"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici retour aux sources - Emily (1) 2979874845 retour aux sources - Emily (1) 1973890357
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retour aux sources - Emily (1)

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Anonymous
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() message posté Sam 6 Déc 2014 - 11:39 par Invité
    Paris.
    Ville de mes rêves puis de mes désillusions.
    Emmitouflé dans ma doudoune, les mains dans les poches, je suis nostalgique devant la place Vendôme.
    Ma peau presque porcelaine est rougit. Ce n’est pas la place Vendôme qui me fait cet effet, ni les superbes Parisiennes.
    Non, c’est le froid.
    Mon sang est glacé, j’me décompose presque devant ses touristes. Merde. J’me serais jamais doutée que ça ferait si mal de retourner à Paris après cinq mois. J’retiens ce qui semble être des larmes. J’préfère me dire que c’est le froid qui me congèle plutôt que la souffrance qui sert mon coeur de pierre à me faire suffoquer.
    Ce n'est pas Slevin, Julien et Caroline qui me font si mal. Non, je renie ce qui est pourtant évident.
    Ca, c'est typiquement mon mécanique de défense. Renier les choses qui font mal, les mettre de côté et les oublier. C'est tellement plus acceptable, ou du moins plus facile que la vérité.
    Parfois j’me demande pourquoi je suis le seul survivant de la bande de millionnaire que nous étions. Pourquoi eux, et pas moi ? J’ai envie de dire, tant mieux, parce que j’suis pas sûre que j’aurais aimé croupir en enfer.
    On était la jeunesse dorée de Paris. Insurmontable. Soit-disant « immortel et invincible ».
    On est tous mort. Même moi.

    Et pourtant, c'est une larme qui coule le long de mes joues. Je l'essuie, d'un geste de la main.
    Si j'suis à Paris, c'est pas pour me faire du mal. Non, j'en fais déjà assez au quotidien. C'est un simple repas d'affaire, ennuyant comme on n'en peut plus, qui, aura lieu demain, mais mes parents ont insisté pour que je me ressource de Paris, que je pratique le Français qui est comme ma langue natal après près que quatre ans à y vivre.
    Alors j'ai accepté. J'ignore pourquoi. Si je ne suis pas masochiste sur les bords.

    J'fini par soupirer, et par m'casser d'une marche active vers mon hôtel.
    Ce soir, je dors à l'Hôtel de Vendôme. C'est la crème de la crème à Paris. Sa réputation n'est plus à faire. Tout comme la mienne d'ailleurs, ha ha ha.

    -  Bonsoir Monsieur Dashwood, vous avez fait bon voyage ?

    Déjà ? On me suce dès que j'arrive. J'arque un sourcils, amusé. Ils sont pas cons, c'est ce que je pense en voyant la plantureuse brunette. Il allait pas embaucher des moches en même temps, encore moins pour Axel Dashwood.

    -  Très bien, merci.  

    Mon accent Anglais reste très présent. Je l'avais quasiment oublié durant mes années à Paris, mais, cinq mois m'ont suffit pour le retrouver.

    -  J'en suis ravie. Voici les clés de votre suite Deluxe. Bon séjour !


    Elle m'adresse un large sourire, dévoilant une dentition parfaite.
    Je ne réponds pas, attrape les clés, fait un pauvre sourire et me dirige vers ma suite.
    Mes affaires y sont déjà, voilà l'avantage d'être riche et d'avoir payer plus de mille euros la nuit.
    Je ne sais trop pourquoi, mais mon premier réflexe et d'aller prendre une douche, bien chaude pour me relaxer.
    Après X minutes, je ressors, avec pour simple habillage, une serviette autour de ma taille.

    Et là... je fais un bond de presque dix mètres quand je vois Emily. Ma serviette tombe même par terre.

    -  MAIS qu'est-ce que tu fous là?!  

