car la série en était au stade de fœtus, aucun tournage, aucune ligne définitive. Certes les investisseurs avaient été mécontents de savoir l’échec du projet et il avait réussis à sauver les meubles avec une autre de ses productions. Il n’arrivera jamais à jouer à ce jeu de cache-cache à chaque fois. Il déposa le contrat juste à coté du verre d’eau avec la demande d’accréditation signé.

Il sortit une cigarette de l’intérieur de sa poche pour se l’allumer, c’est très étrange, s’il signait, c’était comme s’il y avait une forme de soumission très plaisante. Il était joyeux de le retrouver. Il alla déposer un magnifique stylo sur les feuilles du contrat. « Je te veux, je te garde…. » C’est dans un léger murmure qu’il prononça ces termes, tout en ayant un petit sourire en coin. Il lui avait lancé une sorte d’ultimatum.



© Pando
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Lun 13 Avr 2015 - 20:35 par Invité
Lazerian i'm come back (for you)...
Lazerian & Alfie.

Les choix sont ce qu'il a de plus douteux dans la vie, on peut créer tellement de monde parrallèles grace aux choix qu'on fait... Moi fan de Back to the futur? On vois les connaisseurs ✻✻✻ « Je t’ai connu beaucoup plus combattif Alfie ! Je préfère lorsque tu ne me laisse pas le choix ! » Je ne pouvais m’empêcher de sourire, je l’avais tant marqué que cela ? Rien que cette idée me fit pousser un sourire, alors que je saisissais le verre d’eau je le portai à mes lèvres alors que je l’écoutais à nouveau : « Je ne te savais pas timide avec moi ! Qu’est ce qu’on t’a fait depuis ces derniers mois ? » Je fermis les yeux soupirant laissant le verre se poser sur la table et je pris un air triste : « Laz’, si tu savais… On m’a fait des choses… si… Mon dieu je ne veux pas en parler » Moi jouer la comédie ? J’étais bien trop doué dans ce domaine pour éviter de le montrer, mais cela dit je ne gardai pas le sérieux bien longtemps je commençais à me détendre, ma nervosité de revoir cette homme plein de mystère, ce charisme qui faisait pâlir une gargouille… je pris alors la parole : « Cela faisait trop longtemps qu’on ne sait pas vu… j’ai préféré y aller avec des pincettes… Tu peux être vachement effrayant quand même quand tu t’y mets… » Disais-je en riant légèrement. Je posai mon regard sur lui alors que je commençais à peine à me détendre mais cela ce réduisit assez vite alors que je lui avouai tout ce que j’avais sur le cœur sur mes motivations, bien que j’étais d’un sens très défaitiste, je pouvais comprendre parfaitement qu’il ne voulait pas me reprendre et vu ce qui sait passer ces derniers mois j’étais très à fleur de peau… Je dois bien avouer que j’étais surpris d’avoir déblatérer autant de chose d’un coup, même mon charabia médicale me parait moins ennuyeux face à ça.
« Je n’interdis pas ton retour à la BBC comme scénariste je vais juste y apposer quelques conditions… » Quelques conditions qui semblait surement très importante, mais cela dit j’étais tout ouïe je ne manquai pas de lui dire d’ailleurs : « Je… t’écoute. » Lui disais-je alors que je me redresse faisant face à lui, posant ma main sur mon verre d’eau, je n’arrivais pas à me concentrer sur autre chose que part son regard qui semblait me percer à jour, il avait un de ses regards, je me sentais petit mais je trouvais cela tellement excitant. Je tentai de garder tout de même mon calme, mon souvenir des soirées bureau avec lui me rappelle beaucoup de souvenir, cette tentation délicieuse, ses fantasmes qui se bousculent dans ma tête après avoir bu le verre de trop me voilà perdu dans des méandres sexuelles qui n’a pas lieu d’être dans cette situation : « Tu vas signer un nouveau contrat qui ira avec cette nouvelle accréditation ! Le contrat comprends l’aboutissement de deux projets de série pour la BBC avant d’envisager de le rompre, si des fois tu demandes à partir, toute production débuté sera terminé, ton choix de partir sera considéré comme un abandon de droit d’auteur…de plus tu devras rembourser les frais engendrés pour chacune de tes créations ! » J’écoutais ses mots avec grandes intentions essayant alors de tout comprendre… 2 projets à faire ? J’aimais l’idée ce qui voulait forcément dire resté plus longtemps dans les bureaux et en compagnie de Lazerian. Mais la fin me fit déglutir, ça représenté toujours du pognon c’est sur… Je m’approche en lui disant : « j’accepte tes conditions… » L’odeur de la cigarette de Lazerian me rassura, je trouvais les bureaux beaucoup trop stérile y ajouté quelque chose de néfaste me rassurait toujours… « Je te veux, je te garde…. » J’eu un léger sourire plein de sous-entendu… j’étais à … lui c’est ce qu’il voulait dire ? Comment voulait-il que je garde mon sérieux et les idées claires face à ça : « Tu n’as pas perdu ton humour en tout cas… » Disais-je en laissant sortir un léger rire alors que je saisisse le style : « Bon et bien… je suis tout à toi… entièrement… » Poussais-je le bouchon un peu trop loin, je paraphais les pages et signais là où je devais signais… Me voilà le petit toutou de Lazerian… Bizarrement cela me plaisait… Je regardai le jeune homme… « On devrait fêter cela non ? » Lui proposais-je alors que l’idée de boire un bon scotch avec lui me ramena loin et me donnais l’eau à la bouche.