    Nu comme un vers face à elle, je ne le réalise même pas.
    Je suis plus en colère qu'autre chose. C'était enfin MON séjour solo à Paris, un peu de paix depuis cinq mois et là... bam, terminé !
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Anonymous
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() message posté Sam 6 Déc 2014 - 18:48 par Invité
Champagne & Huge Disappointments.
featuring Axel Dashwood.
Paris, la ville des lumières. En ces périodes de fête de fin d'année, la capitale français était un véritable plaisir pour les yeux. Emily Van Helsing adorait y passer du temps, que ce soit seule à flâner dans le quartier de Montmartre ou avec ses amies à dilapider sa fortune colossale en fringues de luxe, la jeune écossaise adorait y passer son temps libre. Cette fois-ci, c'était sa mère qui l'y avait envoyé. Elle lui avait envoyé un billet par mail en lui disant qu'un formidable colloque sur le droit comparé avait lieu dans un grand hôtel de la capitale et qu'il serait intéressant pour elle d'y aller. Pour les beaux yeux du droit, Emily aurait fait n'importe quoi, même bouleverser son emploi du temps pour assister à cette conférence qui se déroulait sur une durée d'une semaine. C'était une excellente idée. C'était du moins ce qu'Emily avait pensé jusqu'au moment où elle avait découvert le nom de l'hôtel où sa mère lui avait réservé une suite : l'hôtel Vendome. Elle n'aimait pas cet hôtel, elle y avait trop de mauvais souvenirs avec un de ses ex-amants et elle préférait désormais de loin le George V. C'est donc avec une joie feinte que la jeune femme vint à la réception récupérer ses clefs, ce fut une femme brune magnifique qui l'accueillit. Elles s'échangèrent quelques sourires hypocrites le temps d'accomplir les formalités et Emily rejoignit la dîte suite, le coeur lourd. Le voyage avait été court certes, mais elle avait passé la nuit sur un dossier dont elle n'avait cru jamais voir le bout. « Je déteste cet hôtel. » Les couloirs lui rappelaient mille et un souvenir et elle fut soulagée d'arriver à destination.

Elle ouvrit la porte et soudainement, toute forme de soulagement s'évanouît. Des valises étaient déjà montées. « Maman ? » Peut-être lui avait-elle fait une surprise, mais ce n'était pas sa bagagerie Louis Vuitton. La jeune femme entendit du bruit dans la salle de bain et décida d'attendre, en profitant pour se verser une coupe de champagne lorsqu'elle entendit une voix masculine retentir dans la pièce, elle fit volte-face et... « OH MON DIEU ! MON DIEU MAIS RHABILLE-TOI ! » Dashwood, nu devant elle, ni plus ni moins. Soudainement tout devint clair. « Qu'est-ce que tu fous là ?!! Une idée de tes parents je suppose ! On s'est encore fait avoir comme des bleus.. J'aimais pas cet hôtel de base mais alors là c'est encore pire. J'en reviens pas. » La jeune femme se passa une main sur le visage puis fixa le fond de sa coupe de champagne, trop gênée par le spectacle de Dashwood à poil devant elle. Il lui faudra plus qu'une bouteille pour faire passer cette malheureuse nouvelle.
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() message posté Sam 6 Déc 2014 - 21:23 par Invité

    Je ne réalise pas qu’elle se trouve devant moi.
    Putain de merde.
    Emily Van Helsing.
    Et j'suis nu devant elle. Ca semble être assez problématique...

    Est-ce que, je pourrais, une fois dans ma vie être tranquille ? Ne pas avoir une compagnie ? Ne pas être dérangé ? Ne pas avoir d’obligation familiale ?
    Je suis tellement étonné, contrarié, frustré que je ne réalise pas que je suis nu face à elle. Voilà le comique de la situation… C’est qu’elle est gênée.
    Et que moi, je suis à l’aise dans le plus simple appareil. Pourtant, je rougis un quart de seconde.
    J'ai pas honte de mon corps, de l'exhiber, mais... j'ai pas un peu l'air con, là ?
    Ma colère finit par retombé d’un degré, tandis que je décide, déjà, de la provoquer pour la faire déguerpir le plus vite possible et retrouver un tant soit peu d’intimité et de solitude.

    - Mon dieu ? C’est souvent l’effet que fait l’AxelDinosaure.

    J’ai un sourire coquin au coin des lèvres, mes yeux pétillent de malice. Je m’approche d’elle, tel un fauve prêt à mordre sa belle proie.
    Mon corps n’a rien de « magnifique » si je puis dire. Je suis, certes, grand avec mes un mètre quatre-vingt-cinq, mais… je suis mince et sec. J’ai pas le corps de Silverstone Stallone. Vraiment pas. J'ai pas les tablettes de chocolats dont les dames craquent. Je suis trop un flemmard pour faire du sport, j'entends excepté celui du lit. J'suis bon qu'à prendre de la cocaïne et du shit.
    Emily est grande, mais pas autant que moi. Je la regarde du haut de mon mètre, quelque peu amusé par la situation.

    - Mes parents ?! Non, je crois que tu mélanges tout ma beauté.

    Je suis au comble du sarcasme.
    Je la provoque, je la titille, je l’exaspère, je la drague ouvertement et d’une manière des plus crues… Tout ça pour qu’elle devienne complètement folle. Il se trouve que nos… rencontres, si l’on peut appelé la chose ainsi, était pour les moins explosives.

    -  C’est certainement TES parents car c’est TOI qui coule.

    Je lui rappelle en pleine face qu’elle est bientôt ruinée. Elle doit me détester, pas m’apprécier et je fais tout pour que ce soit le cas ! M'enfin, mes parents y sont aussi pour quelque chose, j'en suis persuadé mais j'ai simplement pas envie de le dire.

    - T'aimes pas ma suite ? Paris ? C'est pourtant sympa.

    Mouais ... Elle doit le savoir que j'ai passé quatre ans ici. C'était ma descente en enfer... elle a été magistrale.
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() message posté Dim 7 Déc 2014 - 22:26 par Invité
Champagne & Huge Disappointments.
featuring Axel Dashwood.
Dashwood... Si elle devait le décrire, Emily n'aurait pas assez d'une vie entière pour traiter le cas du jeune homme. Pour la faire courte, il était simplement le gendre miracle pour la famille Van Helsing, celui grâce à qui le nom retrouverait tout son prestige à l'issue d'une union entre les deux jeunes gens. Emy avait très vite compris le petit jeu de ses parternels mais jamais elle n'aurait crû qu'ils iraient jusqu'à l'envoyer dans un autre pays pour la rapprocher de ce mec qui était complètement son inverse. Ils étaient tellement diférents, qu'on se demandait presque si ils faisaient partis de la même galaxie, tout les opposait et si un dicton légendaire disait qu'en général les opposés s'attirent ce n'était pas du tout le cas d'Emy et Axel, ils s'avaient en horreur. Moins ils se voyaient, mieux ils se portaient et cela commençait à faire quelques temps qu'ils se démenaient pour faire comprendre à leurs parents qu'ils ne se marieraient pas. Emy voulait un mariage d'amour, même si la descente aux enfers de sa famille lui faisait peur, elle tenait à s'offrir une union heureuse et sincère, un amour véritable en somme. Sa mère avait beau la faire culpabiliser pour le moment Emy n'en démordait pas, mais cela n'empêchait pas qu'ils se débrouillaient toujours pour les mettre l'un et l'autre dans des situations embarrassantes pourvu qu'ils les vivent ensemble.

Lorsque Dashwood commença à lui infliger ses remarques stupides, Emy leva les yeux aux ciels en poussant un soupir bruyant et lourd de sens. Elle ne le supportait définitivement pas, il était grossier, vulgaire, dépravé. Leur famille devait vraiment être en perdition pour que sa mère et son père pensent ce gamin mal fagoté fait pour elle. De plus, il ne perdait pas une seule occasion de lui rappeler les raisons qui poussaient ses parents à tenter de l'unir à elle; Emy détestait ça. Qu'on la rabaisse ainsi. Elle posa sa coupe de champagne délicatement sur la table basse et croisa les bras avant de dire : « Écoute moi bien Dashwood je me fiche pertinemment de la raison pour laquelle mes parents se laissent imaginer une seule seconde que tu es digne de mon intérêt ou que tu représentes une quelconque issue favorable à long terme. Tu n'es qu'un petit gamin paumé qui pense pouvoir gouverner le monde juste avec son sexe. Par conséquent tu n'as pas grand chose de différent des autres... Maintenant fais nous le plaisir de te rhabiller car tu ne donnes vraiment pas de quoi rougir aux français. » Si Emy était fine et délicate, elle ne comptait sûrement pas se laisser marcher sur les pieds. « TA suite est la mienne, pour la semaine. Donc je te conseille de prendre le premier avion et de rentrer chez toi, car je ne compte pas partir d'ici. » Si ça l'énervait, alors ça l'arrangeait. À la guerre comme à la guerre Emily posa son sac Louis Vuitton sur le canapé et s'allongea dessus dans une pause lascive reprenant sa coupe de champagne dans une main se passant l'autre dans les cheveux. Comme chez elle. Elle allait faire exactement comme chez elle.
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() message posté Lun 8 Déc 2014 - 21:37 par Invité
    Van Helsing m’amuse au-delà du raisonnable. Elle est devenue mon nouveau souffre-douleur, ma futur fiancée maudite, celle que j’adore titiller, pousser à bout, franchir les limites, aller dans les excès.
    Pour le moment, je m’amuse, mais je sais que quand le ciel me tombera sur la gueule, ça sera complètement… différent …
    Je sais même pas pourquoi on se fait la guerre plutôt que de chercher à négocier, à détourner nos parents de cette fichue idée de mariage ?
    Peut-être parce qu’on sait qu’on a pas le choix et qu’on finira, de force, mariés.
    Cette idée me répugne au plus haut point. Certes, Emily est une jolie femme, elle possède au moins la beauté d’une grande aristocrate, mais… je la sens pas.
    Dans d’autre situation, on aurait peut-être fini dans le même lit. Je lui aurais sorti mes belles phrases habituelles, des paroles et encore des paroles, je l’aurais fait succomber par plusieurs baisé, et puis, on aurait passé un moment agréable dans le même lit. Mais… la situation est totalement différente. Je n’ai ni envie de la mettre dans mon pieux, ni de l’épouser.