✻✻✻
CODES © LITTLE WOLF.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Mar 14 Avr 2015 - 0:43 par Invité


❝ Lazerian i'm come back❞
Lazerian & Alfie
Effrayant était un bien grand mot, il était certes charismatique et il avait un tempérament qui dissuader les actions excessives. Il n’aimait pas qu’on l’évite et il n’avait pas apprécié qu’Alfie ne le mette de coté lors de son retour parmi leur équipe de création à la BBC. « Un simple Bonjour m’aurait suffit au lieu de devoir créer cette feinte pour t'attirer dans mon bureau ! » Il n’allait pas envie de déblatérer pendant des heures sur ce retour. Il devait se faire comprendre, qu’il faisait peine à voir avec son verre d’eau. Lui ne c’était pas empêché de prendre une cigarette pour la fumer dans son bureau. Alfie était un garçon tout aussi mystérieux à ses yeux. Sans faire dans une longue discussion faites de détour, il alla droit au but en évoquant les conditions du contrat qu’il allait devoir signer. Il devait museler ce scénariste, certes il existait cette complicité entre eux, il y avait cette petite tension agréable. Pourtant le producteur était irréprochable, jamais il ne s’était encore permis une histoire légère avec un membre de son équipe, ses amants avaient toujours été extérieurs à son travail et il ne connaissait même pas son identité. Il en avait eut très peu au final, ce qui n’effaçait en rien son expérience, ni son professionnalisme. « Fais attention, je risque de te prendre aux mots ! Ce n’est qu’un contrat pas une demande en mariage ! » Lazerian battait toujours le fer lorsqu’il était encore chaud, il ne pouvait pas s’en empêcher, c’était dans sa nature. Il posa les différentes feuilles devant cet homme, pour bien lui faire comprendre qu’il devait le faire signer maintenant. C’est vrai que parfois il pouvait faire preuve d’humour, beaucoup le voyait comme l’allégorie de la froideur. Alfie évoquait toujours en lui un tumulte d’émotions tellement contradictoires, il n’arrivait pas à en décrire la moitié, ni à en comprendre l’essence. Il déposa un stylo devant lui pour qu’il signe et lui offre cette accréditation.