    Quand elle croise le bras contre sa poitrine, je retiens un gloussement.
    Merde alors, j’ai déjà réveillé la tigresse ?
    Je l’imite inconsciemment en croisant mes bras contre mon torse, toujours nu.

    - Alors, je vais te répondre. Tes parents me trouvent de l’intérêt car j’ai de l’argent et que je suis le futur héritier d’une grande entreprise.

    Bon, ça elle le sait déjà. Mais ce qu’elle ignore c’est que, bien que je fasse le malin à cet instant précis et profite de mon titre de futur héritier, en réalité ça fait plus de huit ans que je le fuis.
    Triste sort d’Axel Dashwood.
    J’éclate de rire, un rire franc, celui presque d’un enfant, dès qu’elle me sort que je pense gouverner le monde avec mon sexe. Celle là… on me l’avait jamais faîte !
    Je reprends mon calme, me racle la gorge.

    - Aux Françaises ? Alors, peut-être qu’au Ecossaise, si ?

    Je lui souris de toutes mes dents. Si ça, c’est pas de la provocation.
    Mais, je décide de la respecter et de reprendre ma serviette que je remets à sa place, passant une main dans mes cheveux mouillés. Sans gêne le Dashwood, que voulez-vous…

    - Et puis d’abord, aucune Française ne s’est jamais plainte. C’est pas la taille qui compte, mais l’utilisation.

    Je proteste, et lui accorde un clin d’oeil aguicheur. Merde alors, mon égo est touché, mais je fais mine de rien. Je manque de confiance en moi, on croirait pas, et pourtant… et quoi de pire comme attaque que celle-ci ?
    On touche d’ailleurs un sujet assez sensible et tabou dans le milieu, et qu’elle en parle avec tant d’aisance me surprend presque.

    J’hausse les épaules quand elle me dit de rentrer chez moi. Je crois qu’elle sait pas à qui elle s’attaque.

    - Moi non plus. Alors, on devra cohabiter ensemble.