Alfie venait de déclarer qu’ils devaient tous les deux fêter ça, il avait très certainement raison. « Un vulgaire verre pour fêter ton retour ! Tu vaux mieux que ça Alfie ! » Il se leva de son bureau pour écraser sa cigarette dans son cendrier. Tout au long de cette entrevue il avait su garder les rennes. Depuis qu’il avait eut cette petite aventure avec Aiden, ne pensant jamais revoir ce jeune homme dans ce fauteuil, il avait l’impression de basculer vers une douce maniaquerie psychédélique du contrôle de la personnalité. Il voulait détruire ce décor professionnel qui les entourait. « Je t’invite au restaurant, j’ai faim ! » C’était rarement le cas alors autant en profiter. Sans même lui laisser le choix il lui fit signe de le suivre. Il connaissait un très bon restaurant qui se situait à quelques pas de son bureau. Un peu chic, mais qui fera l’affaire. Le quarantenaire avait une sainte horreur de ses espèces de cantine à fonctionnaires. Inviter Alfie, il pourrait peut-être commencer à chercher à le connaitre au-delà d’une relation de bureau.

Un décor un peu XVIème et il se sentait dans son élément, ça lui faisait penser que ça faisait longtemps qu’il n’avait pas été à l’opéra. C’était un cadre propice à la détente dans son cas. Ils étaient maintenant face à face, une table élégamment dressé les séparais, remplaçant son bureau trop bien rangé. « Lorsque tu es parti, je dois t’avouer que j’étais inquiet, c’était ton choix je l’ai respecté cependant… » Il était bien curieux, Lazerian avait pensé que ce scénario tenait à cœur à ce jeune homme, il avait même débuté le budget, les demandes d’investisseur et les différents fonds financiers pour pouvoir débuter la post production comme il se devait. Etait-il déçu car le projet avait été finis ou parce qu’Alfie l’avait totalement abandonné. « Qu’as-tu fais ces derniers mois ? Pourquoi avoir abandonné ce projet ? Tu semblais tellement y tenir ! » Il profita du passage du serveur pour commander un bourbon sans glace. Ca sera parfait comme apéritif.


© Pando
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Dim 19 Avr 2015 - 1:37 par Invité
Lazerian i'm come back (for you)...
Lazerian & Alfie.

Les choix sont ce qu'il a de plus douteux dans la vie, on peut créer tellement de monde parrallèles grace aux choix qu'on fait... Moi fan de Back to the futur? On vois les connaisseurs ✻✻✻ « Un simple Bonjour m’aurait suffit au lieu de devoir créer cette feinte pour t'attirer dans mon bureau ! » Finalement j’aimais cette attention, je me détendais de savoir qu’il était prêt à tout pour me revoir, j’avais cette étrange sensation de ne pas être qu’un simple scénariste à ses yeux et cette vision me réconforte, car à part être mon supérieur hiérarchique, il est un homme que j’apprécie énormément et qui me donne la motivation d’écrire et m’inspire en plus de cela. Mais quand il me parle de ses conditions bien que ça fait beaucoup trop demande en mariage, finalement il restait « Fais attention, je risque de te prendre aux mots ! Ce n’est qu’un contrat pas une demande en mariage ! » Je me suis mis a rire, ca aurait pu être drôle quand même, mais cela dit je commence a prendre goût des remarques de Lazarian, j’aurais aimé jouer le jeu mais comment le prendrait il : « Dommage c’était une occasion inespéré… » disais-je en riant legerement alors que je signais. Et puis je lui propose de fêter ça !