    Aucun de nous deux va céder, j’en suis persuadé.
    Et dire qu’on tombe bêtement dans le piège de nos parents à cause de notre orgueil !
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() message posté Sam 13 Déc 2014 - 22:55 par Invité
Champagne & Huge Disappointments.
featuring Axel Dashwood.
Toujours face au désastreux spectacle de Dashwood dans son plus simple appareil, Emily commençait presque à s'y habituer. Elle savait que son rival n'attendait qu'une seule chose : qu'elle craque alors elle tenait bon, balançant son venin sur lui sans vergogne, elle parlait sans langue de bois ce qui aurait pu choquer n'importe qui de son entourage car tous la savait raffinée et polie. Mais voilà. Lorsqu'elle se retrouvait face à Axel elle en perdait son bon anglais et se répandait en reproches en tout genre ce qui lui valait le sourire en coin odieux de celui qui était censé sauver sa famille. Plus elle le regardait et plus elle le détestait, en temps normal elle n'aurait jamais posé les yeux sur lui et c'était bien parce qu'il lui était imposé qu'elle lui accordait le strict minimum d'attention. Leurs parents avaient encore frappés fort en les obligeant à se supporter le temps de quelques jours et Emy savait qu'elle n'était pas au bout de ses peines. Poussant un soupir, elle finit par éclater de rire lorsqu'il déclara que la taille ne comptait pas contrairement à l'utilisation. « Oui d'accord Dashwood, rassure toi comme tu peux. » dit-elle en haussant les sourcils avant de reprendre une gorgée de champagne, le seul alcool qu'elle s'autorisait avec le vin. « Bon alors mettons les choses au clair, je ne veux pas qu'on se retrouve dans la même pièce je veux ma propre chambre... Il y a bien deux chambres n'est-ce pas ? » Emily n'espérait qu'une chose : que ses parents n'allaient pas encore une fois les obliger à dormir ensemble car elle n'en avait aucune envie. Il fallait le mériter pour partager son intimité et Dashwood était la dernière personne avec qui elle voulait partager son lit. « Ah oui et si tant est qu'il y a bien deux chambres, évite de me ramener une de ses débauchées de française faut que je sois en forme j'ai des choses productives à faire moi et je n'ai pas envie d'entendre une idiote simuler de l'autre côté du mur toute la nuit durant. Est-ce bien clair ? » Elle n'était pas idiote elle avait entendu les rumeurs qui courraient sur le compte de Dashwood et elle savait qu'il était loin d'être exempt de vices. « Quant à la pseudo faillite de ma famille, je te demanderais d'être discret à ce sujet quand on se retrouve dans les mêmes dîners avec la haute, car pour le moment rien n'est fait. Quand on aura perdu notre titre là tu pourras être médisant vu que visiblement mon malheur fait ton bonheur. » Le faire culpabiliser était la première étpae, une fois qu'il baissera un peu la garde elle pourra s'assurer un peu de tranquilité.
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() message posté Sam 20 Déc 2014 - 21:51 par Invité
    Quelle peste cette Emily… J’ai pourtant un sourire mi-vicieux, mi-amusé aux coins des lèvres. Mes yeux pétillent de malice.
    Ces mots ne m’atteignent pas. J’ai bien trop de conquête pour douter de moi. Je ne suis pourtant pas l’homme le plus confiant du monde, loin de là. Sous mes airs supérieurs, je suis en cruel manque de confiance, et le plus doué dans la lâcheté. J’ai pas de quoi être fier ; je ne le suis pas.
    D’ailleurs, depuis deux mois j’ai commencé un art martial. Pour changer. Pour oublier. Pour me défouler.
    Et le pire : ça marche.
    C’est un bon défouloir, c’est bien mieux que de s’emporter devant les grands chefs … c’est bien mieux que d’envoyer mon venin à la face d’Emily. Mais, ça ne remplace pas mes drogues.

    Je ne riposte pas, mais je m’éclipse dans ma chambre -bien que je l’entends toujours- pour enfiler un jean et un débardeur. On crève de chaud dans cette chambre ! Ou, c’est peut-être Emily qui me fait crever de chaud.
    Naaaaaaaaan c’est une blague !
    Je retourne à ses côtés, aussitôt enfiler.

    - Aucune idée, je n’ai pas vérifier, je te laisse le faire.

    J’hausse les épaules. Je suppose que oui, mais je n’en suis pas certain.

    - Au pire, tu as le canapé.

    J’ai un sourire qui dévoile toute ma dentition. Cette tête à claque que je suis… J’suis sûr qu’elle a qu’une envie : m’encastrer contre le mur. Et ça m’amuse. C’est un peu mon petit souffre-douleur… mon petit jouet du moment, ma petite lubie.

    - Non, je ne suis pas d’accord. Si tu veux amener des hommes, tu peux. Alors je peux en faire autant, je ne vais pas me priver de sexe pour toi. Je lui dirais de ne pas faire trop de bruit. Et, ceci n’est pas négociable.

    Je précise. De base, ça devait être MON week-end, tranquille, j’avais même pas eut l’idée farfelue d’emmener des jolies Françaises, mais maintenant qu’Emily est venue tout déglinguer… Pourquoi pas ?

    J’arque un sourcils à sa requête. Me faire culpabiliser … Elle n’y arrive pas. C’est pas de ma faute si elle est en difficultée. C’est pas de ma faute si ses parents sont ruinés. C’est d’ailleurs assez triste, à y penser. Je ne sais pas comment elle le vit, mais, visiblement, pas très mal, vu les habits de luxes qu’elle porte, sa manucure parfaite, les voyages qu’elle se permet… Ouais, elle a pas l’air d’être malheureuse de cette situation ! J’ai pas de culpabilité à avoir, non, aucune.

    - Ton malheur ne m’intéresse pas, tout comme ton bonheur.

    Je suis fermé sur ce sujet. Je suis à Paris, et je souffre mais je le cache. Peut-être qu’elle aussi … elle ne montre pas ce qu’elle ressent de cette situation. Après tout, les apparences sont plus que trompeuses.
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