« Un vulgaire verre pour fêter ton retour ! Tu vaux mieux que ça Alfie ! » Je me suis mis a rougir sur le coup valais-je mieu que ça ? j’avais surement pas assez confiance en pour cela, même si je faisais semblant au niveau de ça. J’avais cette carapace de confiance en moi qui m’amusait a plus au point d’où le jeu dangereux que j’avais avec Laz’ « Je t’invite au restaurant, j’ai faim ! » Invite… Restaurant ? je me suis mis a rire : « Eh bien je te suis ! » disais-je alors en me levant prêt a partir alors que j’avais qu’une hâte passer du temps avec lui et surtout commencer à retravailler avec lui. Sur le chemin j’observa l’homme assis a coté de moi dans la voiture, je le trouvais beau et tellement sur de lui, il me fascinait tout de même. Quand nous arrivions, j’observa les lieux que je ne connaissais pas, j’étais nouveau dans la ville, ce décor me faisait penser à la maison dans laquel j’ai grandit et je me sentais bien mieu ici et pourtant je detestais cette maison… Alors qu’on s’installe, je m’asseoit face à lui, c’était un endroit magnifique : « C’est splendide ici » disais-je en souriant observant les lieux et puis il prit soudain la parole ! « Lorsque tu es parti, je dois t’avouer que j’étais inquiet, c’était ton choix je l’ai respecté cependant… » Je pouvais comprendre son doute et ses inquiétudes, j’aurais surement réagis pareil à sa place. C’est vrai après tout, je suis parti comme un voleur limite… Mais je n’étais pas du genre a aimé les adieux comme on dit, j’ai trop la facilité pour fuir qu’autre chose c’est une drogue pour moi… j’ai bien quitté tout une vie pour vivre à Wellington. « Je comprend parfaitement… Je t’assure et j’en suis navré… je dois avoué que tout ça m’a manqué… Que tu m’as manqué aussi… » disais-je alors qu’il me demanda : « Qu’as-tu fais ces derniers mois ? Pourquoi avoir abandonné ce projet ? Tu semblais tellement y tenir ! » Je commanda la même chose au près du serveur et je lui avoua : « Je ne voulais pas perdre mon droit à exercer la medecine, c’est la seule chose qui me ratache à mon ancienne vie… Le conseil des medecins de Londres à jugé mon cas, je ne faisais pas assez d’heure pour garder mon droit à exercer… C’est la chef des urgences que je connaissais par le biais d’un de mes patients qui m’a proposé de venir travailler au GOS Hospital… Mais la vie dans un hopital n’est pas aussi simple comme je l’avais vécu depuis mon arrivé, j’enchainais les gardes sans trop savoir pourquoi… Et ça ma litteralement coupé du monde… Quand on m’a dit que j’ai fait assez d’heure pour continuer la medecine libérale j’étais satisfait… Tu dois te demander pourquoi je dois faire des heures alors que je suis en libérale… Enfait j’ai comme un partenaria avec l’hopital… Ils me donnent quelques dossiers de certains patient dont ils veulent avoir un suivit, des personnes qui sont dans l’incapacité de pouvoir deplacer à l’hopital… Enfin bref, j’ai pas envie de parler de mon travail là-bas… » Les verres arrivent et je le leve en direction de Laz : « Ah notre projet ! et a notre collaboration… Je suis heureux de revenir… » Disais-je d’un grand sourire.



✻✻✻
CODES © LITTLE WOLF.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Dim 19 Avr 2015 - 21:05 par Invité


❝ Lazerian i'm come back❞
Lazerian & Alfie
Ca serait étrange de se retrouver à nouveau marier, il ne pensait pas réitérer cette expérience un jour. Il savait bien que cet homme en riait, pourtant pendant un clair instant, il pouvait s’imaginer cette situation. C’était ridicule, c’était un collaborateur et jamais il ne lui ferait vivre cette épreuve de vivre avec lui. Il savait que c’était très mal vu de vivre une histoire d’amour avec ses collègues et pourtant le pourcentage de chance de trouver une personne dans sa vie, c’était justement au travail. Une invitation dans un restaurant aux aspects chics était de convenance aujourd’hui. Il ne c’était pas accaparé des services de son chauffeur, il avait largement préféré prendre son Aston Martin. Après un très court voyage, ils s’installèrent en face à face. Le médecin semblait se plaire dans ce décor, Lazerian y avait parfaitement sa place en cet instant. Il ne pu s’empêcher de l’interroger sur les raisons de son absence, ce qu’il avait fait, ce qu’il avait pensé. Une dose de curiosité qu’il n’avait pas pour habitude d’avoir envers ses proches. Il c’était permis de commander un bourbon sans glace et Alfie en avait fait autant. Lazerian fut étonné de ses paroles, il ne le laissa pas percevoir, ses pensées ne regardaient que lui. « Pourquoi t’aurais je manqué ? » C’était vrai, il n’avait été que son patron dans cette histoire. Quel patron avait déjà manqué à son employé ? La vie était composée d’étapes qu’il fallait vivre, on oubliait si vite les gens. Cela était comme l’école primaire, qui se souvient des noms de l’ensemble de ses camarades de classe ? Lazerian était un peu perdu avec de tels mots, son dos restait droit, son regard insondable.

Alfie fit un long développement sur ce qu’avait été sa vie, il tenait trop à son métier de médecin pour tout abandonner. Plus il avançait et plus il avait l’impression que sa vie dans cet hôpital n’avait pas été aussi aisé qu’il voulait le prétendre. Que voulait-il tant lui cacher, qu’est ce qu’il y avait comme secrets à avoir ? Sa vie ne regardait que lui, il ne pouvait pas être aussi inquisiteur. Il acquiesça d’un signe de tête s’épargnant des mots maladroits. Les deux verres arrivèrent, il leva le siens pour trinquer triomphalement avec cet homme. Un peu tiraillé, il en bu quelques gorgées afin de respecter la tradition. Lazerian était un homme solitude, ce qui par nature voulait dire très réservé et silencieux. Le serveur s’approcha de nouveau, il était habillé avec sobriété, à la hauteur de l’établissement qu’il avait choisis pour le repas. Il se laissa tenter par le poisson, il aimait assez cette chaire pour la déguster, de la daurade grillé sera parfait. Ce fut autour d’Alfie de commander, et une fois que ça fut fait, il le fixa du regard. Quoi rajouter de plus à tout ça ? Leur première collaboration avait été un véritable gâchis et il laissait une seconde chance.

Il serait fervent de long silence, il n’en serait pas mal à l’aise pour autant. Le quarantenaire n’allait quand même pas mettre dans cette situation Alfie. Il faisait tourner son verre entre les mains dans une douce réflexion. Lazerian était un homme d’actions, pas de paroles. Les discours les plus courts restaient les plus explicites. Il bu une nouvelle gorgée, toujours dans la même réserve. Il n’aimait pas les discours badins, sans intérêt, c’était parfois une plus grande torture que de ne rien se dire. Pourtant il ne détournait pas son regard de celui du jeune homme, il avait dix ans de moins que lui, il restait très charmant, peut-être qu’il manquait ce petit piquant qu’il aimait chez les autres. Aiden par exemple adorait le contredire, cela semblait un jeu pour lui que de l’emmerder. Alfie était plus raffiné, plus doux de caractère, donc plus agréable. Pourtant il adorait le grand sourire du médecin, cette façon de voir le monde à sa façon.

En réalité il s’amusait de cette douce torture, il allait laisser se dépêtrer un peu Alfie, c’était une sorte de sanction de l’avoir délaissé pendant tant de temps. C’était pour lui une aubaine de l’avoir au restaurant. Ils s’étaient rencontrés autour d’un verre, pourtant il n’avait jamais été dans un cadre aussi intime. Le scénariste, le réalisateur et les producteurs travaillaient toujours en coordination, avouera t-il qu’il en a rajouté un peu plus à l’époque juste pour pouvoir le voir. Non c’était son propre délice. Il écoutait en même temps le monde qui tournait autour de lui, le bourdonnement régulier et monotone des conversations environnantes, le bruit des couverts, le klaxon lointain des embouteillages. Un étrange concerto dissonant. Il remit sa cravate en place, se demandant combien de temps il allait faire durer ce jeu du silence.


© Pando
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
() message posté par Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
London Calling. :: It's over :: Corbeille :: Anciens RP
» I don't know what to think + Lazerian
» Can I ask for a favor ? + Lazerian [Hot]
» We'll never be as young as we are now + Lazerian
» And I fell apart♠ LAZERIAN&AIDEN
» Behind a fairytale ♠ AIDEN&LAZERIAN

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
-